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Marx est-il individualiste?Champagne, Pier-Yves 30 August 2016 (has links)
Des nombreuses lectures possibles de l’œuvre de Marx, celles de Michel Henry et de Serge Cantin ont l'avantage, lorsque mises côte-à-côte, de faire ressortir les différentes tensions qui existent entre le pôle libertaire et communautaire de la pensée de Marx. D'un côté, Michel Henry met l'accent sur l'aspect individualiste de l'ontologie marxienne. Cantin quant à lui montre de quelle manière Marx tend à nier cette individualité au profit d'un processus objectif qui sous-tend cette individualité, à savoir la vie elle-même. L'objectif de ce mémoire est d'exposer ces deux conceptions aux antipodes, puis de les faire dialoguer entre elles afin de voir dans quelle mesure, malgré leur apparente opposition, une réconciliation est possible. Or, il s'avère que malgré les quelques points communs dégagés en conclusion, nous ne soyons pas parvenus outre mesure à opérer de rapprochement significatif entre ces deux lectures. / Of the many possible readings of Marx's work, those of Michel Henry and Serge Cantin have the advantage, when compared side by side, to bring out certain tensions that exist between the communitarian and libertarian dimensions of Marx's thought. On the one hand, Michel Henry emphasizes the individualistic aspect of Marxian ontology. Cantin, on the other hand, shows how Marx tends to deny this individuality in favor of an objective process that underlies this individuality, namely, that of life itself. The purpose of this thesis is to present these two opposing views individually and then to have them interact with each other. The guiding question is whether, despite their apparent opposition, some form of reconciliation is possible. It turns out that, apart from a few common point that are brought to light, these two readings do not lend themselves to any significant rapprochement.
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La notion de pratique chez Foucault / Foucault's notion of practiceBocquet, Karine 08 November 2013 (has links)
L'objet de ce travail est de reconsidérer l'oeuvre de Michel Foucault à la lumière d'une notion dont il s'agira de montrer toute la force et l'intérêt : la pratique. Notion intensive et plastique et non concept unificateur. Effectivement, à une époque où la pratique apparaît comme un concept philosophiquement, sociologiquement et politiquement surdéterminé, Foucault emprunte une voie singulière, refusant d'attribuer à la pratique aussi bien une fonction synthétique qu'une portée théorique, et ce, particulièrement au plus fort du moment doublement central de son oeuvre - le début des années 1970 - moment pratique que ce travail cherche à isoler et à redéployer. Un tel refus de la synthèse théorique est précisément lié à l'originalité de la démarche suivie par Foucault et à la nature des champs qu'il explore. Dès lors, c'est la genèse de l'oeuvre qui, au prisme de cette hypothèse, est susceptible de recevoir un éclairage nouveau. Si les premiers travaux se caractérisent en effet par un primat de l'expérience, on assiste progressivement au mouvement par lequel la pratique se dégage de l'expérience pour atteindre le moment critique d'un effondrement de la théorie dans la pratique, cette dernière se redéployant finalement dans les "pratiques de soi". A la faveur de ce parcours qui pointe les éléments significatifs pour la pratique, on aperçoit alors que, dans le sillage des deux moments majeurs de l'oeuvre de Foucault que sont Les Mots et les choses d'une part, Surveiller et punir et La Volonté de savoir d'autre part, tous les enjeux critiques se cristallisent autour du statut accordé à la pratique, preuve de son importance pour saisir le geste foucaldien. / The purpose of this work is to rethink Michel Foucault's writings in the light of a notion - the notion of practice - whose strenght and interest will be emphasized. More specifically as an intensive and plastic notion and in contrast with a unifying concept. Indeed, at a time when practice emerges as a concept which has been philosophically, sociologically and politically overdetermined, Foucault follows his own path, both refusing to ascribe a synthetic function and a theoretical reach to practice. This approach particularly arose at the height of a central and decisive turning-point in his writings - in the early 70's - a practical moment this work aims at redifining and making stand out. Such a refusal of the theoretical synthesis is precisely linked with Foucault's original approach and with the specificity of the fields he explores. Since then, as regards this hypothesis, a new light is likely to be thrown on the genesis of his works. Given the first works are definitely characterized by a prominence of experience, a movement gradually comes into view making practice stand out from experience so as to reach the critical moment of the collapse of theory into practice, this one finally turning into the "practices of the self". Thanks to this process which points out the meaningful elements devoted to practice, it can then be seen that in the wake of the two major moments of Foucault's works - The Order of things ont he one hand, Discipline and punish, The Will to knowledge on the other hand - all the critical stakes are focused on the status given to practice which proves its importance in order to grasp Foucault's gesture.
