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Étude qualitative sur l'effet du méthylphénidate sur la fonction cognitive des patientes en rémission d'un cancer du sein

Selihi, Zineb 06 November 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 31 octobre 2023) / CONTEXTE : L'apparition de troubles cognitifs à la suite de traitements anticancéreux touche une proportion substantielle des patientes ayant un cancer du sein, affectant principalement les fonctions exécutives, la vitesse de traitement de l'information, la mémoire épisodique et la mémoire de travail. Le méthylphénidate pourrait contribuer à améliorer la qualité de vie de ces patientes. OBJECTIF: Explorer l'effet du méthylphénidate sur l'expérience de la perception des troubles cognitifs et leurs conséquences sur le vécu des patientes traitées pour un cancer du sein non métastatique. MÉTHODOLOGIE : Volet qualitatif d'une étude clinique randomisée à double insu comparant les effets du méthylphénidate versus un placebo sur l'expérience subjective des difficultés cognitives et d'autres symptômes suite aux traitements oncologiques chez des femmes en rémission d'un cancer du sein non métastatique. Les participantes furent évaluées à l'aide d'entrevues individuelles semi-structurées. Les entrevues ont été retranscrites intégralement. Une analyse thématique des verbatims basée sur le modèle de Wilson et Cleary a été réalisée. RÉSULTATS: Neuf (9) participantes ont reçu le méthylphénidate et onze, le placebo. Avant l'intervention, les participantes percevaient une atteinte de leurs capacités intellectuelles, une fatigabilité physique, de l'anxiété et de l'irritabilité. Elles ont clairement décrit que leurs difficultés cognitives affectaient de façon marquée leur vie familiale, sociale et professionnelle. Après l'intervention, les participantes recevant le méthylphénidate étaient plus nombreuses que les autres à rapporter une amélioration: de la concentration, de la capacité à effectuer plusieurs tâches à la fois, de l'énergie, du bien-être émotionnel, du rendement au travail, de l'organisation des tâches, du confort et de la qualité de vie liée à la santé. CONCLUSION : Le méthylphénidate entraine une amélioration réelle dans l'expérience de vie des patientes, d'où la pertinence d'une étude de phase III afin d'évaluer l'efficacité du méthylphénidate chez les patientes traitées pour un cancer du sein . / BACKGROUND: A substantial proportion of breast cancer patients develop cognitive disorders following cancer treatment, mainly affecting executive function, information processing speed, episodic memory and working memory. Methylphenidate could help improve these patients' quality of life. OBJECTIVE: To explore the effect of methylphenidate on the experience of perceived cognitive impairment and its consequences on the experience of patients treated for non-metastatic breast cancer. METHODOLOGY: Qualitative component of a double-blind randomized clinical trial comparing the effects of methylphenidate versus placebo on the subjective experience of cognitive difficulties and other symptoms following oncological treatments in women in remission from non-metastatic breast cancer. Participants were evaluated using individual semi-structured interviews. Interviews were transcribed in full. A thematic analysis of verbatims based on Wilson and Cleary's model was performed. RESULTS: Nine (9) participants received methylphenidate and 11 received placebo. Before the intervention, the participants perceived an impairment of their intellectual abilities, physical tiredness, anxiety and irritability. They clearly described how their cognitive difficulties markedly affected their family, social and professional lives. After the intervention, participants receiving methylphenidate were more likely than others to report improvements in: concentration, multitasking, energy, emotional well-being, work performance, task organization and comfort, and health-related quality of life. CONCLUSION: Methylphenidate brings about a real improvement in patients' experience of life, hence the relevance of launching a Phase III study to assess the efficacy of methylphenidate in patients treated for breast cancer.
