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Éthique et acculturation. Positions de Montréalais d'origine congolaise sur l'interruption de grossesse

Kandong Mangom, Jean-René 07 1900 (has links)
No description available.
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L'eglise des Freres en Christ Gareganze face au probleme de la nationalite Congolaise (1996-2003): perspectives missiologiques venant de la Republique Democratique du Congo (the Gareganze's Brothers in Christ Church facing the problem of the Congolese citizenship (1996-2003): missiological perspectives from the Democratic Republic of Congo) / Gareganze's Brothers in Christ Church facing the problem of the Congolese citizenship (1996-2003): missiological perspectives from the Democratic Republic of Congo

Mwambazambi, Kalemba 30 June 2005 (has links)
The mission of the Gareganze's Brothers in Christ Church facing the chaos of the socio-political situation in DRC resulting mostly from the question of the Congolese nationality is to dynamise the christian mission and to protect the poor, set free the captives, because God is always at their side. The DRC, though, has enormous natural resources and the competent human resources capabilities. The national institutions seem to be unable to handle this situation because of the lack of political culture, mismanagement and moral untidiness. The successive Congolese crises mostly are the same, the common denominator resides in the causes that brought them about. The main objectives of the antagonist groups are political leadership and material wealth. The findings of our analysis will help the Church of Christ in Congo, to fulfill the prophetic mission and the vision of God, for the positive transformation of the Congolese society. / Christian Spirituality, Church History and Missiology / M. Div. (Missiology)
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Soutiens institutionnels à la créativité et émergence de l'identité kinoise

Shumb, Metela January 2000 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Catholicisme et viols de guerre en République démocratique du Congo : vers une théologie afroféministe des relations vitales

