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L’Interdit linguistique en langue espagnole et cultures hispaniques : étude pragma-linguistique de l'euphémisme et du dysphémisme / The Forbidden linguistic in Spanish language and in the Hispanic cultures : pragmalinguistic study of euphemism and dysphemism

Fakhreddine, Mehra 18 December 2015 (has links)
Tout discours obéit à la règle de l’interdit, l’euphémisme représente un moyen de détournement par excellence, permettant d’éviter « les paroles de mauvais augure » pour dire « des paroles de bon augure ». Il joue le rôle d’un « déodorant du langage » comme le disent Jamet et Jobert. Bref, l’euphémisme est à l’opposé d’un langage âpre, le dysphémisme. L’intérêt de ce dernier, n’est pas la rupture avec les associations du mot tabou, mais bien au contraire, dans le fait qu’il s’efforce de les évoquer avec plus d’intensité. Pourtant, l’euphémisme et le dysphémisme, loin de se réduire à des procédés banals qui font l’objet d’une simple substitution lexicale du terme interdit, sont avant tout des phénomènes éminemment énonciatifs dont la valeur dépend du contexte. Ainsi, l’euphémisme ou le dysphémisme n’existe pas en lui-même, mais en fonction de sa situation de communication et de sa reconnaissance par le récepteur. Notre réflexion s’inscrit dans le cadre d’une analyse pragma-linguistique de l’euphémisme et du dysphémisme en langue espagnole. Notre objectif majeur est d’interroger le processus d’euphémisation et le processus dysphémique : d’un côté, selon une approche sémantico-lexicale qui se limite à une substitution du tabou par le biais des procédures linguistiques euphémiques ou dysphémiques, et de l’autre, selon une approche pragmatique, par laquelle le signe tabou acquiert sa valeur en fonction de son entourage contextuel, et dans laquelle l’euphémisme ou le dysphémisme sont considérés comme des actes de langage. Nous voulons par ce choix illustrer qu’au plan discursif l’euphémisme et le dysphémisme sont l’objet d’une visée communicative différente de celle du plan proprement linguistique ou sémantique. / Any discourse obeys the rule of prohibition; the euphemism is a means of diversion by excellence, to avoid "ominous words" to mean "auspicious words." It acts as a "deodorant language" as Jamet and Jobert say. In short, the euphemism is the opposite of a harsh language, the dysphemism. The advantage of the latter, is not breaking with the associations of the taboo word, but rather is that it strives to evoke with greater intensity. Yet the euphemism and dysphemism, far from being reduced to mundane processes that are the subject of a simple lexical substitution of the prohibited term, they are above all eminently enunciative phenomena whose value depends on the context. Thus, the euphemism or dysphemism does not exist in itself, but according to the communication situation and its recognition by the receiver. Our thinking is part of a pragma-linguistic analysis of the Spanish language of euphemism and dysphemism. Our major objective is to question the process of both euphemism and dysphemism: on one side, according to a semantic-lexical approach that is limited to a substitution of the taboo through linguistic procedures of euphemism or dysphemism, and on the other side, according to a pragmatic approach in which the taboo sign acquires its value based on its contextual surroundings, and in which the euphemism or dysphemism are considered acts of language. We want to illustrate that by this choice at the discursive plan the euphemism and the dysphemism are subject to different communicative focus than the strictly linguistic or semantic plan.
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Produits dérivés, risques de marché et "Gharar" : recherche d'une alternative islamique / Derivative products, market risks and "Gharar" : in search for the islamic alternative

