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Infini divin et causalité du premier principe chez ProclusGraveline, Pascal January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Infini divin et causalité du premier principe chez ProclusGraveline, Pascal January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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On Definiteness and Beyond : a Contrastive Analysis of Nominal Determination in English and Arabic / Au delà du défini : étude contrastive de la détermination nominale en anglais et en arabeSabra, Yousra 24 January 2014 (has links)
Cette thèse propose une analyse contrastive de la notion de défini telle qu’elle est exprimée dans le système de l’article en anglais et en arabe moderne standard. L’ensemble des notions associées au défini et à l’indéfini sont examinées d’un point de vue sémantique et d’un point de vue syntaxique, afin de découvrir la manière dont les deux langues traitent ces concepts; les différences et les ressemblances sont répertoriées dans le contexte d’une étude détaillée de corpus. Le récit, The Brook Kerith de l’écrivain irlandais George Moore a été choisi pour des raisons géo-historiques et littéraires: les événements racontés se déroulent en Terre Sainte à l’aube de l’ère chrétienne. Les occurrences du syntagme nominal en anglais et en arabe analysées dans le premier chapitre permettent de dégager les convergences et les divergences des deux systèmes. Les résultats sont soumis à une analyse quantitative et statistique. Il en ressort que la valeur de l’article défini en anglais (“the”) et en arabe (“al”) correspondent dans 76% des emplois. La ressemblance entre la valeur de l’article indéfini (“a / an”) en anglais et son équivalent en arabe s'élève à 96%. Cependant, dans la mesure où l’arabe est une langue sans article indéfini, le fonctionnement de l’article zéro en anglais est sans équivalence; on découvre que l’arabe choisit selon le contexte, soit la marque du défini (al), soit la marque sémiologique de l’indéfini. En dernière analyse, on constate une grande ressemblance entre les mécanismes cognitifs sous-jacents; les différences concernent les transformations sémiotiques de la structure profonde. / This thesis offers a contrastive analysis of the notion of definiteness as conveyed by the system of the article in English and Standard Arabic. Definiteness and other notions associated with it are investigated semantically and syntactically in an attempt to discover how these two languages approach such notions and when the two languages converge and diverge in this respect. To this end, corpus analysis is chosen as a means to inspect these ideas. The corpus, The Brook Kerith, by the Irish writer, George Moore, is chosen for geo-historical and literary reasons: the story takes place in the Holy Land at the dawn of this Christian era. A contrastive analysis of the first chapter along with its translation is analyzed from a pragmatic and semantic perspective. The analysis is followed by statistical and computational analyses. It is found that the article “the” and the Arabic article “al’ are used for seemingly the same purpose in the proportion of 76%. The occurrence of the article “a/an” is 96% consistent with indefiniteness in Arabic. However, the use of the “zero article” shows discrepancy as whether to use the article “al” or no article in Arabic. In the last analysis, the cognitive operations underlying usage in both languages are similar. The differences are on the level of the semiotic transformation of these deep operations.
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La notion d'indéfini en lambda calculBertini, Yves 01 July 2005 (has links) (PDF)
La facilité compte parmi les notions les plus fines de l'indéfini en lambda-calcul. Un terme est dit facile s'il peut être identifié à tout autre terme clos arbitraire sans soulever de contradiction. Introduite en 1975 par Jacopini, elle fait depuis l'objet de recherches qui visent à caractériser la forme des termes faciles. Aujourd'hui, de tous les travaux entrepris il se dégage qu'un tel terme doit posséder une périodicité. Être périodique, c'est être équivalent à un sous-terme propre de l'un de ses réduits. Ici, la périodicité apparaîtra sous les traits de l'auto-similarité. Sont auto-similaires les termes dont l'arbre de Berarducci réapparaît comme sous-arbre propre à lui-même. La facilité de tels termes demeure un mystère. À ce jour, nous n'en connaissons que peu d'exemples. Le terme "Y omega_3" constitue un exemple typique dont la question de la facilité reste ouverte. Dans cette thèse, nous étendrons la connaissance de l'ensemble des termes m identiables à Y Omega_3. Nous montrerons que dans un cas critique où lambda-beta +{Y Omega_3 = m} implique m = delta_3, sous certaines hypothèses, m est lui-même auto-similaire. Ils s'en suit une description possible de toutes les équations dérivées de {Y Omega_3= m} sous la forme de classes confinantes.
