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Socrate : Autoportrait cubiste d'Erik Satie

Bourgault, Mélissa 15 May 2014 (has links)
Erik Satie fut toujours considéré comme un personnage énigmatique dans le monde musical français au tournant du siècle dernier. Sa personnalité marginale et ses œuvres dépouillées aux titres étranges ont maintes fois suscité questionnements et polémique. En 1917, Erik Satie écrivit une œuvre qui ne ressembla aucunement au répertoire antérieur du compositeur. Socrate, qui fut représenté publiquement pour la première fois en janvier 1920 à la Société Nationale de Paris, laissa le public et la critique perplexe et mitigé. Qu’avait donc de si particulier cette œuvre qui, d’un côté, passa pour une blague mais qui, pour certains dont le compositeur lui-même, fut considérée comme une manifestation pure de sagesse et de sincérité ? Socrate fut conçu au même moment où Satie entretenait des liens étroits avec le monde cubiste. Pablo Picasso et Georges Braque furent désormais les maîtres d’un courant artistique qui allait révolutionner le monde artistique. De concert avec les valeurs avant-gardistes prônées par Erik Satie, les cubistes cherchèrent à bousculer les attentes du public en modifiant l’approche visuelle de manière à stimuler les différentes perceptions sensorielles. Avec le ballet Parade, représenté en mai 1917, le compositeur collabora avec Picasso et ceci eût grandement influencé son style musical puisqu’il employa des techniques se rapprochant grandement du cubisme. Comme le soutient Daniel Albright, Satie trouva dans le cubisme son analogue artistique. Selon moi, outre Parade, Erik Satie bénéficiera de l’esthétique cubiste pour développer son œuvre Socrate. Cette thèse se concentre sur la signification de l’œuvre Socrate, plus particulièrement comment celle-ci pourrait représenter un autoportrait d’Erik Satie. De surcroît, elle examine comment cette représentation est camouflée derrière des méthodes cubistes traduites musicalement. La thèse s’appuie sur une littérature variée portant sur divers sujets relatant Socrate, dont la biographie du compositeur et sa relation avec des réseaux artistiques, intellectuels et sociaux. Cette thèse est la première étude d’envergure à suggérer une possibilité d’autoportrait cubiste musical puisque peu d’auteurs se sont attardés à résoudre cette problématique. Cette thèse décrit comment Socrate est une manifestation personnelle de sincérité et d’humilité d’un compositeur qui, persécuté tout au long de sa vie, se dévoila aux yeux de tous par le recours à cette figure emblématique de l’histoire : Socrate.
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Socrate : Autoportrait cubiste d'Erik Satie

Bourgault, Mélissa January 2014 (has links)
Erik Satie fut toujours considéré comme un personnage énigmatique dans le monde musical français au tournant du siècle dernier. Sa personnalité marginale et ses œuvres dépouillées aux titres étranges ont maintes fois suscité questionnements et polémique. En 1917, Erik Satie écrivit une œuvre qui ne ressembla aucunement au répertoire antérieur du compositeur. Socrate, qui fut représenté publiquement pour la première fois en janvier 1920 à la Société Nationale de Paris, laissa le public et la critique perplexe et mitigé. Qu’avait donc de si particulier cette œuvre qui, d’un côté, passa pour une blague mais qui, pour certains dont le compositeur lui-même, fut considérée comme une manifestation pure de sagesse et de sincérité ? Socrate fut conçu au même moment où Satie entretenait des liens étroits avec le monde cubiste. Pablo Picasso et Georges Braque furent désormais les maîtres d’un courant artistique qui allait révolutionner le monde artistique. De concert avec les valeurs avant-gardistes prônées par Erik Satie, les cubistes cherchèrent à bousculer les attentes du public en modifiant l’approche visuelle de manière à stimuler les différentes perceptions sensorielles. Avec le ballet Parade, représenté en mai 1917, le compositeur collabora avec Picasso et ceci eût grandement influencé son style musical puisqu’il employa des techniques se rapprochant grandement du cubisme. Comme le soutient Daniel Albright, Satie trouva dans le cubisme son analogue artistique. Selon moi, outre Parade, Erik Satie bénéficiera de l’esthétique cubiste pour développer son œuvre Socrate. Cette thèse se concentre sur la signification de l’œuvre Socrate, plus particulièrement comment celle-ci pourrait représenter un autoportrait d’Erik Satie. De surcroît, elle examine comment cette représentation est camouflée derrière des méthodes cubistes traduites musicalement. La thèse s’appuie sur une littérature variée portant sur divers sujets relatant Socrate, dont la biographie du compositeur et sa relation avec des réseaux artistiques, intellectuels et sociaux. Cette thèse est la première étude d’envergure à suggérer une possibilité d’autoportrait cubiste musical puisque peu d’auteurs se sont attardés à résoudre cette problématique. Cette thèse décrit comment Socrate est une manifestation personnelle de sincérité et d’humilité d’un compositeur qui, persécuté tout au long de sa vie, se dévoila aux yeux de tous par le recours à cette figure emblématique de l’histoire : Socrate.
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Les enjeux humanistes du dialogue entre poésie et peinture dans Les écrits sur l'art de Francis Ponge / Humanist issues in the dialogue between painting and poetry in writings on the art of Francis Ponge

