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Le public face à sa justice : Éléments pour une réflexion sur les mutations de la démocratie à partir de l’étude d’une garantie procédurale / The public before his Justice : Elements for a reflection on the changes of democracy starting from the study of a procedural guarantee

Carpentier, Franck 20 June 2018 (has links)
Le principe de publicité de la justice est présenté, notamment par le droit conventionnel, comme contribuant à fonder l'existence d'une « société démocratique ». L'objet de notre étude est d'interroger la portée de cette garantie procédurale à l'heure de la généralisation du principe de transparence afin de déterminer dans quelle mesure elle peut nous aider à penser la démocratie à l’échelle nationale. / The principle of publicity is presented, in particular by conventional law, as contributingto founding the existence of a "democratic society". The purpose of our study is to question therange of this procedural guarantee at the time of the generalization of the principle of transparencyin order to determine to what extent it can help us to regard democracy at the national level.
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Faire le slam : une ethnographie des pratiques poétiques collectives entre Paris et Marseille / Making Slam Poetry : an ethnography of collaboratives poetic practices between Paris and Marseilles

Parlati, Luigia 10 December 2018 (has links)
Cette recherche porte sur une pratique de création poétique, le slam, qui est née à la fin des années 1980 aux États-Unis et qui est aujourd’hui largement répandue dans plusieurs pays, notamment en France. Si le succès de public (en 2006) d’artistes comme Grand Corps Malade est la forme plus reconnaissable de cette pratique de par sa médiatisation, il existe une hétérogénéité de « formes slam » et de pratiques qui sont devenues l’objet de cette thèse. Un slam de poésie est un espace de parole ouvert à tous et il est organisé selon différents dispositifs, de la compétition au « micro ouvert » et dans plusieurs typologies de lieu (bar, salle de spectacle, bibliothèques, espaces publics). Toute personne ayant un texte à dire (qui peut être écrit au préalable ou pas) peut donc le faire devant un public, sans qu’on lui impose aucune contrainte de style ou de contenu. Cette simplicité apparente du fonctionnement du slam vient interroger en réalité plusieurs types de « frontières » qui font sens pour certains acteurs du monde de la création littéraire (poésie écrite/poésie à voix haute), de l’éducation linguistique (parler littéraire/parler ordinaire) et de la formation du goût artistique (excellence/banalité). Mais les slameurs et slameuses rencontré.e.s dans mes enquêtes entre Paris et Marseille (ainsi qu’à l’internationale), témoignent d’un autre monde commun, où l’expérimentation verbale, vocale et performative coexiste avec le désir de partager librement la parole ou de s’engager dans une démarche artistique. Croisant les discours des acteurs avec la doxa et la littérature sur le sujet, cette thèse a pour ambition de proposer des analyses situées de cette pratique poétique collective, afin de rendre compte de son extrême disponibilité à accueillir tout acte de parole dite à voix haute et en public. C’est une recherche qui se donne pour objectif d’au moins mettre à jour les nœuds, tensions et enjeux suscités par cette liberté du slam à être agencé et participé. / This research focuses on poetry slam, a practice of poetic performance, born in the late 1980s in the United States and now widespread in several countries, including France. If the public success (in 2006) of artists such as Grand Corps Malade is the most recognizable form of this practice through its media coverage, there is a heterogeneity of "slam forms" that have become the subject of this thesis. Poetry slam is an open platform and it is organized according to different approaches, from competition to "open microphone" and in several kinds of places (bar, stages, libraries, public spaces). Anyone with a text to say (which can be written in advance or not) can therefore do it in front of an audience, without any injunction of style or content. This apparent simplicity of poetry slam actually questions several types of "boundaries" that make sense to some actors in the world of literary creation (written poetry/poetry readings), language education (literary/common language) and artistic creation (excellence/triviality). But the slammers I’ve met in my fieldwork between Paris and Marseille (as well as abroad), participate of another common world, where verbal, vocal and performative experimentation cohabit with the desire to freely share their words or being engaged in an artistic endeavor. Crossing the discourses of the actors with the doxa and literature on the subject, this thesis aims to propose some analysis based on this collective poetic practice, in order to account for its extreme readiness to accommodate any speech act aloud and in public. This research aims to at least elucidate the tensions and issues raised by poetry’s slam freedom to be empowered and be engaged.
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Processus de décentralisation au Mali et les effets sociopolitiques de la gouvernance locale sur les usages : Conflits de leadership et jeux de coopération des acteurs locaux dans le cercles de Diéma et de Nioro du Sahel / "Conflicts of local governance in the decentralization process in Mali : the case of circles Nioro du Sahel and Diéma"