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La notion d'indéfini en lambda-calculBertini, Yves 01 July 2005 (has links) (PDF)
La facilité compte parmi les notions les plus fines de l'indéfini en λ-calcul. Un terme est dit facile s'il peut être identifié à tout autre terme clos arbitraire sans soulever de contradiction. Introduite en 1975 par Jacopini, elle fait depuis l'objet de recherches qui visent à caractériser la forme des termes faciles. Aujourd'hui, de tous les travaux entrepris il se dégage qu'un tel terme doit posséder une périodicité i.e être β-équivalent à un sous-terme propre de l'un de ses réduits. Ici, la périodicité apparaîtra sous les traits de l'auto-similarité. Sont auto-similaires les termes dont l'arbre de Berarducci réapparaît comme sous-arbre propre à lui-même. La facilité de tels termes demeure un mystère et à ce jour, nous n'en connaissons que peu d'exemples. Le terme Yt Ω3 constitue un exemple typique dont la question de la facilité reste ouverte. Dans cette thèse, nous élargirons la connaissance de l'ensemble des termes m identifiables à Yt Ω3. Nous montrerons que dans un cas critique où λβ +{Yt Ω3 = m} |- m = δ3, sous certaines hypothèses, m est lui-même auto-similaire. Ils s'en suit une description possible de toutes les équations dérivées de {Yt Ω3 = m} sous la forme de classes confinantes.
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Le défini, l’indéfini et le générique en anglais contemporain / Definiteness, indefiniteness and generics in contemporary EnglishParent, Héloïse 10 December 2011 (has links)
Cette thèse étudie le fonctionnement des déterminations définie et indéfinie au sein des syntagmes nominaux génériques en anglais contemporain à partir d’un corpus essentiellement composé de textes encyclopédiques et scientifiques. La catégorisation générique peut relever de processus cognitifs et de niveaux d’abstraction distincts signifiés par les déterminations définie et indéfinie. La première partie décrit successivement le cadre référentiel de cette étude, la formalisation morphosyntaxique de la généricité nominale, la spécification dont sont porteurs les articles définis et indéfinis, ainsi que les contraintes déterminatives liées à la classe lexico-grammaticale des substantifs et au contexte prédicatif. La deuxième partie étudie les possibilités et impossibilités déterminatives au regard des contextes prédicatifs lorsque le syntagme nominal est associé à un prédicat d’espèce. Nous considérons plus spécifiquement l’interaction entre la classification des espèces, le nombre singulier ou pluriel et la détermination définie ou indéfinie en nous intéressant aux espèces conçues dans leur pluralité interne. La troisième partie examine le fonctionnement de l’article défini comme opérateur d’abstraction. L’étude des spécialisations de the montre qu’il est lié à une visée référentielle externalisante et synthétique. La quatrième partie traite du fonctionnement des syntagmes nominaux génériques définis et indéfinis au sein des textes génériques eu égard à la structuration du discours. L’article défini sous-tend une dimension anaphorique au générique également, et reste la marque de la saillance cognitive du référent. / This dissertation deals with the use of definite and indefinite determiners in generic noun phrases in contemporary English, using a corpus based on encyclopedic and scientific texts mainly. The categorization which genericity is based on results from various cognitive processes and levels of abstraction which are signified in the use of definite and indefinite determiners. The first part successively describes the referential framework of our study, the morphosyntactical forms of generic noun phrases, the values of definite and indefinite articles, as well as the pattern of constraints on definite and indefinite articles established by the lexico-grammatical features of nouns and the predicative context. The second part examines determiner possibilities and impossibilities with regard to the predicative context when a generic noun phrase is combined with a kind-predicate. More specifically, we correlate species classification, singular/plural number marking and definite/indefinite determination as we examine the plural structure of generic referents. The third part studies the use of the definite article as an abstraction operator. As we consider cases in which the use of definite noun phrases is favored, we show that its reference involves an externalizing and synthetic dimension. The fourth part deals with the way generic definite and indefinite noun phrases combine in generic texts with regard to the discourse structure. The use of the definite article presupposes an anaphoric dimension in generic reference also and indicates that the referent is salient in a cognitive perspective.