Abou Hamdan, Malek 16 September 2013 (has links)
La position actuellement dominante parmi juristes et théoriciens de la Finance Islamique penchant vers l’interdiction des produits dérivés dans les Institutions Financières Islamiques, la recherche d’une alternative à ces produits, en particulier pour la gestion des risques de marché, constitue l’un des axes de recherche fondamentaux concernant l’avenir de cette école de pensée et de ce type d’institutions. Ainsi, ce travail de thèse s’intéresse d’abord à l’inférence des significations financières contemporaines possibles du concept islamique dit de « Gharar interdit » (litt. « risque interdit ») en l’opposant notamment à la prise de risque permise, puis, à partir des résultats correspondants, à l’exploration et proposition d’instruments alternatifs aux dérivés. Sur le premier aspect, cette recherche est partie du patrimoine du Fiqh (« jurisprudence ») islamique, et a mobilisé des outils qualitatifs et numériques d’analyse, tout en s’inspirant de la méthode de l’idéaltype de Max Weber. Sur le second, elle a mis en oeuvre une enquête combinant littérature et terrain, avant de faire passer les instruments obtenus par un filtre construit à partir des résultats du premier aspect. Ce travail a principalement permis de jeter une lumière nouvelle sur les théories de la prise de risque et du Gharar en Islam, de repérer et de discuter les zones d’ombre à l’origine des débats contemporains, de dresser un état des lieux de la recherche d’alternatives, d’identifier et de comprendre un phénomène nommé trappe à réplication, et surtout, de proposer une voie générale de sortie, utilisant la théorie islamique du besoin et de l’intérêt général, l’idée de partage du risque et celle d’alternative. / The currently prevailing position among Islamic Finance’s jurists and theorists being to prohibit derivative products in Islamic Financial Institutions, the search for an “Islamic” alternative to these products, in particular for market risks’ management, constitutes one of the fundamental axes of research concerning the future of this school and type of institutions. Thus, this doctoral work deals with the inference of the possible contemporary meanings of the Islamic concept called “prohibited Gharar” (litt. “prohibited risk”) while opposing it to the permissible risk-taking, then, based on the corresponding findings, it deals with the exploration and proposal of alternative instruments to derivatives. On the first aspect, this research used texts of Islamic Fiqh (“jurisprudence”), and mobilised qualitative and numerical tools of analysis, while drawing on Max Weber’s method of the idealtype. On the second, it implemented a survey combining literature and field study, before passing the obtained instruments through a filter constructed from the results of the first aspect. This work has mainly contributed to shed a new light on the theories of risk-taking and Gharar in Islam, to identify and discuss the shadow areas behind contemporary debates, to draw up an inventory of research on alternatives, to identify and understand a phenomenon called replication trap, and especially, to propose a general way out, using the Islamic theory of need and public interest, the idea of risk-sharing and that of alternative.
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De la forme de la philosophie chez Walter Benjamin : révélation et interdit des images

Dorais, Olivier 11 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur la question de la forme de la philosophie chez Walter Benjamin et sur ce qui fait l’unité de son geste philosophique. Cette question de l’unité, voire de la cohérence, a toujours posé problème, tant à cause de l’hétérogénéité des écrits de Benjamin que des tendances apparemment contradictoires qui les habitent. Prenant acte, dans un premier chapitre, des principales difficultés qui se sont posées à leur réception, tendant à en isoler, voire à opposer les tendances les unes aux autres, nous proposons de rassembler celles-ci en deux axes : celui opposant théologie et matérialisme historique et celui opposant image et concept. Contre les lectures unilatérales et parfois divergentes, nous proposons une interprétation qui réunit dialectiquement les polarités qui dans leurs tensions fondent l’unité de cette pensée. Par là, nous faisons nôtre la définition donnée par Benjamin de la forme de l’histoire philosophique : « qui fait procéder des extrêmes éloignés […] la totalité esquissée par la possibilité d’un agencement significatif du tout. » Dans un deuxième chapitre, nous proposons de résoudre ces polarités à l’intérieur d’une théorie matérialiste de la révélation, conçue dans les années 1930 comme historiographie matérialiste. Dans un troisième chapitre, nous tirons d’un commentaire des écrits dits théologiques du jeune Benjamin les éléments de son esthétique, tendant à la formulation d’une esthétique matérialiste. Enfin, la dialectique de Benjamin, d’où procède son geste philosophique, peut être lue comme le croisement incongru entre deux piliers de la théologie – révélation et interdit des images – qui ensemble entraînent irrésistiblement la théologie vers une conception hérétique du matérialisme historique. / This master’s thesis deals with the question of the form of philosophy in Walter Benjamin’s thought and, more specifically, the unity of his philosophical gesture. This unity, or coherence, has always posed a problem, not only as a consequence of the heterogeneity of his writings but also because of their apparently contradictory tendencies. Taking note of the main difficulties that arose within the initial reception of Benjamin’s writings, which have tended to separate and oppose these tendencies, the first chapter proposes to reassemble them along two axes : one opposing theology and historical materialism, the other opposing image and concept. Against unilateral readings, the present thesis defends an interpretation of Benjamin’s writings that dialectically reunites the polarities which, in their various tensions, in fact give unity to his thought. In this way, new light is shed on the definition of the form of philosophical history given by Benjamin: “out of remote extremes … emerges the totality of such oppositions – a totality that is marked out by the possibility of their meaningful juxtaposition”. In the second chapter, the polarities outlined in the first chapter are resolved within a materialist theory of revelation, conceived in the 1930s as a materialist historiography. On the basis of a commentary on the so-called theological writings of the young Benjamin, the third chapter presents the elements of his aesthetics, which tend towards a materialist formulation. Finally, Benjamin’s dialectic, and so the core his philosophical gesture, is interpreted as the surprising result of two theological mainstays — revelation and the prohibition of images — which, together, irresistibly lead theology towards a heretical version of historical materialism.
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Entre archives et archive : l’espace inarchivé et inarchivable du cinéma de réemploi