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Un intellectuel communiste illégitime : Roger Garaudy / An illegitimate communist intellectual : Roger GaraudyGauvin, Didier 05 April 2018 (has links)
Après avoir atteint l'excellence en tant qu'intellectuel de parti stalinien pendant la Guerre froide, Roger Garaudy s'est construit comme intellectuel "véritable" contre la doxa du PCF qu'il était pourtant chargé d'incarner, à la faveur de son autonomisation suite au choc du XX° Congrès du PCUS périmant sa foi en Staline. C'est ainsi que la résurgence progressive de son habitus théologico-philosophique a fait de lui l'homme du dialogue par excellence adapté à la démarginalisation du PCF dans le champ intellectuel des années 1960. Mais si son engagement sur la tagente hérétique a fait de lui l'un des intellectuels communistes poussant le plus loin le projet de rénovation du PC en offrant une véritable stratégie alternative à celle du Parti après 1968, l'exclusion qui s'en est suivie s'est traduite par un retour du refoulé religieux qui, couplé à la posture prophétique d'un intellectuel désormais excentré dans le champ intellectuel français, a largement contribué à la délégitimation de l'ancien philosophe du PC avant même sa radicalisation ultime qui a achevé de le disqualifier suite à sa condamnation pour négationnisme. / After he reached excellence as a stalinist party intellectual during the Cold War, Roger Garaudy built himself as a real intellectual against the doxa that he was yet supposed to embody, following his emporwement after the shock of the 20th Congress of the CPSU which made his faith in Stalin obsolete. That is how the progressive resurgence of his theologico-philosophical habitus allowed him to become by excellence the "man of dialogue" within the French Communist Party, the most adjusted intellectual to the demarginalization of the FCP in the french intellectual field of the 1960s. But if his undertaking to the heretic tangent made him the communist theoretician who went the furthest on the way towards destalinization by offering a real alternative strategy to the Party's after 1968, his ensuing exclusion manifested thereafter as a backlash of the religiously repressed which, together with the prophetic posture of an intellectual henceforth unwarranted in the french intellectual field, largely explains the delegitimation of the former leading communist philosopher, even before his ultimate radicalization which completed his disqualification after he was condemned by french justice for negationism.
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Jean-François Revel et la démocratie / Jean-François Revel and DemocracyBoulanger, Philippe 15 November 2012 (has links)
Essayiste mondialement connu, éditorialiste dans de grands hebdomadaires français, agrégé de philosophie, Jean-François Revel a accompagné la vie intellectuelle française et internationale de la seconde moitié du XXe siècle. Né le 19 janvier 1924 à Marseille, décédé le 30 avril 2006, il se caractérise par un itinéraire intellectuel qui s’ancre profondément dans son temps. Il l’est comme tous les penseurs de son siècle, certes, mais sans doute encore davantage, car il est un penseur peu théoricien, avant tout soucieux des faits. Il compose son argumentaire libéral et l’emploie dans la grande presse et dans ses essais à grand succès, au service de la défense d’une démocratie qu’il juge menacée de l’intérieur et de l’extérieur.Libéral impénitent, Revel prend résolument la défense de la démocratie libérale contre le totalitarisme communiste et le socialisme marxiste. Polémiste, il critique durement la Constitution de la Ve République, le « grand dessein » du général de Gaulle, l’Union de la gauche entre socialistes et communistes et l’antiaméricanisme des Français. Sceptique popperien, il tente de dégager les ressorts intellectuels de ce qu’il appelle la « tentation totalitaire » et de la paralysie des démocraties occidentales confrontées aux ambitions géostratégiques de l’URSS.Publiciste à la manière des écrivains du XIXe siècle, témoin des grands défis politiques, économiques, sociaux et idéologiques du XXe siècle, sentinelle isolée du libéralisme au temps du marxisme triomphant, ardent défenseur de la démocratie libérale si combattue et malmenée par les fascismes et les totalitarismes nazi et communiste, Revel aura donc occupé une place à la fois centrale et marginale dans l’histoire des idées en France.En outre, Revel est resté, en vérité, et malgré une ferme empreinte anglo-saxonne, un libéral démocrate français, certain de son ancrage à gauche en dépit des controverses le visant, affronté à une gauche française profondément marxisée et une droite gaulliste et post-gaulliste très nettement hostile au libéralisme. Pour lui, l’adhésion au libéralisme intégral n’est pas une question de dogme, mais d’expérience : le libéralisme politique assure la paix civile, l’équilibre des pouvoirs et la participation des citoyens à la vie politique ; le libéralisme économique garantit mieux que l’interventionnisme étatique l’efficacité et la justice sociale.Penseur mineur par rapport à Aron ou Hayek, essayiste et polémiste, Revel a, depuis son décès, été plongé dans un