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Histoire du gouren (XIXe-XXIe siècles) l'invention de la lutte bretonne /

Epron, Aurélie Robène, Luc. January 2008 (has links)
Thèse de doctorat : Sciences et techniques des activités physiques et sportives : Rennes 2 : 2008. / Diffusion partielle sans iconographie. Bibliogr. f. 488-511.
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La mort dans l'oeuvre de Yann-Ber Kalloc'h et Loeiz Herrieu : analyse de l´idée de la mort dans les poèmes de Yann-Ber Kalloc´h écrits pendant la Première Guerre mondiale et dans le récit de guerre Kammdro an Ankoù, Le Tournant de la mort, de Loeiz Herrieu / Death in Yann-Ber Kalloc'h's and Loeiz Herrieu's works : a study of the Conception of Death in the poems Yann-Ber Kalloc'h wrote during World War I and in Loeiz Herrieu's War story Kammdro an Ankoù, At the Turn of Death

Heulin, Antony 21 November 2014 (has links)
Cette thèse présente l’idée de la mort dans le récit Kammdro an Ankou - Le tournant de la mort de l’écrivain breton Loeiz Herrieu, rédigé entre août 1914 et février 1919, et les poèmes du poète breton Yann-Ber Kalloc’h issus de son recueil Ar en Deulin – A genoux, écrits en langue bretonne au début de la Première Guerre mondiale. Elle se situe dans le champ des études de civilisation. Après avoir défini et présenté l’idée de la mort et de la guerre à partir de différentes sources et références principalement littéraires, historiques et philosophiques, qui permettent de comprendre l’état d’esprit des deux hommes et de leur époque, cette thèse étudie la manière dont Loeiz Herrieu et Yann-Ber Kalloc’h ont exprimé leur idée de la mort dans leurs œuvres. Notre observation met en lumière la nature des représentations collectives qui les ont influencées, en particulier celles provenant de l’imaginaire catholique ou nationaliste, breton et français, la façon dont le contexte inédit de la Grande guerre oblige ces deux hommes à créer de nouvelles représentations au moyen d’une création littéraire qui leur permet de conserver une part de liberté individuelle et d’expression singulière, en ce moment de transition entre la société traditionnelle et la société moderne. Transition qui annonce une véritable rupture par la progression de l’individualisme parmi les hommes des sociétés européennes. Dans ce contexte, le regard porté sur les œuvres de Loeiz Herrieu et Yann-Ber Kalloc’h permet d’améliorer notre compréhension de l’esprit des Bretons du début du vingtième siècle, et des raisons qui firent accepter aux hommes bretons de partir se sacrifier au nom de la France / The present thesis focuses on the conception of death in Breton writer Loeiz Herrieu’s story Kammdro an Ankou U – At the turn of Death, drawned from August 1914 to February 1919, as well as in Breton poet Yann-Ber Kalloc'h’s poems from his anthology Ar in Deulin – On my knees, written in Breton at the beginning of World War I. It fits within the scope of civilisation studies. First and foremost, the concepts of death and war are defined and illustrated through various sources and references, which give the reader insight into both men’s and their contemporaries’ mindsets. Besides, this thesis examines how Loeiz Herrieu and Yann-Ber Kalloc’h expressed their respective conception of death in their respective works. The critical comparison thus brings to light not only the very nature of the collective representations which influenced these works – especially those originating from the Catholic or nationalist, both Breton and French, imagination – but also to what extend the unprecedented conditions induced by the Great War forced these two men to invent new representations through their creation. Consequently, they gained a certain amount of individual freedom and a voice of their own, in this crucial moment of transition between tradition and modernity in society. Such a transition introduces the complete break of the development of individualism in European societies. In this perspective, the perception of Loeiz Herrieu and Yann-Ber Kalloc’h’s works improves the current understanding of the Breton folk’s state of mind at the beginning of the 20th century and of the reasons why Breton men accepted to go and sacrifice their lives on the battlefield in the name of France
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Diwan, pédagogie et créativité : approche critique des relations entre pédagogie, créativité et revitalisation de la langue bretonne dans les écoles associatives immersives Diwan / Diwan, teaching methods and creativity : critical approach of the relationship between Creativity, Teaching Methods and Revitalisation of Breton language in Diwan immersive schools