Kibungu, Dieudonné Bwanamuloko 12 1900 (has links)
Cette thèse problématise la position paradoxale du catholicisme congolais face aux viols de guerre en contexte socio-culturel de la RD Congo déchirée par les conflits armés depuis plus de deux décennies. La RD Congo est le plus grand pays catholique du continent africain. L’Église catholique congolaise est l’une des plus peuplées de l’Afrique postcoloniale. Grâce à son pouvoir d’influence, son poids démographique, sa force économique et son organisation qui couvrent toute l’étendue du territoire national, le catholicisme congolais exerce un impact significatif sur le plan politique, social, moral et spirituel. Il peut jouer un rôle déterminant et une fonction cruciale face aux viols de guerre. Il le fait à des moments critiques et à des tournants politiques majeurs pour sortir le pays de la crise. Dans une perspective théologique et interdisciplinaire, la thèse analyse le paradoxe du catholicisme congolais et son impact face aux viols de guerre. Pour ce faire, 56 récits de survivantes, 20 messages officiels des évêques, 3 textes bibliques sont analysés à partir d’approches anthropophanique, libératrice et de Bosadi centrées sur les survivantes. Les images de la pyramide, du rhizome et de la toile d’araignée entrent en jeu dans les analyses du catholicisme ainsi que la notion d’Ubuntu. Les typologies esquissées de catégories de viols de guerre et de relations vitales en reprennent des éléments essentiels. Le tout débouche sur une perspective de théologie afroféministe des relations vitales. Sur le plan mondial, le plus grand nombre de victimes des viols de guerre se retrouvent en RD Congo. La question des viols de femmes comme arme de guerre constitue, en ce XXIe siècle, un enjeu mondial majeur qui préoccupe tous les mouvements de justice sociale. Elle devient une des préoccupations urgentes pour la planète et, spécialement pour la RD Congo, qualifiée de « capitale mondiale du viol », où quatre femmes sur cinq sont violées dans la partie Est par des hommes en uniforme. Les viols de guerre y persistent et deviennent de plus en plus omniprésents. Les statistiques font état de chiffres plus élevés que jamais et répertoriés nulle part ailleurs dans un contexte de conflits armés. Depuis 1996, début des guerres dites de libération, le nombre de femmes et de filles torturées avant d’être violées et, parfois tuées après viols, est estimé à un million en 2005 et à quelques deux millions en 2010 dans les deux provinces du Nord et du Sud Kivu. Ces chiffres avancés ne représenteraient que 25 % des cas de viols de guerre déclarés, car 75 % des viols demeurent sous silence. Les études font état actuellement de plus de 130 groupes armés actifs dans l’Est du pays, alors qu’en 2015 on en répertoriait 70. En 2017, 120 groupes armés s’affrontaient, tuaient, pillaient et violaient. Le Conseil de sécurité de Nations unies (2020, n° 27) signale qu’en 2019, le nombre des personnes violées a augmenté de 34 % par rapport à l’année 2018. Les viols de guerre en RD Congo représentent, au niveau des motivations, un panel complexe impliquant les viols à des fins d’occupation de terre, de domination, de contrôle territorial et des ressources naturelles, mais aussi sont liés à des questions de genre et d’idéologies politiques. Le contexte socioculturel de la RD Congo, pays sexuellement conservateur, ajoute des souffrances supplémentaires aux femmes violées. Dans certains cas, les activistes des droits humains, qui défendent la cause des femmes en dénonçant les viols et les violeurs, font l’objet de menaces. Mais, évidemment, cela comporte aussi un risque pour la vie des survivantes et aussi des autres personnes obligées de vivre dans un contexte d’insécurité permanente. Quelle stratégie mobiliser pour renverser cette tendance qui n’est pourtant pas une fatalité? Quelles stratégies préconise le catholicisme congolais dans la lutte contre les viols de guerre ? En quoi peut-il constituer un tremplin ou un frein? / This thesis problematizes the paradoxical position of Congolese Catholicism in the face of war rapes in the socio-cultural context of the DR Congo torn by armed conflicts for more than two decades. DR Congo is the largest Catholic country on the African continent. The Congolese Catholic Church is one of the most populous in postcolonial Africa. Thanks to its power and influence, its demographics, its economic strength, and its organization which covers the entire national territory, Congolese Catholicism has a significant impact on the political, social, moral, and spiritual fields of the country. It can play a determining role and a crucial function in the face of war rapes. It can do so at critical times and at major political turning points to get the country out of its current crisis. Using a theological and interdisciplinary perspective, the thesis analyzes the paradox of Congolese Catholicism and its impact on war rapes. In order to do this, 56 survivors accounts, 20 official messages from the bishops, 3 biblical texts are analyzed using anthropophanic, liberation, and Bosadi approaches centered on survivors. Images of the pyramid, rhizome and spider's web come into play in analyses of Catholicism, as well as the notion of Ubuntu. The typology of war rapes, as well as the concept of vital relationships are also part of these investigations. This leads to create an Afro-feminist theology of vital relationships. Globally, the largest number of victims of war rapes are in DR Congo. The issue of the rape of women as a weapon of war constitutes, in the 21st century, a major global issue which preoccupies all social justice movements. It is becoming one of the most urgent concerns for the planet and, especially for DR Congo, which has been described as "the world capital of rape" where four out of five women are raped in the eastern part of the country, by men in uniform. The rapes persist and become more and more omnipresent. Statistics show the highest numbers ever recorded anywhere else in the context of armed conflict. Since 1996, the start of the so-called wars of liberation, the number of women and girls tortured before being raped and sometimes killed after the rape, has been estimated at one million in 2005 and some two millions in 2010 in the north and South Kivu provinces. These figures represent only 25% of cases of rapes declared because 75% of rapes remain unreported. Studies count more than 130 armed groups active in the eastern part of the country, while in 2015 there were 70 of them. In 2017, 120 armed groups were identified as clashing, killing, looting and raping. The United Nations Security Council (2020, no 27) reports that in 2019, the number of people raped increased by 34% compared to 2018. The motivations for war rapes in DR Congo are complex and include rapes for the purposes of land occupation, domination, control over territories and natural resources. Rapes are also linked to gender issues and political ideologies. The socio-cultural context of the DR Congo, a sexually conservative country, causes additional suffering to rape survivors. In some cases, human rights activists who advocate for women by exposing rapes and rapists are threatened. This poses a risk to the lives of survivors, as well as to others, forced to live in a context of permanent insecurity. What strategy should be mobilized to reverse this trend, which should not be considered inevitable? What strategies does Congolese Catholicism advocate for in the fight against war rape? How does it constitute a springboard or a brake?
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A missiological exploration of a Pentecostal Church’s contribution to migrants’ social integration in Durban

