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Les représentations de cavaliers en Egypte ptolémaïque et impériale et l'influence des imageries étrangèresZaegel, Julie 27 September 2012 (has links) (PDF)
Aux époques ptolémaïque et impériale, les représentations de cavaliers se multiplient et de nouveaux motifs apparaissent en Égypte. Des divinités du panthéonpharaonique peuvent être dotées d'un cheval et d'attributs militaires. Des dieux étrangers font leur apparition ainsi que des personnages cuirassés et armés dont lanature divine n'est pas avérée. Le présent travail constitue une première monographie sur l'ensemble de ces représentations. Le catalogue comporte cent quarante‐huit objets et présente une hétérogénéité importante, tant du point de vue des supports que des sites d'où proviennent les sources. Axée sur l'interdisciplinarité, la thèse repose sur deux approches, technique et iconographique. L'étude du mode de fabrication des figurines en terre cuite et les réflexions sur la question de la mise en série des objets constituent le premier champ de recherches. L'axe iconographique repose sur la comparaison systématique des motifs iconographiques avec les emblèmes visibles dans le reste du pourtour du bassin méditerranéen et traite de la signification des représentations. La confrontation des données a permis d'établir des hypothèses sur l'origine et la fonction des terres cuites et sur les raisons qui ont mené à la production des objets du corpus.Des critères de datation nouveaux ont été définis pour tenter de pallier les lacunes dues à l'absence de contexte de la majorité des sources du catalogue. Les travaux effectués dans les musées ont permis de publier des reproductions de qualité pour des objets qui pour certains n'avaient plus été observés depuis 1915. Ils ont également donné lieu à la découverte d'inédits.
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Abendland, Alpenland, Alemannien : Frankreich und die Neugliederungsdiskussion in Südwestdeutschland 1945-1947 /Klöckler, Jürgen. January 1998 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Universität Konstanz, 1996. / Bibliogr. p. 277-304. Index.
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Le mirage des oracles militaires en Grèce ancienne : l'exemple de Leuctres (-371)Castex, Jonathan 07 1900 (has links)
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La place de la réserve militaire dans la politique publique d'intelligence économique française : une approche motivationnelle et d'engagement info-centrée / Military reserve and french public policy of competitive intelligenceLe Corroller, Céline 11 December 2013 (has links)
La présente recherche doctorale ancrée en Sciences de l’information et de la communication traite de la place de la réserve militaire dans la Politique publique d’Intelligence économique française. Interdisciplinaire par essence, attaché aux pratiques informationnelles et acteur-centré, notre travail de recherche vise une meilleure intelligence du fait social étudié en vue d’accroître la mobilisation et la participation des réservistes militaires au cœur de la Politique publique d’Intelligence économique.Trois apports majeurs découlent de notre étude : une analyse des mutations du volontariat en général et de la réserve en particulier, l’élaboration du panorama des activités de réserve touchant à l’Intelligence économique et la proposition d’un modèle agrégatif du profil motivationnel et d’engagement des réservistes militaires attachés à de telles missions. / The present doctoral research stands in the specific French field that mixes Information science and communication. It deals with finding the right place for the military reserve within the French public policy of competitive intelligence. It’s an interdisciplary work focusing on information practices and an actor-centered work. Our research brings three main elements : an accurate analyse of « volunteers’ transformations» and the consequences it fathers on management, a panorama of the competitive intelligence activities that reservists can perform (such as Cyberdefense, influence, defense industry, advice and training) and a proposal of a motivationnal and commitment profile for reservists dealing with information and particularly with competitive intelligence.
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"Comme l'on se doit gouverner" : la guerre, la ville et le pouvoir : Mâcon (vers 1382 - vers 1435) / "As we must rule" : the war, the city and the power : Macon (1382 - to 1435)Léthenet, Benoît 06 January 2012 (has links)
Au cours de la Guerre de Cent ans, la ville de Mâcon est confrontée à des pouvoirs concurrents, dans le climat de recomposition du pouvoir royal dans le 1er quart du XVe siècle. L’accent est mis sur l’information, sa circulation et ses effets sur le gouvernement urbain.La première partie éclaire les effets de la guerre sur la ville. La seconde partie implique d’étudier la démographie de la ville, l’étude des prix et des finances de la ville, les circuits économiques. La troisième partie traite plus spécifiquement de l’information, suivie de l’étude de la transmission et de la réception des nouvelles, puis de la façon de délibérer. Une vie politique active donc. / During the Hundred Years' War, the city of Mâcon is confronted with rival powers, in the 1st quarter of the XVth century. The subject of this work is the information, itstraffic and its effects on the urban government. The first part shows the effects of the war on the city. The second part involves to study the demography of the city, the study of the prices and the finances of the city. The third part deals more specifically with the information, followed by the study of the transmission and the reception of the news, then of the way of deliberating. A political life activates.