Ba, Samba Aly 01 July 2016 (has links)
A partir des années 90, le Mali s’est engagé dans un véritable processus de décentralisation. Mais la plupart des entités territoriales décentralisées sont confrontées aux défis de la gouvernance locale. La gestion de proximité que cette situation implique entraîne l'ouverture de cadres de concertations et de prises de décisions en faveur du grand nombre des citoyens. Ce qui n'est pas sans poser des problèmes de conflits de compétences entre la tutelle ministérielle, les services déconcentrés de l'État, les collectivités locales, les acteurs de la coopération décentralisée, la société civile, la chefferie traditionnelle et les communautés villageoises. L’étude de la gouvernance locale et de la décentralisation est devenue un objet canonique en science politique. Elle demeure toujours d’actualité. En science politique, la « gouvernance locale » découle de la « gouvernance politique » d’une manière générale. Elle fait référence à des formes de coordination qui incluent une pluralité d’acteurs. A ce titre, l’action publique locale n’est plus le seul fait des autorités élues qui sont désormais tenues d’impliquer cette pluralité d’acteurs dans les processus décisionnels. La gouvernance locale occasionne un brassage d’acteurs d’appartenance sociopolitique et professionnelle diverse. Elle implique un « partage du pouvoir » dans les processus décisionnels et la reconnaissance d’une multiplicité de parties prenantes dans la gestion des affaires de la communauté. L’objectif de cette réflexion sociopolitique, à partir de l’expérience du Mali, notamment dans les cercles de Diéma et de Nioro du Sahel, vise à étudier le paysage sociopolitique local à partir des conflits de gouvernance locale liés à la gestion des équipements communautaires et des programmes de coopération décentralisée et de développement local. Il s’agit également de voir comment trouver dans le passé africain des éléments fécondants pouvant promouvoir des processus de décentralisation pertinents adaptés à nos réalités et porteurs de progrès. / From the 90’s, Mali got into a real decentralization process. But most of the decentralized territorial entities face the challenges of local governance. The community-based management that this new situation implies leads to open frameworks for consultations and decision-making for a large number of citizens. This is not without creating conflicts of competence between the ministerial administrative supervisor, the decentralized services of the state, the local collectivities, and the actors of the decentralized cooperation, the civil society, the traditional chieftaincies and the communities of villages. Indeed, the studies on local governance and decentralization policies have become a canonical object in political science. But it still remains current news. In political science, “local governance” stems generally from “political governance”. It refers to the forms of coordination, which include a plurality of actors. In that sense, the local public action is not the only fact of elected authorities who are obliged to involve the plurality of actors in the decisional process. Local governance creates situations of a combination of actors who belong to different socio-political and professional areas. It implies “power sharing” in the decision-making process and the recognition of a multiplicity of stakeholders in the management of the community affairs. The objective of this socio-political reflection, from the experience of Mali, especially in the circles of Diema and Nioro du Sahel, is to study the local socio-political landscape from the local governance conflicts due to the management of the community development equipment, the decentralized cooperation and local development programs. It is also about how to find in the African past of fertilizing elements that promote relevant decentralization process adapted to our progress and rview holders.
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Système électoral, Etat particratique, régime représentatif :dix propositions pour réformer la démocratie belge

