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Para uma noologia do construtivismo pedagógico: sedentarismos e nomadismos no pensamento docente

Souza, Magali Dias de January 2007 (has links)
L’étude presentée par cette dissertation fait l’analyse de l’image de la pensée forgée et organisée par le constructivisme pédagogique dans le réseau d’enseigment municipal à Porto Alegre, RS, entre 1989 et 1992, en ce qui concerne la pensée de professeurs, et qui produit encore des échos et des résonances dans les programmes scolaires, en constituant l’un des modèles les plus présents dans la pratique des maîtres. Cette étude noologique s’intéresse particulièrement à connaître le visage du constructivisme pédagogique et les présuppositions qui orientent l’image de la pensée découlée de cette organisation, pour la défaire et en tracer d’autres lignes. Dans ce but, on s’appuiera sur des théoriciens tels que Deleuze et Gattari, nos intercesseurs pour cette anlyse, qui est basée sur leurs concepts image de la pensée, noologie et machine abstraite. Ce travail a lieu dans la rencontre avec le group de recherche du Laboratoire d’Études en Langage, Interaction et Cognition (LELIC) de l’Université Fédérale du Rio Grande do Sul et il est associé à la ligne de recherche Éducation: Art, Langage, Technologie. / O estudo realizado nesta Dissertação analisa a imagem do pensamento, forjada e organizada pelo construtivismo pedagógico, na Rede Municipal de Ensino de Porto Alegre/RS, no período de 1989 a 1992, no pensamento dos professores, e que ainda produz ecos e ressonâncias no currículo escolar, constituindo-se como um dos modelos mais presentes na prática dos docentes. Interessa, particularmente, a este estudo noológico conhecer o rosto do construtivismo pedagógico e os pressupostos que orientam a imagem do pensamento, decorrente dessa organização, para poder desfazê-lo e traçar outras linhas. Para isso, contar-se-á com teóricos como Deleuze e Guattari que servirão de intercessores a esta análise, a qual está alicerçada em seus conceitos de imagem do pensamento, noologia e máquina abstrata. Este trabalho acontece no encontro com o grupo de pesquisa do Laboratório de Estudos em Linguagem, Interação e Cognição (LELIC) da Universidade Federal do Rio Grande do Sul (UFRGS) e está associado à linha de pesquisa Educação: Arte, Linguagem, Tecnologia.
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Danse, émotions et pensée en mouvement : contribution à une sociologie des émotions : le cas de Giselle et de MayB / The flow of dance, emotions and thoughts : a contribution to a sociology of emotions : looking at Giselle and MayB

Fournié, Fanny 12 December 2012 (has links)
Ce travail propose une réflexion menée à la croisée d'une sociologie des émotions, objet principal de la recherche, et d'une sociologie de l'art. En effet, la représentation d'un ballet romantique, Giselle, de Jules Perrot et Jean Coralli et d'un ballet contemporain, MayB, de Maguy Marin, forme le terrain de l'enquête. L'enjeu de l'analyse a consisté à rendre visibles les différents mouvements des émotions, à l'œuvre lors d'une soirée chorégraphique. D'un côté, le mouvement des danseurs sur la scène, qui, s'appuyant sur la technique corporelle, mais aussi la musique, le récit, les costumes et les décors, confectionnent les émotions. D'un autre côté, le mouvement des pensées, visibles chez les danseurs comme chez les spectateurs, à travers une sorte de dialogue intérieur participant à la fabrication des émotions individuelles. Enfin, le mouvement collectif des émotions échangées entre les danseurs et les spectateurs, dans un va-et-vient permanent, nécessaire à la construction de la matière chorégraphique. La méthodologie, qualitative, a été constituée de manière à saisir les différents temps de cette confection émotionnelle. Les observations directes, réalisées durant les répétitions, permettent de saisir, en amont, comment une technique de danse fabrique les émotions. L'observation participante lors des spectacles offre l'illustration, intime, du vécu corporel et émotionnel d'un spectateur : le ballet devient expérience, les spectateurs, acteurs de la soirée en train de se faire. Enfin, les entretiens, réalisés auprès des danseurs et des spectateurs, fournissent une matière sensible à la réflexion, tournée vers une sociologie compréhensive. Au final, la thèse présente les émotions comme « le corps » des relations sociales. Au travers elles, les individus se saisissent les uns des autres, soulignent leurs différences ou leurs similitudes, s'adaptent ou non au groupe, selon