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Charles Van der Stappen, 1843-1910: un artiste-sculpteur de la fin de siècle et la renaissance de la sculpture en Belgique / Charles Van der Stappen, 1843-1910: an artist and a sculptor fron the end of the nineteenth century and the renewal of sculpture in Belgium

Sioc'Han De Kersabiec, Angélique 29 April 2013 (has links)
À la fin du XIXe siècle, le sculpteur belge Charles Van der Stappen (1843-1910) est accueilli comme l’un des grands représentants de la sculpture aux expositions internationales de Paris, Amsterdam, Budapest, Dresde, Glasgow, Turin… ainsi qu’aux sécessions viennoises, berlinoises ou encore aux biennales de Venise. L’œuvre la plus connue de l’artiste, Le Sphinx mystérieux (buste chryséléphantin, Musées Royaux d’Art et d’Histoire, Bruxelles) est considéré comme une pièce phare de la sculpture symboliste et Art Nouveau. Pourtant, la production de l’artiste n’a jamais été étudiée dans son ensemble ni dans son évolution. Cette thèse se fixe donc comme objectif la redécouverte de l’œuvre de Van der Stappen en parallèle avec la réévaluation de son rôle dans l’évolution de la sculpture en Belgique au tournant de 1900. L’élaboration d’un catalogue raisonné reprenant ses statues, bustes, monuments, médailles et pièces d’art décoratifs, a été une première étape importante.<p>Au fil des critiques qui commentent son œuvre, Charles Van der Stappen apparaît comme l’un des initiateurs d’une « renaissance » des arts en Belgique. La récurrence de ce terme de renaissance appliqué à Van der Stappen, est importante dans la revue L’Art moderne, dès 1883, et dans plusieurs autres journaux et publications jusqu’à la mort de l’artiste en 1911. Le livre de Georges-Olivier Destrée portant le titre The Renaissance of Sculpture in Belgium (en 1895 et rééd. en 1905) présente ainsi en couverture une sculpture de l’artiste. Dès lors, cette affirmation de « renaissance », qui commença par la littérature pour s’étendre avec la génération de Van der Stappen à la sculpture et aux arts décoratifs, apparaît à la fois révélatrice et problématique. Révélatrice en ce qu’elle synthétise la volonté de renouveau du monde artistique belge dans le dernier quart du XIXe siècle, problématique quant à l’analyse du rôle du sculpteur Van der Stappen dans ce renouveau et quant aux sources et au sens de ce renouveau. Cette thèse se base sur l’idée que le renouveau artistique de la sculpture au tournant du XIXe et du XXe siècle en Belgique est porté par le concept de renaissance et ne peut être dissocié du modèle esthétique et intellectuel de la Renaissance comprise en tant que période historique. Le concept de renaissance se définie comme l’affirmation collective d’une volonté d’innovation dans de nombreux domaines, innovation basée sur la réactualisation d’un modèle du passé. En analysant la réception des modèles de la Renaissance sur l’évolution de l’œuvre et la carrière de Van der Stappen un découpage s’impose entre trois périodes :la redécouverte, l’émulation et la transformation créative.<p>La trajectoire spécifique de l’artiste, initialement nourrie de ses séjours en Italie qu’il entreprit dès 1873 et de sa participation à l’atelier Portaels, l’amène à se confronter à l’art de la Renaissance italienne, à sa littérature et à ses techniques. Cette comparaison avec le passé le guide, selon le modèle d’une « réversion », vers une recherche de spécificité nationale, une volonté de sortir des modèles académiques et des structures officielles ainsi que vers plus de naturalisme en sculpture. En ceci, Van der Stappen tient une place majeure dans le renouveau de cette époque car il se trouve au carrefour d’un réseau d’artistes et d’hommes influents cherchant de nouvelles voies pour l’art. <p>Cependant, Van der Stappen ne se laissa pas enfermer dans un mouvement néo-renaissance et réussit à puiser dans l’histoire de la Renaissance italienne le modèle même et les concepts d’un renouveau de la sculpture de style individuel en Belgique. Sa conception de la sculpture comme un art intellectuel, un art libéral, son ouverture à l’essor des arts décoratifs sont les bases d’un renouveau de la sculpture que Charles Van der Stappen met en place dès les années 1880 et qu’il enseigna dans son atelier et à l’Académie des Beaux-Arts de Bruxelles. Van der Stappen se fait dès lors artiste humaniste, puisant l’émulation dans les arts du passé, dans le décloisonnement entre beaux-arts, littérature et arts décoratifs. Au sein d’une nouvelle « République des Lettres », il pense la sculpture comme le « reflet d’une civilisation intellectuelle », selon son expression. Ses œuvres sculptées dialoguent dès lors avec les œuvres littéraires de ses amis Edmond Picard, Camille Lemonnier, Émile Verhaeren ou Stefan Zweig, avec l’art de Constantin Meunier ou Émile Claus et avec la musique de Vincent d’Indy, entre autres. L’instrumentalisation politique et artistique de la référence à une renaissance permet d’insérer Van der Stappen dans un vaste mouvement de renaissance des arts en Belgique qui commence par la rupture et par la voie d’une spécificité nationale :le naturalisme et l’idée.