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Le Propre et l'Etranger : le concept d'identité vécue en première personne

Nizzi, Marie-Christine 21 May 2011 (has links) (PDF)
L'objectif de la thèse est de déterminer, du point de vue subjectif, ce qui constitue le vécu identitaire. Conscients que la notion d'identité a été travaillée principalement du point de vue objectif en épistémologie, nous voudrions nous pencher plus avant sur l'identité telle qu'elle est vécue par le sujet. Il nous semble que ce concept prend sens pour le sujet à la fois dans le temps, comme continuité d'une présence à soi, et dans un sentiment d'appartenance ou de reconnaissance indissociable de l'expérience incarnée d'être soi. Dans une conception naturaliste de l'identité, nous illustrerons notre propos philosophique par l'étude expérimentale de deux pathologies qui affectent directement le sentiment d'identité du sujet, l'une dans le sens d'une fragmentation de son histoire qui perturbe alors l'appropriation d'un vécu comme sien propre (maladie d'Alzheimer), l'autre dans le sens d'une dépossession du corps comme outil de la volonté qui menace alors l'appropriation du corps comme corps propre (locked-in syndrome). Cette étude se situe donc d'emblée à l'intersection des philosophies du corps et des sciences cognitives contemporaines, proposant un renouveau épistémologique du concept d'identité.
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Le retentissement clinique du syndrome dysexécutif dans la maladie d'Alzheimer

Fryer-Morand, Marine. Delsol, Rochanak. January 2006 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Paris 12 : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 108-118.
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Somnolence, fatigue et fonctionnement attentionnel suite à un traumatisme craniocérébral

Beaulieu-Bonneau, Simon. 19 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2012-2013. / Cette thèse doctorale s’intéresse aux conséquences à long terme suite à un traumatisme craniocérébral (TCC) modéré à sévère. L’étude vise à documenter la présence, la sévérité et les corrélats des problèmes de somnolence, de fatigue et de sommeil. Un second objectif est d’évaluer les aspects attentionnels de vitesse de traitement de l’information, d’attention sélective et d’attention soutenue. Dans un troisième temps, la thèse a pour but d’explorer les relations entre la somnolence, la fatigue et le sommeil, d’une part, et le fonctionnement attentionnel, d’autre part. Vingt-deux adultes ayant subi un TCC modéré à sévère entre 1 et 11 ans avant leur implication dans l’étude sont comparés à 22 participants contrôles appariés selon l’âge, le sexe et le niveau d’éducation. L’étude comporte un enregistrement polysomnographique nocturne et diurne, trois tests neuropsychologiques d’attention, une tâche sur un simulateur de conduite automobile, et des mesures subjectives de somnolence, de fatigue et de sommeil. Les résultats du premier article démontrent un niveau de fatigue significativement plus élevé chez les participants TCC, alors que les groupes ne diffèrent pas sur les mesures de somnolence objective ou subjective. L’impact des problèmes de somnolence sur la productivité générale, le temps passé au lit dans la nuit, et la fréquence et la durée des siestes dans la journée sont significativement plus élevés dans le groupe TCC. Les résultats du deuxième article révèlent que les participants TCC performent significativement moins bien aux mesures de vitesse de traitement de l’information et d’attention soutenue dérivées des tests neuropsychologiques et de la tâche de conduite simulée, alors que les groupes ne diffèrent pas sur l’attention sélective. Des associations significatives sont démontrées entre une performance attentionnelle inférieure et une moins bonne continuité du sommeil ou un niveau plus élevé de somnolence, principalement dans le groupe TCC. Aucune relation n’est observée entre les mesures d’attention et de fatigue. Les résultats de la thèse suggèrent que la fatigue est un symptôme plus proéminent que la somnolence plusieurs années après un TCC modéré à sévère. Le recours à des stratégies compensatoires telles que d’augmenter les opportunités de sommeil semble être une pratique courante. Les résultats confirment que la vitesse de traitement de l’information demeure affectée plusieurs années après un TCC et indiquent que l’attention soutenue pourrait aussi être compromise. L’attention semble être reliée à la continuité du sommeil et à la somnolence, suggérant que les patients, cliniciens et chercheurs devraient porter attention à cette interaction. / This doctoral dissertation focused on sleepiness, fatigue, sleep, and attention in the long term following traumatic brain injury (TBI). The study aimed to document the presence and severity of sleepiness, fatigue and sleep problems. Another objective was to assess the attentional aspects of speed of information processing, selective attention, and sustained attention. The dissertation was also intended to explore the relationships between sleepiness, fatigue, and sleep, on one hand, and attentional functioning, on the other hand. Twenty-two adults who had sustained a moderate to severe TBI between 1 and 11 years prior to their enrolment in the study were compared to 22 control participants