la « prise » ou la « déprise » des émotions du ballet sur eux. / This study stands at a crossroads between a sociology of emotions – the main focus of our research – and a sociology of art. The survey here presented is grounded in two dance performances, the romantic ballet Giselle, by Jules Perrot and Jean Coralli on the one hand, and on the other hand, the contemporary dance performance MayB, by Maguy Marin The point of this analysis was to bring out the various movements of emotion at play in the course of a choreographic performance. First, I have studied the dancers' movements on stage, which, while resting on the body's technique as well as the music, the story, the costumes and the decors, participate in the making of emotions. Second, I have delved into the movement of thoughts, perceptible in the dancers and in the audience, via a kind of interior dialogue which takes part in the making of various emotions. Last but not least, I have looked into the collective and continuous flow of emotions moving back and forth between the dancers and the audience, and which is necessary for the construction of choreographic material. The methodology here used is a qualitative one, aiming to grasp the various moments in the making of emotions. Direct observations carried out during rehearsals allow for a prior understanding of how a dance technique can create emotions. Participatory observation during the performances grants an intimate illustration of the physical and emotional response of a spectator: the ballet becomes experience and the spectators become actors of the evening in the making. Finally, the audience and dancers' interviews offer food for thought, building towards a comprehensive sociology. In the end, this thesis presents emotions as “the body” of social relationships. Through them, individuals take hold of one another, underlining their differences or similarities. They adapt to the group or they do not, depending on the hold the emotions of the ballet may have on them.
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A cor filosófica em Deleuze : pensamento e conceito / La couleur philosophique de Deleuze: la pensée et le concept

Guimarães, Jane Rodrigues January 2012 (has links)
Le travail traite de la couleur dans la perspective de la différence et de la philosophie de Gilles Deleuze. Considérant que les enchevêtrements entre la notion de couleur et le concept ont ete mentionnés dans la pensée de Deleuze et Guattari, nous discutuons ici les éléments qui constituent le concept de concept et de la couleur dans leurs réverbérations dans la pensée. Nous commenter, à intervalles, comment la couleur est défi nie par divers penseurs, et les signifi cations des diverses doctrines et des éléments avec lesquels les concepts sur la couleur se rapportent, oú éloignent dans le concept de la couleur qui imprègne l’oeuvre philosophique de Deleuze. Dans les histoire de l’art, la philosophie et la science, dès Aristote à Kandinsky, en particulier Goethe et Newton, il y a l’idée que la couleur qui a été accusé de trahir la réalité, est suscetible de constituer la réalité. Nous explorons l’opposition entre la raison, présentée comme une mesure qui est capable d’évaluer la vérité des choses, et le sens, qui avec Deleuze devient une multiplicité de créations évanescentes. Ce qui, en quelque sorte, nous incite à penser comment vérités sont toujours provisoires, et la pensée se produit dans l’interstitium. / O trabalho trata da cor dentro da perspectiva da diferença e na fi losofi a de Gilles Deleuze. Considerando que entrelaçamentos entre a noção de cor e conceito são mencionados no pensamento de Deleuze e Guattari, foi feita aqui uma tomada dos elementos constituintes do conceito de conceito e de cor nas suas reverberações no pensar. Revisamos, em intervalos, como a cor é conceituada por diversos pensadores, e as acepções de diversas doutrinas e elementos com os quais os conceitos sobre o que seja cor se relacionam, ou se distanciam com o conceito de cor fi losófi ca que perpassa a obra de Deleuze. Na historia da arte, da fi losofi a, e das ciências, desde Aristóteles até Kandinsky, destacando Goethe e Newton, há a ideia de cor acusada de trair a realidade tanto quanto a de que a cor a constitui. Exploramos a oposição entre razão, apresentada como a medida que é capaz de avaliar a verdade das coisas, e sensação, que com Deleuze constitui uma multiplicidade de criações evanescentes. O que de certo modo nos leva a pensar o quanto as verdades sempre são provisórias, e o quanto o pensamento acontece no interstício.