Sohier, Jérôme 28 June 2021 (has links) (PDF)
Notre régime démocratique est affecté depuis quelques années par une véritable crise de confiance de la part des citoyens, qui est illustrée notamment par un taux d’abstentions toujours croissant lors des élections et un essor des votes populistes au profit de partis extrémistes, et qui nous oblige à mener une réflexion et une remise en question sur les possibilités de retrouver une foi dans nos institutions, en osant quereller certains socles de notre régime constitutionnel qui paraissent périmés à l’heure actuelle, et explorer des voies émergentes qui restent sans doute encore trop confidentielles. Cette distance entre les électeurs et les élus paraît encore aggravée en Belgique par la complexité du fédéralisme belge et par les défauts inhérents au système de représentation proportionnelle, qui entraînent des difficultés substantielles pour la formation d’un gouvernement disposant d’une stabilité minimale. Afin de redonner une vitalité à notre système démocratique et de combler, tant que faire se peut, le fossé qui se creuse irrémédiablement entre les électeurs et les élus, il faut à notre sens, d’une part, réformer substantiellement notre système électoral tant en ce qui concerne le type de scrutin, que ses modalités et le contrôle de sa régularité, mais également, d’autre part, régir le statut et le fonctionnement des acteurs principaux que sont les partis politiques, et inventer enfin d’autres formes de participation des citoyens au processus de décision, impliquant, tout à la fois, une composition radicalement différente des organes délibératifs et une vraie rotation des charges de représentants. L’étude porte ainsi sur trois types de réformes radicales à envisager :- dans un chapitre Ier, c’est le régime électoral de la représentation proportionnelle qui est examiné, avec, en conclusion, la nécessité d’une réforme vers un système mixte, incluant des aspects de scrutin majoritaire et permettant de clarifier les enjeux électoraux et la perception, par les citoyens-électeurs, de ceux-ci ;- dans un chapitre II, c’est le régime particratique qui est examiné, en partant de ce paradoxe que les partis politiques sont de facto devenus les acteurs principaux du régime démocratique, alors qu’ils ne sont même pas reconnus par la Constitution, ce qui nous conduit à proposer, tout à la fois, que leur existence soit consacrée dans la Constitution, de même qu’une série d’obligations qui devraient être mises à leur charge, notamment de structure et de finalité démocratiques ;- dans un chapitre III, c’est le régime représentatif lui-même qui est examiné, à partir de ce constat qu’il ne laisse aucune place à des procédés de représentation directe et confine ainsi les citoyens-électeurs à un rôle totalement passif entre deux élections. Au départ de ce constat, l’étude développe l’idée émergente d’une assemblée tirée au sort, à côté de la Chambre des Représentants issue des élections, qui s’avère, à notre sens, parfaitement compatible avec les idéaux démocratiques.L’étude se veut essentiellement pratique. Afin de promouvoir un vrai « renouveau politique », autour du fil rouge que constitue la confiance que les citoyens doivent retrouver envers le régime démocratique, elle porte, en conclusions, dix réformes très concrètes, soit par une révision de la Constitution, soit par des modifications légales, sur les élections, sur les partis politiques et sur la composition des assemblées. / Doctorat en Sciences juridiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le développement local dans un contexte de mondialisation : une confrontation entre théories et pratiques à partir de deux études de cas : Bamako (Mali) et Marseille / Local development in globalisation context : a confrontation between theories and practices from two case studies : Bamako (Mali) and Marseilles

Bourse, Loic 06 January 2011 (has links)
D’une manière générale, les théories du développement ne constituent pas seulement des modèles explicatifs du changement social mais représentent avant tout des modèles théoriques fortement imprégnés d’idéologie justifiant les axes d’action des programmes politiques de développement. Dans un premier temps, les théories proposaient aux pays du « Sud » le rattrapage du retard ou le gommage de l’ordre historique de domination internationale comme solution à l’énigme du développement. Dans un second temps, à la fin des années 1970, elles constituaient le moyen de garantir une forte croissance économique pour les Etats aussi bien du « Nord » que du « Sud » par l’application des PAS. A partir des années 1990, un nouveau corpus de théories du développement propose une forme d’action politique se distinguant des ajustements structurels, le développement local. Celui-ci se décline en trois grands axes d’actions : - le retour du politique en tant qu’institution de régulation économique et sociale à travers les idées de gouvernance et de démocratie participative ;- l’optimisation de la croissance économique et des services sociaux par la régulation politique ;- le développement local en tant que niveau de production et de régulation du politique, du social et de l’économique.Ainsi, que cela soit à l’échelle des théories scientifiques ou des programmes politiques, ces trois axes constituent les conditions sine qua non du changement social. Mais le fait de suivre ces axes conduit-il au développement local ? C’est à cette question que nous nous sommes efforcé de répondre par la mise en perspective de pratiques de développement local au niveau d’une ville d’un pays dit « du Sud », Bamako au Mali, et au niveau d’une ville d’un pays dit « du Nord », Marseille en France. / Overall, development theories are not only explanatory models of social change but are primarily theoretical models strongly imbued with ideology justifying the action axes of program development policies. Initially, the theories proposed for the 'southern' countries to “take off” or to wipe the historical order of international dominance as a solution to the riddle of development. In a second step, in the late 1970s, they were the means of ensuring strong economic growth for “North” and “South” countries by the application of SAPs. From the 1990s, a new set of theories of development proposes a form of political action distinct from structural adjustment: local development. It comes in three main action axes:- the return of politics as an institution of economic and social regulation through the ideas of governance and participatory democracy ;- optimization of economic growth and social services by political regulation ;- local development as a production and a regulation level of the politic, the social and the economic.Thus, whether at the level of scientific theories or political agendas, these three axes are the prerequisites of social change. But must these prerequisites be followed to lead the Local Development? This is the question that we tried to address through the perspective of local development practices in a city of a “South” country, Bamako, Mali, and in a city of a “North” country, Marseille, France.
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Activités et contenus des ouvrages scolaires québécois d'histoire générale (1985-1999) relatifs aux causes de l'évolution démocratique

