• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 487
  • 140
  • 38
  • 31
  • 7
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 723
  • 379
  • 150
  • 96
  • 79
  • 67
  • 67
  • 61
  • 56
  • 49
  • 48
  • 46
  • 45
  • 42
  • 39
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
681

De la psychologie descriptive à la phénoménologie transcendantale: essai sur la portée métaphysique de l'intériorité phénoménologique dans la pensée d'Edmund Husserl

Mazzù, Antonino January 2001 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
682

L’historiste face à l’histoire. La politique intellectuelle d’Erich Rothacker de la République de Weimar à l’après-guerre / The Historicist faced with History. The Intellectual Politics of Erich Rothacker from the Weimar Republic to the Post-War Period

Plas, Guillaume 03 December 2011 (has links)
Notre thèse étudie la position et la fonction qu’occupa le philosophe Erich Rothacker (1888-1965) dans le champ philosophique et scientifique allemand de son temps. Elle retrace l’évolution de sa politique intellectuelle de la République de Weimar à l’après-guerre, évolution qu’il faut lire comme un processus de redéfinition de son historisme conservateur face aux contextes historiques successifs. Tandis que son activité sous la République de Weimar fut guidée par sa volonté d’imposer un paradigme d’historisme polémique et idéologisé, l’avènement du national-socialisme l’a conduit, après une phase d’étroite adhésion, à redéfinir cet historisme, qui devint progressivement (et non sans quelques ambiguïtés) un simple paradigme épistémologique désidéologisé. C’est au terme de cette évolution que Rothacker put influencer dans l’après-guerre la réflexion de certains de ses étudiants devenus par la suite célèbres, tels Jürgen Habermas, Karl-Otto Apel et Hermann Schmitz. Outre qu’elle répond à plusieurs questions jusqu’à présent en suspens dans la littérature secondaire sur Rothacker (relatives à son rapport au nazisme, ou encore au rôle – éminent mais paradoxal – qu’il joua au sein du champ théorique de son temps), notre étude de sa politique intellectuelle met ainsi en évidence deux phénomènes qui dépassent le cadre de son analyse stricto sensu : le mouvement – commun à plusieurs penseurs – de radicalisation puis de déradicalisation du conservatisme intellectuel allemand au cours du 20ème siècle, et l’existence d’une ligne de continuité souterraine de la pensée historiste dans l’Allemagne de l’après-guerre en dépit de l’ostracisme dont cette tradition faisait alors l’objet. / Our dissertation investigates the position in, and function of, the german philosopher Erich Rothacker (1888-1965) within the philosophical and scientific fields of his time. It traces the developments in Rothacker’s intellectual politics from the Weimar Republic into the post-war world – a development that can be interpreted as a process of redefining his conservative historicism within the framework of changing historical contexts. While his work was guided by the aim of promoting a polemic and ideologised paradigm of historicism at the time of the Weimar Republic, Rothacker, faced with the national-socialist regime, subsequently redefined this historicism after a period of enthusiastic endorsement with the National-Socialists. Rothacker’s historicism thus gradually developed (though not without remnants of ambiguity) into a purely epistemological paradigm, stripped of all ideology. As a consequence of this development Rothacker succeeded in the post-war era in influencing the thought of several of his students who were to become well-known intellectual figures, such as Jürgen Habermas, Karl-Otto Apel and Hermann Schmitz. Besides offering answers to some questions concerning Rothacker that remain unanswered in critical discourse to this day – such as his relationship to Nazism, or his role within the theoretical field of his time – our analysis provides a picture of two phenomena transcending Rothacker’s own person: the deradicalization of German intellectual conservatism in the course of the twentieth century, and the persistence of historicist thought in post-war Germany despite the ostracism that this tradition was subjected to in the decades following the war.
683

Explosions en rase campagne. Narration, description et leurs implications esthético-politiques dans deux textes d’Arno Schmidt et de Peter Weiss / Explosions in Lonely Furrows. Narration, Description and Their Aesthetic-political Implications in Two Narratives by Arno Schmidt and Peter Weiss / Explosionen auf weiter Flur Narration. Deskription und ihre ästhetisch-politischen Implikationen in zwei Texten von Arno Schmidt und Peter Weiss

