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Sur la peinture-installation

Brunet, Paul 13 April 2018 (has links)
Ce texte se veut une mise en théorie, accompagnant la production visuelle réalisée lors de mes deux années à la maîtrise. Cette recherche se base principalement sur l'exploration des modes de présentation d'une œuvre et de ses conséquences ou répercussions sur les plans formels, perceptifs et sémantiques. J'y questionne, plus particulièrement, le dispositif d'installation spatiale d'un tableau ou d'une séquence de tableaux que permet la peinture-installation. Cet écrit relate donc ma pensée sur la notion de peinture-installation et ce qu'elle implique dans mon travail pictural.
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Portraits de l'objet abstrait

Moisan-Dufour, Olivier 28 March 2024 (has links)
356181\u Ce mémoire est une réflexion philosophique sur l’infini et l’indéfini, champ de recherche en arts visuels en relation avec ma pratique personnelle. Je vous propose une recherche basée sur les enjeux impliqués dans la construction, la présentation et la représentation de mes œuvres produites au cours de ma maîtrise, soit de 2017 à 2019. Ce projet d’écriture accompagne l’exposition «Reproduire l’improbable », qui a pour but d’amplifier l’appréciation de l’objet abstrait en présentant son portrait en peinture.
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Construire des mondes : une démarche picturale immersive

Thibault-Morin, Maude 24 May 2024 (has links)
Dans ce texte destiné à accompagner mon travail d’atelier, j’aborde mon besoin de solitude et son rôle dans ma pratique artistique. Je tenais aussi à expliquer l’importance que je porte à la dimension charnelle de l’art. D’abord, je décris la relation que j’entretiens avec mes médiums de création et mes matériaux, tout en observant les caractéristiques formelles de mon travail de dessin et de peinture. Puis, j’expose comment j’ai canalisé mes gestes instinctifs dans des contextes de création prédéterminés. Ainsi, j’explique que mes démarches picturale et graphique ont pris la forme de corpus qui ont généré des univers stylistiques et narratifs distincts. Durant mes deux années de maîtrise, j’ai réalisé des corpus qui composent trois mondes fictifs différents. En analysant ma façon de procéder, j’ai constaté que même si j’avais une approche figurative, je cherchais constamment à esquiver toute référence qui reproduisait directement le monde réel. J’ai par la suite réfléchi au rôle que l’émotion prenait dans mon travail. J’ai compris que, jusqu’à maintenant, ma démarche artistique cherchait à combler des besoins de contemplation et de rêverie. Finalement, ce texte est une occasion, pour moi, d’exposer la méthode de création qui a dirigé mon travail en atelier, durant mes deux années de maîtrise. Mots clés : solitude, dessin, peinture, corpus, monde, narration
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La peinture ce n'est pas que peindre

Rousseau, Etienne 02 February 2024 (has links)
Ma pratique en art se conçoit uniquement en peinture. Elle est orientée vers l’abstraction où je travaille la forme et la couleur exclusivement liées à mes états émotionnels. Ma préoccupation première tourne autour du principe de l’équilibre pictural qui consiste à répartir les éléments visuels dans un tableau de manière à harmoniser la composition et les proportions. Afin d’arriver à ce stade, j’équilibre mes peintures selon leurs éléments plastiques. Chacune des composantes picturales interagit avec ses voisines, nécessitant ainsi une préoccupation constante du poids visuel de celles-ci. Ce poids s’établit en termes de pesanteur (légèreté/lourdeur), au niveau des formes (ovale/cubique), des couleurs (claire/foncé) et des espaces (allégé, surchargé). L’aspect de dualités entre deux notions plastiques (transparence/opacité, chaud/froid, traits/masses) est aussi présent dans mon travail pour créer ce que j’appelle des tensions spatiales. Ces rapports de dualité complètent, avec l’équilibre, le dynamisme visuel qui se construit devant mes yeux. Composées d’un amas de masses de couleurs de différentes grosseurs et de formes aléatoires, mes peintures sont créées en majorité par des traces de vitesse. Travailler avec la peinture acrylique est un avantage puisqu’elle sèche très vite et qu’elle me permet de venir camoufler, juxtaposer, altérer et foncer une ancienne tache sans que les couleurs ne se mélangent. La conception de mes toiles est donc un processus d’accumulation et de superposition de masses ou de formes colorées qui se conçoit rapidement et instinctivement, dans l’esprit postmoderne qui suppose que l’œuvre s’édifie sans plan préétabli, sur ses propres avancées.
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Le chantier cyclique du construit, de l'effacement et de ce qui les relie