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A cor filosófica em Deleuze : pensamento e conceito / La couleur philosophique de Deleuze: la pensée et le concept

Guimarães, Jane Rodrigues January 2012 (has links)
Le travail traite de la couleur dans la perspective de la différence et de la philosophie de Gilles Deleuze. Considérant que les enchevêtrements entre la notion de couleur et le concept ont ete mentionnés dans la pensée de Deleuze et Guattari, nous discutuons ici les éléments qui constituent le concept de concept et de la couleur dans leurs réverbérations dans la pensée. Nous commenter, à intervalles, comment la couleur est défi nie par divers penseurs, et les signifi cations des diverses doctrines et des éléments avec lesquels les concepts sur la couleur se rapportent, oú éloignent dans le concept de la couleur qui imprègne l’oeuvre philosophique de Deleuze. Dans les histoire de l’art, la philosophie et la science, dès Aristote à Kandinsky, en particulier Goethe et Newton, il y a l’idée que la couleur qui a été accusé de trahir la réalité, est suscetible de constituer la réalité. Nous explorons l’opposition entre la raison, présentée comme une mesure qui est capable d’évaluer la vérité des choses, et le sens, qui avec Deleuze devient une multiplicité de créations évanescentes. Ce qui, en quelque sorte, nous incite à penser comment vérités sont toujours provisoires, et la pensée se produit dans l’interstitium. / O trabalho trata da cor dentro da perspectiva da diferença e na fi losofi a de Gilles Deleuze. Considerando que entrelaçamentos entre a noção de cor e conceito são mencionados no pensamento de Deleuze e Guattari, foi feita aqui uma tomada dos elementos constituintes do conceito de conceito e de cor nas suas reverberações no pensar. Revisamos, em intervalos, como a cor é conceituada por diversos pensadores, e as acepções de diversas doutrinas e elementos com os quais os conceitos sobre o que seja cor se relacionam, ou se distanciam com o conceito de cor fi losófi ca que perpassa a obra de Deleuze. Na historia da arte, da fi losofi a, e das ciências, desde Aristóteles até Kandinsky, destacando Goethe e Newton, há a ideia de cor acusada de trair a realidade tanto quanto a de que a cor a constitui. Exploramos a oposição entre razão, apresentada como a medida que é capaz de avaliar a verdade das coisas, e sensação, que com Deleuze constitui uma multiplicidade de criações evanescentes. O que de certo modo nos leva a pensar o quanto as verdades sempre são provisórias, e o quanto o pensamento acontece no interstício.
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Para uma noologia do construtivismo pedagógico: sedentarismos e nomadismos no pensamento docente

Souza, Magali Dias de January 2007 (has links)
L’étude presentée par cette dissertation fait l’analyse de l’image de la pensée forgée et organisée par le constructivisme pédagogique dans le réseau d’enseigment municipal à Porto Alegre, RS, entre 1989 et 1992, en ce qui concerne la pensée de professeurs, et qui produit encore des échos et des résonances dans les programmes scolaires, en constituant l’un des modèles les plus présents dans la pratique des maîtres. Cette étude noologique s’intéresse particulièrement à connaître le visage du constructivisme pédagogique et les présuppositions qui orientent l’image de la pensée découlée de cette organisation, pour la défaire et en tracer d’autres lignes. Dans ce but, on s’appuiera sur des théoriciens tels que Deleuze et Gattari, nos intercesseurs pour cette anlyse, qui est basée sur leurs concepts image de la pensée, noologie et machine abstraite. Ce travail a lieu dans la rencontre avec le group de recherche du Laboratoire d’Études en Langage, Interaction et Cognition (LELIC) de l’Université Fédérale du Rio Grande do Sul et il est associé à la ligne de recherche Éducation: Art, Langage, Technologie. / O estudo realizado nesta Dissertação analisa a imagem do pensamento, forjada e organizada pelo construtivismo pedagógico, na Rede Municipal de Ensino de Porto Alegre/RS, no período de 1989 a 1992, no pensamento dos professores, e que ainda produz ecos e ressonâncias no currículo escolar, constituindo-se como um dos modelos mais presentes na prática dos docentes. Interessa, particularmente, a este estudo noológico conhecer o rosto do construtivismo pedagógico e os pressupostos que orientam a imagem do pensamento, decorrente dessa organização, para poder desfazê-lo e traçar outras linhas. Para isso, contar-se-á com teóricos como Deleuze e Guattari que servirão de intercessores a esta análise, a qual está alicerçada em seus conceitos de imagem do pensamento, noologia e máquina abstrata. Este trabalho acontece no encontro com o grupo de pesquisa do Laboratório de Estudos em Linguagem, Interação e Cognição (LELIC) da Universidade Federal do Rio Grande do Sul (UFRGS) e está associado à linha de pesquisa Educação: Arte, Linguagem, Tecnologia.