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Les Magistri Militum aux IVe et Ve siècles ap. J.-C. / The magistri militum of the fourth and fifth centuries A. D.Landelle, Marc 12 November 2011 (has links)
À partir du règne de Constantin Ier, la défense de l’Empire fut mise en œuvre par un corps de généraux qui récupérèrent les anciens pouvoirs militaires des préfets du prétoire : les magistri militum. Confrontés à des menaces militaires incessantes (pression barbare aux frontières et épisodes de guerre civile), ces officiers supérieurs furent la plupart du temps épargnés par les purges qui frappaient le personnel de cour, car ils constituaient une assise fondamentale du pouvoir de l’empereur. Au début du Ve siècle ap. J.-C., l’Empire romain unifié fit place à deux partes imperii indépendantes, voire rivales : un Empire byzantin replié sur l’Orient, et une partie occidentale qui tendit à se fragmenter en royaumes barbares. Comment le haut commandement militaire évolua-t-il dans chacune de ces régions ? Ce corps d’officiers a fait l’objet d’une étude prosopographique tenant compte des recherches les plus récentes, en vue de fournir une synthèse qui a été menée selon trois axes principaux : - en termes institutionnels, quelle était la place de ces généraux dans la chaîne de commandement ?- en termes d’histoire militaire, quel fut le rôle de ces généraux dans les transformations que connut l’armée romaine tardive ?- en termes d’histoire sociale, comment cette noblesse militaire, dont une partie avait des origines barbares, se définissait-elle par rapport à la romanité et à la société de cour tardo-antique ? / From the reign of Constantine the Great onward, the defence of the Empire was the responsibility of a group of generals who were trusted with the previous military responsabilities of the pretorian prefects : the magistri militum. Facing restless threats (barbarian pressure on the frontiers and episodes of civil war), these high officers were most of the time kept away from the regular revolutions that struck the court : they were one of the base of the imperial authority. At the beginning of the fifth century, the unified roman Empire had been replaced by two independent, sometimes even rival partes imperii : a byzantine Empire, limited to the East, and a western part which eventually collapsed to form barbarian kingdoms. How did the high military command evolve in each of these parts ?A prosopographical study, taking into account the most up-to-date research, has been made on this group of officiers, in order to provide a synthesis developing three main axis :- from an institutional point of view, what was the place of these generals in the chain of command ?- from a military point of view, which role did this generals play in the transformations that affected the Late roman army ?- from a social point of view, how did this military nobility, which included people with barbarian origins, defined herself with regard to romanity and the Late Antique court society ?
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La stratégie française en Afrique pendant la Guerre froide : le rôle de l'armée de l'air, entre présence et interventions / French strategy in Africa during the Cold War : the role of French Air Force between presence and interventionsPoilbout, Aurélien 01 December 2015 (has links)
Depuis la Seconde Guerre mondiale et la décolonisation, la France est la seule puissance extérieure au continent africain à avoir conservé en permanence des forces armées en Afrique subsaharienne. L'armée de l'air joue un rôle majeur dans la défense des territoires africains pendant la Guerre froide. Outil militaire de la puissance française, elle doit adapter son action en fonction des grands bouleversements internationaux et des crises locales. D'une force de présence pour assurer la sécurité de l'Union française, elle se transforme, après la décolonisation, en une force d'intervention capable d'agir depuis la métropole. L'armée de l'air devient un des moyens privilégiés par la France pour respecter les accords de défense bilatéraux avec ses anciennes colonies en cas d'agression par un Etat tiers. Toutefois, la fragilité des nouveaux Etats africains remet en cause la nouvelle stratégie militaire française en Afrique. Les forces aériennes françaises doivent alors être capables d'assurer à la fois la gestion de crises locales mais aussi la préparation de guerres modernes sur le théâtre d'opération africain. L'adaptation permanente de l'armée de l'air à la défense d'une zone d'action éloignée de la métropole requiert une réévaluation constante de ses choix doctrinaux, organisationnels, technologiques et de ses relations avec ses interlocuteurs africains. Si l'armée de l'air française a été un acteur crucial dans les relations internationales en Afrique, ses engagements outre-mer ont, en retour, largement modelé son évolution. L'armée de l'air porte ainsi en elle l'héritage de ses opérations sur le continent africain. / Since the end of World War II and the subsequent end of colonialism, France has become the sole external power engaged in Africa to have preserved a permanent military presence in the sub-Saharan region. The French Air Force played a major role in the defense of African territories during the Cold War. As a military tool of French power, its actions have had to be regulated according to major political upheavals and regional crises. Having first served as a stabilising presence protecting the security of the French Union, it transformed itself into a post-colonial intervention force able to react in Africa both locally and from airbases in metropolitan France. The French Air Force has become one of the most important means available to France to uphold its obligations to its bilateral defense agreements with its former colonies against third party aggression. Nonetheless, the fragility of newly created African states has frequently called into question this new French military strategy for Africa. French air forces in the African theatre of operations must be capable of conducting crisis management at the local level, but also remain ready to conduct high-level warfare in the African theater of operations. The decision to permanently commit the French Air Force to the defense of a zone of action far from metropolitan France requires a constant reevaluation of doctrinal, organisational and technological choices; and of its international relations with its African interlocutors. The French Air Force has played a critical role in French international relations in Africa and its overseas commitments have largely shaped its evolution. In this fashion, the French Air Force carries with it the legacy of its operations on the African continent.
