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La classe moyenne dans l'idéologie du développement

Noiseux, Andrée 05 January 2012 (has links)
Le but de cette thèse est de comprendre le rôle que l’idée de la classe moyenne joue dans l’idéologie du développement, plus particulièrement dans le contexte de l’Amérique latine. En examinant la théorie du développement, les analyses de classes marxistes et wébériennes, la théorie de la modernisation et l’approche de la dépendance, cette thèse considère si le concept de la classe moyenne masque les iniquités économiques et divise la classe non capitaliste, permettant de maintenir une société capitaliste qui profite démesurément à une petite élite. Plutôt que de délimiter la classe moyenne de façon qualitative ou quantitative, cette thèse la définit comme concept idéologique utilisant l’approche marxiste de matérialisme historique. Cette thèse trouve que l’idée de la classe moyenne est un concept fondamental dans la justification idéologique du capitalisme; le conflit entre les travailleurs et les capitalistes est masqué par le « conflit » entre la classe ouvrière et la classe moyenne qui recentre l’attention sur des relations de consommation plutôt que sur les rapports aux moyens de production. La thèse illustre ces concepts avec une étude de cas du développement de la classe moyenne et de la séparation légale des empleados (employés de bureau/cols blancs) et des obreros (les ouvriers/cols bleus) au Pérou au début du 20e siècle.
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La classe moyenne dans l'idéologie du développement

Noiseux, Andrée 05 January 2012 (has links)
Le but de cette thèse est de comprendre le rôle que l’idée de la classe moyenne joue dans l’idéologie du développement, plus particulièrement dans le contexte de l’Amérique latine. En examinant la théorie du développement, les analyses de classes marxistes et wébériennes, la théorie de la modernisation et l’approche de la dépendance, cette thèse considère si le concept de la classe moyenne masque les iniquités économiques et divise la classe non capitaliste, permettant de maintenir une société capitaliste qui profite démesurément à une petite élite. Plutôt que de délimiter la classe moyenne de façon qualitative ou quantitative, cette thèse la définit comme concept idéologique utilisant l’approche marxiste de matérialisme historique. Cette thèse trouve que l’idée de la classe moyenne est un concept fondamental dans la justification idéologique du capitalisme; le conflit entre les travailleurs et les capitalistes est masqué par le « conflit » entre la classe ouvrière et la classe moyenne qui recentre l’attention sur des relations de consommation plutôt que sur les rapports aux moyens de production. La thèse illustre ces concepts avec une étude de cas du développement de la classe moyenne et de la séparation légale des empleados (employés de bureau/cols blancs) et des obreros (les ouvriers/cols bleus) au Pérou au début du 20e siècle.
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La classe moyenne dans l'idéologie du développement

Noiseux, Andrée 05 January 2012 (has links)
Le but de cette thèse est de comprendre le rôle que l’idée de la classe moyenne joue dans l’idéologie du développement, plus particulièrement dans le contexte de l’Amérique latine. En examinant la théorie du développement, les analyses de classes marxistes et wébériennes, la théorie de la modernisation et l’approche de la dépendance, cette thèse considère si le concept de la classe moyenne masque les iniquités économiques et divise la classe non capitaliste, permettant de maintenir une société capitaliste qui profite démesurément à une petite élite. Plutôt que de délimiter la classe moyenne de façon qualitative ou quantitative, cette thèse la définit comme concept idéologique utilisant l’approche marxiste de matérialisme historique. Cette thèse trouve que l’idée de la classe moyenne est un concept fondamental dans la justification idéologique du capitalisme; le conflit entre les travailleurs et les capitalistes est masqué par le « conflit » entre la classe ouvrière et la classe moyenne qui recentre l’attention sur des relations de consommation plutôt que sur les rapports aux moyens de production. La thèse illustre ces concepts avec une étude de cas du développement de la classe moyenne et de la séparation légale des empleados (employés de bureau/cols blancs) et des obreros (les ouvriers/cols bleus) au Pérou au début du 20e siècle.
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La classe moyenne dans l'idéologie du développement

