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Éloge et critique de l’empereur chez Ambroise de Milan et Symmaque : au confluent de deux conceptions idéologiques du pouvoir impérial romain

Gamache, Valérie 05 1900 (has links)
L’expression idéologique du pouvoir impérial romain au IVe siècle apr. J.-C. fut profondément marquée par les contextes religieux, culturel et littéraire dans lesquels elle s’inséra et dans lesquels coexistèrent deux religions et donc deux systèmes différents de pensée et de représentation du monde, soit le paganisme, religion traditionnelle de l’État romain, et le christianisme, religion émergente qui s’imposa de plus en plus dans l’Empire, notamment à partir du règne de Constantin. Cette trame de fond, loin de signifier à cette époque la fin totale du paganisme – comme il a longtemps été admis – au profit de la religion chrétienne qui entretint, grâce au support impérial, une relation nouvelle avec le pouvoir politique, modela de nouveaux critères d’exercice du pouvoir et des conceptions de l’idéal impérial qui s’exprimèrent dans les discours d’éloge destinés à l’empereur. Miroir du prince et moyen de communication entre ce dernier et l’élite, les éloges d’Ambroise de Milan et de Symmaque s’insérèrent dans le débat politique de leur temps en élaborant un archétype de l’empereur et en déterminant ses devoirs. Pour mesurer toute l’ampleur de la symbolique véhiculée dans de tels discours, il importe, pour le IVe siècle, de considérer la mentalité des auteurs, chrétiens et païens, d’où émanaient les éloges – ou encore les critiques – de la personne impériale. Ce mémoire propose ainsi d’analyser l’idéologie du pouvoir impérial selon les discours chrétien et païen, à travers les éloges d’Ambroise et de Symmaque, afin de relever les points de rencontre, d’influence ou de divergence entre ces représentations du monde et, plus spécifiquement, du pouvoir impérial, qui ont longtemps été considérées comme totalement opposées et incompatibles. / The ideological expression of Roman Imperial power in the fourth century AD was profoundly marked by the religious, cultural and literary contexts of which it was a part, and within which two religions, and thus two different systems of thought and of representation of the world, co-existed: paganism, the traditional cult of the Roman state, and Christianity, increasingly ascendant throughout the Empire beginning notably during the reign of Constantine. Contrary to the long-held view, this framework, far from signifying a complete end to paganism to the benefit of the Christian religion (which, with Imperial support, engaged in a new relationship with political power), in fact conditioned new criteria for the exercise of power and for the conceptions of the Imperial ideal expressed in the panegyric discourse directed at the Emperor. As mirrors of the prince and means of communication between him and the elite, the encomia of Ambrose and Symmachus became part of the political debate of their time, constructing an archetype of the Emperor and determining his duties. To gauge the full scope of the symbolism conveyed by such discourse, it is important, with regard to the fourth century AD, to consider the mentalities of the authors, both Christian and pagan, who praised—as well as criticized—the Imperial person. In analyzing the ideology of Imperial power according to the Christian and pagan discourses through the encomia of Ambrose and Symmachus, the author seeks to discern points of contact, influence or divergence between these representations of the world—and, more specifically, of Imperial power—which have long been viewed as entirely antithetical and incompatible.
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An Analysis of the Representation of Queen Elizabeth I of England in the Operas by Rossini, Donizetti, and Thomas in the Context of Nineteenth-Century Vocal Style and Historical Influence

Hsiao, Han 08 1900 (has links)
The purpose of this research is to analyze representations of Queen Elizabeth I of England in nineteenth-century Franco-Italian opera, and the relationship of these representations to contemporaneous singing style and the historical background. The basis for this analysis is three arias: "Quant'é grato all'alma mia" from Elisabetta, regina d'Inghilterra (1815) by Gioachino Rossini (1792-1868), "Sì, vuol di Francia il rege...Ah! quando all'ara scorgemi...Ah! dal ciel discenda un raggio" from Maria Stuarda (1835) by Gaetano Donizetti (1797-1848), and "Malgré l'éclat qui m'environne" from Le songe d'une nuit d'été (1850) by Ambroise Thomas (1811-1896). This research is divided into two main sections: the historical background of Italy and France in the nineteenth century, especially in the contemporaneous vocal style and fashions of literature; and a discussion of the composers' musical and dramatic choices for Queen Elizabeth I in the three selected arias. Chapter 2 is a brief introduction to the early nineteenth-century Franco-Italian historical background, vocal style, and popular literature. Chapter 3 presents an analysis of the three arias. The last chapter summarizes the representations of Elizabeth I in nineteenth-century politics, literature, and vocal style.
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Ambroise de Milan, De fuga saeculi : introduction, texte critique, traduction et commentaire / Ambrose of Milan, De fuga saeculi : introduction, edited text, translation and commentary

