• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2925
  • 696
  • 350
  • 55
  • 50
  • 49
  • 10
  • 5
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 4441
  • 1912
  • 982
  • 647
  • 483
  • 399
  • 373
  • 367
  • 357
  • 355
  • 309
  • 306
  • 292
  • 276
  • 273
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
891

Le développement de l'employabilité dans les organisations : une aide à la rénovation de gestion des ressources humaines et à l'accroissement de performances économiques et sociales : cas d'entreprises industrielles tunisiennes

Ben Hassen, Noura 20 July 2011 (has links) (PDF)
Dans le cadre de leurs démarches de modernisation, les entreprises tunisiennes sont à la recherche d'un modèle de gestion efficace de leurs Ressources Humaines permettant, au-delà de la flexibilité et des restructurations nécessaires, d'assurer un développement de leurs performances, ainsi qu'une sécurisation des parcours professionnels de leurs salariés. L'hypothèse centrale que nous avons déterminée comme réponse à cette problématique est la suivante : la rénovation de Gestion des Ressources Humaines, par la mise en place d'une politique de développement de l'employabilité, aide les entreprises tunisiennes à faire progresser leur performance sociale et économique et à sécuriser les parcours professionnels de leurs salariés.Les résultats de cette recherche mettent tout d'abord en évidence les principales difficultés de modernisation de Gestion des Ressources Humaines au sein des entreprises tunisiennes (managériales, structurelles, institutionnels et culturelles), puis l'apport de développement de l'employabilité pour la rénovation des pratiques de GRH et à l'accroissement de performances sociales et économiques à moyen et à long terme et, enfin, les conditions nécessaires à l'intégration d'une politique de développement de l'employabilité à la GRH.
892

Le pilotage des interfaces organisationnelles. Contribution à l'équilibration des processus d'intégration-différenciation des organisations

Seghier, Sofiane 13 February 2012 (has links) (PDF)
L'interface organisationnelle demeure un objet peu étudié. La recherche se propose de l'explorer et d'en comprendre les dynamiques. La première partie explicite les fondements de la recherche. Après avoir défini l'interface, elle fait apparaître que l'instabilité des interfaces résulte de déséquilibres dans les processus d'intégration-différenciation. Pour mesurer ces phénomènes, la méthodologie fait appel à deux méthodes : l'élaboration et l'analyse d'une base de verbatim, et une recherche-intervention. La deuxième partie est consacrée aux déterminants de l'objet. Elle précise les propriétés et les activités de l'interface, et en propose une modélisation. Une analyse croisée de 14 interfaces est ensuite exposée ; trois déterminants de la régulation à l'interface sont identifiés : le degré d'incertitude, la fréquence des interactions et la répartition du pouvoir. Sur ces bases, une typologie des interfaces est proposée : stratégiques, politiques, de coordination, et sociales. La troisième partie approfondit la recherche par l'observation in vivo et la transformation des interfaces. Elle met en évidence leurs coûts de fonctionnement, le rôle fondamental de leur finalisation, et montre que les processus d'intégration et de différenciation posent la question de leur qualité, en plus de celle de leur intensité. L'hypothèse selon laquelle le pilotage des interfaces organisationnelles améliore l'équilibration de l'intégration-différenciation est discutée puis expérimentée. À partir des premiers résultats d'expérimentation, la recherche identifie des leviers de pilotage des interfaces et formule des implications managériales.
893

Le pilotage des interfaces organisationnelles. Contribution à l'équilibration des processus d'intégration-différenciation des organisations

Seghier, Sofiane 13 February 2012 (has links) (PDF)
L'interface organisationnelle demeure un objet peu étudié. La recherche se propose de l'explorer et d'en comprendre les dynamiques. La première partie explicite les fondements de la recherche. Après avoir défini l'interface, elle fait apparaître que l'instabilité des interfaces résulte de déséquilibres dans les processus d'intégration-différenciation. Pour mesurer ces phénomènes, la méthodologie fait appel à deux méthodes : l'élaboration et l'analyse d'une base de verbatim, et une recherche-intervention. La deuxième partie est consacrée aux déterminants de l'objet. Elle précise les propriétés et les activités de l'interface, et en propose une modélisation. Une analyse croisée de 14 interfaces est ensuite exposée ; trois déterminants de la régulation à l'interface sont identifiés : le degré d'incertitude, la fréquence des interactions et la répartition du pouvoir. Sur ces bases, une typologie des interfaces est proposée : stratégiques, politiques, de coordination, et sociales. La troisième partie approfondit la recherche par l'observation in vivo et la transformation des interfaces. Elle met en évidence leurs coûts de fonctionnement, le rôle fondamental de leur finalisation, et montre que les processus d'intégration et de différenciation posent la question de leur qualité, en plus de celle de leur intensité. L'hypothèse selon laquelle le pilotage des interfaces organisationnelles améliore l'équilibration de l'intégration-différenciation est discutée puis expérimentée. À partir des premiers résultats d'expérimentation, la recherche identifie des leviers de pilotage des interfaces et formule des implications managériales.
894