Nzwiba, Mubili 11 1900 (has links)
The subject of migrants’ social integration in receiving countries is a growing debate in the 21st century amongst the international community and the nations of the world. It is a serious concern for many organizations advocating for social justice. The Church worldwide and the migrant church in Durban South Africa in particular, is called to be among the defenders and promoters of migrants’ social integration; integration which will bring forth migrants’ social and economic contribution to the development of Durban’s social and economic life. This view of this study is that in the post-apartheid period sufficient attention has not been paid by the South African government, policy-makers and the church in the welcoming and protection of migrants who have “flooded” the country. The lack of preparedness has resulted in migrants being used as scapegoat by some South Africans on the pretext that they lower the country’s social life, steal national citizens’ jobs and commit crime. This growing social and economic discomfort in South Africa resulted in xenophobic violence in May 2008. The dissertation surveys migrants’ challenges in South Africa and Durban in particular. It explores the response of a migrant Pentecostal church called Faith Ministries Durban (FMD) to these challenges, as well as its contribution to the promotion of Congolese migrants’ social integration. The study further explores, among other aspects, the theology of migration. This exploration is a call to theologians to advocate for migrants’ care and rights so that they may not endure discrimination, abuse and struggle because of them being outsiders. Migrants have to benefit equal rights as fellow South Africans. From the life narratives of ten FMD’s members, the study explores FMD’s role in the lives of its migrant members. / Christian Spirituality, Church History & Missiology / M. Th. (Missiology)
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Le droit congolais du travail à l'épreuve de la déclaration de l' Organisation Internationale du Travail relative aux principes et droits fondamentaux au travail / The Congolese labour law at the trial of the ILO Declaration on fundamental principles and rights at work

Kalay Kisala, Patty 27 January 2016 (has links)
La Déclaration relative aux principes et droits fondamentaux au travail, adoptée par l’Organisation Internationaledu Travail (OIT) en 1998, a érigé, en « seuil social minimal », huit Conventions internationales du travail dites« fondamentales » concernant quatre thématiques : la liberté d'association et la reconnaissance effective du droitde négociation collective, l'élimination de toute forme de travail forcé ou obligatoire, l'abolition effective dutravail des enfants et l'élimination de la discrimination en matière d'emploi et de profession. Depuis 2001, laRépublique Démocratique du Congo, membre de l’OIT, s’est évertuée à ratifier l’ensemble des « conventionsfondamentales » de l’OIT et à rendre conforme sa législation nationale. Cependant, l’intégration de ces normesfondamentales s’avère relative. Le constat peut être fait d’imperfections et d’incohérences techniques des texteslégaux et réglementaires et, surtout, de problèmes très importants d’effectivité. Certains préalables socioéconomiquescomme politico-institutionnels ne semblent pas encore réunis pour donner une véritable assise auxprincipes et droits fondamentaux de la personne au travail tels qu’envisagés par la Déclaration de 1998. De plus,le contenu même de cette dernière apparaît trop limité par rapport aux préoccupations des travailleurs congolaiset aux droits fondamentaux qui, de fait, ne leur sont pas reconnus. Paradoxalement, si l’on se situe en RD Congoparfois en deçà des attentes de la Déclaration de l’OIT de 1998, la réalité des conditions d’emploi et de travaildes travailleurs appelle à réfléchir à l’au-delà des seuls principes affirmés par la Déclaration de l’OIT de 1998. / The Declaration on fundamental principles and rights at work adopted by the International Labour Organisation(ILO) in 1998, erected by « minimum social floor », eight international labour Conventions say « fundamental»on four themes: freedom of association and the effective recognition of the right to collective bargaining,elimination of all forms of forced or compulsory labor, the effective abolition of child labor and the eliminationof discrimination in respect of employment and occupation. Since 2001, the Democratic Republic of Congo, amember of ILO, has striven to ratify the set of « core conventions» of the ILO and to conform its nationallegislation. However, integration of these core standards turns on. The finding can be due to technicalimperfections and inconsistencies in laws and regulations, and especially of very important problems ofeffectiveness. Some socio-economic as political-institutional prerequisites do not yet seem together to give a realfoundation for fundamental principles and rights at work as envisaged by the 1998 Declaration. In addition, thecontent of the latter appears too limited compared to the concerns of Congolese workers and human rightswhich, in fact, they are not recognized. Paradoxically, if one is in DR Congo sometimes below expectations ofthe ILO Declaration of 1998, the reality of conditions of work and worker called to think about beyond theprinciples alone affirmed by the ILO Declaration of 1998.
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A missiological exploration of a Pentecostal Church’s contribution to migrants’ social integration in Durban