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Les officiers des SAS et des SAU et la politique de pacification pendant la guerre d'Algérie (1955-1962) / The French counterinsurgency officers and the pacification policy during the Algerian colonial war (1955-1962)Mathias, Grégor 08 July 2013 (has links)
Pendant la guerre d'Algérie (1955-1962), le gouvernement général de l'Algérie met en place dans les campagnes et les banlieues des grandes villes d'Algérie une structure de pacification, les SAS (sections administratives spécialisées) et les SAU (sections administratives urbaines), dont on trouve le prolongement au sein des SAT (Service d'assistance technique) en métropole (Paris, Lyon, Marseille) et au niveau de la Force de police auxiliaire de Paris. Les officiers SAS, officiers de carrière, de réserve en situation d'active, et appelés, recrutent des supplétifs (moghaznis) et mènent une politique de pacification dans les domaines administratif, politique (promotion d'élus musulmans), économique (Plan de Constantine), social (aide aux indigents et résorption des bidonvilles), médical, scolaire, et militaire. Au cœur de la politique de la France en Algérie de 1955 à 1959, ces officiers se retrouvent, dès 1960, en porte-à-faux de la nouvelle politique du général de Gaulle. Si certains démissionnent ou partent amers de leur période de SAS, d'autres s'opposent au général de Gaulle lors du référendum sur l'autodétermination de l'Algérie de janvier 1961, du putsch d'avril 1961, voire ont la tentation de basculer dans l'organisation subversive de I'OAS. L'indépendance de l'Algérie risquant de menacer la vie des supplétifs, certains officiers SAS organisent des filières clandestines de rapatriement des supplétifs et de leurs familles, et les aident à s'insérer en France grâce à des associations, des initiatives individuelles et du soutien administratif et financier de l'État (SAT de Paris et de Marseille). / The mission of the SAS in Algeria is the current equivalent in NATO parlance civil-military cooperation. The SAS, the special administrative sections and SAU the city administrative sections were created by the governor general J. Soustelle. Its mission was to maintain contact with the population and collect the intelligence necessary for successful operation. The SAS and SAU would be irnplemented to administer the villages in Algeria to combat the economic misery and political inequality that were the root causes of the insurgency. With their civilian personnel and Muslin auxiliary troops (moghaznis), they were the administrative intermediaries responsible for development of their districts. They rebuilt schools. They cared for the sick by establishing fee medical assistance. They conducted censuses to establish welfare services and organized elections for municipal officials. They improved agriculture and husbandry, built roads and bridges. In military terms, the SAS officiers dismantled the FLN cells and collected intelligence on the ALN. They protected the village with their auxiliaries (moghaznis). ln three cities of metropolis, we find the presence of similar structures, with for Paris, an auxiliary police force. The SAS was an important policy to preserve French Algeria from 1955 to 1959, but then the new policy who wants to give at Algeria her independence (1960-1962) changed the SAS officer policy opinion. They try to oppose them during the referendum of Algerian auto determination (January 1961), at the time of the putsch (Apri11961), by tipping over to the terrorism (OAS), or by organizing Mussulmen auxiliary secret repatriation in France (April-May 1962).