Jeridi, Sihem 13 September 2018 (has links)
Francis Ponge a entrepris un dialogue avec la peinture en vue d’interroger les fondements d’une telle interférence telle qu’elle se manifeste dans le cadre parisien du 20ème siècle. Ce rapport conçu par le poète comme une alliance participe de l’instauration d’une philosophie humaniste qui clame son attachement au réel comme principe majeur de la création artistique et poétique. L'unité thématique et technique qui régit les textes repose sur des rapprochements systématiques qui concernent plusieurs aspects : parallélisme des pratiques, convergence des visions de l'art, unicité de la définition d'artiste... Ponge prépare le terrain à un nouveau tournant dans son œuvre qui est le dialogue entre l’écriture et la peinture, une pensée qui s'est installée définitivement dans les pages de L'Atelier bien qu'elle se déploie tout au long de ses textes et notamment les premiers. D'une réflexion qui se profile en filigrane sous la forme d'une métaphore filée, la pensée sur l'art revêt un statut majeur dans la poétique de Ponge. / Francis Ponge undertook a dialogue with the painting to question the foundations of such interference such as it shows itself in the Parisian frame of the 20th century. This relationship conceived by the poet as an alliance participates of the institution of a humanist philosophy which cries out its attachment in the reality as the major principle of the artistic and poetic creation. The thematic and technical unity which governs texts relaying on systematic links which concern several aspects: parallelism of the practices, the convergence of the visions of the art, the uniqueness of the definition of artist... Ponge prepares the ground for a new turning point in its work which is the dialogue between the writing and the paint a thought which settled down definitively in the pages of The Workshop although it displayed throughout its texts in particular the first ones. Of a reflection which is outlined between the lines under the shape of a spun metaphor, the thought on the art dresses a major status in the poetics of Ponge.
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L'architectonique cubiste du corps : les schémas anatomiques chez Picasso et Raymond Duchamp-Villon, 1907-1918 / Architectonic of the Cubist body : the anatomical schema and in the works of Picasso and Duchamp-Villon, 1907-1918