Nzwiba, Mubili 11 1900 (has links)
The subject of migrants’ social integration in receiving countries is a growing debate in the 21st century amongst the international community and the nations of the world. It is a serious concern for many organizations advocating for social justice. The Church worldwide and the migrant church in Durban South Africa in particular, is called to be among the defenders and promoters of migrants’ social integration; integration which will bring forth migrants’ social and economic contribution to the development of Durban’s social and economic life. This view of this study is that in the post-apartheid period sufficient attention has not been paid by the South African government, policy-makers and the church in the welcoming and protection of migrants who have “flooded” the country. The lack of preparedness has resulted in migrants being used as scapegoat by some South Africans on the pretext that they lower the country’s social life, steal national citizens’ jobs and commit crime. This growing social and economic discomfort in South Africa resulted in xenophobic violence in May 2008. The dissertation surveys migrants’ challenges in South Africa and Durban in particular. It explores the response of a migrant Pentecostal church called Faith Ministries Durban (FMD) to these challenges, as well as its contribution to the promotion of Congolese migrants’ social integration. The study further explores, among other aspects, the theology of migration. This exploration is a call to theologians to advocate for migrants’ care and rights so that they may not endure discrimination, abuse and struggle because of them being outsiders. Migrants have to benefit equal rights as fellow South Africans. From the life narratives of ten FMD’s members, the study explores FMD’s role in the lives of its migrant members. / Christian Spirituality, Church History and Missiology / M. Th. (Missiology)
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La construction du lien social chez les réfugies et demandeurs d’asile congolais au Gabon : «Une anthropologie de l’exil» / The construction of the social link at the refugees and the Congolese asylum seekers in the Gabon : "An anthopology of the exile"

Ovono Essono, Armel 03 December 2013 (has links)
Les nombreux travaux sur les migrations forcées ont souvent porté une attention particulière sur les conditions existentielles des réfugiés et les nombreuses « ruptures sociales » qui caractérisent leur exil. Que ce soit dans les camps ou dans les périphéries des grandes villes en Afrique ou en Europe, que certains ont qualifié de « non-lieux », ils sont souvent présentés comme étant au « bord du monde ». Sans nier ces réalités, il convient toutefois de relativiser ce tableau, en montrant que les réfugiés savent mobiliser des ressources qui leur permettent non seulement de surmonter les aléas de l’exil, mais aussi de produire du lien social par rapport aux situations qui se présentent à eux. Prenant à contre-pied les allégations sur le manque de liens sociaux des réfugiés, ce travail s’attache donc à examiner comment, à partir des modalités positives ou négatives, les réfugiés congolais construisent du lien social non seulement entre eux, mais aussi avec les autochtones et les institutions étatiques et internationales, à Libreville, au Gabon. Il s’agit, dans une perspective interactionniste, de saisir la structure globale du lien qui les unit. Deux schèmes organisent les rapports des trois catégories d’acteurs. Alors que le schème « réfugiés congolais » structure les liens entre ces migrants forcés, le schème « parents ennemis » quant à lui, organise les relations entre ces derniers, l’Etat et les autochtones. Ces deux schèmes sont donc des « liants » en situation. / The numerous studies on forced migration often focused attention on the existential conditions of refugees and the many "social disruption" that characterize their exile. Whether in camps or in the outskirts of major cities in Africa and Europe, which some have called "non-places", they are often presented as the "edge of the world." Without denying these realities, it should however put this table, showing that refugees know mobilize resources that enable them not only to overcome the vagaries of exile, but also to build social ties in relation to the situations that arise to them. Taking up against the allegations about the lack of social ties refugees, this work therefore seeks to examine how, from how positive or negative, Congolese refugees build social ties not only among themselves but also with indigenous and state and international institutions, in Libreville, Gabon. It is in an interactional perspective, with contributions from fields such as history, sociology, psychology and political science, to understand the overall structure of the bond that unites them. Two schemes organize the reports of the three categories of actors. When the scheme "Congolese refugees' structure links between Congolese exiles, the scheme" parents enemies "meanwhile, organizes the relations between them, the State and indigenous peoples. These two schemas are thus "sociable dispositions"("binders") in situation.
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Vie associative et participation politique des personnes issues de l'immigration: le cas des populations d'origine marocaine, turque et congolaise à Bruxelles / Associational life and political participation among ethnic minorities: the case of people with Moroccan, Turkish and Congolese background in Brussels.