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A relação entre pensamento, poesia e sagrado na interpretação da obra de arte em Heidegger

Pernisa, Renata Angelo 26 February 2016 (has links)
Submitted by Renata Lopes (renatasil82@gmail.com) on 2016-04-26T10:36:18Z No. of bitstreams: 1 renataangelopernisa.pdf: 1293575 bytes, checksum: e0de4fc244e20689e9267efcb7f3db4c (MD5) / Approved for entry into archive by Adriana Oliveira (adriana.oliveira@ufjf.edu.br) on 2016-05-02T00:49:29Z (GMT) No. of bitstreams: 1 renataangelopernisa.pdf: 1293575 bytes, checksum: e0de4fc244e20689e9267efcb7f3db4c (MD5) / Made available in DSpace on 2016-05-02T00:49:29Z (GMT). No. of bitstreams: 1 renataangelopernisa.pdf: 1293575 bytes, checksum: e0de4fc244e20689e9267efcb7f3db4c (MD5) Previous issue date: 2016-02-26 / CAPES - Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / Esta tese pretende questionar a relação entre o pensamento, a poesia e o sagrado ocorrida a partir da interpretação heideggeriana da obra de arte como o “colocar em obra da verdade do ser”. Com o desdobramento desta relação, reportamos-nos à proximidade de uma ambiência originária, aberta ao sagrado. O caminho para esse horizonte, nós o buscamos através de um modo de ocorrência do pensamento apropriado como rememoração da origem. No rememorar, podemos auscultar aquilo que constitui o pensamento. É por meio da rememoração, que o nosso pensar pensa o pensamento no mesmo caminho em que a poesia poetiza seu dizer. É no horizonte dessa relação, resguardado por um modo de ser como abertura, que podemos entrever o sagrado ressoado na origem. / Cette thèse prétende questionner le rapport entre la pensée, la poésie et le sacré qui si produit à partir de l’interprétation heideggeriene de la oeuvre d'art comme “le mise en oeuvre la vérité de l’être”. Avec le développement de ce rapport, nous emmenons à proximité dans un horizon original ouvert au sacré. Le chemin vers cet horizon, nous le cherchons à travers une manière de l’occurrence de la pensée appropriée comme souvenir de l’origine. Dans la rememoration, nous pouvons ausculter cela qui constitue la pensée. C’est pour la rememoration que notre penser pense la pensée au même chemin dont la poesie póetise son dire. C’est dans un horizon de ce rapport, protégé par une façon d’être comme ouverture, que nous pouvons entrevoir le sacré résonné dans la origine.
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La question de la religion chez al-Fārābī (m. 338-339/950-951) : nature et fonction du religieux dans la Cité / The question of religion in al-Fārābī (d. 338-339/950-951) : nature and function of the religious in the City

Garmi, Yosra 09 December 2016 (has links)
Durant une période de grande instabilité en terre d’islam, Abū Naṣr al-Fārābī, philosophe d’expression arabe qui mourut au début de la seconde partie du Xe siècle, développa une théorie politique à mi-chemin entre la philosophie et la religion. Inspirée de la philosophie politique de Platon, qui conçut un modèle de cité idéale dans ses œuvres politiques majeures (La République, Le Timée, Les Lois) et de la société musulmane classique pour laquelle le premier gouvernant ou calife est un leader politique et religieux, cette théorie suppose l’élaboration d’une cité nouvelle adaptée à la culture musulmane nommée « la cité vertueuse » (al-madīna al-fāḍila). En son enceinte, la philosophie est considérée comme un art royal et sa pratique est réservée au premier chef ou gouvernant. Il en est de même pour la religion, qui la seconde et est considérée comme « vertueuse » (al-milla al-fāḍila) au moment où elle constitue un moyen à partir duquel le chef de la cité procède à l’instruction de ses concitoyens et leur permet d’accéder à l’obtention du bonheur en cette vie et dans une autre vie, située après la mort. Notre recherche vise ainsi à exposer les relations entre la religion et la philosophie au sein de la cité idéale conçue par Fārābī et dans ses modèles opposés (les cités vicieuses, corrompues et égarées et les religions qui leur sont apparentées). Visant plus spécifiquement la détermination de la nature et de la fonction du religieux dans la Cité, notre étude se décline en trois aspects. Le premier porte sur la biographie de Fārābī et son rapport à la religion. Le deuxième est consacré à l’examen d’un aspect de son œuvre conservée (corpus), à partir duquel nous avons tenté de révéler la nature et la fonction du religieux dans « la Cité », celle-ci étant entendue comme la version la plus idéalisée de son modèle de cité vertueuse qui fait l’objet de formes variées (petite, moyenne, grande assemblée humaine). Quant au dernier aspect de notre recherche, il s’intéresse à la réception de la théorie philosophico-religieuse du faylasūf dans l’œuvre de ses premiers successeurs et disciples en philosophie parmi les cercles musulman, juif et chrétien d’expression arabe (Avicenne, Maïmonide, Yaḥyā Ibn ‘Adī). / During a period of great instability in the land of Islam, Abū Naṣr al-Fārābī, an Arabic philosopher who died at the beginning