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La figure du bâtard dans la littérature africaine des indépendances : enjeux et significations autour des textes d'Ahmadou Kourouma et de Sony Labou Tansi / The face of the illegitimate child in the African literature : stakes and meanings in the texts of Ahmadou Kourouma and of sony labou tansi

Moukagni Moussodji, Serge 04 March 2011 (has links)
Pas de résumé / Pas de résumé
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Le rêve et la magie dans le roman africain et afro-américain / Dreams and Magic in African and American novels

Sherman Payet, Jeannine 07 October 2013 (has links)
Pas de résumé français / Pas de résumé anglais
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L'africanité dans la littérature caribéenne / Africanity in caribbean literature

Eluther, Ena 25 January 2013 (has links)
L’africanité des cultures caribéennes se résume-t-elle à de lointaines survivances, ou constitue-t-elle le fondement de ces cultures ? La littérature, miroir des peuples, peinture des cultures, et expression artistique, permet de percevoir la continuité culturelle et littéraire, entre le continent africain et sa diaspora caribéenne. La confrontation de romans, caribéens francophones et anglophones d’une part, africains de l’Afrique subsaharienne et de l’Afrique centrale d’autre part, révèle des traits culturels communs et des topoï littéraires d’une zone à l’autre : traumatismes coloniaux, protection et adaptation de l’héritage ancestral, valeurs spirituelles communes, problématiques linguistiques, peinture des luttes de résistance aux premiers rangs desquelles se retrouve l’écrivain lui-même. Cette étude comparatiste, qui puise parfois dans l’oraliture caribéenne et africaine, comme dans la littérature caribéenne hispanophone, invite à percevoir les expressions culturelles afro-caribéennes comme un prolongement des expressions culturelles africaines, offrant ainsi un plus large panorama du monde littéraire et culturel noir. De 1921 aux années 2000, l’analyse prend en compte les changements qu’ont connus les littératures africaines, caribéennes et les sociétés qu’elles représentent. Ces mutations ont-elles définitivement brisé l’ensemble civilisationnel africain, ont-elles rompu les liens culturels entre l’Afrique et les Amériques ? La lecture des romans du corpus présente un tableau, au contraire, homogène et cohérent des expressions culturelles et littéraires d’Afrique et de sa diaspora caribéenne, replaçant ainsi l’Afrique au centre de la culture caribéenne. / Can the africanity of caribbean cultures come down to distant survivals, or constitute the foundation of these cultures ? Literature, as a mirror of peoples, as a painting of cultures, as art, allows to perceive the cultural and literary continuity between the african continent and its caribbean diaspora. The comparison of english-speaking and french-speaking novels from the Caribbean and from West Africa and Central Africa shows common cultural features and literary topoi from one area to the other : colonial trauma, protection and adaptation of ancestral legacy, common spiritual values, linguistic problematics, paintings of resistance struggles in which the writer himself is in the frontline. This comparative study, which sometimes draws from caribbean and african oral literature, as from caribbean spanish-speaking literature, suggests that one should view the afro-caribbean cultural expressions as an extension of african cultural expressions, offering in this way a large panorama of the cultural and literary black world. From 1921 to the early years 2000, this analysis takes into account the changes of african and caribbean literatures and the societies they represent. Have the changes definitively broken the african civilizational unity, the cultural links between Africa and the Americas ? On the contrary, the reading of the novels of the corpus shows an homogeneous and coherent picture of cultural and literary expressions of Africa and its caribbean diaspora, so doing putting Africa back into the center of caribbean culture.
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Shapeshifting in Octavia Butler’s Wild Seed and Nnedi Okorafor’s Lagoon

Payam Askari, Fahimeh 04 1900 (has links)
No description available.
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Dérives et reconfigurations identitaires en contexte de violences postcoloniales chez Kossi Efoui