matched on age, sex, and education. The main outcome measures included nighttime and daytime polysomnographic recordings, three neuropsychological tests of attention, a driving simulator task, and subjective measures of sleepiness, fatigue, and sleep. Results of the first empirical paper indicated a significantly higher level of fatigue in TBI participants compared to controls, whereas groups did not differ on objective or subjective sleepiness measures. The impact of sleepiness on general productivity, the time spent in bed at night, and the frequency and duration of daytime napping were greater in the TBI group. Results of the second empirical paper revealed a poorer performance in TBI compared to control individuals on measures tapping speed of information processing and sustained attention derived from the neuropsychological tests and the driving simulator task, while groups did not differ on selective attention. Significant correlations were observed between poorer attentional performance and poorer sleep continuity or higher levels of sleepiness, mainly in the TBI group. No relationship was found between cognitive performance and subjective fatigue. This dissertation suggests that fatigue is a more prominent symptom than sleepiness when assessed several years after TBI. The use of compensatory strategies such as increasing sleep opportunities appears to be a common practice. Results add to the existing evidence that speed of information processing is still impaired several years after TBI and indicate that sustained attention may also be compromised. Attention seems to be associated with sleep continuity and daytime sleepiness, suggesting that patients, clinicians, and researchers alike should take notice of this interaction.
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Étude exploratoire sur l'impact d'un programme de coaching clinique sur la fréquence de la stimulation verbale et physique dans les activités de la vie domestique par les intervenants auprès des résidents hébergés atteints de troubles neurocognitifs majeurs

Bouffard, Stéphane 14 April 2023 (has links)
Les conséquences négatives de l'absence de stimulation chez les personnes atteintes de troubles neurocognitifs majeurs (TNCM) vivant dans différents milieux d'hébergement ainsi qu'à domicile ont été démontrées dans plusieurs études. Le manque de stimulation peut provoquer une perte significative de l'autonomie fonctionnelle et cognitive affectant ainsi la qualité de vie en générale. Des effets positifs à la suite de l'implantation de formation et de programme de stimulation dans les activités de la vie quotidienne (AVQ) ainsi que dans les activités de la vie domestique (AVD) ont été observés dans les études antérieures. Le but de ce projet de maîtrise consiste à explorer, par un devis quasi expérimental de conception avant-après à groupe unique, l'impact d'un coaching clinique auprès des intervenants sur la fréquence de la stimulation verbale et physique dans les AVD auprès des résidents hébergés atteints de TNCM. Au total 17 intervenants ont été recrutés à partir d'une méthode d'échantillonnage non probabiliste de convenance ainsi que 14 résidents du milieu de vie. Les résultats obtenus n'ont pas permis de démontrer un effet statistiquement significatif du coaching clinique sur la fréquence des stimulations des AVD (p = 0.1561). Cependant, une analyse de sensibilité a pu démontrer une tendance nette à la hausse du nombre de stimulations. En effet, la fréquence de stimulation est passée de 28 en prétest et à 69 en posttest. À partir de ces résultats encourageants, il est indéniable que la recherche doit se poursuivre afin d'identifier les stratégies gagnantes favorisant la stimulation des résidents par les intervenants des milieux d'hébergement. / The negative consequences of the absence of stimulation in people with major neurocognitive disorders (MND) living in different residential settings as well as at home have been demonstrated in several studies. The lack of stimulation can cause a significant loss of functional and cognitive autonomy, thus affecting the quality of life in general. Positive effects following the implementation of training and stimulation program in the activities of daily living (ADL) as well as in the activities of domestic life (IADLs), have been observed in previous studies. The purpose of this master's project consists in exploring, by means of a quasi-experimental estimate of a single-group before-after design, the impact of clinical coaching with workers on the frequency of verbal and physical stimulation in IADLs with housed residents with TNCM. A total of 17 workers were recruited using a non-probability convenience sampling method, as well as 14 residents of the living environment. The results obtained did not demonstrate a statistically significant effect of clinical coaching on the frequency of IADLS's stimulation. (p = 0.1561). However, a sensitivity analysis was able to demonstrate a clear upward trend in the number of stimulations. Indeed, the stimulation frequency went from 28 in the pretest and to 69 in the posttest. Based on these encouraging results, it is undeniable that research must continue in order to identify the winning strategies favoring the stimulation of the residents by the workers in the long term care facility settings.