Chauffin, Fanny 31 March 2015 (has links)
Les écoles immersives Diwan ont trente-huit ans. Elles ont d'une part, contribué à la revitalisation de la langue bretonne et d'autre part, permis un essor culturel et artistique en breton. Alors que les études précédentes analysent la chute vertigineuse du nombre de locuteurs et l'extrême fragilité de l'avenir de la langue, cette thèse montre comment la créativité des acteurs de Diwan a permis de surmonter les difficultés idéologiques et financières, et a réussi à toucher, par lamusique, l'audiovisuel, le théâtre et la littérature, un public beaucoup plus large que celui des bretonnants.Quel breton est parlé à Diwan ? Qui sont ces élèves représentant 1 % de la population scolaire bretonne, et quelles sont leurs pratiques artistiques ? Qui sont les enseignants-artistes et quelle évolution suit Diwan depuis les pionniers ? La créativité développée par les enseignants, les bénévoles, les parents d'élèves et les élèves sera-t-elle suffisante pour permettre un avenir à la langue ? En prenant appui sur les études des sociolinguistes et des psycholinguistes, sur des études menées en classe et dans le domaine extra-scolaire, mais aussi dans les écoles immersives basques Seaska et d'autres minorités linguistiques européennes, l'auteure montre que Diwan est une « machine à créer » fragile, qui ne peut continuer à se développer sans un regard critique sur elle même, une recherche pédagogique structurée et sans un soutien plus important de la société bretonne dans son ensemble. / Diwan immersive schools are thirty-eight years old. On the one hand, they have contributed to the revitalisation of the Breton language and on the other hand, served as a catalyst for cultural and artistic development in Breton. While previous studies analyse the precipitous decline in the number of speakers and the extreme fragility of the future of the language, thisthesis shows how the creativity of people associated with Diwan has overcome ideological and financial difficulties, and reaches through music , theatre and dance, a much wider audience than Breton-speakers alone.What sort of Breton is spoken at Diwan ? Who are these students who represent 1% of the Breton school population, and what are their artistic practices ? Who are the artists and teachers and what has been the evolution since the pioneers of the late 70s ? Creativity developed by teachers, volunteers, parents and students is all very well, but will it be sufficient to ensure a future for the language ? Drawing on studies by sociolinguists and Psycholinguists on numerous studies in Britain in the classroom and in extra-curricular field, but also in the Basque immersion schools Seaska , and european minority immersive schools too , the author shows that Diwan is a fragile "creativity machine" , which can not continue without a critical look at itself, a structured research, but also without more support from Breton society.
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La langue bretonne à Arradon au XXe siècle : réflexion sociolinguistique sur l'histoire du breton à travers un exemple particulier / Breton language in Arradon during the XXth century : a sociolinguistic reflection about the history of Breton through a particular example