Felten, Georges 29 October 2010 (has links)
Considérées, aujourd’hui, comme des œuvres majeures de la littérature allemande du XXe siècle, Scènes de la vie d’un faune et L’Ombre du corps du cocher sont, à l’origine, deux textes pour le moins à part dans le paysage littéraire allemand du début des années 1950 – au point que celui de Weiss n’a même pas trouvé d’éditeur avant 1960. La présente étude analyse les deux récits autodiégétiques à partir des traits saillants suivants : leur dispositif d’énonciation à double voix (narrateur vs. instance auctoriale non anthropomorphe), leurs réseaux de métaphores à valeur poétologique, et surtout les multiples interactions entre le foisonnement des microséquences descriptives et les macroséquences narratives quelque peu occultées par les premières, mais toujours indéniablement présentes. Dès lors, l’analyse dégage les implications esthético-politiques de chacun des deux textes ; en résonance avec des intertextes soit romantiques et d’ordre mythique (pour Scènes de la vie d’un faune), soit surréalistes et freudiens (pour L’Ombre du corps du cocher), chacun soulève une question ‘explosive’ en ce qu’elle est négligée ou évitée par la production littéraire allemande dominante de ces années-là. L’idylle convulsive d’Arno Schmidt : Quel est le prix à payer pour un récit fictionnel traitant de l’époque national-socialiste qui ne veut pas renoncer au plaisir de la métaphore ? Le psychodrame chosifié de Peter Weiss : Quelles zones la littérature allemande de l’après-guerre laisse-t-elle dans l’ombre en se tournant entièrement vers le recensement du monde extérieur et en optant pour un langage prétendument univoque, apposant des contours stables au réel ? / Today, Scenes from the Life of a Faun and The Shadow of the Coachman’s Body are considered as major works of the 20th century German literature ; originally however, at the beginning of the 1950s, they were rather isolated in the German-language literary landscape – to such an extent that Peter Weiss’ text was not even published until 1960. The present work analyses the two auto-diegetic narratives by choosing the following axes of comparison : the tension between the narrator’s voice and the voice of the authorial, non anthropomorphic instance ; the networks of metaphors with poetological implications and, above all, the interaction between the abounding descriptive micro-sequences and the narrative macro-sequences, somewhat hidden behind the descriptions but nonetheless and undeniably present. By following these tracks, the analysis shows the aesthetic-political implications of the two texts ; echoing with either romantic and myth-like (as far as Scenes from the Life of a Faun is concerned) or surrealist and Freudian (The Shadow of the Coachman’s Body) intertexts, each of the texts raises a specific ‘explosive’ question, neglected or avoided by the dominant literary production. Thus, Arno Schmidt’s convulsive idyll asks : What is the price to pay for a fictional narrative about the Nazi-years if it is not willing to give up the pleasures of the metaphor ? And Peter Weiss’ matter-of-fact psycho-drama : What is it that post-war German literature keeps out by focusing entirely on the outlines of the exterior world and by relying on a supposedly non-metaphorical language with stable meanings ?
684

Politique de la théorie et conceptualisation économique dans la méthodologie de Max Weber

Aubry, Philip-Emmanuel 04 1900 (has links)
No description available.
685

Sur la réappropriation hégélienne du scepticisme dans les oeuvres de Iéna (1801-1807) : le laboratoire de Hegel

Farina-Schroll, Andreas 07 1900 (has links)
No description available.
686

Les relations monétaires franco-allemandes et l’UEM (1969-1992) : des ambitions aux réalités