Matsui, Hiromi 12 March 2015 (has links)
Cette étude se focalise sur l’examen conjoint des représentations du corps dans les œuvres de Pablo Picasso et de Raymond Duchamp-Villon. Afin d’apporter un éclairage nouveau sur la représentation du corps cubiste, notre objectif est d’examiner la portée de la connaissance de l’anatomie artistique, branche scientifique se rapportant non seulement à l’anatomie (au sens plus spécifique de l’ostéologie et de la myologie) mais aussi à l’étude de la proportion humaine, à la physiologie, la physionomie, l’ethnologie, l’anthropologie et la morphologie. En élaborant une nouvelle interprétation des images cubistes qui la relierait à la fois à la science anatomique et au classicisme dans le cadre de l’histoire de l’art, notre recherche ouvre une étude morphologique du cubisme à de multiples disciplines, comme l’esthétique et l’épistémologie. Si la recherche picturale de Picasso porte sur la structure du corps humain, Duchamp-Villon cherche pour sa part à représenter le dynamisme et la vitalité du corps. En d’autres termes, en partant des mêmes savoirs scientifiques ces deux artistes proposent deux modalités différentes de l’architectonique de la représentation du corps : se dispensant de théoriser cette architectonique, Picasso et Duchamp-Villon découvrent une expression du corps qui leur est propre. Par ce biais, nous cherchons à mettre en lumière les modalités par lesquelles le schéma cubiste se forme dans l’oscillation entre art et sciences, intuition et intelligence, subjectivité et objectivité, métamorphose organique des images et modélisation mécanique du corps. / This study focuses on the analyses of the representations of the human body in the works of Pablo Picasso and Raymond Duchamp-Villon during their cubist periods. In order to shed some new light on the representation of the body in the cubist works of these two artists, the importance and the modality of the artistic anatomy is examined. This includes branches of science related not only to the anatomy (specifically osteology and myology), but also to the study of human proportion to the physiology, physiognomy, ethnology, anthropology, and morphology. Developing a new interpretation of Cubist images that is linked both with anatomical science and classicism in art historical context, this research corresponds to a morphological study of Cubism in multiple disciplines, such as aesthetics and epistemology. In particular, this study's aim is to consider two different forms of architectonic representation of the cubist body, starting from the same scientific knowledge. If research of Picasso is concerned mostly with the structure of the human body, Duchamp-Villon's seeks the dynamism and vitality of the body: far from axiomatizing scientific knowledge, the two artists rectify it in their own way to discover their unique expressions. Through this, the method by which the cubist pattern is formed in the oscillation between art and science is clarified, between: intuition and intelligence; subjectivity and the objectivity; and organic metamorphosis of images and the schematization of the mechanical body.
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Kazimir Malévitch : le suprématisme comme sensation pure / Kazimir Malevitch : suprematism as pure sensation

Railing, Patricia Ann 29 March 2013 (has links)
Entre 1911 et 1920, Kazimir Malévitch découvre de nouvelles lois artistiques. Grâce à l' « Optique physiologique » d'Hermann von Helmholtz (1856-1866), il transforme les lois scientifiques des sensations optiques (couleur, lumière, mouvement) et celles des structures optiques de la vision en lois artistiques avec lesquelles il crée ses tableaux néo-primitivistes (1911-1912), proto-cubistes (1912-1913), futuristes (1912), cubistes (1913-1914) et suprématistes (1915-1920). Cette transformation des lois scientifiques de la vision en principes créatifs explique les innovations et l'évolution stylistique de Malévitch de 1911 à 1920. Ces découvertes sur les procédés créatifs de Malévitch sont totalement nouvelles, car ce travail est le premier à porter sur ce sujet. La présente thèse est composée de deux parties. La première présente en trois chapitres les lois de la perception sensorielle. Ell explique comment l'oeil voit la direction, la position, la taille et les dimensions dans le champ visuel. La seconde consiste également en trois chapitres, dans lesquels l'auteur analyse l'exploration par Malévitch de la sensation et de la perception sensorielle dans ses tableaux néo-primitivistes et proto-cubistes, de la perception sensorielle seule dans le cubisme et des sensations de couleur et de lumière pures dans le suprématisme. Tandis que la science révèle à l'artiste les vérités de la vision, les tableaux de Malévitch deviennent l'art de la vision optique. Ces recherches fournissent une contribution majeure pour la compréhension de l'oeuvre de Kazimir Malévitch. / Between 1911 and 1920, Kazimir Malevitch was discovering new artistic laws with which to create. Relying on Hermann von Helmholtz's, « Treatise on Physiological Optics (1856-1866), scientific laws of optical sensations (colour, light and movement) and optical structures of seeing were transformed into artistic laws. With them Malevitch created his Neo-Primitivist paintings (1911-1912), Proto-Cubist paintings (1912-1913), Futurist paintings (1912), Cubist paintings (1913-1914), and Suprematist paintings (1915-1920). Adapting scientific laws of vision to creative laws of painting is what accounts for Malevitch's innovations and artistic development, 1911-1920.These are entirely new discoveries about malevitch's creative processes, a subject investigated here for the first time. Divided into two parts, the first part consists of three chapters on the science of optical sensations, the laws of light and colour, and the laws of sense perceptions : how the eye sees direction, position, size and dimensions in the visual field. The second part consists of three chapters analysing how Malevitch explored sensation and sense perception in the Neo-Primitive and Proto-Cubist paintings, sense perception in Cubism, and, in Suprematism, the pure sensations of colour and light. With science providing the truths of vision, Kazimir Malevitch's paintings became the art of the seeing eye, and this is a major new contribution to the understanding of the painting of Kazimir Malevitch.
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Le cubisme des poètes : étude des relations complexes entre la peinture cubiste et le langage : Apollinaire, Cendrars, Cocteau, Jacob, Reverdy / The cubism of poets : a study of the relationship between cubist painting and language : Apollinaire, Cendrars, Cocteau, Jacob, Reverdy