Legault, Étienne 01 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur les enjeux identitaires soulevés par la représentation des violences postcoloniales dans les littératures africaines francophones contemporaines. Postulant une resignification des violences et la formulation d'une nouvelle condition d'exilé depuis la fin de la guerre froide, avançant également que les auteurs africains francophones contemporains sont sensibles à ces déplacements de sens, il vise à s'inscrire dans les discussions qui animent les critiques depuis près de deux décennies et qui tentent de désigner les contenus d'une novation chez ces mêmes auteurs. Cela étant posé, ce mémoire limite son champ de recherche à deux romans écrits par un des auteurs africains francophones contemporains des plus prolifiques et des plus reconnus. Il s'agit des deux premiers romans de Kossi Efoui : La Polka (1998) et La fabrique de cérémonies (2001). La lecture de ces œuvres procède en trois études. La première s'intéresse aux effets structurants des violences postcoloniales sur des corps sans nom ni voix, sur des êtres réifiés et confinés à des représentations figées. Elle est à l'amorce d'une réflexion sur les modes de communicabilité tels qu'articulés au carrefour des quêtes subjectives des personnages. La deuxième étude appréhende les représentations des processus mémoriels et collectifs qui se traduisent par une quête de l'unicité, de l'identique, de la continuité et de la permanence. Cette quête participe d'un processus de marginalisation des récits de vie et de condamnation des histoires à une chaîne signifiante instrumentalisée. Cette étude se penche ainsi sur l'écriture de ces processus dans son rapport avec le pouvoir, la mémoire, l'histoire et les relations intersubjectives. La troisième étude prend l'exil pour paradigme critique. Chez Efoui, les représentations de sujets exilés nous portent au cœur de tensions entre l'apparente mobilité des frontières et les violences postcoloniales qui dénient leur modulation selon les expériences subjectives et collectives des personnages. Cette dernière lecture porte donc sur la configuration d'interstices ainsi que sur les figures marginales, liminaires et transitoires qui investissent l'espace et le temps du récit à la fois pour reprendre leurs droits sur une parole usurpée et pour échapper aux déterminismes auxquels ils sont soumis. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : littérature, Afrique, postcolonialisme, violence, exil, corps, histoire, mémoire, Kossi Efoui
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La traduction des motifs sonores dans les littératures africaines europhones comme réactivation du patrimoine poétique maternel

Jay-Rayon, Laurence 06 1900 (has links)
Plusieurs monographies récentes se sont intéressées à la traduction des littératures africaines europhones (Gyasi 2006, Bandia 2008, Batchelor 2009), faisant valoir le concept d’autotraduction (au sens métaphorique) et insistant sur le fait que ces écritures sont porteuses d’une oralité ou de marques linguistiques issues des langues parlées par les écrivains. Toutefois, la question de l’hybridité comme point de jonction entre littératures orales et écrites a encore rarement été examinée sous un angle poétique et c’est précisément dans cet esprit que cette recherche a été entreprise. Dans un premier temps, à partir des ouvrages originaux de six auteurs, trois d’expression littéraire anglaise (Farah, Hove et Armah) et trois d’expression littéraire française (Waberi, Adiaffi et Djebar), je montre en quoi ces écritures méritent d’être qualifiées de poétiques avant de mettre cette esthétique en relation avec le patrimoine littéraire de chacun des auteurs du corpus; ponctuellement, d’autres affiliations littéraires sont mises en évidence. Cette poétique est examinée dans sa dimension mélopoéique (Pound 1954), c’est-à-dire sous l’angle des structures audibles, appelées aussi figures de style jouant sur la forme phonétique des mots (Klein-Lataud 2001). Dans un second temps, j’examine comment cette poétique sonore a été recréée, tant de manière qualitative que quantitative, dans les traductions de Bardolph, de Richard et de J. et R. Mane (pour les auteurs d’expression anglaise) et de Garane, de Katiyo et de Blair (pour les auteurs d’expression française). Les enjeux associés à la réactivation des structures poétiques sonores sont mis en évidence dans le dernier chapitre qui propose un tour d’horizon des modalités de « consommation » de l’objet littéraire et qui s’achève sur les questions soulevées par la progression du livre audio. La méthodologie élaborée dans ce cadre s’inspire essentiellement de Berman (1995) et de Henry (2003). La conceptualisation de la poétique sonore, telle que mise en œuvre dans le contexte particulier de ces littératures, fait appel aux paradigmes de valence traductive (Folkart 2007) et de traduction métonymique (Tymoczko 1999). Par ailleurs, cette recherche s’appuie sur la récente thèse de doctorat de Fraser (2007) consacrée à la théorisation du sonore en traduction. / Recent publications explore Europhone African literatures as translation and in translation (Gyasi 2006, Bandia 2008, Batchelor 2009) insisting that these texts are better understood as a form of self-translation through oral subtexts, showing evidence of linguistic interplay by drawing on the writers’ native language(s). Yet hybridity as an encounter between oral and written literatures has seldom been explored in its poetic dimension. This lack of attention shapes the blueprint of this dissertation. Drawing on six original texts from African writers publishing in English (Farah, Hove and Armah) or in French (Waberi, Adiaffi and Djebar), I show in which extent these writings deserve to be labelled as poetic and how they are informed by the authors’ native literary background; occasionally I discuss other literary affiliations. In this specific context, I explore poetry in its melopoeic actualization (Pound 1954) as it relates to aural poetic devices (i.e. relying on their audible features). I then analyze, qualitatively and quantitatively, how this audible poetry has been reactivated by the translators: Bardolph, Richard, J. and R. Mane (translating Farah, Hove and Armah, respectively); Garane, Katiyo, Blair (translating Waberi, Adiaffi and Djebar, respectively). The last chapter suggests how reactivating sonorous poetic devices in translation relates to different literary modalities, especially audiobooks, as they represent a rapidly growing trend. The methodology draws on Antoine Berman’s translation project (1995) and Jacqueline Henry’s Traduire les jeux de mots (2003). Approaching the translation of aural/audible poetry in the specific context of these texts was facilitated by calling upon paradigms such as translational valency (Folkart 2007) and metonymy (Tymoczko 1999). Last but not least, this dissertation benefited from Fraser’s recent doctoral thesis (2007) dedicated to theorizing sound translation.
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Ironie et discours social dans les romans d'Ahmadou Kourouma