Coën, Alain 12 1900 (has links)
En 1969, dans une Communauté économique européenne (CEE) aux fondements déjà bien établis, et sous l’égide d’un néogaullisme assumé par la présidence de Georges Pompidou, l’Allemagne devient le modèle d’une France en quête de politique industrielle qui lui permettrait d’affirmer son rang sur l’échiquier international. Depuis le milieu des années 1960, le système monétaire international est fragilisé par l’endettement considérable des États-Unis. La France veut être à l’initiative d’une relance de l’Union économique et monétaire (UEM). Cette décision politique doit lui permettre d’adapter son économie et son industrie à l’instabilité grandissante du Système monétaire international. Comme le rappelait Jacques Rueff, « L’Europe se fera par la monnaie ou ne se fera pas ». L’action de l’économie française durant cette période qui court de la relance de l’Union économique et monétaire (décembre 1969) à la rédaction du Traité de Maastricht (février 1992), jalonnée par la mise en place du Système monétaire européen (SME : janvier 1979) et de l’Acte unique (janvier 1986), repose sur une volonté politique primordiale au service des relations avec la RFA, puis de l’Allemagne réunifiée. Les relations monétaires franco-allemandes ont pour but de promouvoir une Europe forte, maîtresse de son destin, et, d’une certaine façon, de revenir à une stabilité des changes. Le mythe de la stabilité de « l’étalon-or » a des acceptations différentes des deux côtés du Rhin. Si des études historiques récentes ont été consacrées partiellement aux conséquences de l’évolution des politiques monétaires européennes (et surtout françaises) sur l’intégration économique et monétaire dans la CEE, elles demeurent souvent centrées sur le septennat de VGE ou le début du premier mandat de François Mitterrand. La genèse de l’UEM est un processus dynamique long qui court de décembre 1969 à février 1992. En fait, les relations monétaires franco-allemandes englobent deux niveaux de décisions et d’applications. En premier lieu, sont à mentionner, les plus hautes instances politiques (présidence, chancellerie et ministères, mais aussi Commission européenne). En second lieu, interviennent les banques centrales dont le rôle quant à la mise en place et l’application des politiques monétaires est primordial. Cette dichotomie illustre l’avènement progressif du primat de l’économie sur la politique, perçu et analysé différemment en France et en Allemagne. Les attentes et les objectifs politiques et économiques divergent. Nous montrons dans cette étude que le processus d’UEM apparaît souvent comme un engrenage économique, où la politique cède le pas à l’économie. Les relations monétaires apparaissent asymétriques. Le pouvoir politique français a comme véritable interlocuteur le pouvoir économique allemand, représenté par la Bundesbank. Le « couple » franco-allemand est un mythe politique, français, que brise la libéralisation économique mondiale. L’UEM est, pour l’Allemagne, un moyen d’établir une Allemagne européenne au sein d’une Europe fédérale. En France, elle apparaît pour les gouvernements néo-gaullistes et libéraux comme un moyen de compenser une grandeur blessée, alors que les gouvernements socialistes donnent l’impression de l’utiliser pour compenser une idéologie en déroute. L’UEM parvient à la stabilité monétaire, mais en refusant l’Union politique européenne, proposée par l’Allemagne, la France laisse s’éloigner le rêve d’une Europe puissance et établit les bases une Europe allemande. / In 1969, in a well-established European Economic Community (EEC) under the neo-Gaullist presidency of Georges Pompidou, Germany stood as a model for France, looking for an effective industrial policy and a recovery of its rank on the international scene. Since the mid 1960s the international monetary system had been weakened by the growing US debt. France wanted to be the leader of the economic and monetary union (EMU). This political decision was a means to improve its economy confronted with the instability of the international monetary system. As pointed out by Jacques Rueff, « L’Europe se fera par la monnaie ou ne se fera pas. » During this period, from the relaunch of the EMU (December 1969) to the Maastricht Treaty (February 1992), French economic action was based on a strong political will defined to reinforce the relationships with the Federal German Republic, and then the reunified Germany. The Franco-German monetary relationships aimed to promote a strong and independent Europe and to restore an exchange rate stability. The “golden standard” stability myth was viewed and understood differently in France and Germany. If recent historical studies have been partially devoted to the consequences of European monetary policies (essentially in France) on economic and monetary integration in the EEC, they focused on the 1974-1981 or 1981-1986 periods. The creation of the EMU was a dynamic process running from December 1969 to February 1992. Franco-German monetary relationships included two levels of decision-making. First, on the political level, there was the presidency, the chancellery, the European Commission and the ministers. Second, its counterpart, economic power. The latter requires analysis of the role played by central banks in the definition and application of monetary policies. This dichotomy illustrates the progressive transition between the political level and the economic level during the 1980s. The decline of politics and the primacy of economics were analyzed differently in France and Germany. Political and economic objectives and expectations were contrasted and divergent. This study demonstrates that the EMU dynamic was an economic process where politics gave way to economics. Monetary relations were asymmetric. The real interlocutor of French political authorities was German economic power, represented by the Bundesbank. The Franco-German tandem was a political myth broken by world economy liberalization. For Germany, the EMU was a device to define a European Germany in a federal Europe. In France, it represented an illusory means to restore French primacy for conservative and liberal governments and a way of compensating a failing ideology for socialist governments. The EMU provided monetary stability, but the dream of a powerful and independent Europe vanished with the Maastricht treaty. Even as it rejected the idea of European political union defended by the German diplomacy, France paradoxically laid the foundations of a German Europe.
687