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Le syntagme nominal en mandarin et en français : le problème de la quantification / Noun-Phrase in Mandarin Chinese and French : the question of nominal quantificationZhu, Lei 29 November 2017 (has links)
En mandarin, les déterminants du nom, démonstratifs et numéraux, sont en général antéposés au nom. Le français requiert la présence de l’article, une catégorie grammaticale absente du système nominal du mandarin qui indique la quantification au travers de la présence de classificateurs nominaux. Sur le plan de la morphologie nominale, en mandarin, une langue isolante, le nom se construit préférablement par le biais de la composition de différent traits sémantiques, tandis qu’en français, considéré comme une langue flexionnelle, le nom se révèle être lui-même le sème. Le déterminant et le nom s’accordent en genre et en nombre, alors que le nom en mandarin chinois ne distingue pas le genre et que les indications du nombre se font uniquement au travers de la présence de classificateurs. Comprendre ces différences est essentiel à l’acquisition de ces deux langues. Afin de faciliter la compréhension des fonctions de ces phénomènes grammaticaux pour les apprenants, ce travail doctoral propose des analyses et explications permettant à l’apprenant de franchir favorablement le « seuil » de la détermination nominale. / In Mandarin Chinese, as in French, nominal determiners (demonstrative and numeral) precede in general the noun. French requires the presence of the article, a grammatical category that is not found in Mandarin Chinese. Rather, in Mandarin Chinese, quantification is carried out through the presence of noun classifiers. As for nominal morphology, in Mandarin Chinese, an isolating language, nouns are preferably formed through the composition of different semantic features. By contrast, in French, considered as mainly flexional, only the nominal root holds the semantic unit. In French, determiner and noun agree in gender and number, whereas in Mandarin Chinese, that does not distinguish gender, number is expressed by noun classifiers. Understanding these differences is essential to the acquisition of these two languages. In order to facilitate the understanding of the functions of these grammatical phenomena, this research proposes accurate analyses and explanations that allow second language learners to overcome more effectively the difficulties of nominal determination
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Compilation formellement vérifiée de code C de bas-niveau / Formally verified compilation of low-level C codeWilke, Pierre 09 November 2016 (has links)
Cette thèse présente une extension du compilateur CompCert permettant de fournir des garanties formelles de préservation sémantique à des programmes auxquels CompCert n'en donne pas. CompCert est un compilateur pour le langage C vers différentes architectures qui fournit, en plus d'un exécutable compilé, des garanties formelles concernant le comportement du programme assembleur généré. En particulier, tout programme C ayant une sémantique définie selon le standard C est compilé en un programme assembleur équivalent, c'est-à-dire qui a la même sémantique. En revanche, ce théorème n'assure aucune garantie lorsque le programme source n'a pas de sémantique définie : on parle en C de comportement indéfini. Toutefois, des programmes C issus de réels projets largement utilisés contiennent des comportements indéfinis. Cette thèse détaille dans un premier temps un certain nombre d'exemples de programmes C qui déclenchent des comportements indéfinis. Nous argumentons que ces programmes devraient tout de même bénéficier du théorème de préservation sémantique de CompCert, d'abord parce qu'ils apparaissent dans de vrais projets et parce que leur utilisation des comportements indéfinis semble légitime. Dans ce but, nous proposons d'abord un modèle mémoire pour CompCert qui définit l'arithmétique arbitraire de pointeurs et la manipulation de données non initialisées, à l'aide d'un formalisme de valeurs symboliques qui capturent la sémantique d'opérations non définies dans le standard. Nous adaptons l'intégralité du modèle mémoire de CompCert avec ces valeurs symboliques, puis nous adaptons les sémantiques formelles de chacun des langages intermédiaires de CompCert. Nous montrons que ces sémantiques symboliques sont un raffinement des sémantiques existantes dans CompCert, et nous montrons