relatif confinement. Son rôle de diffuseur des idées libérales dans la grande presse – plutôt que dans les cercles universitaires – n’est que rarement souligné dans les travaux sur le libéralisme au XXe siècle. L’objet de ce travail est de tenter de remédier modestement à ce confinement. / Writer all over the world, columnist in top French weeklies, graduated in philosophy, Jean-François Revel went through the international and French intellectual life from the end of the war on. Born on July 19, 1924, Marseilles, passed away on April 30, 2006, his intellectual profile was deeply rooted in his time. So were his intellectual contempories in this century, but undoudtedly still more, because his thought was little theoritical, based on facts before all. His liberal reasoning was used in the largest press and in his best-selling books at the service of democracy, that he sees as threatened internally and externally.Publicist in the way of the 19th century-writers, watchman of prominent political, economic, social and ideological challenges in the last century, isolated sentinel of liberalism in the period of triumphant Marxism, fierce champion of liberal democracy that was fought by fascisms and Nazi and Communist totalitarianisms, Revel played a role both central and marginal in the history of ideas in France.Moreover, Revel remained, and in spite of a real Anglo-Saxon stance, a French liberal democrat, convinced of being left-winger even though he was the target of controversies, faced with both a deeply Marxised French Left and a clearly antiliberal Gaullist and post-Gaullist Right. Giving his support to integral liberalism was not a question of dogma but of experience. Political liberalism ensures civil peace, check and balance, the participation of citizens to political life, and economic liberalism is better than state interventionism to create social justice and to guarantee efficiency.Philosopher of minor interest if compared with Aron or Hayek, political writer and polemist, Revel has, since he died, been relatively confined. His role of vulgarizator of liberal ideas in the largest press – rather than in the academic inner circles – has rarely been underlined in the studies dealing with 20th century-liberalism. The topic of this thesis is to try to modestly make Revel’s work better known.
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Le parcours de Patrick Straram et son inscription dans le roman La faim de l'énigmeMartel, Xavier January 2009 (has links) (PDF)
Dans le présent mémoire, nous avons voulu démarquer le parcours de Patrick Straram le Bison ravi des divers mouvements auxquels il fut associé et montrer l'inscription de sa trajectoire particulière dans son roman La faim de l'énigme. Pour ce faire, nous avons eu recours à la biographie et à l'herméneutique, préférant la plupart du temps donner la parole à l'auteur plutôt qu'à ses commentateurs. La ligne suivie par sa trajectoire s'est peu à peu définie à mesure que la pensée des groupes auxquels Straram a été associé se précisait. L'hypothèse de départ était que Straram, bien qu'il soit associé à l'Internationale lettriste, à l'Internationale situationniste et au mouvement contre-culturel, proposait une réflexion différente de celle de ces mouvements. L'analyse de sa pensée et de ses pratiques a démontré que Straram était irréductible à tous groupements idéologiques et que ses textes ne cadraient jamais complètement dans aucun genre. Nous avons voulu mettre en évidence que c'est dans ses pratiques de la vie quotidienne, comme la dérive, l'expérience du jeu et les excès en tous genres, que Straram pouvait être lié à ces groupes, et non pas dans ses réflexions qui ont toujours débordé leurs cadres théoriques. Sa pensée a toujours été décalée d'une ligne éditoriale stricte. Elle est par essence marginale, tout en ayant absolument besoin d'un groupe pour s'exprimer, sinon elle deviendrait purement individualiste et perdrait de sa force. Straram semble chercher à exprimer l'individualité à l'intérieur d'un collectif. Le constat général qui s'est imposé est que sa pensée n'est pas centrée, mais éclatée, donc plurielle. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Patrick Straram le Bison ravi, Internationale, Lettriste, Situationniste, Contre-culture, Autobiographie.
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Pratique et théorie révolutionnaire chez Alain Badiou et Toni NegriBrahimi, Mohamed Amine 06 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche a pour objectif principal de mener à bien une étude théorique originale d'inspiration marxienne sur la théorie révolutionnaire d'Alain Badiou et de Toni Negri. Nous avons fait une généalogie de la pensée politique révolutionnaire ce qui nous permit de situer le marxisme dans cette tradition. Par la suite, nous avons procédé à la définition des principaux concepts théoriques utilisés par Negri et Badiou. Cette étude conceptuelle a été menée parallèlement à une recherche historico-politique sur le parcours des deux auteurs. Chacun des concepts a été placé en lien avec une période spécifique de leur vie militante. Enfin, nous avons établi le lien entre leur travail théorique actuel et leur engagement politique.