Von Angsthasen, Wackelohren und anderen Gestalten. Ostalgie im Bücherregal? : Kinderliteratur der DDR aus aktueller Perspektive

Lembke, Jasmin 04 1900 (has links)
Le mémoire de maîtrise présentée a comme but de faire ressortir la relation entre des rééditions des livres d’images de la République démocratique allemande (Bode 2002, Richter 2016) et l’ostalgie (Ahbe 2001/ 2013/2017/2018, Boyer 2006, Haage 2013), un phénomène de nostalgie de la RDA. À partir de la série Kindergeschichten der DDR (Beltz/KinderbuchVerlag; depuis 2009), une analyse paratextuelle (Genette 2001) a été effectuée. Les observations faites nous ont permis de distinguer les groupes commémoratifs affectés, de déterminer de quelle façon les réimpressions font référence à la mémoire collective de l’Allemagne de l’Est et de montrer de quelle manière cette mémoire influence les réimpressions. Avec cette contribution, l’auteure espère enrichir le domaine de recherche de la littérature enfantine germanophone. / This Master thesis explores the relationship between the reeditions of picture books from the German Democratic Republic (Bode 2002, Richter 2016) and “Ostalgie” (Ahbe 2001/ 2013/2017/2018; Boyer 2006; Haage 2013), a unique and continually evolving brand of collective memory specific to the GDR. Analyzing the paratexts (Genette 2001) of the series Kindergeschichten der DDR (Beltz/KinderbuchVerlag; since 2009), we could distinguish the affected commemorative groups, determine in which way the reeditions refer to the collective memory of East Germany, and show in which way this memory influences the reeditions. With this contribution, the author hopes to enhance the field of research on German children’s literature. / Das Ziel der vorliegenden Masterarbeit war es, den Zusammenhang zwischen Neuauflagen ehemaliger DDR-Bilderbücher (Bode 2002, Richter 2016) und Ostalgie (Ahbe 2001/2013/2017/2018, Boyer 2006, Haage 2013), als Phänomen einer spezifischen ostdeutschen Erinnerungskultur, herauszuarbeiten. Von besonderem Interesse war, wie Neuauflagen von DDR-Kinderbüchern an der (Re)Konstruktion von DDRErinnerung beteiligt sind und an welchen Stellen dies explizit als auch implizit deutlich wird. Anhand einer paratextuellen Analyse (Genette 2001) der Reihe Kindergeschichten der DDR (Beltz/KinderbuchVerlag: seit 2009) wurde nachgezeichnet, auf welche Weise und bei welchen Gruppen die Bilderbücher Erinnerungen auslösen (können) und wie diese Erinnerungen wiederum auf die aktuellen Wiederauflagen zurückwirken bzw. diese steuern. Die Autorin erhofft sich mit diesem Beitrag das Forschungsfeld der deutschsprachigen Kinderliteratur zu bereichern.
688