<p><p>Le renouvellement de la lecture de l’œuvre de Van der Stappen à l’aune de ce concept de renaissance explicite le passage subtil de ses œuvres du naturalisme au symbolisme. Sa technique basée sur la recherche du modelé plein, du volume étudié sous tous ses angles et du renouveau du relief, lui permet de créer des œuvres originales où la sculpture se fait composition symboliste de signes. Ainsi, nous avons abouti par nos recherches à une analyse inédite de la sculpture du Sphinx, œuvre majeure de l’artiste :depuis une figure issue du voyage de formation en Italie - La Florentine - jusqu’à la sculpture Art Nouveau, Le Sphinx mystérieux, ces bustes sont les variations de la représentation d’une seule et même idée. Les variations sculpturales de Van der Stappen sur le thème du sphinx s’imposent comme la représentation évolutive de l’inspiration, qui part de la tradition de la Renaissance et se déploie dans le mystère d’une représentation symboliste de la création artistique. Cette évolution constitue la contribution la plus originale de Van der Stappen à la sculpture du XIXe siècle. Ce même concept de renouveau est à confronter avec celui qui conduisit à l’éclosion de l’Art nouveau. La spécificité de l’œuvre de Charles Van der Stappen, est d’avoir surpassé les modèles de la Renaissance italienne et de l’humanisme en les adaptant à la société de son temps. Les deux derniers projets de monuments, au Travail et à l’Infinie Bonté, sont les exemples commentés de cette relecture renaissante. De nouveaux documents non analysés jusqu’ici et la mise en parallèle avec l’« art social » développé par Edmond Picard et avec la poésie d’Émile Verhaeren, permettent de donner une explication sur leur longue conception. L'étude des apports de Van der Stappen à l'art de son temps dans le contexte du Bruxelles fin de siècle, a servi à délimiter certaines caractéristiques du symbolisme sculptural qui tiennent pour cet artiste à un processus de synthèse :au niveau de la narration, il procède à une fusion des éléments symboliques, dans sa conception de la sculpture, il réunit l’art de la ligne avec celui du relief. Van der Stappen développe ainsi une sculpture du silence qui « parle » par ses propres moyens, ceux d’un déploiement de l’idée dans l’espace. <p>Via l’œuvre et l’enseignement de Van der Stappen, l’art de la sculpture, à partir des années 1890, s’est orienté vers un art plus personnel. L’étude directe de la nature, l’importance de la ligne dans la composition, la volonté d’instiller l’art dans tout, l’introspection des figures modelées, la représentation de l’idée selon des termes propres à la sculpture, sont les indices d’une recherche propre à Van der Stappen et plus largement d’une renaissance de la sculpture spécifique à la Belgique. La volonté de renouveau des arts à la fin du XIXe siècle et de l’intégration spécifique de la sculpture dans ce processus sont des clefs pour comprendre la sculpture de Van der Stappen et la replacer dans son temps. Van der Stappen reprend à son compte point par point la stratégie de l’artiste de la Renaissance pour s’affirmer dans son temps. Cette stratégie est tout autant individuelle que collective et c’est pourquoi nous avons souligné les liens réciproques entre le sculpteur et les personnages clefs de la fin de siècle à Bruxelles qu’étaient Edmond Picard, Octave Maus, Émile Verhaeren, Camille Lemonnier ou encore Constantin Meunier. Notre doctorat, consacré à l’œuvre de Van der Stappen, apporte donc de nouveaux éléments à l’étude des arts à la fin de siècle et souligne la place, auparavant sous-évaluée, de la sculpture dans la renaissance qui eut lieu dans le dernier quart du XIXe siècle en Belgique.<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Sublimés des Nouveaux Mondes – Évocation des lieux de l'expansion européenne dans les imprimés français, des origines à 1560 / Distilled New Worlds – Mentions of the European expansion in French printed writings before 1560

