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Création photographique publicitaire et industrie. Le cas des Editions Paul-Martial / Advertising photographic creation and industry. The case of the Editions Paul-MartialCallens, Anne-Céline 06 September 2016 (has links)
Durant la période de prospérité des années 1920, avec l’accroissement de la consommation résultant de la seconde révolution industrielle, de nouvelles stratégies commerciales se mettent en place. Alors que la publicité moderne en est à ses premiers balbutiements, les Éditions Paul-Martial — qui sont créées à Paris en 1926 — deviennent, grâce à leur fondateur Paul Martial Haeffelin, une des entreprises les plus novatrices dans le domaine. Elles proposent plusieurs types de prestations : la conception de lignes graphiques, de logotypes, d’affiches, d’annonces, d’encarts qui sont publiés dans les magazines, l’édition de brochures, catalogues et ouvrages publicitaires, ou encore la conception de stands d’exposition. L’entreprise se spécialise dans le domaine industriel. Elle est dotée d’un atelier de graphisme et de typographie, d’une imprimerie et d’un studio photographique. Entre 1929 et 1960, de nombreux reportages extérieurs sont également réalisés sur l’ensemble du territoire français à la demande de grandes sociétés comme la Compagnie des Forges et Aciéries de la Marine et d'Homécourt, les Établissements Arbel, la Société des aéroplanes Henry Potez, la SNCF, Schneider & Cie, Moët & Chandon ou encore l’OTUA. Les archives du studio photographique de l’entreprise sont aujourd’hui réparties dans quatre grandes collections : celle du musée d’art moderne et contemporain de Saint Étienne Métropole, celle du département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France, celle du Kunstmuseum de Bâle et celle du collectionneur Marc Pagneux. Elles permettent de constater que l’entreprise a œuvré à la promotion de l’industrie durant plus de trente ans en développant une esthétique photographique propre à l’époque, faisant preuve de nombreuses affinités avec l’avant-garde artistique. / During the prosperity period of the 1920’s, new commercial strategies are implemented since the consumers society expands as the result of the second industrial revolution. At the beginnings of modern advertising, the Éditions Paul-Martial — created in Paris in 1926 — became, thanks to their founder Paul-Martial Haeffelin, one of the most innovative compagny in this field.Specialized in the field of the industry, the Éditions Paul-Martial offer several kinds of services : the design of graphical lines, logos, posters, advertisements, inserts that are published in magazines, the edition of brochures, catalogs and advertising works, or the design of exhibition stands. The compagny is equipped with a workshop of graphic design and typography, a printing press and a photographic studio. From 1929 to 1960, many external reports were also made on the whole French territory at the request of large companies such as the Compagnie des Forges et Aciéries de la Marine et d'Homécourt, the Établissements Arbel, the Société des aéroplanes Henry Potez, the SNCF, Schneider & Cie, Moët & Chandon or the OTUA.Today, the archives of the company’s photographic studio are mainly divided into four large collections: that of the musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole, of the departement des estampes et de la photographie of the Bibliothèque nationale de France, of the Kunstmuseum Basel and that of the Marc Pagneux collection. Their study allows to note that the Paul Martial editions have worked for the promotion of industry for over thirty years. During the years between the two world wars, the photographers of the company have developed an aesthetic which is characteristic of this period, having many affinities with the avant-garde art movement.
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Les droits des coauteurs / The rights of co-authorsCirino, Alizée 21 December 2017 (has links)
La thèse porte sur la propriété des oeuvres plurales, et plus précisément sur les droits des coauteurs d’une même oeuvre. La co-activité a, en effet, pour résultat de partager les droits moraux et patrimoniaux que la loi confère au créateur sur son oeuvre. L’exercice de ces droits varie dans le temps et dans l’espace. L’objet de ce travail est, par conséquent, d’étudier comment les droits qui naissent de la propriété littéraire et artistique se répartissent entre coauteurs, à la fois dans leurs rapports et dans ceux qu’ils peuvent nouer avec des tiers. Elle s’inscrit dans une perspective qui n’est pas spécifiquement nationale, mais qui fait aussi la place à l’histoire et au droit comparé. Cette thèse a pour objet l’étude des droits des coauteurs en matière de propriété intellectuelle. Elle a plus précisément trait à la répartition de ces droits entre coauteurs, et entre coauteurs et tiers / The thesis focuses on the ownership of plural works, and more specifically on the rights of co-authors of the same work. The co-activity results in sharing the moral and patrimonial rights that the law confers on the creator over his work. The exercise of these rights varies in time and space. The purpose of this work is, therefore, to study how the rights arising from literary and artistic property are distributed among co-authors, both in their relations and in those they can establish with third parties. It is part of a perspective that is not specifically national but that also makes room for history and comparative law. This thesis aims to study the rights of co-authors in regard to intellectual property. It relates more specifically to the distribution of these rights between co-authors, and between co-authors and third parties