Le management interculturel en Roumanie : le cas des investissements directs étrangers des PME étrangères

Mateescu, Veronica 24 October 2008 (has links) (PDF)
This thesis, dedicated to the analysis of the cross-cultural management, presents in its first part a literature review in order to comprehend the actual stage of the cross-cultural management research. From this point of view we will approach general aspects of the human resources management and of the organizational culture, perceived as managerial instruments for the management of the cultural differences into an organization (chapter 1). In the following chapters (2 & 3), the analysis concerned the discourse on cultural difference and the post-socialist work ethic, perceived as the major cultural difference that impacts the crosscultural interactions in the foreign enterprises from Romania. These aspects will be developed from an applied perspective in the second part of our thesis. The chapters of the second part of the thesis are dedicated, on one hand, to the analysis of cultural differences management in the foreign SMEs from Romania, and, on the other hand, to a methodological proposition regarding the study of the cross-cultural management in Romania. These analyses and propositions are based on the identification of the main crosscultural management practices in the multinational corporations in Romania, through the analysis of the interviews, from the Romanian economic press, with employees and managers of the multinational corporations and on three case studies on SME with Italian participation on social capital, from textiles and wood industries
895

Gestion de risque en situation de double inconnu : théorie, modèle et organisation pour la conception de technologies génériques

Kokshagina, Olga 29 January 2014 (has links) (PDF)
Comment assurer un développement à risques limités alors que marchés et technologies sont inconnus? Ces situations ne peuvent pas être gérées par les stratégies existantes comme market pull ou techno push; et le processus type " trial and learning " apparaît trop coûteux et imprévisible. Or certaines industries comme les semi-conducteurs doivent organiser des développements technologiques à coûts et risques contrôlés, alors que les inconnues techniques et commerciales sont très importantes. Dans ces situations le sucés coïncide avec l'existence des technologies génériques. Mais comment concevoir ces technologies génériques? La thèse modélise la conception des technologies génériques et étudie des modelés d'action collective associés.Ce travail débouche sur quatre résultats principaux : 1) Une stratégie de gestion du risque original, consistant à identifier un " common unknown " ; 2) Un travail de modélisation et de simulation précisant les critères de contingence de cette nouvelle stratégie; 3) La caractérisation de concepts génériques et de processus de conception de généricité a l'aide des théories de la conception les plus récentes; 4) Une nouvelle figure managériale, le " cross-application manager", indispensable pour le succès de la conception de technologies génériques.
896

Conditions pour une gestion en commun des ressources forestières : entre les communautés, l'État et les marchés, construire de nouveaux communs