Falardeau, Isabelle 08 February 2024 (has links)
Dans ce mémoire, je donne un aperçu de ma perception de ce qui m'entoure et de la manière dont j'aborde le monde à travers ma pratique artistique. Mes déplacements sur le territoire se font à l'intérieur de sites et de paysages que je m'approprie avec la photographie. Je travaille à partir de parcelles extraites du réel, des fragments issus du champ visuel et physique existant, et j'exploite leur effacement partiel à l'aide de la surexposition et du traitement des images. Le brouillage résultant advient également et inévitablement pour moi dans le souvenir que j'ai de mes prises de vue. Une fois que j'ai quitté les lieux photographiés, je m'en fais une représentation paysagère qui s'éloigne déjà du vécu in situ. Je reconstruis dès lors, à partir de cette nouvelle réalité brouillée et fragmentaire, quelque chose de concret et de praticable, qui permettra un renouvellement de l'expérience par le corps. Je travaille mes constructions en intégrant des vestiges de territoire, donnant ainsi une forme renouvelée à l'espace et au temps dont ils se sont dissociés dans la mémoire et l'acte photographique. De cette façon, je prends concrètement part au chantier cyclique du construit, de l'effacement et de ce qui les relie.
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La distance dans la sculpture ou le paysage opaque

Roy, Jean-Philippe 11 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / J'aimerais que de ce texte transparaisse la même attitude que celle adoptée vis-à-vis mon travail d'atelier, à savoir une ouverture face à ce qui va naître de la mise en forme de la matière, soit la mise en forme simultanée de la pensée par l'écriture. Bien que cette réflexion sur la sculpture provienne de mon expérience concrète de la création, un mot pourtant aura suffi à lancer son activité : le paysage. À l'origine, donc, une intuition. Utiliser le paysage comme figure de comparaison en vue d'analyser une œuvre installative où la sculpture est au cœur de toutes investigations. Par l'écriture, il aura fallu arpenter le mot pour en prendre la juste mesure, remonter sa généalogie jusqu'à obtenir un point de vue sur l'étendue de sa signification et les possibilités interprétatives qui l'enracinent à la langue. À la manière du paysan auscultant la terre, il aura fallu chercher dans les signes, une cause et un sens au paysage; suivre les chemins qui le lient à d'autres mots, d'autres images, pour finalement découvrir le pays qui le borde et marque sa limite conceptuelle. Dans ce lent processus d'imprégnation, où la phrase est l'horizon qui les collige, les mots m'auront révélé ce que je n'ai jamais su identifier au sein de mon expérience de la sculpture et qui me semblait pourtant en constituer l'essentiel : la distance. Espace compris entre moi et les choses, la distance est cette disparité insurmontable de la connaissance mais, aussi, la marque de mon appartenance au monde. Autour de cette notion fondamentale, j'ai également trouvé des textes, des auteurs, des artistes, des philosophes et une attitude similaire. Celle-là même qui, enfant, a façonné au travers de dessins mon approche de la création; une manière de penser la réalité dans l'action, de la formuler au plus vif de mon actualité. Le paysage opaque est le titre de l'installation qui fait l'objet du présent texte. C'est une œuvre évolutive déjà présentée en 2005 à la galerie R3, à Trois-Rivières. Dans le contexte de ce mémoire, elle a été présentée en 2006, dans la grande Galerie de l'ŒIL de Poisson, à Québec. C'est une œuvre, à l'image de l'attitude dépeinte ici, faite d'allers-retours entre la théorie et la création.
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La passéité du paysage pour le poétique du vécu