Faby-Audic, Armelle 21 September 2013 (has links)
Arradon est une commune littorale du sud de la Bretagne, située aux portes de Vannes. Le breton a été la langue de la quasi totalité de sa population jusqu’au XXe siècle. Les témoignages recueillis auprès de quelques bretonnants locaux montrent la vitalité de sa pratique jusqu’à la seconde guerre mondiale ; récits de vie, recueil de littérature orale (contes, chansons, comptines ...) et plus rares exemples d’utilisation à l’écrit l’attestent. Dès la fin de la première guerre mondiale cependant, se produit une rupture dans la transmission de la langue. Dès lors le clivage linguistique, auparavant sociologique, devient aussi générationnel. Le breton est connoté négativement : corrélé dès le début du siècle avec la pauvreté car les élites économiques sont francophones et avec l’ignorance car le français est la seule langue admise à l’école, il semble désormais lié au passé et à une civilisation paysanne traditionnelle qui disparaît Après la seconde guerre mondiale, seules les personnes âgées parlent breton et le bond démographique de la commune à partir de 1965 accentue encore cette marginalisation. À la fin du XXe siècle, le breton suscite un regain d’intérêt mais la distance entre le parler local et la norme standard ne favorise pas le lien entre anciens et nouveaux locuteurs, entre pratique populaire souvent confinée à l’oralité et pratique scolaire influencée par l’écrit. La mise en perspective historique et la confrontation de différents regards sur cette mutation linguistique permettent d’en analyser les causes et les processus, et aussi d’étendre la réflexion à la place des langues à l’heure de la mondialisation. / Arradon is a commune on the shore of south Brittany, located close to Vannes. Breton has been the language of quite its whole population right up the 20th century. Accounts from some native Breton speakers show how lively was its practice until the 2nd world war : in the daily life, through the oral culture (tales, songs, rhymes etc.) and more rarely in written uses. However, since the end of the 1st world war a break happened in the transmission of the language. Therefore the linguistic divide which was sociological became a divide between generations. Breton language had negative connotations : at the beginning of the century, associated with powerty because economic elites were French speakers and with ignorance because French was the only language allowed at school ; later, it seemed tied up to the past and the vanishing traditional rural civilization. After the 2nd world war, only old people can speak Breton and the demographic jump of the commune since 1965 increased their different being. At the end of the XXth century, Breton is getting more consideration in the public sphere but the gap between the local dialect and the standard makes difficult the links between popular practice often enclosed to oral uses and scholar practice influenced by the written norm. Historic context and comparison of different points of view on this linguistic major change let highlight its causes and process, and also think wider about the place of languages at globalization time.
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Traductions et variabilité en langue bretonne : l’exemple des traductions bretonnes de "l’Introduction à la vie dévote" (XVIIIe – XXe) / Translations and variability in Breton language : the example of the Breton translations of the "Introduction in the devout life" (XVIIIth - XXth)

Chatelier, Antoine 23 June 2016 (has links)
Ce travail consiste en l'analyse des trois traductions en breton du texte de François de Sales publié en 1609 : L’introduction à la vie dévote. La première traduction fut l’oeuvre de Charles Le Bris au début du XVIIIème siècle durant la période dite dubreton pré-moderne. Les deux traductions suivantes furent écrites dans un breton du domaine du sud-est, le standard de Vannes, par Jean Marion à la fin du XVIIIème siècle, puis par Sylvestre Sévéno au début du XXème. L’analyse de ces textes abordera dans un premier temps les aspects traductologiques : les différents auteurs bretonnants face aux choix linguistiques qu’implique la traduction, les rapports qu’ont eus ces derniers entre eux vis-à-vis du texte source ou encore de la réception du texte. Progressivement, la morphologie et la syntaxe des traductions seront analysées pour mettre en évidence la variabilité ou bien les correspondances entre traducteurs bretonnants. / This work is an analysis of three translations in Breton of the text of François de Sales published in 1609:L’introduction à la vie dévote. The first translation was made by Charles Le Bris during the Breton's pre-modern period in the beginning of the 18th century in the north-west dialect.The two other translations both originate from the south-east of the area where Breton was spoken and written in the Vannes standard. One was written by Jean Marion in the end of the 18th century and the other by Sylvestre Sévéno in thebeginning of the 20th century. The study of those texts is, in a first section, founded on traductological purposes: how did the different authors play their roles of translators; what are the links between the different authors and the original; how did they account for the expectations of their future audience. Progressively, this analysis focuses on a syntactic and morphological approach and identifies some language variations between the authors.
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Le roman pour adolescents en langue bretonne. Thématique, traduction et stylistique