Bédard, Marc-Olivier January 2015 (has links)
La gouvernance doit être considérée comme le principal enjeu du développement durable. En effet, un rapport du Programme des Nations Unies pour l’Environnement conclut : « une révision complète de la manière dont la planète est gérée est urgente si nous voulons répondre aux défis que pose le développement durable ». Partant du postulat selon lequel les problèmes environnementaux ont des racines dans la manière dont les humains s’organisent, quiconque cherche à solutionner ces problèmes devrait s’intéresser à la gouvernance. Toutefois, la gouvernance est un concept qui se décline en plusieurs variantes et il importe de préciser de quoi on parle. Dans ce contexte, la gestion en commun et la décentralisation semblent être des concepts incontournables permettant d’aborder adéquatement la gouvernance des ressources naturelles. La gestion d’une ressource naturelle par les usagers au niveau local – la gestion en commun – n’est pas un phénomène nouveau. Les différentes communautés forestières à travers le monde ont depuis plusieurs siècles développées leurs propres systèmes de règles pour encadrer l’accès aux ressources forestières desquelles dépendent directement leurs communautés. Dans plusieurs d’entre elles, l’accès aux différentes ressources forestières demeure à bien des égards encadré par des institutions traditionnelles. À un autre niveau, depuis l’époque coloniale, la quasi-totalité des pays à travers le monde ont, à des degrés divers, dans différents domaines, mis en place une gouvernance centralisée. Le domaine forestier notamment était alors intégré au domaine public, placé sous la tutelle de l’État à qui revenait l’ensemble des décisions le concernant : planification, gestion, exploitation, etc. Depuis quelques décennies toutefois, plusieurs observateurs soulignent le fait que les États semblent avoir échoué, que ce soit par manque de ressources, de capacité ou d’intérêt, à assurer une gestion durable des forêts. On se questionne alors à savoir si les problèmes de développement durable entourant les forêts (déforestation, dégradation des habitats, déclin de la biodiversité, pertes de services écologiques, pauvreté, inégalités, etc.) pourraient être attribuables une prise de décision centralisée. Dans ce contexte, plusieurs postulent qu’une partie de la solution à ces problèmes pourrait passer par une des modes de gouvernance alternatifs, plus précisément par une prise de décision moins centralisée. On défend de plus en plus l’idée selon laquelle il y une réelle plus-value à une implication active des populations locales dans la prise de décision sur les ressources forestières desquelles elles dépendent. À ce titre, l’idée qu’on ne peut plus exploiter les forêts au détriment ou sans considération pour les populations qui y vivent semble faire consensus depuis le Sommet de la Terre de Rio en 1992. Cette idée, loin de se limiter aux cercles académiques, se manifeste un peu partout à travers le monde par des politiques publiques qui reconnaissent des droits, des pouvoirs et des responsabilités aux communautés locales en matière de gestion des ressources forestières. Les observations montrent que le passage d’une gouvernance centralisée à une gouvernance « décentralisée » implique plus qu’une nouvelle législation, qu’il ne faut pas confondre changements législatifs et changements dans les modes de gouvernance. En effet, plusieurs décennies de centralisation ont altéré de manière significative et durable les institutions traditionnelles qui régulaient jusque-là l’accès aux ressources forestières dans les communautés. Dans ce contexte, il ne suffit pas de reconnaître des droits, des pouvoirs et des responsabilités aux communautés locales pour que les communautés reprennent la gestion des forêts là où elles l’avaient laissée. L’intégration d’un registre institutionnel traditionnel à un registre proprement moderne est un processus complexe. La décentralisation peut induire des effets pervers sur les rapports de force qui existent entre les acteurs au niveau local. La décentralisation peut être synonyme d’une prise de décision sur le long terme, respectueuse de l’environnement et des spécificités locales, mais pour ce faire elle doit s’intégrer au paysage institutionnel local et non tenter de s’y substituer. Ultimement, la décentralisation repose sur la capacité des acteurs impliqués à inventer de nouveaux communs, à capitaliser sur le capital social existant, à mettre en place de nouvelles institutions et à s’adapter aux capacités locales. Le Cameroun a entrepris en 1994 la réforme de son secteur forestier sous le thème de la décentralisation. Le pays a notamment offert la possibilité aux communautés de mettre en place des forêts communautaires. Ainsi, les communautés mises à l’écart d’une partie importante des décisions sur l’exploitation des forêts depuis plus d’un siècle se sont vues offrir la possibilité d’obtenir des droits, des pouvoirs et des responsabilités formelles sur le territoire sur lequel elles exercent des droits traditionnels informels. Après 20 ans de mise en œuvre, les observations montrent que l’articulation entre les registres institutionnels moderne et traditionnel cause de nombreuses problématiques de gouvernance dans les forêts communautaires camerounaises. Les institutions mises en place dans le cadre de cette gouvernance décentralisée ne semblent pas être adaptées aux contextes locaux. Le capital social et les institutions locales sur lesquels repose la gestion en commun ne sont pas valorisés. Au final, même si les communautés locales possèdent de réelles capacités en matière de gestion des ressources forestières, le bon fonctionnement des nouvelles institutions implique pour les communautés de mobiliser d’importantes ressources financières, de maîtriser un langage technique proprement moderne et ultimement, elles ne parviennent pas à s’approprier le processus et se retrouvent dépendantes d’acteurs externes. Au final, parce qu’elles ne s’y retrouvent plus dans ces nouvelles manières de fonctionner, elles se désintéressent de la forêt communautaire et c’est tout le processus qui manque sa cible.
897

La gestion concertée des milieux hydriques au Québec : la formation des comités d'usagers, l'étude des cas de la Table de concertation du lac Taureau, du COGEBY et du COBARIC

Bachand, Valérie-Anne January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
898