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Entraînement cognitif chez l'adulte âgé présentant des déficits cognitigs légers

Jean, Léonie 13 April 2018 (has links)
Les Déficits Cognitifs Légers (DCL) constituent un syndrome reconnu au sein des différents milieux cliniques et scientifiques. Bien que plusieurs critères diagnostiques aient été proposés au fil des ans, les principaux incluent une plainte mnésique accompagnée d 'un trouble de mémoire objectivable en fonction de l 'âge et ce, en l'absence de démence, d' impact significatif au plan fonctionnel ou d 'une diminution globale du fonctionnement cognitif. L'intérêt premier d ' identifier les individus présentant des DCL réside dans le fait qu'ils soient particulièrement à risque de développer un syndrome démentiel dans les années subséquentes comparativement à des gens sans atteinte cognitive. Une fois identifiés, il devient donc possible de développer et de mettre en place des stratégies d'intervention visant spécifiquement cette population, tel qu'en avait pour objectif principal la présente thèse. Plusieurs chapitres adressant chacun un objectif bien défini composent ce travail doctoral. Après une introduction présentée au Chapitre l, le Chapitre II se veut une revue systématique des études ayant appliqué des programmes d'intervention cognitive auprès d'individus avec DCL et conclue en outre à une certaine efficacité des programmes analysées. Une critique méthodologique de même que des recommandations pour les études futures sur le sujet s'en dégagent. Ensuite, le Chapitre III constitue une étude pilote testant la faisabilité et l'acceptabilité d'un programme d'entraînement cognitif basé sur un paradigme d'apprentissage sans erreur. Deux individus présentant des DCL ont pris part à cette étude d'où ressortent des résultats positifs appuyant l'évaluation à plus grande échelle de ce type de protocole. C'est d'ailleurs ce que propose le Chapitre IV où une étude randomisée et contrôlée réalisée en simple aveugle auprès de 22 personnes âgées de 50 ans et plus avec DCL est présentée. Après six sessions d'entraînement cognitif, les résultats obtenus montrent que l~s deux groupes de participants s'améliorent de façon similaire sur une tâche d'associations noms-visages et ce, peu importe qu'ils soient soumis à une procédure d'apprentissage sans erreur combinée au rappel espacé ou bien à un apprentissage par essais et erreurs. Finalement, le Chapitre V analyse et critique l' enselnble des données recueillies dans le cadre de la présente thèse et discute en outre des perspectives de recherches futures.