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Le spectacle du sexe : l’évolution de la consommation du film pornographique des années 1990 à nos jours et ses enjeux esthétiques et sociaux / The sex show : the evolution of pornographic film consumption from the 1990s to the present day, and its aesthetic and social challengesRenaud, Lionel 05 July 2019 (has links)
Cette thèse est une étude de la consommation des films pornographiques de 1990 à nos jours, et de la manière dont elle a pu affecter la sensibilité générale des spectateurs et celle de certains artistes du cinéma ordinaire fascinés par le spectacle du sexe. L’augmentation exponentielle du nombre de films pornographiques accessibles au public (de la production professionnelle de longs métrages à la fabrication amateure de courtes séquences) et la généralisation de leur consommation via notamment les nouvelles technologies, obéissent cependant à des règles précises (partie 1). En passant de la salle de cinéma au salon, la charge subversive et choquante du film pornographique s’est transformée sans s’atténuer. La visibilité de la consommation du film pornographique s’accompagne de l’invisibilité publique du spectacle du sexe. Ce dernier est devenu majoritairement une affaire privée. Elle prend au sérieux la capacité d’action du film sur le spectateur et la nécessité pour ce dernier, étant donné son caractère dérangeant et le plaisir coupable qu’il induit, de le maîtriser, de l’apprivoiser, de le domestiquer. Le souci de soi du pornophile explique à la fois le déplacement du point de vue du législateur et de celui des éducateurs, de la censure du « film X » à la nécessaire protection du mineur (partie 3), et la prise en compte par les artistes du cinéma classique des jeux du sexe dans les jeux de l’art (partie 2). Plus généralement, l’étude interroge la transformation de la sensibilité des spectateurs, qu’ils soient amateurs du genre, indifférents ou opposés à ce dernier. Le constat d’une normalisation du film pornographique ne s’entend pas comme une banalisation morale du « film X » mais comme un déplacement du regard porté sur le spectacle du sexe et sur ses usages. Le transfert de culpabilité du regard public à la conscience de soi est neutralisé par la domestication du film pornographique. Elle permet aux amateurs du genre de passer de l’excitation sexuelle mécanique à la maîtrise des jeux du corps et des techniques du plaisir sexuel (partie 3). / This thesis focuses on pornographic films’ consumption from 1990s to the present day, and how it may have affected viewers general sensitivity and impacted ordinary film artists fascination for sex show. The exponential increase in the number of accessible pornographic films to the public (including professional production of feature films and amateur production of short sequences) and the generalisation of their consumption via new technologies in particular, which nonetheless, comply with precise rules (part 1). As we moved from cinema viewing to the living room one, the subversive and shocking charge of pornographic film transformed itself without diminishing. The visibility of pornographic films consumption is parallelly accompanied by sex show public invisibility. Indeed, sex spectacle has mainly become a private matter. It takes seriously the film's ability to act on the viewer and the need for the latter, given its disturbing nature and the guilty pleasure it induces, to control, tame and domesticate it. Society adaptation to sex spectators self-respect got materialised through legislation and education adaptation, which includes a reconsideration and massive shift in “"X films" censorship and new awareness toward minors protection (part 3), and the consideration by classical film artists of sex games in art games (part 2). More generally, the study questions the transformation of spectators' sensitivity, whether they are amateurs of the genre, indifferent or opposed to it. The observation of a normalization of pornographic film is not understood as a moral trivialization of "film X" but as a shift in the focus on the spectacle of sex and its uses. Guilt transfer from public gaze to self-awareness is hence, neutralized by the domestication of pornographic film. It allows lovers of the genre to move from mechanical sexual excitement to mastering body games and sexual pleasure techniques (part 3).