Etude comparative du droit de la gestion des risques alimentaires en France et en Corée / A comparative study on the legislative systems of the food risk management in France and Korea

Jung, Kwan-Seon 29 March 2014 (has links)
Les préoccupations de sécurité alimentaire prennent aujourd'hui une place importante, tant à l'échelon national qu'à l'échelon international. Ce phénomène de préoccupation grandissante à l'égard des aspects sécurité de l'alimentation s'est encore davantage renforcé sous l'impulsion des crises alimentaires successives et de l'expansion des risques non avérés. De nos jours, la gestion du risque : anticiper le risque, le prévenir, gérer la crise ou réparer ses conséquences incombe donc à l'autorité publique. Dans ce cadre, le principe de précaution fournit un mécanisme permettant de déterminer des mesures de gestion des risques ou d'autres actions en vue d'assurer le niveau élevé de protection de la santé. Nous considérons le principe de précaution et son contrôle à l'aune de jurisprudences françaises pour aider à mieux comprendre ce principe et à l'introduire activement en Corée. Par ailleurs, nous soulevons des problèmes et suggérons des possibilités d'amélioration afin de mettre en oeuvre une gestion efficace du risque alimentaire à travers une étude comparative sur le système et la législation alimentaires entre la France et la Corée. / The food safety concerns are now an important place, both nationally and internationally. This phenomenon is further strengthening under the leadership of successive food crises and the expansion of uncertain risks. The state accordingly shall undertake responsibility for risk management such as risk assessment, risk prevention, and prompt response to crisis at all stages of production, distribution and sales of food. In this context, the precautionary principle provides a mechanism for determining risk management measures or other actions to ensure the higher standard of health protection. This article, through reviewing the cases and studies in France on the precautionary principle and the control over it, aims to help better understand the principle and actively introduce it to Korea. In addition, this article presents suggestive points through a comparative study of the system and food law between France and Korea, possible improvements to implement an effective food risk management.
899

Gestion de la sécurité dans une infrastructure de services dynamique : Une approche par gestion des risques / Security management in a dynamic services' infrastructure : A risk management approach

Bou Nassar, Pascal 21 December 2012 (has links)
Les changements de contexte économiques imposent de nouvelles stratégies organisationnelles aux entreprises : recentrages métier et développement de stratégies de collaboration interentreprises. Ces tendances du marché laissent prévoir une croissance exponentielle d’écosystèmes de service accessibles à la fois aux clients finaux et aux partenaires. Tout laisse prévoir que ces écosystèmes s’appuieront largement sur les architectures orientées services permettant de construire des systèmes d’information capable d’avoir l’agilité requise et de supporter l’interconnexion des processus métier collaboratifs en composant dynamiquement les processus à partir de services distribués. Ce type d’architecture qui permet d’assurer l’alignement du système d’information sur les besoins métier de l’entreprise, rend indispensable la prise en compte des contraintes de sécurité tant au niveau individuel des services qu’au niveau de la composition. Dans un environnement de services distribués et dynamiques, la sécurité ne doit pas se limiter à fournir des solutions technologiques mais à trouver une stratégie de sécurité prenant en compte les dimensions métier, organisationnelle et technologique. En outre, la sécurité doit être appréhendée comme un processus continu qui vise l’optimisation des investissements de sécurité et assure la pérennité des mesures de sécurité mises en œuvre. Or les modèles et architectures de référence du domaine des services ont sous-estimé la définition des besoins en termes de sécurité, les biens à protéger et l’identification des risques pesant sur ces biens. Pour cela, nous proposons d’aborder la problématique de la sécurité par une approche de gestion des risques permettant d’identifier les différents types de risques et de proposer les mesures de sécurité les plus adéquates au contexte. Toutefois, la gestion des risques s’avère un vrai défi dans un environnement ouvert de services collaboratifs. En effet, les méthodes de gestion des risques développées dans le cadre des systèmes d’information ne répondent pas aux exigences de sécurité dans un environnement ouvert et ne sont pas adaptées aux environnements dynamiques. Pour pallier ces limites, nous proposons un cadre méthodologique de gestion de la sécurité portant sur les phases préparation, conception, exécution et supervision du cycle de vie des services. Nous proposons un modèle de services sécurisés permettant de définir des patrons de sécurité, un modèle de classification des biens à protéger et une ontologie pour définir les concepts associés à ces biens. En outre, nous développons une méthodologie de conception d’une architecture orientée services sécurisée puis abordons la construction de processus métier sécurisés avant de proposer un service de gestion des vulnérabilités de l’infrastructure. / Changes in economic environment impose new organizational strategies to companies: refocusing business and creating collaboration strategies. These trends point to an exponential growth of service ecosystems accessible to both end users and partners. All foreshadows that these ecosystems rely heavily on service-oriented architectures that can build information systems having the required agility and supporting the interconnection of collaborative business processes by composing processes dynamically from distributed services. This type of architecture that ensures business and information systems alignment, makes it essential to take into account security constraints at the services’ and the composition’s levels. In a distributed and dynamic services’ environment, security should not be limited to providing technological solutions but to find a security strategy taking into account the business, organizational and technological dimensions. Besides, the security must be considered as an ongoing process that aims to optimize security investments and ensures the sustainability of implemented security measures. However, the models and reference architectures in the services’ domain have underestimated the definition of security requirements, assets to protect and the identification of risks to those assets. Therefore, we propose to address the security management issues by a risk management approach to identify the different types of risks and propose the most appropriate security measures to the context. Nevertheless, risk management is a real challenge in an open collaborative services’ environment. The methods of risk management developed in the context of information systems do not meet the security requirements in an open environment and are not suitable for dynamic environments. To overcome these limitations, we propose a methodological framework for security management covering the phases: preparation, design, execution and supervision of the services’ lifecycle. We propose a model of secure services to identify security patterns, an assets’ classification model and an ontology defining the concepts associated with those assets. Moreover, we develop a methodology for designing secure service oriented architectures, we address the development of secure business processes then we propose a security service for managing and supervising the infrastructure components’ vulnerabilities.
900