Mpendiminwe, Apollinaire 08 1900 (has links)
No description available.
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La traduction des motifs sonores dans les littératures africaines europhones comme réactivation du patrimoine poétique maternel

Jay-Rayon, Laurence 06 1900 (has links)
Plusieurs monographies récentes se sont intéressées à la traduction des littératures africaines europhones (Gyasi 2006, Bandia 2008, Batchelor 2009), faisant valoir le concept d’autotraduction (au sens métaphorique) et insistant sur le fait que ces écritures sont porteuses d’une oralité ou de marques linguistiques issues des langues parlées par les écrivains. Toutefois, la question de l’hybridité comme point de jonction entre littératures orales et écrites a encore rarement été examinée sous un angle poétique et c’est précisément dans cet esprit que cette recherche a été entreprise. Dans un premier temps, à partir des ouvrages originaux de six auteurs, trois d’expression littéraire anglaise (Farah, Hove et Armah) et trois d’expression littéraire française (Waberi, Adiaffi et Djebar), je montre en quoi ces écritures méritent d’être qualifiées de poétiques avant de mettre cette esthétique en relation avec le patrimoine littéraire de chacun des auteurs du corpus; ponctuellement, d’autres affiliations littéraires sont mises en évidence. Cette poétique est examinée dans sa dimension mélopoéique (Pound 1954), c’est-à-dire sous l’angle des structures audibles, appelées aussi figures de style jouant sur la forme phonétique des mots (Klein-Lataud 2001). Dans un second temps, j’examine comment cette poétique sonore a été recréée, tant de manière qualitative que quantitative, dans les traductions de Bardolph, de Richard et de J. et R. Mane (pour les auteurs d’expression anglaise) et de Garane, de Katiyo et de Blair (pour les auteurs d’expression française). Les enjeux associés à la réactivation des structures poétiques sonores sont mis en évidence dans le dernier chapitre qui propose un tour d’horizon des modalités de « consommation » de l’objet littéraire et qui s’achève sur les questions soulevées par la progression du livre audio. La méthodologie élaborée dans ce cadre s’inspire essentiellement de Berman (1995) et de Henry (2003). La conceptualisation de la poétique sonore, telle que mise en œuvre dans le contexte particulier de ces littératures, fait appel aux paradigmes de valence traductive (Folkart 2007) et de traduction métonymique (Tymoczko 1999). Par ailleurs, cette recherche s’appuie sur la récente thèse de doctorat de Fraser (2007) consacrée à la théorisation du sonore en traduction. / Recent publications explore Europhone African literatures as translation and in translation (Gyasi 2006, Bandia 2008, Batchelor 2009) insisting that these texts are better understood as a form of self-translation through oral subtexts, showing evidence of linguistic interplay by drawing on the writers’ native language(s). Yet hybridity as an encounter between oral and written literatures has seldom been explored in its poetic dimension. This lack of attention shapes the blueprint of this dissertation. Drawing on six original texts from African writers publishing in English (Farah, Hove and Armah) or in French (Waberi, Adiaffi and Djebar), I show in which extent these writings deserve to be labelled as poetic and how they are informed by the authors’ native literary background; occasionally I discuss other literary affiliations. In this specific context, I explore poetry in its melopoeic actualization (Pound 1954) as it relates to aural poetic devices (i.e. relying on their audible features). I then analyze, qualitatively and quantitatively, how this audible poetry has been reactivated by the translators: Bardolph, Richard, J. and R. Mane (translating Farah, Hove and Armah, respectively); Garane, Katiyo, Blair (translating Waberi, Adiaffi and Djebar, respectively). The last chapter suggests how reactivating sonorous poetic devices in translation relates to different literary modalities, especially audiobooks, as they represent a rapidly growing trend. The methodology draws on Antoine Berman’s translation project (1995) and Jacqueline Henry’s Traduire les jeux de mots (2003). Approaching the translation of aural/audible poetry in the specific context of these texts was facilitated by calling upon paradigms such as translational valency (Folkart 2007) and metonymy (Tymoczko 1999). Last but not least, this dissertation benefited from Fraser’s recent doctoral thesis (2007) dedicated to theorizing sound translation.
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Histoire, fiction et mémoire dans l’œuvre de Boubacar Boris Diop