Febvre-Flory, Marie-Cécile 16 March 2018 (has links)
Cette étude aborde les relations intersémiotiques qui se sont nouées entre la peinture cubiste et les poètes qui fréquentaient les artistes de ce mouvement. La proximité de leurs questionnements montre que, en dépit du fait que l’histoire littéraire française ne reconnaisse pas de mouvement cubiste en poésie, il existe de nombreux points de concordance entre ces deux domaines. En tant que critiques, les poètes ont beaucoup écrit sur le mouvement, dont ils ont entrepris de se faire les défenseurs, même s’ils ont eu des difficultés à rendre compte de la richesse du cubisme. Cette peinture se présente en effet comme un obstacle au langage et à l’herméneutique, ce que l’on constate tout particulièrement avec la question de l’ekphrasis. De sorte que seule la puissance figurale du langage poétique permet au langage de rendre compte de celle de la peinture cubiste.Ce travail s’interroge sur la spécificité de ce mouvement pictural et sur les conditions de possibilités d’une analyse conjointe de cette peinture et de la poésie qui lui est contemporaine. Il s’agit aussi d’analyser les aspects du cubisme qui ont intéressé les poètes, ainsi que la manière dont ils ont surmonté la résistance qu’oppose la peinture au langage. L’utilisation d’un même métalangage pour la peinture cubiste et la poésie permet en fin de compte de travailler, malgré les limites inhérentes à cet exercice, sur la correspondance des arts et de trouver des similarités en ce qui concerne le mode d’apparition des œuvres, de leur structure et de la poïétique qu’elles incarnent. / This thesis studies the intersemiotic relationship that links cubist painting and the poets who were in relation with the artists of this movement. The proximity between their creative interrogations shows that, despite the fact that the French literary history doesn’t recognize a cubist movement, there are nevertheless some concordance between these two artistic fields. As critics, the poets wrote a lot about cubism, being its defenders, however, they had some difficulties to translate into word the full measure of cubism, this art movement being an obstacle to language and to hermeneutic, as evidenced by the question of ekphrasis. Only the figural power of poetry can respond to that of this art.This study aims at wondering about the specificity of this pictorial movement and of the conditions of possiblity of a joint analysis of the cubist painting and the poetry wich is contemporary of it. Then, the aspects of cubism wich interested the poets are analyzed, as well as how they overcomed its resistance to language. At last, the fact that the same metalanguage can be use for both poetry and art allows to work, inspite of the limits inherent to this exercise, on the correspondance of the arts, to find junction points as regards the mode of appearance of the works, their structure, and the poietic they embody.
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Du collage au cut-up (1912-1959) Procédures de collage et formes de transmédiation dans la poésie d'avant-garde