Noiseux, Andrée January 2011 (has links)
Le but de cette thèse est de comprendre le rôle que l’idée de la classe moyenne joue dans l’idéologie du développement, plus particulièrement dans le contexte de l’Amérique latine. En examinant la théorie du développement, les analyses de classes marxistes et wébériennes, la théorie de la modernisation et l’approche de la dépendance, cette thèse considère si le concept de la classe moyenne masque les iniquités économiques et divise la classe non capitaliste, permettant de maintenir une société capitaliste qui profite démesurément à une petite élite. Plutôt que de délimiter la classe moyenne de façon qualitative ou quantitative, cette thèse la définit comme concept idéologique utilisant l’approche marxiste de matérialisme historique. Cette thèse trouve que l’idée de la classe moyenne est un concept fondamental dans la justification idéologique du capitalisme; le conflit entre les travailleurs et les capitalistes est masqué par le « conflit » entre la classe ouvrière et la classe moyenne qui recentre l’attention sur des relations de consommation plutôt que sur les rapports aux moyens de production. La thèse illustre ces concepts avec une étude de cas du développement de la classe moyenne et de la séparation légale des empleados (employés de bureau/cols blancs) et des obreros (les ouvriers/cols bleus) au Pérou au début du 20e siècle.
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La démocratie : pouvoir constituant ou auto-institution ? / Democracy : constituent power or auto-institution ?

Chapel, Sébastien 05 December 2015 (has links)
Comment repenser la démocratie dans sa dimension la plus substantive (au-delà de la forme-Etat) sans retrouver le noyau théologique du concept de représentation politique (repräsentation) et/ou l’impasse du sujet infini («dèmos total»)? Ce travail propose d’apporter un éclairage nouveau à ce problème en mettant en rapport les lectures dellavolpienne et opéraïste de Marx avec la reformulation ontologique du problème politique telle qu’elle se trouve énoncée (partiellement) par Antonio Negri et (de manière bien plus complète) par Cornelius Castoriadis. L’apport majeur de della Volpe et de l’opéraïsme consiste en effet à voir entrevu (quoique séparément, tel fut le signe commun de leur échec respectif) la portée ontologique de la critique marxienne de la dialectique (pour le premier) et (pour le second) la politicité intrinsèque de la loi de la valeur léguée par Marx, double mouvement que Castoriadis réunit pleinement en déterminant les implications politiques issues de la relativisation «linguistique» de l’ontologie unitaire et, plus précisément, la possibilité d’une forme radicalement démocratique de représentation («collectif anonyme»),pensée dans l’élément irréductible de l’imaginaire social (et de la pluralité). / How can one rethink democracy in its most substantive dimension (beyond the form of the State) without finding the theological core of the concept of political representation (repräsentation) and/or the stalemate of the infinite subject? This work intends to bring a new perspective to this problem by considering in relation the dellavolpian and the "operaist" interpretation, with the ontological reformulation of the political problem such as it was formulated (partially) by Antonio Negri and (much more completely) by Cornelius Castoriadis. The major contribution of della Volpe and of "operaism" indeed includes (while separately, as was the common sign of their respective failures) a glimpse of the ontological significance of the Marxian criticism of the dialectic (for the first) and (for the second) the intrinsic "politicality" of the Law of Value bequeathed by Marx, double movements that Castoriadis reunites entirely in determining the political implications arising from the “linguistic” relativisation of the unitary ontology and, more precisely, the possibility of a radically democratic form of representation ("anonymous collective"), considered in the irreducible element of the social imagination (and of plurality).
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L'hétéronomie du discours : une approche critique de la philosophie politique de Jürgen Habermas / The heteronomy of discourse : a critical approach of Jürgen Habermas political philosophy

Nouët, Clotilde 11 December 2017 (has links)
Nous proposons dans cette thèse une approche critique de la philosophie politique de Jürgen Habermas, qui vise à interroger la conception du discours sur laquelle elle se fonde. De ses premiers textes sur «l’espace public» à la théorie politique et du droit qu’élabore Droit et démocratie, Habermas approfondit l’intuition selon laquelle c’est à travers une certaine pratique du discours argumenté que se forment les espaces de communication, de délibération, et de décision, sans la vitalité desquels la démocratie ne saurait être «radicale». Il convient dès lors de reconstruire cette théorie du discours qui sous-tend sa pensée politique, aux différents niveaux où elle est opératoire : la pratique du langage ordinaire qui est la nôtre lorsque nous communiquons dans la vie de tous les jours ; celle que nous mettons en œuvre en tant que sujets politiques lorsque nous revendiquons des droits dans l’espace public ; celle enfin qui nous permet d’argumenter selon un point de vue moral lorsqu’il s’agit de déterminer les principes de justice. Nous défendons la thèse selon laquelle les normes fondamentales du discours, qu’Habermas établit à un niveau quasi transcendantal, doivent être reconduites à une hétéronomie qui est celle des conditions matérielles du discours. La philosophie sociale d’inspiration matérialiste qu’Horkheimer s’emploie à construire dans les années 1930 ouvre la voie d’une telle analyse. Nous reconstituons à cet effet le débat interne à l’École de Francfort sur la question de savoir comment le matérialisme critique de Marx doit être interprété. / In this dissertation I offer a critical examination of Jurgen Habermas’s political philosophy while questioning the conception of discourse which it is grounded in. From his first texts on the “public space” to the legal and political theory elaborated in Law and Democracy, Habermas explores the intuition that it is through a certain practice of argumentative discourse that spaces of communication, deliberation and decision are formed, the vitality of which is crucial to a truly “radical” democracy. The theory of discourse underpinning his political thought must hence be reconstructed at the different levels it operates on, including the practice of ordinary language through which we communicate in everyday life, the discourse we apply as political subjects when we claim rights in the public space, and the discourse which enables us to form arguments from a moral point of view when principles of justice need to be determined. My thesis supports the idea that fundamental norms of discourse, which Habermas establishes on a quasi-transcendental level, must be confronted to the heteronomy of material conditions of discourse. The materialist-derived philosophy which Horkheimer strove to reconstruct in the 1930s paves the way for this analysis. I therefore reconstitute the debate within the Frankfurt School on the question of how Marx’s historical materialism should be interpreted.
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De Marx à Lénine : étude sur les origines et l'évolution doctrinale du léninisme