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Effet de la médication psychostimulante sur l'éveil et les fonctions cognitives suivant un traumatisme crâniocérébral modéré à sévère

Mercier, Jackie 28 January 2020 (has links)
Au Canada et au Québec, des dizaines de milliers d’individus sont touchés chaque année par les séquelles consécutives à un traumatisme craniocérébral (TCC) (Brain Injury Canada, 2018). Des déficits de l’attention, de la mémoire épisodique, de la mémoire de travail et des fonctions exécutives sont fréquemment observés et persistants chez cette population. Le but de cette recherche effectuée à double insu était de venir étudier si l’administration d’une médication psychostimulante en phase précoce, en l’occurrence l’Amantadine ou le Méthylphénidate, pouvait réduire la durée de l’amnésie post-traumatique (APT) chez les participants en comparaison à l’évolution naturelle suivant le TCC (groupe placebo). L’étude visait également à documenter si la continuité de cette médication pouvait possiblement avoir un impact sur l’amélioration des différentes fonctions cognitives en phase de réadaptation. Enfin, il était également visé de documenter les effets potentiels de la médication psychostimulante sur les habitudes de vie et la qualité de vie de l’individu. Initialement, une étude randomisée contrôlée à double-insu était privilégié pour la présente étude. Or, des difficultés de recrutement majeures ont mené à une révision des analyses prévues, résultant en la présentation d’études de cas multiples. En phase précoce, l’analyse de l’évolution des participants ne permet pas de soutenir un impact clair de la médication psychostimulante sur les mesures d’éveil. Un effet de l’âge est cependant observé, où les jeunes participants (£ 40 ans) présentent une durée d’APT plus courte que les participants plus âgés (> 40 ans). En phase de réadaptation, l’utilisation d’une médication psychostimulante ne permet pas d’observer une amélioration plus rapide ou marquée des fonctions cognitives. La majorité des participants, tous groupes confondus, présentent toujours des déficits cognitifs cliniquement significatifs au dernier temps de mesure de l’étude (T4 ; huit semaines post-APT). La présence d’une surcharge cognitive et affective associée à la survenue du TCC apparaît également nuire à la récupération fonctionnelle optimale des participants. Ainsi, la présente étude confirme l’hétérogénéité interindividuelle des séquelles suivant un TCC. Considérant la faisabilité limitée d’un traitement psychostimulant auprès de cette population et l’impact mitigé de ces molécules sur l’évolution des participants, des traitements alternatifs devraient être envisagés afin de cibler les difficultés cognitives, psychologiques et sociales répertoriées et persistantes suivant le TCC. / In Canada and Quebec, thousands of individuals are affected each year by cognitive sequelae resulting from traumatic brain injury (TBI) (Brain Injury Canada, 2018). Deficits of attention, episodic memory, working memory and executive functions are frequently observed and persistent in this population. The purpose of this double-blind study was to investigate if whether the use of psychostimulant medication, i.e. Amantadine or Methylphenidate, could reduce the duration of post-traumatic amnesia (PTA) in participants compared to the natural awakening evolution following TBI (placebo group). The study also aimed to document whether the continuity of this medication could improve cognitive recovery during the rehabilitation phase. Finally, it was also intended to document the potential impact of psychostimulant drugs on life habits and quality of life following TBI. Initially, a double-blind placebo controlled protocol was favored for this study. However, major recruitment difficulties led to present the results as multiple case studies. In the early phase, analysis of participants awakening trajectory do not support a clear impact of the medication on PTA duration. However, an effect of age is observed, where younger participants (£ 40 years old) recover faster from their PTA than older participants (> 40 years old). In the rehabilitation phase, no clear impact of psychostimulant drugs on cognitive recovery is observed. The majority of participants, regardless of allocation groups, still show clinically significant cognitive deficits at the end of the study (eight weeks post-APT). Moreover, cognitive and affective overload associated with TBI appears to hinder optimal functional recovery. Thus, the present study confirms the interindividual heterogeneity of sequelae following TBI. Considering the limited feasibility of a psychostimulant treatment with this vulnerable population and the mixed impacts of these drugs on awakening and cognitive recovery, alternative treatments should be considered in order to address the cognitive, psychological and social difficulties that could be persistent following TBI.