par ailleurs que ces sémantiques capturent effectivement le comportement des programmes sus-cités. Enfin, afin d'obtenir des garanties similaires à celles que CompCert fournit, nous devons adapter les preuves de préservation sémantique à notre nouveau modèle. Pour ce faire, nous généralisons d'importantes techniques de preuves comme les injections mémoire, ce qui nous permet de transporter les preuves de CompCert sur nos nouvelles sémantiques. Nous obtenons ainsi un théorème de préservation sémantique qui traite plus de programmes C. / This thesis presents an extension of the CompCert compiler that aims at providing formal guarantees about the compilation of more programs than CompCert does. The CompCert compiler compiles C code into assembly code for various architectures and provides formal guarantees about the behaviour of the compiled assembly program. It states that whenever the C program has a defined semantics, the generated assembly program behaves similarly. However, the theorem does not provide any guarantee when the source program has undefined semantics, or, in C parlance, when it exhibits undefined behaviour, even though those behaviours actually happen in real-world code. This thesis exhibits a number of C idioms, that occur in real-life code and whose behaviour is undefined according to the C standard. Because they happen in real programs, our goal is to enhance the CompCert verified compiler so that it also provides formal guarantees for those programs. To that end, we propose a memory model for CompCert that makes pointer arithmetic and uninitialised data manipulation defined, introducing a notion of symbolic values that capture the meaning of otherwise undefined idioms. We adapt the whole memory model of CompCert with this new formalism and adapt the semantics of all the intermediate languages. We prove that our enhanced semantics subsumes that of CompCert. Moreover, we show that these symbolic semantics capture the behaviour of the previously undefined C idioms. The proof of semantic preservation from CompCert needs to be reworked to cope with our model. We therefore generalize important proof techniques such as memory injections, which enable us to port the whole proof of CompCert to our new memory model, therefore providing formal guarantees for more programs.
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Étude comparative du kituba et des langues d’influenceN'Douli, Guy 20 December 2016 (has links) (PDF)
Cette recherche a pour but de retracer le parcours du kituba en partant des faits linguistiques actuels jusqu’à ses origines précoloniales. Le kituba étant une langue sans écriture, nous avons procédé à la comparaison systématique des données synchroniques récoltées par nos soins durant nos multiples séjours de terrain à Brazzaville, à Pointe-Noire et à Nzassi (dernier village du Congo sur la route de Pointe-Noire vers le Cabinda). L’usage des données issues du proto-bantu comparées aux langues locales et au kituba a permis aussi bien d’ajouter la dimension diachronique à cette étude, que de créer un réel contraste qui a favorisé la mise en exergue de l’héritage koongo. Les langues comme le cilinji, le ciwoyo, le civili, le cisuundi, le cilaadi, le kisuundi de Kimongo, le kidoondo, le kikaamba, le kibeembe, le kihangala, le kimanyanga, le kiyoombi, le yoombe, le kitandu ou le kikuñi ;bref un nombre important de langues koongo ainsi que le lingala, le kukuya, le kitende, le nsong et les langues européennes comme le français, le portugais et l’anglais figurent parmi les pourvoyeuses. De la phonologie à la syntaxe en passant par la morphologie et la morphosyntaxe, les analyses ont révélé une profonde restructuration du kituba par rapport aux langues sources. Les grandes restructurations apparaissent surtout dans la production des démonstratifs, des possessifs, des TAM (Temps, mode et aspect) et dans les constructions morphosyntaxiques évoquant le passif, le relatif ou la négation. L’impact interdisciplinaire s’observe par la complémentarité entre la linguistique et l’histoire des peuples du Bassin du Congo. Ainsi, des traces linguistiques sont confirmées par les faits historiques relatant les différents contacts entre les populations en présence dans la zone et leurs voisins proches ou lointains. Les populations lingalaphones ont de toute évidence été des intermédiaires entre les locuteurs du fiote (ancêtre du kituba) et les populations swahiliphones et lubaphones (Est