Hétu, Arnaud 06 1900 (has links)
L’objectif de ce mémoire consiste à proposer un nouveau cadre de référence conceptuel pour aborder le marxisme et, a fortiori, son interprétation léniniste. Nous retraçons dans l’œuvre de Karl Marx (1818-1883) deux paradigmes élaborés successivement : le paradigme anthropo-métaphysique, compris à la fois en tant que continuité et rupture avec la philosophie classique allemande, et le paradigme économico-historique, qui supporte la théorie du matérialisme historique. Nous démontrons que le paradigme économico-historique s’est consolidé sur la base du paradigme anthropo-métaphysique de manière à lui conférer une systématicité scientifique. Pour saisir les fondements du léninisme, nous décidons de circonscrire notre investigation à trois notions clefs à partir desquelles il sera possible d’évaluer l’apport original de Lénine comparativement aux écrits de Marx: (1) l’alliance du prolétariat et de la paysannerie, (2) le rôle d’avant-garde du parti et (3) la dictature du prolétariat et la violence politique. Nous constatons que l’interprétation léniniste de chacune de ces trois notions s’appuie sur un certain nombre de concepts ou de textes présents dans le corpus marxiste. De ce constat, notre tâche consiste à déterminer à partir de quelle grille de lecture paradigmatique du marxisme le léninisme a pu s’édifier en tant que doctrine. / The aim of this paper is to offer a new conceptual framework within which to study Marxism and, a fortiori, its Leninist interpretation. We retrace in the works of Karl Marx (1818-1883) two paradigms elaborated consecutively: anthropo-metaphysical paradigm, understood as both in continuity and in rupture with German classical philosophy, and economico-historical paradigm, which conveys the theory of historical materialism. We demonstrate how economico-historical paradigm consolidates itself on the basis of anthropo-metaphysical paradigm in order that the latter yield scientific systematicity. To grasp the foundations of Leninism, we restrain our investigation to three key notions from which to evaluate Lenin’s original contribution to the writings of Marx: (1) the alliance of the proletariat and the peasantry, (2) the vanguard role of the party, and (3) the dictatorship of the proletariat and political violence. We note that the Leninist interpretation of each of these notions rests on a certain amount of concepts or positions present in the Marxist corpus. From this ascertainment, our task is to establish from which paradigmatic framework Leninism has established itself as a doctrine.
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De la forme de la philosophie chez Walter Benjamin : révélation et interdit des images