of the second half of the tenth century, developed a political theory halfway between philosophy and religion. Inspired by the political philosophy of Plato, who conceived an ideal city model in his major political works (The Republic, The Timaeus, The Laws) and the classical Muslim society for which the first ruler or caliph is a political and religious leader, This theory presupposes the elaboration of a new city adapted to the Muslim culture called "the virtuous city" (al-madīna al-fāḍila). Within its walls, philosophy is considered a royal art and its practice is reserved for the first or governing ruler. It is the same for religion, which is the second and is considered "virtuous" (al-milla al-fāḍila) at the moment when it constitutes a means by which the head of the city proceeds to the instruction of his fellow citizens And gives them access to the attainment of happiness in this life and in another life, located after death. Our research aims at exposing the relations between religion and philosophy within the ideal city conceived by Fārābī and its opposing models (vicious, corrupt and misplaced cities and religions that are related to them). Focusing more specifically on the determination of the nature and function of the religious in the City, our study is divided into three aspects. The first relates to the biography of Fārābī and its relation to religion. The second is devoted to the examination of an aspect of his preserved work (corpus), from which we have attempted to reveal the nature and function of the religious in the "City", the latter being understood as the version More idealized of its model of a virtuous city that is the object of varied forms (small, medium, large human assembly). As for the last aspect of our research, he is interested in the reception of the philosophical-religious theory of the faylasūf in the work of his first successors and disciples in philosophy among the Moslem, Jewish and Christian circles of Arabic expression (Avicenna, Maimonides, Yaḥyā Ibn 'Adī).
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République VIII-IX, 580 b: une "archéologie" d'un texte platonicien

Meulder, Marcel January 1986 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L’argumentation dans la pensée d’al-Ghazâlî et d’Ibn Rushd / The argument in the thought of al-Ghazali and Ibn Rushd

Alshatti, Mohammad 20 December 2014 (has links)
La question de la philosophie et de la religion que nous allons traiter ici n’a cessé, depuis le troisième siècle de l’hégire jusqu’à nos jours, de préoccuper les chercheurs de tous bords et de toutes origines. Il ne fait aucun doute que celui qui entreprend une recherche dans ce domaine va devoir faire face à de vraies difficultés. En effet, faire la différence entre les philosophes, les religieux et les théologiens n’est pas chose aisée. La religion et la philosophie sont considérées comme des activités de réflexion qui tentent chacune, avec ardeur et selon sa méthode propre, d’atteindre la vérité. Elles aident l’individu à comprendre les énigmes de la vie, sa complexité, certains secrets qu’elle comporte, et à vivre une vie naturelle.La religion vise à aider ses adeptes à bénéficier de la vie, à composer avec la réalité et ses différents niveaux de complexité, à travers une incitation et de façon consciente. Elle les pousse aussi à considérer cette vie d’ici-bas comme une station avant une autre vie. Quant à la philosophie, elle cherche à aider ses partisans à jouir de la vie en les exhortant à faire face à leurs difficultés croissantes, à développer leurs capacités rationnelles et à pratiquer la contemplation consciente, de même que la réflexion scientifique. Elle ne considère pas que l’homme doive abandonner cette vie pour une vie future promise par la religion. Ainsi, la philosophie peut saisir la vie de manière générale et expliquer ses subtilités, mais elle ne peut pas inventer une société différente des autres, harmonieuse et régie par les mêmes valeurs. La religion se distingue en revanche par sa capacité à créer des sociétés cohérentes qui partagent les mêmes dogmes, les mêmes valeurs et les mêmes traditions qui garantissent l’unité. Ainsi, si la religion vise à établir des sociétés vertueuses, la philosophie n’a pas vocation à bâtir des sociétés se fondant ou non sur des valeurs. Cependant, ni la religion ni la philosophie ou toute autre idéologie sociale ou politique ne peuvent ne pas subir la logique de l’histoire et son évolution permanente. Nous avons étudié cette question chez deux philosophes du cinquième et du sixième siècle de l’hégire, à savoir al-Ghazâlî et Ibn Rushd, du fait que cette époque a été une période charnière dans l’histoire de la philosophie islamique al-Ghazâlî un jurisconsulte, un spécialiste des fondements du droit, un philosophe et un des plus célèbres penseurs de l’islam. Il a vécu dans la deuxième moitié du cinquième siècle de l’hégire c'est-à-dire, durant la période que les historiens qualifient de la troisième époque abbasside. Ibn Rushd, lui aussi, philosophe, médecin