Sarr, Fodé 04 1900 (has links)
Cette thèse tente de réfléchir sur l’écriture de Boubacar Boris Diop. Les romans de cet écrivain doivent une grande part de leur originalité à la présence obsédante des discours de la mémoire et de l’histoire. Son esthétique s’inscrit dans une revisitation permanente des récits de l'historiographie. Cette écriture convoque le passé et l'investit comme matériau dans cette exploration des formes du roman. Une telle démarche scripturale semble être la pierre angulaire de cette fiction aux confluences desquelles se rencontrent et s'intègrent systématiquement, aussi bien les genres romanesques hétérogènes de l'oralité (contes, épopées, mythes...), que des disciplines non romanesques. Cette stratégie de construction romanesque traduit, au-delà d'une simple exploration formelle et innovatrice des possibles du roman, une esthétique de distanciation et d'hétérogénéité qui traverse en filigrane l'œuvre de Boubacar Boris Diop. Cette forme d’écriture singularise son esthétique et constitue une rupture épistémologique dans le champ littéraire africain, qui a été souvent caractérisé par des récits linéaires classiques. L’usage de ces discours de l’histoire et de la mémoire, dans l’esthétique romanesque de Boubacar Boris Diop, s’articule d’abord dans une démarche de renouvellement des habitudes dans le champ littéraire africain, et ouvre aussi cette «phase autoréférentielle» (Sob, 2007 : 8) du roman en inscrivant son discours dans la modernité. Ensuite, cette pratique scripturale se construit sur l’élaboration d’un style romanesque particulier, se déployant dans une mise en scène et une parodisation permanentes du fonctionnement et des modalités de l’écriture. Sur fond d’une déconstruction perpétuelle des procédés de composition romanesque, se dessinent les contours d’une esthétique qui promeut et institue l’ambivalence généralisée comme le mode principal de son déploiement. Une telle pratique intertextuelle permet à l’écriture romanesque de se construire en confrontant les discours officiels de l’historiographie en général et l’histoire africaine contemporaine en particulier. En légitimant la déconstruction systématique comme dispositif de la composition romanesque, l’écriture se place dans une dynamique de «soupçon» qui sous-tend l’esthétique romanesque de Boubacar Boris Diop. La présente étude a le dessein de répertorier et d'analyser d'abord l'intégration des discours de l'histoire et de la mémoire, dans leurs manifestations et configurations dans l'œuvre de Diop, et ensuite, d'étudier leurs modalités d'insertion et d'utilisation dans l’élaboration de la fiction. Il s'agira, dans un cadre intertextuel, de voir comment ces discours sont investis et retravaillés par la fiction et, au-delà, d’essayer de repérer les motifs et les modalités discursives qui gouvernent leur usage. Une telle approche nous permettra d’appréhender les dimensions significatives de cette démarche scripturale et de voir éventuellement, s’il existe une poétique de la mémoire chez Boubacar Boris Diop. Les différentes théories sur la fiction, la mémoire et le discours historiographique nous serviront de charpente théorique qui sous-tendra notre thèse. / This thesis intends to reflect on the writing of Boubacar Boris Diop. The novels of this writer owe much of their originality to the haunting presence of the discourses of history, memory and narratives about the past. Revisiting the narratives of history and memory seems to be the cornerstone of this writing at the crossroads of which are systematically integrated different types of heterogeneous narrative genres of orality such as legends, epics, myths, non-fictional and non-novelistic disciplines such as historiographical discourse. This strategy of constructing fiction translates, beyond a formal and innovative exploration of the possibilities of the novel, an aesthetics of distance and heterogeneity which runs through Boubacar Boris Diop’s literary work. This literary posture is based on the deconstruction of the forms of traditional narrative which are replaced by a very polyphonic narrative enunciation. This literary approach distinguishes the aesthetical work of Boubacar Boris Diop and operates an epistemological rupture in the African literary field, characterized by traditional linear narratives. Moreover, the use of these discourses of history and memory falls, first and foremost, within the framework of a renewal of literary habits in the African literary field. It also opens this "self-referential phase" (Sob, 2007: 8) of the novel by relating its discourse and its content to modernity. Then, this scriptural approach is built on a particular novelistic style, unfolding in a staged and a permanent parodisation of the functioning and the modalities of fictional writing. Amid a constant deconstruction of the methods of the novel’s composition, is outlined a literary aesthetics which promotes ambivalence as the main mode of deployment which runs through the novel. This intertextual practice enables the fiction to construct itself by undoing the discourses of the past such as History and memory. In justifying the systematic deconstruction as a device for the fictional elaboration, Diop’s writing creates a dynamics of "suspicion" that underpins his writing. This study intends to identify and analyze, first and foremost, the integration of the notions of history and memory in the writing process of Diop. Then we will study their configurations and their methods of integration and use in the fiction. In an intertextual framework, we will see how these notions of memory and history are reinvested and reworked through the fiction, and then, we will try to identify the aesthetical and literary motives which govern their use. Such an approach will enable us to apprehend the relevant dimensions of this posture of writing and to see whether there is a poetics of memory through Boubacar Boris Diop’s writing. The different theories of fiction, memory and history will be the theoretical framework through which we will approach this work.
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De la transgression comme pratique esthétique dans les romans de Sami Tchak