Im Spiegel der Parteipresse : la perception de la dénazification par les partis politiques sarrois : 1946-1947

Cormier, Yannick 12 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2007-2008. / Aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, la Sarre, convoitée pour ses ressources par l'occupant français, allait subir une denazification différente des autres Lânder allemands occupés par la France : une participation des nouveaux partis politiques à « l'épuration » des anciens membres du parti nazi et d'individus compromis allait être allouée par les occupants, limitant le rôle du gouvernement militaire français à une fonction de contrôle indirect de la denazification. Quatre formations politiques sarroises allaient ainsi émerger à partir de 1946 et publier des prises de positions sur la denazification. Les ratés de cette politique allaient ainsi être vivement commentées au cours des années 1946-1947 par les journaux de ces partis. Face au développement du mécontentement collectif de l'opinion, les partis allaient graduellement développer une distanciation rhétorique face au sens et à la nécessité d'une denazification en Sarre, de même que sur la culpabilité de la jeunesse et des membres nominaux {Mitlàufer) du NSDAP face à la criminalité nazie.
689

Kant, Fichte, Schelling: essai sur la nature du mal

Dispersyn, Eléonore 13 November 2006 (has links)
Progression d'un concept, le mal radical, dans trois textes :La Religion dans les limites de la simple raison (Kant), Le système de l'Ethique (Fichte), et Le Traité de 1809 (Schelling). Origine ultime du mal :libre arbitre ou détermination ?Responsabilité et liberté du mal. Mal moral et métaphysique du mal/ Advance of a concept: radical evil, in three readings: Religion within the Limits of Mere Reason (Kant), System of Ethics (Fichte), and Treatise of 1809 (Schelling).Ultimate origin of evil: free will or determination? Responsibility and freedom to evil. Moral evil and metaphysics of evil. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
690

Occupations et logiques policières: la police communale de Bruxelles pendant les première et deuxième guerres mondiales, 1914-1918 et 1940-1944

Majerus, Benoît 08 December 2004 (has links)
En tant que pays occupé pendant les deux conflits mondiaux, la Belgique s’avère être un laboratoire pour étudier le phénomène des occupations pendant le XXe siècle. Pour la bureaucratie étatique, ces occupations posent la question de leur positionnement face à une dissociation entre Etat et Nation. La comparaison diachronique de la police communale de Bruxelles – à travers l’angle organisationnel et à travers sa pratique dans l’espace social – a permis de dégager plusieurs thèses. <p>Le développement des appareils administratifs a pris de telles dimensions dans le XIXe siècle que l’occupant est obligé de trouver un modus vivendi avec les institutions existant sur les territoires occupés, lui-même étant incapable de gérer seul les pays sous son contrôle. Cette constellation donne une marge de manœuvres importante à la police locale, l’institution qui fait l’objet de notre étude.<p>Pendant les deux guerres, la police est soumise à un processus de réformes visant à améliorer son fonctionnement :centralisation du commandement, spécialisation d’unités, élargissement géographie des compétences d’intervention… Ces changements s’inspirent d’une part d’idées ambiantes en Belgique et d’autre part de projets réalisés en Allemagne dans les deux périodes procédant la guerre.<p>L’intégration de l’appareil policier communal à l’intérieur d’un régime d’occupation est facilitée par le professionnalisme de celui-ci qui contraste fortement avec la pratique des polices auxiliaires pour lesquelles l’ordre patriotique et/ou idéologique peut prendre le dessus sur le ‘maintien d’ordre classique’. Cette prédominance professionnalisante explique la continuité du fonctionnement de l’institution qui poursuit ses tâches entre 1914-1918 et 1940-1944.<p>En m’inspirant des travaux de l’historien allemand Alf Lüdtke et du sociologues français Dominique Montjardet, j’ai essayé de questionner trois postulats sous-jacents dans l’historiographie :<p>-\ / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.0455 seconds