Herman, Barbara 01 June 2015 (has links)
Suite à la montée de l’immigration en Belgique, le rôle que joue la vie associative des personnes issues de l’immigration au sein de l’espace politique a pris une place croissante dans les débats à la fois publics et scientifiques. Selon Fennema et Tillie (1999 ;2001), une vie associative ethnique florissante constituerait une condition importante pour le développement de la participation politique des membres d’une population ethnique. Si cette hypothèse a été mise à l’épreuve, avec des succès mitigés, dans différents contextes européens et nord-américains, elle ne l’a été que rarement dans une ville telle que Bruxelles, dont certaines caractéristiques sont pourtant susceptibles d’éclairer le débat. L’objectif principal de cette thèse est dès lors d’analyser la situation à Bruxelles, en prenant en considération différentes populations issues de l’immigration et d’éclaircir le rôle que jouent les associations de migrants sur l’intégration politique de ces derniers.<p><p>Ce travail s’articule autour de deux questionnements de recherche. Le premier a pour objectif d’apporter des éléments nouveaux quant aux théories existantes portant sur la participation politique et l’engagement civique (capital social) des populations ethniques minoritaires. Il s’agit d’examiner, d’une part, la nature de la relation entre participation associative et politique et, d’autre part, certains processus explicatifs sous-jacents. Le second questionnement vise à fournir de nouvelles informations à propos de différentes populations d’origine étrangère dont la vie associative et politique aura été investiguée. Celles qui ont été choisies dans le cadre de cette thèse relèvent des immigrations, hors Union européenne, les plus nombreuses à Bruxelles. Il s’agit, en l’occurrence, des populations d’origine marocaine, turque et congolaise.<p><p>A partir de données quantitatives récoltées en 2009 auprès d’échantillons représentatifs de personnes issues de l’immigration marocaine, turque et congolaise à Bruxelles ainsi que d’un groupe contrôle non-issu de l’immigration, cette thèse apporte des éléments originaux à la fois au niveau théorique et empirique.<p><p>D’abord, nous avons pu confirmer le fait que le capital social est un facteur essentiel favorisant le développement de la participation politique, à la fois au niveau agrégé et individuel. De plus, nos résultats montrent également, en particulier au niveau individuel, que le capital social ethnique est un facteur plus important que le capital social multiethnique pour expliquer la participation politique des personnes issues de l’immigration. Contrairement à ce qui est parfois admis, le regroupement communautaire ne pousserait pas à l’institutionnalisation du repli ethnique mais, au contraire, lorsqu’il est organisé sous une forme associative, constituerait un tremplin vers la participation à la vie démocratique du pays d’accueil, offrant ainsi des opportunités civiques remarquables aux personnes qui en font partie. <p><p>Ensuite, malgré le large consensus au plan théorique qui existe à propos du rôle médiateur des confiances sociale et politique pour expliquer la relation entre le capital social et la participation politique, nos résultats sont loin d’étayer cette hypothèse :l’accumulation du capital social ne permet pas d’expliquer l’effet mobilisateur des associations bénévoles. Les aspects "non-normatifs" du capital social, tels que l’accès aux informations (politiques) ou aux compétences civiques, par exemple, pourraient être de meilleurs prédicteurs du comportement politique. De plus, pour les personnes issues de l’immigration, peu importe leur origine, leur participation associative est négativement associée à la confiance politique qui, elle, montre un lien négatif avec la participation politique. Cette constatation jette un nouvel éclairage quant au débat relatif aux causes et conséquences des faibles niveaux de confiance politique et étaye les études montrant que la confiance politique n’est pas systématiquement associée à une plus grande participation politique. En l’occurrence, un faible niveau de confiance pourrait augmenter la participation politique dans certaines situations à travers une nouvelle génération dite de "citoyens critiques".<p><p>Enfin, bien que nos résultats aient mis en évidence de nombreuses similitudes entre les populations étudiées, nous avons identifié diverses particularités liées aux origines nationales en interaction avec le contexte institutionnel et politique bruxellois, rejoignant ainsi la littérature liée à l’impact des structures d’opportunités politiques ainsi qu’aux spécificités des groupes de migrants pris en considération. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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The role of preventive diplomacy in African conflicts : a case study of the Democratic Republic of the Congo : 1998-2004