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L'hypothèse de Huber et les perturbations subjectives de la schizophrénie

Rioux, Alain 11 April 2018 (has links)
Les symptômes de base (Huber, 1957), aussi nommés plaintes cognitives par Cuesta, Peralta et Juan (1996), réfèrent à un groupe de symptômes moins connus mais dont l'intérêt s'est ravivé ces dernières années. Il s'agit de symptômes qui concernent spécifiquement le vécu expérientiel des personnes atteintes de schizophrénie et pouvant être qualifiés de perturbations subjectives. Ils se basent principalement sur le ressenti et non sur les altérations comportementales observables qui pourraient en découler. Une des premières échelles créées et la plus fréquemment utilisée pour mesurer les perturbations subjectives est le Questionnaire des plaintes de Francfort (QPF), élaboré par Sûllwold (1986). Le but de la présente thèse est d'explorer l'hypothèse de Huber à propos des perturbations subjectives telles que mesurées à l'aide du QPF. Selon Huber, ces perturbations constituent une partie essentielle des symptômes prodromiques et résiduels de la schizophrénie et elles seraient liées à la défaillance d'un processus élémentaire impliqué dans le filtrage de l'information. Dans cette optique, trois objectifs sont visés: 1. Examiner la structure factorielle du Questionnaire des plaintes de Francfort (QPF) ; 2. Étudier la relation entre les perturbations subjectives et la défaillance de certaines fonctions cognitives dans la schizophrénie ; 3. Étudier la relation entre les perturbations subjectives et d'autres catégories de symptômes de la schizophrénie. Les trois objectifs visés sont abordés comme des thèmes distincts qui se présentent sous la forme de trois articles. Sauf pour le premier article où la dimension statistique est au premier plan, c'est dans une approche de psychopathologie cognitive que se situent nos travaux. Ainsi, il s'agit d'expliquer une dimension symptomatologique de la schizophrénie (les perturbations subjectives) à partir du dysfonctionnement d'un processus élémentaire (Hardy-Bayle, 1997). L'article no 2 consiste en une étude corrélationnelle entre les perturbations subjectives et les fonctions cognitives d'inhibition et d'attention sélective. Quant à l'article no 3, il étudie la relation entre les perturbations subjectives et certaines dimensions symptomatologiques dont les symptômes positifs, négatifs et de psychopathologie générale. Suite aux articles, une discussion générale propose une synthèse et des perspectives de recherche.
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Développement d'une approche d'entrainement pour l'utilisation du fauteuil roulant motorisé pour les personnes ayant une déficience cognitive

Pellichero, Alice 22 July 2022 (has links)
Introduction : La mobilité détermine la possibilité de s'engager dans des activités de la vie quotidienne et contribue au maintien de la santé et du bien-être. De plus en plus de personnes présentent des limitations à la mobilité. Le fauteuil roulant motorisé est une aide à la mobilité qui peut devenir nécessaire. Les personnes qui ont besoin d'utiliser un fauteuil roulant motorisé peuvent présenter un ensemble complexe de déficiences physiques, cognitives ou sensorielles. Afin de favoriser une utilisation efficace et sécuritaire du fauteuil roulant motorisé, l'Organisation mondiale de la santé recommande d'entrainer tous les utilisateurs de fauteuil roulant motorisé à l'utilisation de leur aide à la mobilité. Cependant, les approches d'entrainements existantes ne répondent pas aux besoins de mobilité et aux besoins d'apprentissage des personnes ayant une déficience cognitive. De ce fait, ces personnes sont majoritairement exclues des processus d'attribution avant même qu'elles aient eu la possibilité de recevoir un entrainement adapté. L'objectif principal de cette thèse consiste à développer une approche d'entrainement à l'utilisation du fauteuil roulant motorisé pour les personnes ayant une déficience cognitive. Cet objectif repose sur l'hypothèse qu'un entrainement à l'utilisation du fauteuil roulant motorisé adapté aux besoins des utilisateurs ayant une déficience cognitive permettrait d'améliorer l'attribution du fauteuil roulant motorisé à cette population en lui permettant de développer des habiletés et d'améliorer sa sécurité. Méthodologies : Le modèle méthodologique New Medical Research Council Framework comprend quatre phases orientant le développement d'interventions complexes en santé. Ce modèle a été utilisé pour structurer les différentes étapes de cette thèse. Les quatre études réalisées complètent les deux premières phases du modèle (développement et faisabilité). Une étude de la portée a été réalisée afin d'explorer les relations entre le fonctionnement cognitif et l'utilisation du fauteuil roulant motorisé (Chapitre 2). Une étude transversale a exploré les relations entre l'utilisation du fauteuil roulant motorisé, le fonctionnement cognitif et la confiance chez des utilisateurs