• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 96
  • 13
  • 10
  • 10
  • 8
  • 4
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 158
  • 77
  • 63
  • 51
  • 41
  • 41
  • 30
  • 29
  • 29
  • 27
  • 27
  • 27
  • 23
  • 21
  • 19
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
41

Les Peuples autochtones et la confiance dans la police au Canada : exploration des facteurs influents

David, Jean-Denis 03 August 2018 (has links)
Depuis la ratification de la Convention de règlement relative aux pensionnats indiens en 2006, on vit au Canada une intensification de la mise en cause des relations entre le gouvernement canadien, ses institutions et les Peuples autochtones. Une des institutions ayant fait face à cette mise en cause est la police. Les contextes historique, politique et sociologique de la relation entre la police et les Peuples autochtones au Canada amènent plusieurs commentateurs à caractériser leur relation comme en étant une de méfiance. Or, bien que les données indiquent que les Autochtones au Canada ont effectivement moins de confiance dans la police que les non-autochtones, ces données démontrent également que la majorité des Autochtones au Canada disent avoir au moins une certaine confiance dans la police. S’ancrant théoriquement dans le modèle expressif sur la confiance dans la police, la thèse explore ce constat contre-intuitif et examine pourquoi certains Autochtones ont confiance dans la police alors que d’autres non, et pourquoi plus d’Autochtones que de non-autochtones se méfient de la police. Les résultats de la thèse suggèrent que la confiance dans la police des Autochtones et des non-autochtones est associée à leur perception au niveau des considérations expressives, soit le lien social dans leur communauté, la présence de désordres sociaux et physiques dans cette dernière, leur sentiment de sécurité face au crime, mais également leur jugement concernant le fait que la police traite les gens équitablement ou non. Or, bien que ces facteurs soient saillants chez les Autochtones et les non-autochtones, les résultats suggèrent que ceux-ci ont une force explicative plus importante du côté des Autochtones au Canada. Conformément, ces facteurs s’alignent à plusieurs niveaux avec les contextes historique, politique et sociologique de la relation entre la police et les Peuples autochtones au Canada. Ce dernier point semble expliquer en partie la différence entre les Autochtones et les non-autochtones en ce qui a trait à leur niveau de confiance dans la police.
42

Conflits et controverses autour de l'adoption des normes internationales de contrôle de stupéfiants : les usages de la feuille de coca en Colombie / Conflicts and controversies in the adoption of international drug treaties : the uses of coca leaf in Colombia

Fernandez, Julian 20 December 2017 (has links)
La thèse porte sur l'existence de conflits lorsqu'il s'agit d'adapter la norme internationale relative aux drogues au sein de l'ordre juridique interne de l’État colombien. En effet, la loi internationale inscrite dans les Conventions Internationales de Contrôle de Stupéfiant considère uniquement les usages de la médecine et de la science comme des usages autorisés et par conséquence toute déviance est fortement réprimée. Certaines communautés indigènes colombiennes ont une conception différente sur les usages licites de la feuille de coca. Elles vont se mobiliser afin de légaliser la commercialisation des produits dérivés de la feuille. Par conséquent, l'adoption de cette conventions s'avère être source de conflit au sein de la nation colombienne. En effet, l'État est face à un dilemme : d'un côté, il se doit de respecter les droits des peuples indigènes et de l'autre, il doit suivre ses obligations internationales de contrôle de stupéfiants. Ce conflit non-résolu entre deux groupes de normes qui s'opposent se trouve au cœur de notre étude. / The thesis deals with the conflicts that appears with the adoption of international drug treaties in the Colombian national law system. In fact, the international law treaties establish that the only legal uses for substances that have been placed under drug surveillance are for the medical or the scientific purposes and consequently any deviance is strongly repressed. Some Colombian indigenous communities have a different conception about the uses of coca leaf. They will mobilize to legalize the commercialization of coca leaf products. Consequently, the adoption of these conventions proves to be a source of conflict within the Colombian nation. With the increased participation of this social group in Colombian politics, the Colombian State faces a dilemma : atone side it has the international law duties and on the other side the respect of native communities rights. From this study case two fields of analyze can be treated : the first one is how international norms becomes interiorized within the states, and finally how are managed potentially conflicting norms.
43