jurisconsulte et juge est né en 1126. En effet, il a passé son enfance et une partie de sa jeunesse sous le pouvoir des almoravides, et le reste de sa vie sous la dynastie des almohades. al-Ghazâlî et Ibn Rushd sont deux grandes écoles de pensée qui représentent l’Orient et le Maghreb. Ils ont beaucoup écrit, et grandement contribué à l’évolution de la philosophie islamique, et à la progression du dialogue entre la rationalité et la spiritualité. al-Ghazâlî a critiqué les philosophes sur leurs positions qui étaient en contradiction avec les fondements du dogme islamique, et cela sur des points précis qu’il a exposé dans son ouvrage Tahâfut al-falâsifa. Ces critiques portent, comme il l’indique lui-même, sur les fausses conclusions fondées sur des hypothèses justes et inversement sur des conclusions exactes à partir d’hypothèses fausses. Dans la pensée islamique, certains savants anciens avaient l’habitude de mettre des barrières entre la spiritualité d’al-Ghazâlî et la rationnalité d’Ibn Rushd.Toutefois, nous pensons que cette opposition n’a pas de raison d’être, d’autant plus qu’il est avéré que la rationalité d’Ibn Rushd et la spiritualité d’al-Ghazâlî sont nécessaires et fondamentales pour la recherche de la vérité d’ici bas et celle de l’au-delà. / The question of philosophy and religion we are treating here has continuously been preoccupying researchers from all sides and from all backgrounds, since the third century AH until now. There is no doubt that those who undertake research in this area will have to face real difficulties. Indeed, making the difference between the philosophers, the theologians and the religious people is not an easy task. Religion and philosophy are considered reflective activities that attempt both, in their own way, to reach the truth with enthusiasm. They help the individual to understand the riddles of life, its complexity, some secrets it has, and to live a natural life. Religion aims to help its followers to enjoy life, to deal with reality and its different levels of complexity, consciously and through an incentive. It also urges them to consider this earthly life as a station before another life. As for philosophy, it seeks to help its supporters to enjoy life, urging them to cope with their increasing difficulties, to develop their rational capacities and to practise conscious contemplation, as well as scientific thinking. It does not consider that man must give up this life for a future life promised by religion. Thus, philosophy can capture life in general and explain its subtleties, but it cannot invent a society different from others, harmonious and governed by the same values. Religion stands in contrast with its ability to create cohesive societies sharing the same dogma, the same values and the same traditions that ensure unity. Thus, if the religion aims to establish virtuous societies, philosophy is not intended to build societies based on values or not. However, neither religion nor philosophy or any other social or political ideology can avoid undergoing the logic of history and its constant evolution. We studied this question in two philosophers of the fifth and sixth century of the Hegira, namely Al-Ghazâlî and Ibn Rushd, considering the fact that that era was a pivotal period in the history of Islamic philosophy.Al-Ghazâlî, a legal adviser, a specialist of the foundations of law, a philosopher and one of the most famous thinkers of Islam. He lived in the second half of the fifth century AH that i.e. during the period historians call the third Abbasid era. Ibn Rushd, a philosopher too, a physician and legal adviser was born in 1126. In fact, he spent his childhood and part of his youth in the power of the Almoravids and the rest of his life under the Almohad dynasty. Al-Ghazâlî and Ibn Rushd are two major schools of thought that represent the East and the Maghreb. They wrote, and contributed a lot to the development of Islamic philosophy and the progression of the dialogue between rationality and spirituality. Al-Ghazâlî, on specific points outlined in his book al-Tahafutfalâsifa, criticized philosophers in their positions that were in contradiction with the fundamentals of Islamic dogma. As for Ibn Rushd, in his criticism addressed to Al-Ghazâlî, he limited himself to what the latter wrote in his book, and only on some issues related to his methodological approach. Ibn Rushd considers the title of Al-Ghazâlî al-Tahafutfalâsifa's work portative, in the sense that fo rAl-Ghazâlî, everything is not inconsistent in philosophers. In Islamic thought, some ancient scholars used to put barriers between Al-Ghazâlî's spirituality and Ibn Rushd's rationality. Some have argued that Al-Ghazâlî completed the Islamic philosophical reason, and others are defending the need to promote Ibn Rushd's rationality. However, we believe that the opposition has no reason to be, especially as it’s proven true that Ibn Rushd's spirituality and Al-Ghazâlî's rationality are necessary and fundamental to the pursuit of truth in this world and the hereafter.