Gerzaguet, Camille 30 November 2012 (has links)
Cette nouvelle édition critique du De fuga saeculi d’Ambroise de Milan repose sur la collation de nouveaux témoins manuscrits et sur la révision de ceux utilisés par C. Schenkl, dont les valeurs respectives sont évaluées à l’aide d’un stemma absent de son édition de 1897. Le texte ainsi édité est assorti d’une traduction originale en langue française. Le De fuga saeculi, œuvre spirituelle et morale publiée par Ambroise avec trois autres textes au sujet proche, est replacé dans le contexte milanais de la fin du IVe siècle : mutations des modes de vie chrétiens, intérêt pour la vie monastique, concurrence avec les partisans du néoplatonisme et devoir pastoral de guider et former la communauté d’une capitale impériale. L’enquête sur les sources révèle que le De fuga saeculi est à la fois l’héritier des traditions philosophiques platoniciennes et stoïciennes relues au prisme de la pensée de Philon d’Alexandrie, et le promoteur d’une fuite du monde spécifiquement chrétienne inspirée d’épisodes et de préceptes de l’Ancien et du Nouveau Testament. Le commentaire éclaire les enchaînements d’une pensée kaléidoscopique, mettant en évidence les thèmes principaux, leurs reprises et leurs variations. Est ainsi soulignée l’originalité ambrosienne de la fuga saeculi sur un sujet d’actualité à la fin du IVe siècle et au début du Ve siècle : une fuite intra-mondaine qui est différente de celle encouragée par ses contemporains, Jérôme, Paulin de Nole et Augustin. / This new critical edition of De fuga saeculi by Ambrose of Milan is based on the collation of new witness manuscripts and the revision of those used by C. Schenkl (their respective worth was examined thanks to a missing stemma in the 1897 edition). The edition is accompanied by an original French translation. A spiritual and moral work published by Ambrose along with three other texts on a similar topic, De fuga saeculi is placed in its Milanese context of the end of the 4th century : transformations in Christian ways of living, an interest in monastic life, competition with advocates of Neo-Platonism and a pastoral duty to guide and train the community of an imperial capital. An enquiry into the sources reveals that De fuga saeculi both inherits the Neo-Platonician and Stoic philosophical traditions – reinterpreted through the thought of Philo of Alexandria –, and advocates a specifically Christian escape out of the world, inspired by events and precepts from the Old and New Testaments. The commentary displays the sequences of a kaleidoscopic thought and highlights its majors themes, re-uses and variations. Inner-wordly escape is a topical issue of the late 4th and early 5th centuries, but Ambrose’s conception expressed in De fuga saeculy is original given that it differs from those of contemporary writers such as Jerome, Paulinus of Nola and Augustine.
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Le modèle de la vierge consacrée au VIe siècle : l’exemple du De consolatoria castitatis laude d’Avit de Vienne

Domingos Pimentel, Caroline 05 1900 (has links)
Au VIe siècle, dans le royaume des Burgondes, Avit de Vienne compose une lettre pour sa sœur, la moniale Fuscine. Cette œuvre consolatoire et élogieuse se nomme De consolatoria castitatis laude. Ce texte permet de comprendre la situation particulière dont bénéficie la virgo dans la société chrétienne tardo-antique. Au niveau de son contenu, l’objectif de ce livre sert à montrer à la monacha que le choix virginal représente une forme d’échappatoire et de liberté. Il s’agit d’une réalité que ne connaît pas l’épouse. Les devoirs du mariage, les dangers de la maternité, les tracas du siècle, le veuvage, le deuil, tout cela est inconnu à la vierge parce qu’elle s’écarte des obligations terrestres. L’utilisation de la Bible et de plusieurs références patristiques constituent l’héritage des mentalités religieuses dont s’inspire Avit dans la construction d’un discours orienté sur la distinction socioreligieuse de la virgo. / In the 6th century, in the kingdom of the Burgundians, Avitus of Vienne composes a letter for his sister, the nun Fuscina. This consoling and eulogistic artwork is called De consolatoria castitatis laude. This text generates in us an understanding of the particular context of the virgo in the Christian society of Late Antiquity. Regarding the text, the purpose of the book is to show to the monacha that the virginal choice represents a way of escape and freedom, a reality that the spouse is unaware of. The duties of marriage, the dangers of motherhood, the troubles of the century, the widowhood and the mourning are all unknown to the virgin because she excludes herself to worldly obligations. The use of the Bible and several patristic references shape the legacy of religious mentalities which inspires Avitus in making an oriented speech on the virgo’s socio-religious distinctness.
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La règle d'Augustin : parole rassemblante? (354-397)

Laberge, Jean 28 January 2022 (has links)
Bien des études ont été faites sur Augustin et pour cause. La vie et l'œuvre de ce grand et saint Père de l'Église est si riche et si dense qu'il est encore possible aujourd'hui d'étudier chez celui-ci des aspects nouveaux. Nous connaissions Augustin comme un homme qui avait à plusieurs reprises contribué à la résolution de crises secouant l'Église. Ses interventions dans les crise arienne, pélagienne et donatiste ont été très bien étudiées quantitativement et qualitativement. Mais curieusement les experts ont peu étudié la première intervention majeure d'Augustin dans la période critique qu'a vécue le monachisme en Occident dans la seconde moitié du IVe siècle. Beaucoup étudiée dans son contenu, la Règle de saint Augustin n'a pas bénéficié de la même attention quant au contexte historique qui l'a vu naître et quant à ce qu'elle peut nous apprendre sur l'homme qui en est l'auteur. Cette «heureuse» carence nous a motivé à y remédier en rappelant l'histoire qui a conduit Augustin à écrire cette Regulce. Il fallait donc raconter, en sélectionnant les événements-repères de la deuxième moitié du IVe siècle (356-397), l'évolution critique du monachisme occidental, de même que l'histoire propre d'Augustin de sa naissance (354) à la rédaction de sa Règle (397). Comme nous partagions la thèse voulant que la Règle soit bien d'Augustin et sa date de publication aux alentours de 397, nous nous sommes interrogés sur la nature de cette intervention augustinienne. En d'autres mots, comment peut-on qualifier cette œuvre majeure d'Augustin au terme d'une étude du contexte particulier et général qui l'a vu naître? Pourrait-on parler d'une parole rassemblante? Par l'étude du contexte historique de la Règle, de manière à montrer les influences qui ont abouti à sa rédaction, et par l'analyse de passages de la Règle, la réponse à cette question est positive. C'est ce que s'attachera à démontrer la conclusion finale.

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