Narrativas sobre povos indígenas na Amazônia

Aguiar, José Vicente de Souza January 2012 (has links)
Cette recherche a été menée dans le cadre du Programme d'Études Supérieures en Éducation à l'Université Fédérale de Rio Grande do Sul - UFRGS et ses analyses ont été élaborées à partir des dialogues théoriques développés et stimulés, principalement dans le domaine des Études Culturelles en Éducation. Cela dans une relation étroite avec la pensée de Michel Foucault, Roland Barthes, Jacques Derrida et Gilles Deleuze, fondamentalement. En tant que thématique concernée, la recherche a analysé la relation entre la production des récits et les peuples indigènes de l'Amazonie au cours des XVIIIe au XXe siècles. Il est important de souligner, surtout, qu'aux récits, dans cette recherche, on a attribué l'idée d'un dispositif qui a servi à nommer les sujets, de façon à les classifier, les hiérachiser et suggérer la création d'un système de pensée sociale sur les peuples indigènes. La recherche a été constituée de quatre moments. Le premier moment correspond au lieu théorique et les outils avec lesquels les analyses ont été produites, dont la finalité consiste à construire une forme de regard visant à soutenir l'idée que la relation savoir - pouvoir peut, dans une certaine circonstance, servir d’instrument par lequel on a cherché à projeter la création sociale d'un autre, ainsi qu’à souligner l'effet politique de l'usage de la langue et de l'écriture. Ainsi, la langue et l'écriture sont perçues comme des instruments sociaux avec force d'effets de vérités, par lesquels les types sociaux noirs et indigènes ont été produits, surtout dans les récits où ils avaient une condition de sujets sociaux et moralement subalternes et sauvages. Dans le deuxième moment, on fait des analyses des récits produits par des prêtres jésuites, tels que João Daniel , Samuel Fritz, Cristóbal de Acuña, qui ont travaillé dans l'Amazonie, et Antonio Sepp, qui a travaillé dans l’état du Rio Grande do Sul, cherchant à identifier comment les peuples indigènes ont été inclus dans les récits de nature religieuse. Évidemment, ces textes ont révélé les innombrables initiatives visant à la conversion des peuples indigènes en chrétiens et en sujets qui assimilaient une façon d'être, de vivre et de penser occidentalisé, car de cette manière ils seraient de plus en plus utiles pour le projet des colons et des jésuites qui avaient besoin de corps et d'âmes - corps pour le travaux musclés et âmes pour l'expansion du christianisme. Dans le troisième moment, on a analysé les récits des voyageurs-scientifiques-naturalistes du XIXe siècle, qui sont passés par l’Amazonie et ont produit des récits sur les peuples indigènes, confirmant l’idée présentée avant par les jésuites et, de façon semblable, ont produit leurs récits présentant les indigènes comme des sujets rudes, paresseux, indolants et sauvages. Dans le quatrième et dernier moment, sur les récits de l’actualité, les peuples indigènes sont présentés, au minimum, en trois perspectives distinctes. Dans la première perspective, ils sont vus comme les sujets qui constituent des obstacles au progrès de la nation, car ils continuent à être classés comme des peuples peu dévoués au travail, sans compter que leurs terres délimitées sont des aires qui n’ont pas le droit d’être utilisées pour l’élévage et ni pour l’agriculture, comme le souhaite le secteur de l’agroalimentaire. Dans la deuxième perspective, ils sont présentés comme des sujets vivant en complète harmonie avec la nature et, pour cela, ils sont considérés comme leur protecteur. Dans la troisième perspective, les indigènes sont vus comme des sujets de droit et sont soutenus par l’État et par ceux qui prétendent faire usage des terres indigènes. De toute façon, on croit que les récits produits et analysés dans cette recherche, soit du passé soit du présent, surtout ceux issus du rapport savoir-pouvoir, réligieux ou laïques, ont agi et agissent dans le cadre de les classifier, de les hiérarchiser et de motiver une forme de pensée de la société environnante concernant les peuples indigènes, reconnaissant l’idée de respect des différences, bien qu’il y ait une réaction négative lorsqu’on traite la mise en place effective des droits constitutionnels et sociaux des indigènes. / Esta pesquisa foi realizada no Programa de Pós-Graduação em Educação da Universidade Federal do Rio Grande do Sul – UFRGS, e suas análises foram elaboradas a partir dos diálogos teóricos desenvolvidos e estimulados principalmente pela linha de pesquisa Estudos Culturais em Educação, em estado de estreita relação de aproximação aos pensamentos expressos por Michel Foucault, Roland Barthes, Gilles Deleuze e Jacques Derrida, fundamentalmente. Enquanto temática investigada, a pesquisa analisou a relação entre a produção das narrativas e os povos indígenas na Amazônia ao longo dos séculos XVIII ao XX. É importante frisar, sobretudo, que às narrativas, nesta pesquisa, foi atribuída a ideia de um dispositivo que serviu para nomear os sujeitos, de modo a classificá-los, hierarquizá-los e sugerir a criação de um sistema de pensamento social sobre os povos indígenas. A pesquisa foi constituída em quatro momentos. O primeiro corresponde ao lugar teórico e às ferramentas com as quais as análises foram produzidas, cuja finalidade consiste em construir uma forma de olhar visando sustentar a ideia de que a relação saber-poder pode, em certa circunstância, servir como instrumento pelo qual se procurou projetar a criação social do outro, além de também ressaltar o efeito político do uso da língua e da escrita. Dessa forma, a língua e a escrita são vistas como instrumentos sociais, com força de efeitos de verdades, pelos quais os tipos sociais negros e indígenas foram produzidos, principalmente por narrativas que os destacam na condição de sujeitos social e moralmente subalternos e selvagens. No segundo, são feitas as análises das narrativas produzidas pelos padres jesuítas João Daniel, Samuel Fritz, Cristóbal de Acuña, que atuaram na Amazônia e Antonio Sepp, que atuou na região do Rio Grande do Sul, procurando identificar como os povos indígenas foram incluídos nas narrativas de natureza religiosa. Evidentemente, estes textos revelaram as inúmeras iniciativas visando à transformação dos povos indígenas em cristãos e em sujeitos que incorporassem um modo de ser, de viver e de pensar ocidentalizado, pois dessa forma passariam a ser mais úteis para o projeto dos colonos e dos jesuítas que necessitavam de corpos e almas – corpos para os serviços braçais e almas para a expansão do cristianismo. No terceiro momento, foram analisadas as narrativas dos viajantes-cientistas-naturalistas do século XIX que passaram pela Amazônia e produziram narrativas a respeito dos povos indígenas, que reiteram a ideia anteriormente apresentada pelos jesuítas e, de igual modo, produziram suas narrativas apresentando os indígenas na condição de sujeitos rudes, preguiçosos, indolentes e selvagens. No último, sobre as narrativas da atualidade, os povos indígenas são apresentados, no mínimo, em três perspectivas distintas. Na primeira, são vistos como os sujeitos que representam obstáculos para o progresso da nação, pois continuam sendo classificados como povos pouco afeitos ao trabalho, além de suas terras demarcadas se constituírem em áreas que não podem ser utilizadas para a criação e plantação como pretende um setor do agronegócio; no segundo, são apresentados como sujeitos que vivem em completa harmonia com a natureza e, por isso, são considerados seus protetores; na terceira, os indígenas são vistos como sujeitos de direito e são apoiados diante das ações do Estado e daqueles que pretendem usar as terras indígenas. De qualquer forma, acredita-se que as narrativas produzidas e analisadas nesta pesquisa, sejam do passado, sejam da atualidade, principalmente as emergentes da relação saber-poder, religiosas ou laicas, agiram e agem no sentido de classificá-los, de hierarquizá-los e de estimular uma forma de pensamento da sociedade envolvente a respeito dos povos indígenas, que reconhece a ideia de respeito às diferenças, embora reaja negativamente quando se trata da efetivação objetiva dos direitos constitucionais e sociais dos indígenas.
44