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La littérature sur l’art en Argentine pendant les années soixante : la crise des références étrangères et l’extension de la perspective latino-américaine / Argentine art writing in the sixties : the foreign reference crisis and the extension of Latin- American perspectives / La escritura sobre arte en Argentina en los años sesenta : La crisis de las referencias extranjeras y la expansión de la perspectiva latinoamericana

Gustavino, Berenice 05 December 2014 (has links)
Depuis leur origine, la critique et l’histoire de l’art argentines suivent les modèles européens. Les outils d’analyse et d’interprétation, les critères pour évaluer les œuvres, la périodisation et les façons d’organiser le récit historique respectent les normes établies pour l’historiographie française de l’art moderne en particulier. Les auteurs considèrent que l’art local intègre l’espace mondial de l’art de l’Occident, mais ils comprennent qu’il se place dans une région marginale et qu'il suit une temporalité décalée par rapport à la cadence du développement de l’art moderne des régions centrales. L’art argentin est souvent jugé comme provincial et en retard, comme un art qui ne s’adapte pas aux normes du canon français. Cette perception se nourrit dans le contact des Argentins avec la culture française à travers les voyages, les visites des auteurs étrangers et la litérature francophone. Sauf quelques exceptions, c’est la perception dominant la litérature argentine sur l’art jusqu’aux années soixante.À partir de ce moment, les références françaises sont progressivement contestées, associées à d’autres perspectives et puis abandonnées. Ces transformations ont lieu dans le cadre général des révisions disciplinaires propres du passage entre l’ère moderne et la contemporanéité. Celles-ci ne sont pas uniformes ni monolithiques mais le résultat des révisions graduelles de la fonction, la méthodologie et le style de la littérature sur l’art. La crise touche les modèles d’autorité traditionnels et conduit les spécialistes à chercher de nouveaux fondements dans diverses aires de la connaissance comme la psychologie, la sociologie ou les systèmes théoriques proposés par le structuralisme et la sémiotique. La pensée latino-américaine, ravivée à l’époque, contribue à cette remise en question et donne des éléments conceptuels pour le développement de nouvelles perspectives dans la critique et l’histoire de l’art. / From their beginnings, Argentinian art history and critic have followed European models. Interpretation tools, evaluation criteria upon works of art and the standards to organize and cut into periods the historic account, respect the established norms, especially those given by the French modern art historiography. Argentinian authors believe their local art makes part of the western art world space, yet they understand that it is located at a marginal area and that it belongs to a temporariness sufering from lag in relation to the development of the central modern art’s regions. Terefore, Argentinian art is habitually judged as country-like and out-dated since it fails to tackle the imposed standards of the French canon. Such perception is nourished by the interaction of the Argentinians with the French ulture throughout their travels, the foreign authors’ visits and from their specialized French literature available in Argentina. With few exceptions, this perspective has dominated arts writing since the sixties.From that moment on, Argentine authors increasingly question the French references. Te model is re-visited, criticized, mixed with other perspectives and eventually forsaken. Tese transformations occur within the general frame of the disciplinary revisions of the passing from modern to contemporary era. Tey are not uniformly produced, but the outcome of gradual function, methodology and style of art writing revisions. Te crisis afecting the traditional models leads the specialists to look for new foundations in several areas of knowledge such as psychology, sociology, or in the theoretical systems proposed by structuralism and semiotics. Te « Latin-Americanist » discourses, reactivated during the sixties contribute and give such revision conceptual elements for the development of new perspectives on the art criticism and art history.

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