Éthier, Marc-André January 2000 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'héritage kantien en éthique internationale : le paradigme cosmopolitique

Chung, Ryoa January 2001 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La problématique de la démocratie dans les médias analysée selon la théorie de Cornélius Castoriadis

Lévesque, Annie 13 April 2018 (has links)
Ce mémoire a une double finalité. Il traite à la fois d'un sujet d'une importance non négligeable dans notre société à savoir la démocratie dans les médias par les significations qu'ils prônent, tout en approfondissant un auteur trop peu connu dans le milieu intellectuel québécois, Cornélius Castoriadis. Ainsi, ce qui nous intéresse c'est la question de la démocratie dans les médias en utilisant comme base et méthode de recherche, la théorie castoriadienne. Ce mémoire nous montre que des médias privatisés comme les nôtres font obstacle à la démocratie. Bien sûr ce résultat est toujours basé selon la pensée de l'auteur que nous étudions. Il semble possible de percevoir les médias comme une sorte de baromètre social nous indiquant l'orientation politique de la société qu'ils représentent. L'hétéronomie et l'incapacité de recréer un espace démocratique de nos propres médias télévisuels nous démontrent ainsi l'importance et surtout l'urgence de réfléchir sur l'état de la démocratie libérale au sein de la société capitaliste contemporaine.
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Politique et incertitude chez Claude Lefort

Fourneaux, Germain 12 April 2018 (has links)
Le dessein de ce mémoire est de montrer comment la pensée de Claude Lefort est traversée par la question de l'incertitude. Nous cherchons à présenter comment, influencé par la phénoménologie de Merleau-Ponty, Lefort défend l'idée que la modernité se structure en fonction d'une perte de surplomb. Reprenant l'ensemble de son œuvre, nous explorons comment l'incertitude liée à cette perte de surplomb permet à Lefort de rendre compte de l'expérience démocratique et de sa négation au sein des différents systèmes totalitaires.
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Démocratie arithmétique, démocratie algébrique : Rousseau, la volonté générale et les petites différences

Dobrescu, Radu 12 April 2018 (has links)
Depuis plus de 200 ans, la distinction rousseauiste entre volonté de tous et volonté générale est au cœur de toute théorie démocratique. Mais si Rousseau nous a légué comme tâche réflexive le travail de cette distinction fondatrice, la manière dont il l'a lui-même pensée est restée largement incomprise. La fameuse analogie mathématique à laquelle il fait recours brouille plus qu'elle n'éclaire la distinction qu'elle est censée introduire et illustrer : la volonté générale serait une intégrale, la somme algébrique des nombreuses petites différences des vouloirs individuels, la volonté de tous - la somme arithmétique des mêmes différences intersubjectives, leur découpage massif en petit nombre de grandes différences, sinon en grande différence unique. Si cette nébuleuse solution mathématique a brouillé bien des interprètes du Contrat social, c'est aussi parce qu'elle y est à son tour brouillée par trois autres pistes/solutions contradictoires : rustique (l'unanimité spontanée des troupes paysannes), épistémique (la majorité a toujours raison) et épistocratique (le Législateur). Cette thèse a pour objectif principal d'éclairer ce passage réputé impénétrable dans ses rapports à ces autres pistes. Le procédé algébrique (la volonté générale comme intégrale) doit être rigoureusement dégagé dans le raffinement de l'interprétation (lumineuse mais insuffisante) donnée par Philonenko (1968, 1984, 1986), son opérationnalisation comme procédure (à suivre dans une délibération possible), plus difficile encore à saisir vu que ni Rousseau ni Philonenko n'en disent un mot, doit être imaginée, pensée, construite - et ce, dans la confrontation avec les procédés/procédures arithmétiques propres à la volonté de tous et surtout avec les autres scénarios délibératifs, alternatifs et concurrents, présents dans le Contrat social. Mais résoudre le redoutable casse-tête rousseauiste de l'analogie mathématique n'a pas qu'un intérêt philologique. Une fois restituée, l'intuition inaugurale de Rousseau permet de resituer toute théorie démocratique post-Rousseau, à commencer par les deux tentatives actuelles (délibérative, épistémique) de dépasser la volonté de tous (libérale) pour retrouver une volonté générale formée discursivement ou/et condorcetienne. Confrontés à la distinction rousseauiste enfin comprise et surtout opérationnalisée, les débats en cours autour de la démocratie peuvent être replacés dans un horizon qui serait plus intimement le leur, repensés et relancés, sinon refondés - selon l'espacement oppositif de l'arithmétique et de l'algébrique.

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