expérimentés de fauteuil roulant motorisé. Les variables étaient évaluées par des outils d'évaluation clinique reconnus (Chapitre 3). Une méthode mixte a été réalisée pour co-créer une approche d'entrainement pour la mobilité. Cette étude, incluant des utilisateurs de fauteuil roulant motorisé, des ergothérapeutes et des chercheurs, a utilisé des groupes de discussion focalisée (phase 1) et la méthode Delphi (phase 2) (Chapitre 4). La faisabilité et l'applicabilité clinique de l'approche d'entrainement ont été testées auprès de personnes qui venaient de se voir attribuer un fauteuil roulant motorisé ou qui avaient été évaluées comme nécessitant un entrainement supplémentaire avant de se voir attribuer le fauteuil roulant motorisé (Chapitre 5). Résultats : Une bonne efficience cognitive et la confiance perçue sont nécessaires pour utiliser un fauteuil roulant motorisé, les déficiences cognitives influençant négativement l'utilisation du fauteuil roulant motorisé et la confiance perçue par l'utilisateur. Cependant, malgré la présence de déficiences cognitives il peut être possible d'utiliser un fauteuil roulant motorisé de façon sécuritaire et d'améliorer les capacités à l'utilisation du fauteuil roulant motorisé si elles sont entrainées (Chapitres 2 et 3). Ces constats ont bâti le socle théorique de l'approche d'entrainement. Les parties prenantes au projet (phase 1 : n=16; phase 2 : n=207) ont convenu que l'approche d'entrainement à l'utilisation du fauteuil roulant motorisé en présence de déficience cognitive devrait être centrée sur les objectifs individuels de la personne, devrait être basée sur les occupations, devrait favoriser une relation de confiance entre la personne et l'entraineur, et devrait être réalisée dans un environnement réel, sécuritaire et adapté (Chapitre 4). Il a finalement été démontré que cette approche d'entrainement à l'utilisation du fauteuil roulant motorisé est faisable et applicable en pratique clinique (Chapitre 5). Conclusion : Une nouvelle approche d'entrainement à l'utilisation du fauteuil roulant motorisé pour les personnes ayant une déficience cognitive a été développée dans ce travail de recherche. Elle comble une lacune en matière d'entrainement à l'utilisation du fauteuil roulant motorisé. Pour les ergothérapeutes, elle élargit les approches d'entrainement disponibles. Pour les utilisateurs de fauteuil roulant motorisé, elle offre la possibilité d'accéder à l'utilisation du fauteuil roulant motorisé et de développer performance et confiance lors de l'utilisation du fauteuil roulant motorisé. De futures études évaluant à plus grande échelle l'efficacité de cette nouvelle approche d'entrainement et évaluant son implantation en pratique clinique devraient être investies pour compléter les deux dernières phases du modèle méthodologique New Medical Research Council framework. / Introduction: Functional and independent mobility determines the ability to engage in activities of daily living and contributes to health and well-being. However, more and more people present mobility limitations. To over come these limitations, power wheelchair is a mobility aid that may become necessary. People who require using a power wheelchair to enable them to be mobile generally have a complex set of motor, cognitive and sensory impairments. In addition, these individuals do not represent a homogeneous group of people. To promote safe and effective use of power wheelchair, the World Health Organization recommends that all new power wheelchair users have to be trained to use their mobility aid. However, available training approaches do not meet the mobility and learning needs of individuals with cognitive impairments. As a result, these individuals are largely excluded from power wheelchair provision before they get a chance to try using a power wheelchair or receiving appropriate training. This thesis assumes that power wheelchair training tailored to the needs of cognitively impaired users would allow future users would have a more independent and safer mobility. The overall objective of this thesis was to develop a power wheelchair training approach for individuals with cognitive impairments. Methodologies: The New Medical Research Council Framework methodological model includes four phases guiding the development of complex health interventions. This model was used to structure the realization of this thesis. The four studies correspond to the first two phases of this methodological model (development and clinical applicability). A scoping review was conducted to explore the relationships between cognitive functioning and power wheelchair use (Chapter 2). A cross-sectional study explored the relationships between power wheelchair use, cognitive functioning, and confidence among experienced power wheelchair users. The variables were assessed by recognized clinical assessment tools (Chapter 3). A mixed-methods approach was realized to co-create an innovative approach to power wheelchaur training for individuals with