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La notion de pratique chez FoucaultBocquet, Karine 08 November 2013 (has links) (PDF)
L'objet de ce travail est de reconsidérer l'oeuvre de Michel Foucault à la lumière d'une notion dont il s'agira de montrer toute la force et l'intérêt : la pratique. Notion intensive et plastique et non concept unificateur. Effectivement, à une époque où la pratique apparaît comme un concept philosophiquement, sociologiquement et politiquement surdéterminé, Foucault emprunte une voie singulière, refusant d'attribuer à la pratique aussi bien une fonction synthétique qu'une portée théorique, et ce, particulièrement au plus fort du moment doublement central de son oeuvre - le début des années 1970 - moment pratique que ce travail cherche à isoler et à redéployer. Un tel refus de la synthèse théorique est précisément lié à l'originalité de la démarche suivie par Foucault et à la nature des champs qu'il explore. Dès lors, c'est la genèse de l'oeuvre qui, au prisme de cette hypothèse, est susceptible de recevoir un éclairage nouveau. Si les premiers travaux se caractérisent en effet par un primat de l'expérience, on assiste progressivement au mouvement par lequel la pratique se dégage de l'expérience pour atteindre le moment critique d'un effondrement de la théorie dans la pratique, cette dernière se redéployant finalement dans les "pratiques de soi". A la faveur de ce parcours qui pointe les éléments significatifs pour la pratique, on aperçoit alors que, dans le sillage des deux moments majeurs de l'oeuvre de Foucault que sont Les Mots et les choses d'une part, Surveiller et punir et La Volonté de savoir d'autre part, tous les enjeux critiques se cristallisent autour du statut accordé à la pratique, preuve de son importance pour saisir le geste foucaldien.
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Un germaniste engagé, Georg Lukacs la part de la sociologie de la littérature dans la renovation de l'exegèse allemande /Brun, Jacques. January 1979 (has links)
Thesis--Université de Paris III. / Includes bibliographical references (p. 787-801).
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Un germaniste engagé, Georg Lukacs la part de la sociologie de la littérature dans la renovation de l'exegèse allemande /Brun, Jacques. January 1979 (has links)
Thesis--Université de Paris III. / Includes bibliographical references (p. 787-801).
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La Quête de l'énoncé vivant. Éléments pour une poétique de la nouvelle chez Marios Hakkas. / Searching for the Living Utterance. Elements for a Poetics of the Short Story in Marios Hakkas.Bouyer, Jacques 06 October 2017 (has links)
Dans les trois recueils de nouvelles publiés par Marios Hakkas (1931-1972) entre 1966 et 1972, la disparité entre les textes est manifeste. Trop souvent ignorée des critiques, elle s’explique par une diversité des approches énonciatives : les nouvelles-discours s’imposent au détriment des nouvelles-récits. Formellement construite comme un récit, la nouvelle prend de plus en plus la forme d’un discours à la première personne. L’objectif de la thèse a dès lors été d’étudier ce qui détermine une évolution faisant passer de la forme narrative, parfois convenue et idéologiquement marquée, à un type de discours non dogmatique, centré sur le sujet et libéré des contraintes formelles du récit.L’hétérogénéité des formes narratives est liée tant à la mutation des acteurs du récit que sont le narrateur et les personnages qu’au recentrage de la nouvelle sur la quête d’un savoir. Car c’est un énonciateur-sujet qui prend la relève du narrateur sans qu’on sache toujours très bien s’il s’agit de l’auteur lui-même, atteint d’un cancer, ou d’un être de fiction. Menant un travail d’interprétation dans le chaos des signes où il manque de disparaître, il tente de saisir sa propre identité, contribuant ainsi à refonder la nouvelle. Ce genre finit par s’enraciner dans une matière et sur une structure mobiles, se détournant de toute forme prédéterminée et univoque, privilégiant en tout cas une organisation ouverte aux affects et aux possibles. La nouvelle reprend vie et devient un énoncé vivant. / In the three collections of short stories published by Marios Hakkas (1931-1972) between 1966 and 1972, the discrepancy between the texts is obvious. Too often overlooked by critics, it can be explained by a wide range of enunciative approaches: discourse-short stories establish themselves at the expense of narrative-short stories. Formally built as a narrative, the short story looks more and more like a first-person speech. The aim of the thesis has been from then on to study what determines the evolution from the narrative form, sometimes conventional and ideologically committed, to a non-dogmatic speech, focused on the subject and relieved from the narrative’s formal constraints. The heterogeneity of narrative forms is related to both the transformation of story actors, namely the narrator and the characters, and to the short story being focused on a search of knowledge. For it is a subject-enunciator who takes over from the narrator without being clearly known whether he is the author himself, affected by a cancer, or a fictional being. Engaging in an interpretation through the chaos of signs where he nearly disappears, he tries to grasp his own identity, thus contributing to the short story’s rebuilding. This genre ends up taking root in a material and on a structure, that are both mobile, turning away from any predetermined and unequivocal form, privileging in any case an organization which is open to affects and to the possible. The short story comes back to life and becomes a living utterance.
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