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Le partenariat militaire Belgique-RDC après Sun City :entre « logique néomanagériale » et « logique néopatrimoniale ». Analyse de l'appui de la Belgique au "chantier FARDC".Nsala Botshimo, Joris 04 March 2016 (has links)
Cette étude tente de répondre à deux questions majeures. La première question consiste à expliquer pourquoi la Belgique avait décidé, au cours de la législature 1999-2003, de relancer le partenariat militaire avec son ancienne colonie après plus d’une décennie de rupture de la coopération technique militaire datant de l’ère Mobutu. Ensuite, il s'agit de comprendre pourquoi et comment la reprise de cette collaboration militaire entre les deux pays n’a pas permis d’engranger des résultats significatifs dans le cadre de la réforme des FARDC. Par rapport à cette double préoccupation, la présente étude montre clairement que les considérations humanitaires et éthiques ne sauraient, à elles seules, expliquer l’initiative belge en faveur de la réforme des FARDC et suggère d'insister aussi sur d’autres facteurs, notamment la défense des intérêts économiques et géostratégiques, y compris l’espérance de futures opportunités économiques de la Belgique en RDC. Ainsi à cause de ses intérêts et de son « obsession électorale », la Belgique n’aurait pas pris en considération certains facteurs dans son évaluation des besoins de la population congolaise en matière de sécurité d’une part, et aurait, d’autre part, surtout sous-estimé le poids de la vision et des pratiques « néopatrimoniales » des autorités congolaises héritées de précédents régimes. En agissant de la sorte, elle aurait contribué à ce bilan plus ou moins négatif de son PPM avec la RDC. Cette étude montre par ailleurs que l’expérience dans le cadre du présent PPM avec la Belgique confirme effectivement la nécessité qu’il y a, pour la classe politique congolaise, d’opérer une révolution des mentalités afin de relever le défi de la reconstruction du pays. Enfin, elle insiste aussi sur l’utilisation du terme « partenariat » qui, au-delà de l’accent qu’elle met théoriquement sur l’originalité et la nouveauté de la relation entre les deux pays, doit surtout avertir les « ex-warlords » congolais que l’aide extérieure, aussi utile qu’elle soit, ne pourra porter ses fruits que si elle s’intègre dans des structures motivationnelles endogènes et dynamiques. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le vocabulaire politico-idéologique de la Gazeta de Lisboa au XVIIIe siècle : étude lexicale dans une perspective discursive / The politico-ideological vocabulary of the Gazeta de Lisboa in the eighteenth century : a lexical study in a discursive perspective / O vocabulário político-ideológico da Gazeta de Lisboa no século XVIII : estudo do léxico em perspectiva discursivaBotta, Mariana Giacomini 25 May 2011 (has links)
Cette thèse analyse le contenu idéologique exprimé à travers les unités lexicales du vocabulaire du premier journal imprimé périodique en langue portugaise, la Gazeta de Lisboa. Elle vise également à mettre en évidence les stratégies linguistiques et discursives conçues socialement et par lesquelles les utilisateurs d’une langue expriment leurs opinions et leurs points de vue à travers le lexique. Cette étude est liée à la théorie linguistique de la Lexicologie, développée dans une perspective discursive, fondée sur un modèle dialogique de l’énonciation, qui considère les mots comme porteurs de la mémoire d’usages. Nous partons du point de vue que le dialogisme est inscrit dans les mots et que le choix des unités de la langue utilisées dans les énoncés est négocié par l’interaction entre la réalité et le sens, qui est construit par la circulation de l’information dans la société. Nous avons mené des études sur les relations de signification entre 22 unités lexicales employées dans le corpus dans la narration de situations de désaccord ou de conflit, puis nous avons analysé des unités lexicales co-occurrentes ainsi que les idées qui leur étaient le plus souvent associées. Dans la troisième étape, nous avons évalué des éléments intradiscursifs et interdiscursifs et le genre. Les études menées ici prouvent que le choix des éléments du lexique utilisés pour nommer les référents dans les discours est en partie conditionné par des contraintes imposées par le genre et le discours, qui, ensemble, soulignent le point de vue des participants du discours et la connaissance partagée par la société. / This thesis provides an analysis of the ideological content expressed through the lexical units of the vocabulary of the first newspaper printed in Portuguese, the Gazeta de Lisboa. It also aims to highlight the linguistic and discursive strategies that are designed socially, and by which users of a language formulate their opinions and points of view through the lexicon. This study is linked to the to the linguistic theory of lexicology, developed in a discursive perspective, based on a dialogical model of enunciation, which believes that words carry the memory of past use and therefore have an intertextual dimension that determines their use according to the circumstances of utterance. We start from the stand point that dialogism is recorded in words, and the choice of language units used in the utterances is made on the basis of the interaction between reality andsense, which is built by the circulation of information in society. We selected 22 lexical units employed in the narration of disagreements or conflicts, relations of meaning between these units were analyzed, as well as the co-occurent lexical units and the ideas more often associated with them in the texts. Next, attention was focused on the discursive study of the occurrences of the word war, and we analyzed some intra-discursive and inter-discursive elements, and the gender. The studies made here prove that the choice of the elements of the lexicon used to name the referents in discourse is partly conditioned by the gender and the discursive practices associated with the words, which together highlight the point of view of the participants in the discourse and the knowledge shared by the society.
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