de l’Afrique). Les échanges commerciaux entre les locuteurs du lingala et ceux parlant swahili ont permis la transmission de quelques éléments linguistiques au kituba. Beaucoup de ces événements se sont produits à une période où les populations de la zone vivaient dans des conditions traumatisantes en subissant les rafles des négriers à l’affût des mains valides pour la mise en valeur de l’Amérique. À cela, on peut ajouter la colonisation, à la faveur de la Conférence de Berlin de 1885 avec tout son lot de violences, de privations et des actes de brutalité contre ce même peuple. L’entreprise coloniale a prospéré grâce à la main d’œuvre gratuite s’appuyant sur le système des travaux forcés. Dès lors, d’importants faits, aussi bien socio-historiques que linguistiques découverts peuvent être versés dans le lot des arguments qui plaident en faveur du caractère créole du kituba. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Essai sur le droit commun / Essay on the concept of "droit commun"Balat, Nicolas 09 April 2014 (has links)
Le présent travail propose une étude d’ensemble sur le droit commun, notion fondamentale au coeur de la théorie et de la pratique quotidienne du droit. Contrairement à une première impression suivant laquelle il serait une notion à géométrie variable (droit civil ? théorie générale ? droit romain ? droit européen ? principes ?), le droit commun apparaît comme le concept technique désignant, pour une institution donnée, les règles juridiques dont le domaine d’application est indéfini. En outre, l’étude en révèle les deux applications pratiques fort distinctes que sont le droit commun territorial et le droit commun matériel. Le droit commun territorial d’abord, apparaît mal connu mais techniquement et historiquement premier ; c’est celui que l’on trouve par exemple à l’article 1393, alinéa 2, du code civil (qui vise le « droit commun de la France » des régimes matrimoniaux), ou dans un principe fondamental reconnu par les lois de la République dégagé par le Conseil constitutionnel en 2011. Le droit commun matériel ensuite, se révèle mieux connu mais appelle une synthèse ; c’est celui qui est visé, par exemple, dans la section contenant les articles 2333 et suivants du code civil (sur le « droit commun du gage ») tels qu’ils résultent de l’ordonnance du 23 mars 2006. Ces deux volets du droit commun expriment une "summa divisio", dans laquelle s’ordonnent toutes ses utilisations en droit positif. S’ils présentent des similitudes de régime, ils se distinguent néanmoins : ils ne renvoient pas aux mêmes règles – règles au domaine d’application "ratione loci" indéfini d’un côté, règles au domaine d’application "ratione materiæ et personæ" indéfini de l’autre. / This work offers a comprehensive study on the “droit commun” (approximately translated into “general rules of law” or “ordinary law”), a fundamental concept at the core of the theory and daily practice of French law. Contrary to traditional approaches involving the impression of a changing and variable concept (civil law, general theory, Roman law, European law, principles?), “droit commun” is a technical concept referring, for a given institution, to the legal rules whose scope of application is indefinite. This study also reveals the two distinct applications of “droit commun”; “droit commun territorial” (“territorial general rules of law”) and “droit commun matériel” (“material general rules of law”). The first application, “droit commun territorial”, although lesser known, is technically and historically primal. Droit commun territorial is specifically mentioned for in article 1393 of the French civil code (regarding the matrimonial property regimes), and in a fundamental principle identified by the French Constitutional Council in 2011. The second application, “droit commun matériel”, is better known but needs an overview. In particular, the section of the French civil code which contains articles 2333 and following (on the “droit commun” of pledging of corporeal movables), refers to it. These two applications of “droit commun” are the expressions of a summa divisio. Although both applications have similarities, they remain fundamentally different. The respective applications of “droit commun” do not refer to the same rules of law: rules where territorial scope of application is unlimited versus rules where material and personal scope of application is unlimited.
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