Kervoas, Yann-Envel 06 September 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse étudie les romans pour adolescents en langue bretonne publiés au cours du vingtième siècle ainsi que ceux publiés jusqu'en 2005 (année incluse). À partir d'un corpus commenté, elle traite d'abord des thèmes et genres abordés dans les romans pour adolescents ainsi que des personnages. Elle présente ensuite les romans du corpus résultant d'une traduction ou d'une adaptation en s'intéressant aux langues d'origine, au breton utilisé (normé ou dialectal), aux évolutions ainsi qu'aux circonstances de l'édition de ces ouvrages. Une approche stylistique est par la suite proposée, traitant d'éléments paratextuels et narratologiques, pour s'achever sur la place de l'oralité dans ces oeuvres. Les annexes présentent des fiches regroupant les informations concernant les romans pour adolescents en langue bretonne, ainsi que les incipit de ces romans en breton avec leur traduction en français. La thèse reprend les propos de différents acteurs de la production romanesque (auteurs, traducteurs et éditeurs) qui ont été interviewés.
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Description morphosyntaxique du parler breton de Plozévet (Finistère)

Goyat, Gilles 19 November 2012 (has links) (PDF)
La commune de Plozévet est située à l'extrémité sud-ouest de la Bretagne, au bord de la baie d'Audierne. Son parler breton conserve des formes archaïques révélant une ancienne continuité méridionale qui allait des bords de la baie d'Audierne au Vannetais, continuité perceptible dans certains aspects de la phonologie, de la morphologie et du lexique. Il garde également des traits communs aux trois presqu'îles occidentales (Léon, Crozon, Cap Sizun et Cap Caval), caractéristiques aussi de la périphérie du domaine bretonnant.Mais des innovations, venues d'abord du centre de ce domaine (région de Carhaix), puis du Léon, toutes diffusées par Quimper, ont brisé ces anciennes continuités. Ce parler présente bien sûr des traits communs à tout le sud-ouest de la Cornouaille, mais aussi des spécificités : ainsi, la réalisation [-ŋ] des groupes historiques " -r n " et " -l n ", l'ouverture du second élément de la diphtongue /ew/ en /ea/, réalisée [eaɔ] en finale absolue, la prédilection pour les syllabes composées de voyelle brève suivie de consonne forte, y compris dans les monosyllabes, et aussi la neutralisation de l'opposition entre les morphèmes des deuxièmes personnes du singulier et du pluriel. L'étude du lexique breton du cadastre napoléonien (1828) révèle que, si certains lexèmes sont tombés en désuétude, le parler a peu évolué au cours des XIXe et XXe siècles. Au XIXe siècle, les maires de Plozévet ont réclamé des maîtres d'école, d'abord pour enseigner le français aux enfants, qui ne savaient que le breton. Celui-ci est resté la langue la plus parlée jusque dans les années 1960, mais a ensuite très vite décliné
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La langue bretonne à Arradon au XXe siècle : réflexion sociolinguistique sur l'histoire du breton à travers un exemple particulier.

Faby-Audic, Armelle 21 September 2013 (has links) (PDF)
Arradon est une commune littorale du sud de la Bretagne, située aux portes de Vannes. Le breton a été la langue de la quasi totalité de sa population jusqu'au XXe siècle. Les témoignages recueillis auprès de quelques bretonnants locaux montrent la vitalité de sa pratique jusqu'à la seconde guerre mondiale ; récits de vie, recueil de littérature orale (contes, chansons, comptines ...) et plus rares exemples d'utilisation à l'écrit l'attestent. Dès la fin de la première guerre mondiale cependant, se produit une rupture dans la transmission de la langue. Dès lors le clivage linguistique, auparavant sociologique, devient aussi générationnel. Le breton est connoté négativement : corrélé dès le début du siècle avec la pauvreté car les élites économiques sont francophones et avec l'ignorance car le français est la seule langue admise à l'école, il semble désormais lié au passé et à une civilisation paysanne traditionnelle qui disparaît Après la seconde guerre mondiale, seules les personnes âgées parlent breton et le bond démographique de la commune à partir de 1965 accentue encore cette marginalisation. À la fin du XXe siècle, le breton suscite un regain d'intérêt mais la distance entre le parler local et la norme standard ne favorise pas le lien entre anciens et nouveaux locuteurs, entre pratique populaire souvent confinée à l'oralité et pratique scolaire influencée par l'écrit. La mise en perspective historique et la confrontation de différents regards sur cette mutation linguistique permettent d'en analyser les causes et les processus, et aussi d'étendre la réflexion à la place des langues à l'heure de la mondialisation.
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Description morphosyntaxique du parler breton de Plozévet (Finistère) / Morphosyntactic description of the spoken Breton of Plozevet (Finistère)