Attikpoé, Kodjo 12 1900 (has links)
Cette thèse a pour objectif d’examiner l’œuvre romanesque du Togolais Sami Tchak (de son vrai nom Sadamba Tcha Koura). Parmi les écrivains africains francophones dits de la nouvelle génération, il se distingue par une esthétique qui s’inscrit essentiellement dans une dynamique transgressive et transculturelle. À travers un recours systématique au matériau de la sexualité, Sami Tchak construit une poétique, qui, au-delà de son audace transgressive, de son aspect délibérément choquant et provocateur, s’attache à interroger l’existence humaine, à mettre en évidence les misères et les faiblesses de l’Homme. En outre, cette poétique de la sexualité est porteuse de sens du social : elle sert de prétexte à l’auteur pour dépeindre l’existence de ceux qu’il appelle des « vies sans horizon », des « vies sans relief », mais aussi pour déconstruire la doxa. Mû par le désir de s’imposer comme une voix individuelle, de s’éloigner du dogme enfermant de l’africanité, Sami Tchak choisit de marquer son propre territoire littéraire par le biais d’une démarche transculturelle, en ancrant son œuvre dans la mémoire de la littérature. Cet ancrage se double d’une construction polysémique de l’espace. La présente étude s’appuie sur une triple approche, intertextuelle, sociocritique et transculturelle. Par exemple, elle montrera que, contrairement à une certaine critique qui le soupçonne de tourner le dos à l’Afrique, le projet romanesque de Sami Tchak procède d’une conscience à la fois africaine et universelle : même dans les romans qui se déroulent dans l’espace latino-américain, on remarquera que l’auteur possède l’art d’évoquer l’Afrique, surtout à travers des discours allusifs, implicites. / This thesis aims to examine the novels of the Togolese writer Sami Tchak (whose real name is Sadamba Tcha Koura). Among the so-called New Generation of francophone African writers, he is noted for his fiction that lies within a transgressive and transcultural dynamics. Through a systematic use of sexuality, Sami Tchak creates a poetics that, on the other side of his transgressive boldness and his deliberately shocking and provocative aspect, seeks to examine human existence, to highlight human misery and weaknesses. In addition, this poetics conveys social meaning: sexuality serves as a pretext for the author to depict the lives of those he calls “lives without horizon” or “lives without depth”, and also to deconstruct the doxa. Sami Tchak wants to be heard as an individual voice. He wants to distinguish himself by diverging from the dogma of “Africanity”. Thus, he marks his own literary territory through transcultural features: literary memory assumes a central place in his fiction, which is also characterized by a polysemic configuration of space. The theoretical framework used in this study concerns intertextuality, sociocriticism and transculturality. For instance, the thesis will show that contrary to the literary criticism which suspects him of turning his back on Africa, the fiction of Sami Tchak proceeds from an African and universal consciousness: even in the novels that take place in the Latin American countries, we notice that the author has a talent for talking about Africa, especially through allusive discourse.

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