Auclair, Gabrielle 24 January 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 19 janvier 2024) / En ces pages, je propose questionnements, idées, créations et recherches sur le développement de ma pratique artistique entourant ma Maîtrise en arts visuels. Ce corpus se penche sur le concept du vide quotidien qui affecte par sa motion vers le sensible du vécu. Ces brèches de la vie sont présentées en images aux côtés d'objets courants du quotidien qui habitent l'idée d'un chez-soi par l'absence qu'ils portent. Fragments de textes, images, matérialité et installation se rencontrent dans un amalgame organisé par les sentiments de l'artiste. Ceux-ci ont guidé le processus de création de son commencement jusqu'à la mise en place de l'exposition. Tout au long de cette évolution, le cheminement est questionné pour être mieux approfondi par diverses recherches et lectures présentées dans ce texte. Les réponses de cette progression se retrouvent visuellement dans l'exposition La passéité du paysage pour le poétique du vécu. Dans l'œuvre, la temporalité des paysages en nature vient être confrontée à celle vécue de manière individuelle par son regardeur, ouvrant sur la possibilité de l'inscrire de contemplateur à voyeur par la nostalgie. Du bout des doigts, je tente simplement de tracer la présence de l'absence. Partout.
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Dehors dedans. Jeu d'ouvertures sur le paysage

Thibault, Julia 13 February 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 2 février 2024) / Ce mémoire définit ma démarche en photographie, où en marchant, je collecte des images à même les apparences du réel. J'y rends d'abord compte de cette pratique qui a lieu à l'extérieur, dans le paysage, dans le mouvement, avec les éléments naturels. Ce mémoire montre aussi comment la mise en espace, liant ma pratique de l'architecture à celle des arts, permet de donner une autre dimension à mon travail de l'image, en le mettant en relation avec l'échelle du corps notamment. À travers la mise en espace de grandes photographies argentiques noir et blanc, je cherche à créer des installations où les formes, organiques ou géométriques, apparaissent dans les compositions. Ces images évoquent parfois le dessin ou encore les volumes en jouant sur les ombres portées ou les nuances de gris, la texture et la finesse des détails. En vue de présenter dans tout leur foisonnement et à grande échelle les surfaces du visible. Ce texte est une invitation à me suivre dans mon parcours entre l'art et l'architecture, à travers les explorations de ces dernières années de maitrise. C'est ce bagage qui m'a mené à réaliser l'exposition La chambre à dormir dehors dans l'espace d'Arprim, du 22 novembre au 2 décembre 2023.
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Conversations matérielles (récits poreux/mécaniques liminales)

Desrosiers, Julie 26 April 2024 (has links)
*Conversations matérielles (récits poreux/mécaniques liminales)* est un projet de mémoire-création qui questionne les relations entre humain et non-humain, à travers une recherche sur l'intériorité de l'objet, son langage et sa puissance d'agir et d'échanger. Dans des petits chantiers poreux, des natures mortes et des tableaux vivants, les matières brutes, ou plus domestiquées, agiront les unes sur les autres pour former et déformer des récits, suggérant leur propre dimension du vivant.
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Fabriquer le sensible

Dionne, Camille 04 September 2024 (has links)
Ce mémoire-création propose une réflexion, des questionnements et quelques réponses sur le développement de ma pratique en peinture. Le corpus d'œuvres ainsi que le texte qui l'accompagne présentent la façon dont je conçois chaque tableau et le processus ayant mené à sa création tels des univers sensibles, véhicules d'affects agissant comme des formes de matérialisation de la mémoire et des souvenirs formant la trame de ma vie. Chaque tableau détient une part de vérité et de fiction que je suis la seule à pouvoir déceler. C'est à partir d'un tiraillement actif entre le passé et aujourd'hui ainsi que de cette zone floue qui accompagne chacun de mes souvenirs que je crée chaque œuvre tel un espace où cohabitent plusieurs moments, plusieurs lieux et plusieurs temps. À ces derniers éléments s'ajoute tout le pouvoir de l'imagination, de l'âme et de l'esprit qui me permet de créer ces nouveaux lieux, présents dans mes œuvres, devenus possibles seulement par la peinture. Peindre à partir d'éléments qui ont fait partis de sa vie, c'est conjurer un peu du temps qui s'enfuit inexorablement sans que l'on ne puisse rien y faire pour créer un nouveau présent.

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