mobility and cognitive impairments. This study including power wheelchair users, occupational therapists, and researchers used focus groups (Phase 1) and the Delphi method (Phase 2) (Chapter 4). The feasibility and the clinical applicability of the training approach was tested with individuals who had recently been provided a power wheelchair or who had been assessed as requiring additional training prior to being provided a power wheelchair (Chapter 5). Results: Cognitive functioning and perceived confidence are necessary to use a power wheelchair, with cognitive impairments negatively influencing power wheelchair use and user perceived confidence. However, individuals with diverse cognitive impairments can safely use a power wheelchair and can improve their power wheelchair skills if trained is provided (Chapters 2 and 3). These findings formed the theoretical basis for the training approach. The stakeholders of the research project (Phase 1: n=16; Phase 2: n=207) agreed that the power wheelchair training approach should focus on the individual's goals, should be occupation-based, should foster a trusting relationship between the person and the trainer, and should be carried out in a safe, adapted, and real-world environment (Chapter 4). Finally, with few modifications the developed training approach may be applicable in clinical practice(Chapter 5). Conclusion: An innovative power wheelchair training approach adapted for people with cognitive impairment is available. It fills a gap in power wheelchair training. For occupational therapists it expands the training approaches available. For power wheelchair users, this innovative training approach has the potential to improve their performance and confidence when using a power wheelchair. Future studies evaluating the effectiveness of this new training approach on a larger scale and assessing its implementation in clinical practice should be investigated to complete the last two phases of the New Medical Research Council framework.
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La perception du temps chez les personnes schizophrènes

Roy, Martin 17 April 2018 (has links)
Bien que plusieurs déficits et distorsions temporelles aient été observés chez les personnes atteintes de schizophrénie (SZ), l'étude de leur perception du temps demeure un sujet difficile d'approche en raison de l'effet possible des déficits cognitifs de ces individus sur leur performance lors des tâches expérimentales mesurant la perception du temps. Cette étude a pour but de cerner la nature des perturbations temporelles des personnes atteintes de SZ (25 patients et 25 contrôles) et de les associer au fonctionnement de leur horloge interne. Un rythme de l'horloge interne ou fréquence naturelle (Fn) plus élevé est attendu chez les patients à l'aide d'une méthode de détection de variations graduelles de tempo, la Méthode des Stimuli Dynamiques. De plus, à l'aide d'une méthode de reproduction temporelle avec des durées auditives de 800 ms, 1 600 ms et 2 400 ms, les patients devraient montrer une fraction de Weber (indice de variabilité) plus élevée. Les jugements rétrospectifs de la durée totale de la session expérimentale devraient être plus élevés chez les patients que chez les contrôles. Des corrélations significatives devraient être observées entre des indicateurs de la perception du temps et du fonctionnement clinique, cognitif et social. Les résultats montrent que la Fn est presque identique entre le groupe clinique et contrôle. Cependant, la fraction de Weber à la reproduction est marginalement plus élevée chez les participants du groupe clinique et ces derniers donnent des estimations rétrospectives plus longues que celles du groupe contrôle. Enfin, seule la mémoire de travail (WMS-III) et l'alternance au Stroop sont significativement corrélées avec la Fn des patients et des corrélations semblables sont observées entre la mémoire de travail et la fraction de Weber des patients. Malgré des anomalies temporelles modestes chez les patients, par rapport aux attentes basées sur la littérature, il demeure que le patron des résultats suggère une implication de la cognition et en particulier de la mémoire de travail. La variabilité des résultats entre les études pourrait être attribuable à l'interaction entre les déficits cognitifs de la SZ et la panoplie de demandes et de contextes expérimentaux. Les présents résultats sont en accord avec les travaux de Lee et al. (2009), qui ont observé une forte interaction entre des déficits cognitifs et des difficultés lors de tâches de perception du temps des SZ. Un plus grand échantillon composé de patients chroniques en phase aigüe aurait peut-être permis d'obtenir des différences significatives pour la fraction de Weber. Les recherches futures devraient tenter de cerner les substrats cognitifs et neuronaux de ces perturbations à l'aide de méthodes novatrices, de batteries neuropsychologiques et de la neuroimagerie.

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