Masse, Vincent 02 March 2010 (has links)
Cette thèse propose l'analyse des processus de l'intégration discursive des « Nouveaux Mondes » – c'est-à-dire des nouveaux lieux de l'expansion européenne des XVe et XVIe siècles – dans les imprimés français d'avant 1560. Le corpus s'y veut exhaustif, mais l'étude porte en priorité sur (1) les mentions brèves (dites sublimées), que celles-ci relèvent de la digression ou qu'elles soient intégrées, et (2) les textes actualisés, c’est-à-dire les traductions, les rééditions avec annexes, les adaptations, etc. Une division bipartite et heuristique est proposée, avec d'une part les actualisations d'écrits procédant par l'exclusion d'un ou d'élément(s) de l'hypotexte (c'est-à-dire du matériel textuel qui préexiste à l'acte de publication), et d'autre part par l'adjonction d'éléments supplémentaires. Cette division permet d'analyser les dits lieux, d'une part en fonction d'un principe de pertinence (lequel est révélé par les phénomènes d'exclusion), et d'autre part en fonction d'une recherche de l'inédit, voire de l'acte contentieux (qu'exprime éloquemment l'acte d'adjonction). La thèse démontre comment les deux principes, celui de la pertinence et celui de la recherche de l'inédit, sont liés à la culture émergente de l'imprimé, ainsi qu'au développement d'une grande variété de genres et de discours: littérature géographique, chroniques annales, pamphlets ou manuels anti-syphilitiques, lettres missionnaires, littérature eschatologique, traités didactiques, etc. Le concept d'acte de publication, qui est corrélatif à celui d'actualisation, permet d'aller au-delà d'une opposition entre l'ouvrage dit « périmé » et l'ouvrage dit « progressiste ». Pour ce faire est reconsidéré l'apport, pour la diffusion des nouveaux lieux, de textes comme le Tractatus de sphaera de Joannes de Sacrobosco (XIIIe siècle) et la lettre apocryphe du Prêtre Jean (XIIe siècle), qui aux XVe et XVIe siècles sont réactualisés suivant une perspective heuristique ou didactique, et participent ainsi à l'émergence d'une économie discursive des « Nouveaux Mondes ».
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Sublimés des Nouveaux Mondes – Évocation des lieux de l'expansion européenne dans les imprimés français, des origines à 1560 / Distilled New Worlds – Mentions of the European expansion in French printed writings before 1560

Masse, Vincent 02 March 2010 (has links)
Cette thèse propose l'analyse des processus de l'intégration discursive des « Nouveaux Mondes » – c'est-à-dire des nouveaux lieux de l'expansion européenne des XVe et XVIe siècles – dans les imprimés français d'avant 1560. Le corpus s'y veut exhaustif, mais l'étude porte en priorité sur (1) les mentions brèves (dites sublimées), que celles-ci relèvent de la digression ou qu'elles soient intégrées, et (2) les textes actualisés, c’est-à-dire les traductions, les rééditions avec annexes, les adaptations, etc. Une division bipartite et heuristique est proposée, avec d'une part les actualisations d'écrits procédant par l'exclusion d'un ou d'élément(s) de l'hypotexte (c'est-à-dire du matériel textuel qui préexiste à l'acte de publication), et d'autre part par l'adjonction d'éléments supplémentaires. Cette division permet d'analyser les dits lieux, d'une part en fonction d'un principe de pertinence (lequel est révélé par les phénomènes d'exclusion), et d'autre part en fonction d'une recherche de l'inédit, voire de l'acte contentieux (qu'exprime éloquemment l'acte d'adjonction). La thèse démontre comment les deux principes, celui de la pertinence et celui de la recherche de l'inédit, sont liés à la culture émergente de l'imprimé, ainsi qu'au développement d'une grande variété de genres et de discours: littérature géographique, chroniques annales, pamphlets ou manuels anti-syphilitiques, lettres missionnaires, littérature eschatologique, traités didactiques, etc. Le concept d'acte de publication, qui est corrélatif à celui d'actualisation, permet d'aller au-delà d'une opposition entre l'ouvrage dit « périmé » et l'ouvrage dit « progressiste ». Pour ce faire est reconsidéré l'apport, pour la diffusion des nouveaux lieux, de textes comme le Tractatus de sphaera de Joannes de Sacrobosco (XIIIe siècle) et la lettre apocryphe du Prêtre Jean (XIIe siècle), qui aux XVe et XVIe siècles sont réactualisés suivant une perspective heuristique ou didactique, et participent ainsi à l'émergence d'une économie discursive des « Nouveaux Mondes ».