Dumoulin, Gilles 19 March 2012 (has links) (PDF)
Le collage et le cut-up sont deux " procédés " apparus, comme pratique et comme concept, dans le courant du XXe siècle : dans la première décennie pour ce qui est du collage et, pour le cutup, à la fin des années cinquante. Le terme de collage est issu des arts plastiques, et des pratiques qui ont succédé aux expérimentations des " papiers collés " de Georges Braque et Pablo Picasso à partir de 1912, tandis que celui de cut-up est emprunté à l'écrivain américain Brion Gysin expérimentant cette technique, avec William Burroughs, en 1959. Une cinquantaine d'années sépare les deux " procédés ", qui ne recouvrent pas exactement les mêmes pratiques, comme le notait Brion Gysin : " L'écriture a cinquante ans de retard sur la peinture ", en entendant par là appliquer à la lettre - et à la littérature - la pratique même des " papiers collés " des expérimentations cubistes. Cinquante ans de retard ? Rien n'est moins sûr en réalité, si l'on examine l'histoire de la pratique dans la littérature, notamment à travers les expérimentations des premiers courants d'avant-garde, puisque se mettent en place, dès 1912-1913, des procédures de transmédiation qui font progressivement glisser l'esthétique du collage des arts plastiques à la poésie. C'est sur l'histoire de ces cinquante années " de retard " que voudrait revenir cette étude, pour examiner les différentes formes que prend cette transmédiation de l'esthétique du collage dans les courants d'avant-garde, jusqu'à l'invention du cut-up.
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Du cubisme à d'autres cathédrales : Diego Rivera et l'"Art Social" d'Elie Faure / From Cubism to other Cathedrals : Diego Rivera and the “Social Art” of Elie Faure

Quintana Marín, María Isabel 26 November 2016 (has links)
Installé à Paris en 1911, Diego Rivera se rallie au cubisme pour retourner au réalisme en 1918. A cette époque, il tisse une amitié riche en échanges avec Élie Faure, socialiste comme lui. Faure voit chez l'artiste "une source inépuisable de surprises et d'enseignements»; Rivera considère l'historien de l'art comme l'un de ses« maîtres". Élie Faure a une compréhension de la société et de l'art basée sur la contribution de personnalités qui ont bouleversé la pensée et les arts depuis la Révolution française: Saint-Simon, Nietzsche, Dostoïevski, Tolstoï, Cézanne, entre autres. Déclarant l'échéance de l'esprit individualiste de la Renaissance, il annonce l'avènement d'un rythme collectif d'expression artistique sociale et monumentale, notamment architecturale, dont l'intention de «construire» en peinture est un symptôme. Le Moyen-âge français lui fournit un paradigme de l'ordre collectif et de I' «Art social», la cathédrale comme étant la plus parfaite expression, manifestation de la collaboration humaine et symbole même d'une civilisation. En 1921, décidé à militer pour l'établissement d'un nouvel ordre social, Rivera rentre dans son pays. Il est passionné par la socialisation de l'art et par l'architecture. Son discours et ses démarches révèlent ses affinités intellectuelles avec l'historien de l'art français et exprime une volonté de mener à son accomplissement l'"Art social". Cependant, les idées du peintre évoluent avec les évènements politiques, sociaux et culturels du Mexique, tenant compte du contexte mondial. Cet échange franco-mexicain illustre la complexité des transferts qui conduisent aux discours actuels de la mondialisation artistique. / Moving to Paris in 1911, Diego Riverais won over to Cubism only to return to Realism in 1918. During that period, he builds a rich friendship with Elie Faure, a socialist like him. Faure sees in the artist ''an endless source of surprises and lessons." Rivera considers the art historian Faure as one of his "masters. "Elie Faure has an understanding of society based on the contribution of individuals who have changed thinking and the art since the French Revolution : Saint-Simon, Nietzsche, Dostoïevski, Tolstoï, Cézanne, and others. Declaring the end of the individualistic spirit of the Renaissance, he announces the beginning of a collective rhythm of social and monumental artistic expressions, especially in architecture, with the intention to "construct" by painting as an indication. The French Middle Ages provides Elie Faure with a paradigm of collective order and "Social Art," of which the cathedral is the most perfect expression - a manifestation of perfect human collaboration and a symbol of a civilization. In 1921, having decided ta campaign for the establishment of a new social order, Rivera returns ta his country. He is passionate about the socialization of art and architecture. His speech and his actions reveal his intellectual affinity with the French art historian and show a willingness to carry to completion "Social Art. "However, the painter 's ideas evolve with the political, social, and cultural events of Mexico, taking into account the global context. This Franco-Mexican exchange illustrates the complexity of the transfers that lead to the current globalization of artistic discourse.

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