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Arts du Cirque et remaniements psychiques : la piste comme Surmoi d'emprunt, ou le cirque comme pré-texte / Circus arts and psychological reorganisations : the ring as a borrowed superego, or the circus as a pretextBraun, Sandra 17 September 2016 (has links)
Dans les champs de la médiation artistique, la psychanalyse s'est peu intéressée au cirque comme médium thérapeutique. Le travail proposé ici en tente une articulation. La thèse avancée montre que la pratique du cirque peut être vecteur de remaniements psychiques, dans un dispositif sensible aux enjeux transférentiels.À partir des particularités du cirque, j'avance quelques spécificités psychiques pouvant se jouer dans cet espace, thérapeutique de surcroît.Le cirque apparait comme un espace subversif, hétérotopique (Foucault), où les équilibres sont rendus instables. Ce déséquilibre, inhérent au cirque, pourrait aussi concerner les instances psychiques : j'en viens ainsi à proposer la piste comme un surmoi d'emprunt. Un surmoi clément, comme celui décrit par Freud dans L'humour (1927), autorisant à expérimenter le monde comme un jeu d'enfant. Un surmoi réconciliateur avec le moi, permettant quelques mobilités, dans cet espace sensoriel. Car la piste, dans son étymologie, est le lieu de la trace. Surface marquée, elle permet l'empreinte, en s'approchant du sensoriel comme première matrice, par le corps éprouvé. Elle réactualise quelques échos originaires, que je propose de décrire, du côté du sentir, du regard, et de la contenance rendue possible.Le cirque est aussi l'espace du Réel, réanimé par la vivance de la part animale. En ce sens, il permet un espace de silence nécessaire à l'articulation du langage. Il est pré-texte, pré-verbal indispensable, et fait résonner un peu d'inquiétante-familiarité. La piste de cirque apparait alors comme un espace où l'imprévisible peut émerger, où une sortie de la stase est possible, pour qu'une dynamique subjective prenne forme. / In the fields of artistic mediation, psychoanalysis has very rarely focused on the circus as a therapeutic medium. The hereby approach attempts to articulate this connection. The proposed thesis shows that the practice of circus arts can be a conveyor of psychological reorganizations, within a sensitive transferential framework.From the perspective of the distinctive features of circus arts, I bring forward psychological specificities that play a role in this therapeutic space.The circus appears as a subversive heterotopic space (Foucault), where balances are rendered unstable. This imbalance, which is inherent to circus arts, could also be a concern for psychological authorities. The circus ring could be considered as a borrowed superego. A clement superego, similar to the one described by Freud in Humour (1927), allowing to experience the world as a child's play. A superego that reconciles with the self, allowing movement in the sensory space. Etymologically, the ring is the place of trace, a marked surface, that aliows the notion of footprint, by approaching the sensory dimension as the initial matrix, through the experienced body. Thus, it generates the update of several native echoes that I describe from the perspective of feeling, sight and composure.The circus is also a real space, reanimated by the experience of animal nature. In this respect, it allows a space of silence, necessary to the articulation of language. It is an unavoidable pretext and pre-verb that resonates a somewhat worrying familiarity. The circus ring thus appears, where the unpredictable can emerge, and where an exit from the stasis is possible, so that a subjective dynamism takes shape
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Chercher l'ailleurs : ce lointain si procheBelhumeur, Virginie 12 April 2018 (has links)
Ce mémoire témoigne du désir de « raconter » une expérience des sens et du parcours par un processus photographique narratif. Il fait état de ma recherche-création sur \ Ailleurs, sur le langage du paysage et du temps, sur l'élaboration et la compréhension des mouvements de la mémoire et de l'acte de captation photographique. Les photographies créées pour Ce lointain si proche prennent leur source dans les mondes de l'enfance, dévoilant la richesse et la portée des souvenirs s'y rattachant. Il y est aussi question du processus de déplacements géographiques et de parcours littéraires nécessaires au processus initial de création de l'image. L'imaginaire est ainsi appréhendé comme métaphore du déplacement.
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EntropiesBrousseau, Mireille 13 April 2018 (has links)
Le cinéma a, dès ses débuts, suscité une fascination chez la plupart des gens. Très tôt, dans l'histoire cinématographique, les profanes se sont appropriés ses équipements et sa technique pour réaliser des films "amateurs", pour conserver des souvenirs de famille. Depuis les toutes premières pellicules 8mm et 16mm, les scènes sont invariablement les mêmes; des scènes somme toute banales. Le prélèvement d'un premier photogramme, tiré d'un film d'archives familiales trouvées au fond d'un placard, a conduit à son dépouillement et au désir d'y découvrir les évènements impromptus : observant, scrutant les images une à une, rêvant d'être émue à nouveau. Le fragment, le temps, la matière entrent ici en action et sont des composantes actives de ma démarche artistique. Les photographies présentées sont le résultat de cette réappropriation, basée sur la matérialité de la pellicule, sur son histoire. Les fragments - photogrammes - sélectionnés sont isolés et détachés de leur contexte. Ils ne disent plus le film, mais autre chose : ils disent le temps. Ils sont devenus non plus des citations, mais des palimpsestes sur lesquels l'image d'origine, l'image primitive est conservée et devient canevas. Leur extraction, présente le dedans du fragment où j'ai mis en scène l'accumulation d'empreintes, de marques de temps jusqu'à celles provoquées par le tirage final.
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La fiction dans l'ordinaire de l'hommeGilbert, Marie-Andrée 12 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / Ce texte est l'accompagnement théorique de l'installation La porte de Verre, présentée au LANTISS à l'automne 2006. Sans prétention, j'y traite de la photographie par le biais de ma démarche sur l'habitat intime et le quotidien dans son rapport à l'homme. Explorant le passage entre l'ordinaire et la fiction, entre le dedans et le dehors; j'aborde l'image photographique comme une vision magnifiée du réel et comme un lieu potentiellement habitable.