Winand, Annaëlle 09 1900 (has links)
Entre les archives, telles que définies par l’archivistique, et l’archive comme concept, tel qu’utilisé en dehors de la discipline, il existe un écart sémantique, conceptuel et théorique. D’un côté, les archives représentent des rassemblements documentaires issus des activités d’une personne ou d’un organisme ; de l’autre, il est question d’un outil conceptuel permettant d’exprimer une variété d’idées liées à l’histoire ou à la mémoire. Toutefois, cet intervalle entre archives et archive est particulièrement fertile. C’est dans cet espace que les utilisateurs non traditionnels des archives, comme les cinéastes de réemploi (dont les œuvres sont constituées d’images en mouvement préexistantes), trouvent leur inspiration. À travers leurs mises en récit, ces derniers montrent ce qui n’est pas visible dans les archives. De la décomposition des matières filmiques, aux dynamiques de pouvoir derrière le geste d’archivage et leurs récits tacites, en passant par les émotions et l’affect véhiculés par les documents, les œuvres nous confrontent à une double dimension inarchivée (ce qui n’est pas archivé) et inarchivable (ce qui ne peut pas être archivé), qui est constitutive de ce que sont les archives et de comment elles se construisent. En étudiant les archives qui constituent les œuvres de réemploi à partir de leur exploitation, c’est-à-dire leurs diverses utilisations et l’ensemble de leurs utilisations potentielles, il est possible de catégoriser ce qui se trouve dans l’inarchivé et l’inarchivable. Ainsi, trois principales modalités émergent des analyses : l’absence, qui relève de la lacune, du fragment et de l’incomplétude ; l’interdit qui se manifeste dans les archives comme traces matérielles ; et l’invisible qui participe de ce qui ne se montre pas. Ces trois catégories relèvent d’un impensé archivistique, c’est-à-dire d’un état de la discipline qui reflète l’inconcevabilité ou l’omission, volontaire ou non, de certains de ses aspects théoriques ou pratiques. C’est en investissant l’impensé, en étudiant l’archivistique à partir des pratiques en marges, qu’il est possible renouveler les discours sur la discipline. / Between archives, as defined by archival science, and the archive as a concept used outside of the discipline, there is a semantic, conceptual and theoretical gap. On one side archives represent the documentary by-product of human activity retained for their long-term value. On the other the archive has become a conceptual and critical tool to address a variety of ideas linked to memory and history. However, this interval between archives and archive is particularly fertile. In this space, nontraditional archives users, such as found footage filmmakers (whose works consist in reusing pre-existing footage) find inspiration. Through the narratives of their work, they show what is not always visible in archives. From the decomposition of film stock to the power dynamics behind archiving and its tacit narratives, through emotions and affect conveyed by records, the artworks confront us with a double unarchived and unarchivable dimension (what is not archived and what cannot be archived), constituent of how archives are created. Studying the archives that are part of found footage works through their usage (exploitation), namely their uses and potentials uses, it is possible to categorize the composition of the unarchived and the unarchivable. Three main divisions emerge from this analysis: the absence, linked to gaps, fragments and incompleteness; the forbidden that manifests in archives as material traces; the invisible that takes part in what is not shown. These three categories have to do with an unconceived (impensé): a state of the archival field reflecting the intentional or unintentional inconceivability or omission of some of its theoretical or practical aspects. In investing in the unconceived, in other words studying archival science from practices on the margins, it is possible to renew ideas and discourses inside the discipline.

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