Pour la prise en compte du rayonnement des experts dans les pratiques de gestion des ressources humaines : le cas des experts scientifiques et techniques dans les entreprises industrielles / For the awareness of experts' outreach in human resources management practices : case of scientific and technic experts in industrial firms

Fablet, Anne 04 December 2015 (has links)
Le rayonnement des experts scientifiques et techniques porte en lui deux dimensions ; une organisationnelle, favorisant l’émergence et le développement de compétences clés et une individuelle contribuant à la motivation intrinsèque de l’expert. Pendant entrepreneurial du rayonnement des enseignants-chercheurs, le rayonnement des experts est « un élément personnel et organisationnel d’appréciation de la réputation de l’expert, évoluant avec le développement de sa carrière, permettant de décrire ses activités en relation directe avec son domaine d’expertise, à l’intérieur ou à l’extérieur de l’entreprise et de prendre en compte son impact personnel dans sa communauté de pratique de référence ». Sa prise en compte dans les pratiques de gestion des experts permet d’apporter un nouvel éclairage sur des pratiques en quête de renouveau. Sans résoudre l’ensemble des problèmes de la gestion des experts, la recherche prend en compte le rayonnement des experts comme levier d’amélioration de leurs pratiques de gestion. L’objectif est d’analyser le rayonnement des experts dans sa double dimensionnalité. L’étude de cas multiple menée sur quatre grandes entreprises industrielles propose une réflexion sur la contribution du rayonnement des experts à la performance de l’entreprise. Ce lien est conditionné par l’intégration du rayonnement à tous les niveaux hiérarchiques de l’entreprise – au niveau de la stratégie générale, du management stratégique des ressources humaines et de l'opérationnel. Le rayonnement comme levier d’amélioration des pratiques de gestion des experts s’inscrit sur le long terme, permettant à l’entreprise d’identifier et d’anticiper ses besoins en compétences d’experts / Experts’ “outreach” is a two-dimension element. First dimension is organizational dimension, which contributes to core competencies development. Second one is individual dimension, which leads to experts’ intrinsic motivation.Experts’ outreach is the parallel of scientific reputation used for researchers. It can be defined as “a personal and organizational element to appreciate experts’ reputation, which changes with expert’s career development. Outreach can take place inside or outside the organization and also allows to measure expert’s impact on his / her scientific community”. The integration of outreach in experts’ management practices can contribute to improve practices, which need some renewal. The ambition is not to resolve all the already identified problems, but to bear a new perspective on the experts’ management practices. The research aims to study both dimensions of experts’ outreach, linked with the firm performance. A multiple case study is realized to analyze four big industrial firms. The link between outreach and firm performance depends on outreach integration within all the strategic levels of the organization, it means general strategy, strategic human resources management and operational management. To conclude, experts’ outreach contributes to improve experts’ management practices, on a long-term perspective. It allows firms to identify and anticipate their needs of experts’ competences

Page generated in 0.1012 seconds