Goyat, Gilles 19 November 2012 (has links)
La commune de Plozévet est située à l’extrémité sud-ouest de la Bretagne, au bord de la baie d’Audierne. Son parler breton conserve des formes archaïques révélant une ancienne continuité méridionale qui allait des bords de la baie d’Audierne au Vannetais, continuité perceptible dans certains aspects de la phonologie, de la morphologie et du lexique. Il garde également des traits communs aux trois presqu’îles occidentales (Léon, Crozon, Cap Sizun et Cap Caval), caractéristiques aussi de la périphérie du domaine bretonnant.Mais des innovations, venues d’abord du centre de ce domaine (région de Carhaix), puis du Léon, toutes diffusées par Quimper, ont brisé ces anciennes continuités. Ce parler présente bien sûr des traits communs à tout le sud-ouest de la Cornouaille, mais aussi des spécificités : ainsi, la réalisation [-ŋ] des groupes historiques « -r n » et « -l n », l’ouverture du second élément de la diphtongue /ew/ en /ea/, réalisée [eaɔ] en finale absolue, la prédilection pour les syllabes composées de voyelle brève suivie de consonne forte, y compris dans les monosyllabes, et aussi la neutralisation de l’opposition entre les morphèmes des deuxièmes personnes du singulier et du pluriel. L’étude du lexique breton du cadastre napoléonien (1828) révèle que, si certains lexèmes sont tombés en désuétude, le parler a peu évolué au cours des XIXe et XXe siècles. Au XIXe siècle, les maires de Plozévet ont réclamé des maîtres d’école, d’abord pour enseigner le français aux enfants, qui ne savaient que le breton. Celui-ci est resté la langue la plus parlée jusque dans les années 1960, mais a ensuite très vite décliné / The commune of Plozévet is situated at the south-western tip of Brittany, on the shore of the « baie d’ Audierne ».The spoken Breton of Plozévet has kept archaic features suggesting a former continuity stretching from the shores of the « baie d’ Audierne » to the Vannetais area, perceptible in some aspects of its phonology, morphology and lexis. It has also kept some characteristics common to the three western peninsulas (Léon, Crozon, Cap Sizun and Cap Caval), also peculiar to the periphery of Celticspeaking Brittany.But some innovations coming from the central zone (Carhaix region), and then from Léon, filtered through Quimper and brought these former continuities to an end.The spoken Breton of Plozévet obviously shares many features with the rest of southwestern Cornouaille, but also has some distinctive characteristics: thus, the groups «-r n » and « –l n » pronounced [ŋ], the opening of the second element of the diphthong /ew/ into /ea/, pronounced [eaɔ] in absolute final position, a predilection for syllables composed of a short vowel followed by a fortis consonant, in monosyllables too, and also the neutralization of the opposition between themorphemes of the second persons singular and plural.The study of the Breton vocabulary contained in the so-called Napoleonic cadastre (1828) reveals that, although some of the lexemes have become obsolete, the language evolved but little during the 19th and 20th centuries.In the 19th century, the mayors of Plozévet asked for schoolmasters, above all to teach French to the children, who only knew Breton. Breton was spoken more than French until the 1960’s, but then declined rapidly.
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La mort du libertin agonie d'une identité romanesque /

Michel, Ludovic January 1993 (has links)
Mémoire de maîtrise : Lettres : Lille III : 1992. / Bibliogr. p. 173-178.

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