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Ethnonyms in the place-names of Scotland and the Border counties of England

Morgan, Ailig Peadar Morgan January 2013 (has links)
This study has collected and analysed a database of place-names containing potential ethnonymic elements. Competing models of ethnicity are investigated and applied to names about which there is reasonable confidence. A number of motivations for employment of ethnonyms in place-names emerge. Ongoing interaction between ethnicities is marked by reference to domain or borderland, and occasional interaction by reference to resource or transit. More superficial interaction is expressed in names of commemorative, antiquarian or figurative motivation. The implications of the names for our understanding of the history of individual ethnicities are considered. Distribution of Walh-names has been extended north into Scotland; but reference may be to Romance-speaking feudal incomers, not the British. Briton-names are confirmed in Cumberland and are found on and beyond the fringes of the polity of Strathclyde. Dumbarton, however, is an antiquarian coining. Distribution of Cumbrian-names suggests that the south side of the Solway Firth was not securely under Cumbrian influence; but also that the ethnicity, expanding in the tenth century, was found from the Ayrshire coast to East Lothian, with the Saxon culture under pressure in the Southern Uplands. An ethnonym borrowed from British in the name Cumberland and the Lothian outlier of Cummercolstoun had either entered northern English dialect or was being employed by the Cumbrians themselves to coin these names in Old English. If the latter, such self-referential pronouncement in a language contact situation was from a position of status, in contrast to the ethnicism of the Gaels. Growing Gaelic self-awareness is manifested in early-modern domain demarcation and self-referential naming of routes across the cultural boundary. But by the nineteenth century cultural change came from within, with the impact felt most acutely in west-mainland and Hebridean Argyll, according to the toponymic evidence. Earlier interfaces between Gaelic and Scots are indicated on the east of the Firth of Clyde by the early fourteenth century, under the Sidlaws and in Buchan by the fifteenth, in Caithness and in Perthshire by the sixteenth. Earlier, Norse-speakers may have referred to Gaels in the hills of Kintyre. The border between Scotland and England was toponymically marked, but not until the modern era. In Carrick, Argyll and north and west of the Great Glen, Albanians were to be contrasted, not necessarily linguistically, from neighbouring Gaelic-speakers; Alba is probably to be equated with the ancient territory of Scotia. Early Scot-names, recorded from the twelfth century, similarly reflect expanding Scotian influence in Cumberland and Lothian. However, late instances refer to Gaelic-speakers. Most Eireannach-names refer to wedder goats rather than the ethnonym, but residual Gaelic-speakers in east Dumfriesshire are indicated by Erisch­-names at the end of the fifteenth century or later. Others west into Galloway suggest an earlier Irish immigration, probably as a consequence of normanisation and of engagement in Irish Sea politics. Other immigrants include French estate administrators, Flemish wool producers and English feudal subjects. The latter have long been discussed, but the relationship of the north-eastern Ingliston-names to mottes is rejected, and that of the south-western Ingleston-names is rather to former motte-hills with degraded fortifications. Most Dane-names are also antiquarian, attracted less by folk memory than by modern folklore. The Goill could also be summoned out of the past to explain defensive remains in particular. Antiquarianism in the eighteenth century onwards similarly ascribed many remains to the Picts and the Cruithnians, though in Shetland a long-standing supernatural association with the Picts may have been maintained. Ethnicities were invoked to personify past cultures, but ethnonyms also commemorate actual events, typified by Sasannach-names. These tend to recall dramatic, generally fatal, incidents, usually involving soldiers or sailors. Any figures of secular authority or hostile activity from outwith the community came to be considered Goill, but also agents of ecclesiastical authority or economic activity and passing travellers by land or sea. The label Goill, ostensibly providing 178 of the 652 probable ethnonymic database entries, is in most names no indication of ethnicity, culture or language. It had a medieval geographical reference, however, to Hebrideans, and did develop renewed, early-modern specificity in response to a vague concept of Scottish society outwith the Gaelic cultural domain. The study concludes by considering the forms of interaction between ethnicities and looking at the names as a set. It proposes classification of those recalled in the names as overlord, interloper or native.

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