Swart, G.H. (Gerhardus Stephanus) 24 April 2008 (has links)
The African continent has been beset with violent conflicts, civil wars and extended periods of instability. The continent’s future depends on the capacity to prevent, manage and resolve conflict. Reacting to conflict has proven highly expensive for the international community and has strengthened the case for a greater focus on conflict prevention. This study will examine the role, relevance and success of preventive diplomacy in responding to and preventing violent and protracted conflicts in Africa, in particular recent international efforts to seek a concrete, comprehensive and all-inclusive peace settlement to the conflict in the Democratic Republic of the Congo. The conflict in the Democratic Republic of the Congo had resulted in what many analysts considered to be ‘Africa’s First World War’. The aim and objective of this study will be to assess the role of preventive diplomacy, in particular efforts by the international community to resolve the conflict in the Democratic Republic of the Congo. The study of the success of preventive diplomacy in responding to the conflict in the Democratic Republic of Congo will cover three distinct phases. The first phase will assess the historical development of the crisis in the former Zaïre dating back from 1997 to 1998 and initial steps that were taken to address the conflict. The next phase will cover the period dating from 1999-2000 following the signing of the Lusaka Ceasefire Agreement, while the final phase will assess developments and efforts to secure peace by the international community from 2001 until 2004, while providing for a brief discussion on possible future developments. The research will commence by examining various theoretical contributions and insights produced on conflict prevention and the concept of preventive diplomacy. The examination of conflict prevention and preventive diplomacy will be rooted in theoretical insights produced by Michael Lund (1996) and other influential contributions on preventive diplomacy. The theoretical framework for this study will be based on Michael Lund’s model of preventive diplomacy. Although Lund’s conceptual framework provides a valuable insight into the theory of preventive diplomacy an additional theoretical consideration may be included into his assessment. Lund’s theoretical framework fails to address the impact of psychological variables and the extent to which prevailing conflict attitudes may exert a negative influence on a conflict situation. This may render the effectiveness of preventive diplomacy at the level of unstable peace obsolete if it fails to take prevailing conflict attitudes into account. This dissertation will also propose the inclusion of social-psychological approaches to augment the strategy of preventive diplomacy as developed by Lund. Very little conclusive and in-depth research has been conducted on how psychological variables, particularly conflict attitudes such as negative images, attitudes, perceptions and conflict behaviour can fuel and exacerbate a conflict situation, especially conflicts in Africa and how this may derail the success of preventive diplomacy in resolving such severe conflicts. In the numerous efforts to secure peace in the embattled Democratic Republic of the Congo scant consideration, evaluation and analysis has been produced on the way in which conflict attitudes such as misperception, fear, distrust, hostility and suspicion, became not only a major stumbling block to the peace process, but also negatively affected the outcome of the various peace agreements that were negotiated. One of the core arguments this dissertation will posit is that preventive diplomacy has not been successfully applied in resolving conflicts in Africa, and will continue to fail, unless greater emphasis is placed on structural prevention, that includes an assessment and strategy for responding to conflict attitudes, such as misperception, hostility, suspicion, fear and distrust. It could be argued that preventive diplomacy initiatives when taken alone and independently of a broader strategy of conflict prevention are likely to fail unless they are linked to measures and actions that tackle the deeper or structural causes of conflict. Greater emphasis should be placed on timely and adequate preventive action, through the vigorous promotion of preventive diplomacy, particularly structural prevention. The conflict in the Democratic Republic of the Congo is intermittently erupting and will continue to do so, unless the structural causes of the crisis and the various conflict attitudes are effectively dealt with. The study will commence with the theoretical and conceptual framework of the study, consisting of a discussion of conflict, preventive diplomacy, and conflict prevention. The conflict in the Democratic Republic of the Congo will be discussed as well as the underlying factors that contributed towards the brutal and excessively violent nature the conflict came to assume. The study will also examine the international response to the conflict in the Democratic Republic of the Congo as well as the immediate diplomatic efforts initiated to resolve the crisis from 1998-1999, which culminated in the signing of the Lusaka Cease-Fire Agreement on 10 July 1999. An assessment of the intervention efforts initiated by the United Nations, the Southern African Development Community (SADC) and other key African states, in particular South Africa will also be undertaken. The impact of psychological variables and the importance of assessing the crucial contribution of social-psychological approaches towards understanding and resolving conflict will be briefly considered with particular reference to the protracted tensions which persisted between Rwanda and the DRC, despite the conclusion of numerous peace agreements between both countries. The final chapter will form an evaluation of the prospects for peace in the DRC beyond 2004 and will conclude the study with particular reference to the extent to which the research questions have been adequately addressed with final recommendations on the role of preventive diplomacy in addressing conflict. / Dissertation (MA (International Relations))--University of Pretoria, 2008. / Political Sciences / unrestricted

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