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Ambulator nascitur non fit = : On naît marcheur, on ne le devient pas / On naît marcheur, on ne le devient pasClermont, Isabelle 16 April 2018 (has links)
Mon projet de recherche s'est articulé autour de l'expérience de la marche comme état d'être et de la motricité du corps en lien avec l'activité physique. Je donne un caractère artistique à la marche par l'intermédiaire de la photographie, du dessin, de l'univers vidéographique et sonore. J'évoque les sensations que génère la relation entre la psyché et la corporalité dans l'acte de marcher par une poésie d'images en mouvements. Le mémoire est rédigé en trois chapitres chacun d'eux faisant référence à une étape accomplie: l'étape préparatoire, l'étape de réalisation et l'étape du retour au calme. Je suis partie le sac au dos, des ailes aux semelles, l'horizon au fond des yeux afin de marcher, dessiner et écrire pour visionner les différentes étapes d'un voyage rituel comme pourrait le faire un navigateur regardant par les hublots de son navire.
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Un autre "vrai" de la vérité : crédibilité temporelle, visuelle et émotionnelle de la photographie et de la nature tragique qui en résulteKopecki, Branka 12 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / Ce projet de recherche création implique essentiellement les arts visuels d'un point de vue interdisciplinaire (photographie, installation, peinture, sculpture) en relation avec une approche théorique spécifique qui s'alimente aux disciplines connexes (philosophie, littérature et histoire de l'art). Le noyau de cette relation complexe est l'aspect paradoxal et tragique de la photographie analogique directement liée à la nature mécanique de ce médium unique en arts visuels. En fait, c'est en développant les trois paradoxes ontologiques de la photographie (temporel, visuel et émotionnel) que cette recherche questionne l'intégralité visuelle de l'image photographique, plus précisément, la représentation dans le médium photographique, la relation entre la fiction et la réalité, et le rapport entre l'idée et le procédé technique employé dans le travail de création. Traitée à la fois par les écrits et par le biais d'une production artistique cette recherche soulève d'autres problématiques importantes pour parvenir à une conception plus juste et plus précise de la photographie en tant que médium qui cherche aujourd'hui sa nouvelle identité entre les procédés chimiques et les nouveaux procédés numériques. Concrètement, il s'agit des problématiques suivantes : la différence ontologique entre la photographie analogique et la photographie numérique, la spécificité de la photographie artistique par rapport à la photographie en général et la relation entre la photographie et les autres médiums. Ce travail vise à développer non seulement une réflexion pertinente sur le médium photographique, sur ses possibilités et ses limites, mais aussi à fermer un écart entre le discours sur l'art et le discours de l'art lui-même. Ainsi, par l'évolution visuelle d'une idée et son propos conceptuel il cherche à valoriser la théorie de la pratique et la pratique artistique elle-même comme étant les deux formes essentielles pour l'affirmation de l'art en soi, pour son émancipation totale de toutes les connaissances et de toutes les expériences qui lui sont extérieures.
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Aspects du rituel et de la violence chez les actionnistes viennoisGaucher, Karine January 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire se propose d'analyser les oeuvres des actionnistes viennois Günter Brus, Otto Mühl et Hermann Nitsch selon les aspects du rituel et de la violence. Cette recherche constitue la première étude sérieuse se penchant sur ces deux caractéristiques importantes de la pratique de ces artistes. À travers ce mémoire, nous abordons les concepts de la limite et de la transgression, du tabou, du rituel et de la violence afin d'en souligner leur manifestation à l'intérieur de leurs oeuvres ou dans leur pratique esthétique individuelle. Par l'entremise des thématiques du rituel et de la violence, nous élaborons l'hypothèse, que les actionnistes, à travers leurs actions, représentent l'ouverture du corps. Pour ce faire, nous avons basé notre travail de recherche selon les trois axes méthodologiques suivants: historiques, iconographiques et sémantiques. Nous avons découvert, ce faisant, que l'aspect du rituel et de la violence sont, dans un premier temps, liés intrinsèquement l'un à l'autre par le traitement du corps dans leur pratique respective, ensuite que leur mise en scène employant des éléments du rituel des sociétés dites «primitives» avait pour but l'exacerbation violente d'une situation prenant racine dans la société. Enfin, c'est par l'ajout, dans leur représentation du corps, des éléments empruntés aux divers rites, que la violence se manifeste dans leurs oeuvres à travers l'ouverture symbolique du corps. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Actionniste, Rituel, Violence, Transgression, Tabou.
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