Dorais, Olivier 11 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur la question de la forme de la philosophie chez Walter Benjamin et sur ce qui fait l’unité de son geste philosophique. Cette question de l’unité, voire de la cohérence, a toujours posé problème, tant à cause de l’hétérogénéité des écrits de Benjamin que des tendances apparemment contradictoires qui les habitent. Prenant acte, dans un premier chapitre, des principales difficultés qui se sont posées à leur réception, tendant à en isoler, voire à opposer les tendances les unes aux autres, nous proposons de rassembler celles-ci en deux axes : celui opposant théologie et matérialisme historique et celui opposant image et concept. Contre les lectures unilatérales et parfois divergentes, nous proposons une interprétation qui réunit dialectiquement les polarités qui dans leurs tensions fondent l’unité de cette pensée. Par là, nous faisons nôtre la définition donnée par Benjamin de la forme de l’histoire philosophique : « qui fait procéder des extrêmes éloignés […] la totalité esquissée par la possibilité d’un agencement significatif du tout. » Dans un deuxième chapitre, nous proposons de résoudre ces polarités à l’intérieur d’une théorie matérialiste de la révélation, conçue dans les années 1930 comme historiographie matérialiste. Dans un troisième chapitre, nous tirons d’un commentaire des écrits dits théologiques du jeune Benjamin les éléments de son esthétique, tendant à la formulation d’une esthétique matérialiste. Enfin, la dialectique de Benjamin, d’où procède son geste philosophique, peut être lue comme le croisement incongru entre deux piliers de la théologie – révélation et interdit des images – qui ensemble entraînent irrésistiblement la théologie vers une conception hérétique du matérialisme historique. / This master’s thesis deals with the question of the form of philosophy in Walter Benjamin’s thought and, more specifically, the unity of his philosophical gesture. This unity, or coherence, has always posed a problem, not only as a consequence of the heterogeneity of his writings but also because of their apparently contradictory tendencies. Taking note of the main difficulties that arose within the initial reception of Benjamin’s writings, which have tended to separate and oppose these tendencies, the first chapter proposes to reassemble them along two axes : one opposing theology and historical materialism, the other opposing image and concept. Against unilateral readings, the present thesis defends an interpretation of Benjamin’s writings that dialectically reunites the polarities which, in their various tensions, in fact give unity to his thought. In this way, new light is shed on the definition of the form of philosophical history given by Benjamin: “out of remote extremes … emerges the totality of such oppositions – a totality that is marked out by the possibility of their meaningful juxtaposition”. In the second chapter, the polarities outlined in the first chapter are resolved within a materialist theory of revelation, conceived in the 1930s as a materialist historiography. On the basis of a commentary on the so-called theological writings of the young Benjamin, the third chapter presents the elements of his aesthetics, which tend towards a materialist formulation. Finally, Benjamin’s dialectic, and so the core his philosophical gesture, is interpreted as the surprising result of two theological mainstays — revelation and the prohibition of images — which, together, irresistibly lead theology towards a heretical version of historical materialism.
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L'immortalité chez Pindare : la parole inspirée entre religion et poésie

Carrière-Bouchard, Ulysse 08 1900 (has links)
C’est par une généalogie de l’immortalité poétique en Grèce archaïque, depuis une immortalité ne concernant que le renom jusqu’à une forme de survie personnelle, que s’ouvre cette recherche. Arrivé à Pindare, une étude approfondie de sa première Néméenne, au moyen de la théorie de l’énonciation de Benveniste et de la narratologie de Genette, permet de détailler comment se construit, dans l’épinicie, un régime temporel de l’éternité, dans lequel le poète inscrit le vainqueur qu’il célèbre. Je me penche alors sur la formation, dans l’épinicie, d’un réseau de concepts dont font partie la mémoire, la vérité, la lumière et l’or, réseau servant à créer une connotation d’immortalité. Ce réseau est ensuite analysé au travers des relations sociales qui le déterminent, au moyen du matérialisme historique et de l’herméneutique négative. Il en ressort que ce réseau marque la construction d’une idéologie aristocratique, dont la structure est détaillée grâce au concept d’hégémonie de Gramsci, ce qui laisse voir que l’immortalité poétique, chez Pindare, a pour fonction de poser un ordre social comme éternel. L’immortalité religieuse de Pindare est placée dans ce contexte et interprétée comme une autorité extra-littéraire devant asseoir la forme non traditionnelle d’immortalité poétique de Pindare, recours rendu nécessaire par un ébranlement de l’autorité littéraire. Ainsi, le développement exacerbé, en Grèce archaïque, de l’immortalité poétique, est réinterprété comme le produit d’une crise généralisée de l’autorité, une lutte des classes devant mener à la défaite de l’aristocratie terrienne et à l’émergence de la polis de la Grèce classique. / This research opens with a genealogy of poetic immortality in Archaic Greece, from an immortality of renown down to a form of personal survival. A detailed study of Pindar’s first Nemean, through Benveniste’s enunciative linguistics and Genette’s narratology, shows how the epinician constructs a temporal regime of eternity, in which the poet inscribes the victor. I proceed to analyze how, through the epinician, a network of concepts comprising memory, truth, light, and gold, is used to create a connotation of immortality. The social relations that determine this network are then analyzed through historical materialism and negative hermeneutics. From there, it appears that this network shows the construction of an aristocratic ideology, whose structure is then detailed through Gramsci’s concept of hegemony. This reveals how Pindar’s poetic immortality serves to ground a social order as eternal. Pindar’s religious immortality is then cast within this context and interpreted as an appeal to an extra-literary authority whose role is to legitimize the non-traditional form of poetic immortality developed by Pindar, an appeal made necessary by an undermining of literary authority. Thus, the increasing development of poetic immortality throughout Archaic Greece is reinterpreted as the product of a general crisis of authority, of a class struggle that would lead to the defeat of the landed aristocracy and the emergence of the polis of Classical Greece.

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