Narrativas sobre povos indígenas na Amazônia

Aguiar, José Vicente de Souza January 2012 (has links)
Cette recherche a été menée dans le cadre du Programme d'Études Supérieures en Éducation à l'Université Fédérale de Rio Grande do Sul - UFRGS et ses analyses ont été élaborées à partir des dialogues théoriques développés et stimulés, principalement dans le domaine des Études Culturelles en Éducation. Cela dans une relation étroite avec la pensée de Michel Foucault, Roland Barthes, Jacques Derrida et Gilles Deleuze, fondamentalement. En tant que thématique concernée, la recherche a analysé la relation entre la production des récits et les peuples indigènes de l'Amazonie au cours des XVIIIe au XXe siècles. Il est important de souligner, surtout, qu'aux récits, dans cette recherche, on a attribué l'idée d'un dispositif qui a servi à nommer les sujets, de façon à les classifier, les hiérachiser et suggérer la création d'un système de pensée sociale sur les peuples indigènes. La recherche a été constituée de quatre moments. Le premier moment correspond au lieu théorique et les outils avec lesquels les analyses ont été produites, dont la finalité consiste à construire une forme de regard visant à soutenir l'idée que la relation savoir - pouvoir peut, dans une certaine circonstance, servir d’instrument par lequel on a cherché à projeter la création sociale d'un autre, ainsi qu’à souligner l'effet politique de l'usage de la langue et de l'écriture. Ainsi, la langue et l'écriture sont perçues comme des instruments sociaux avec force d'effets de vérités, par lesquels les types sociaux noirs et indigènes ont été produits, surtout dans les récits où ils avaient une condition de sujets sociaux et moralement subalternes et sauvages. Dans le deuxième moment, on fait des analyses des récits produits par des prêtres jésuites, tels que João Daniel , Samuel Fritz, Cristóbal de Acuña, qui ont travaillé dans l'Amazonie, et Antonio Sepp, qui a travaillé dans l’état du Rio Grande do Sul, cherchant à identifier comment les peuples indigènes ont été inclus dans les récits de nature religieuse. Évidemment, ces textes ont révélé les innombrables initiatives visant à la conversion des peuples indigènes en chrétiens et en sujets qui assimilaient une façon d'être, de vivre et de penser occidentalisé, car de cette manière ils seraient de plus en plus utiles pour le projet des colons et des jésuites qui avaient besoin de corps et d'âmes - corps pour le travaux musclés et âmes pour l'expansion du christianisme. Dans le troisième moment, on a analysé les récits des voyageurs-scientifiques-naturalistes du XIXe siècle, qui sont passés par l’Amazonie et ont produit des récits sur les peuples indigènes, confirmant l’idée présentée avant par les jésuites et, de façon semblable, ont produit leurs récits présentant les indigènes comme des sujets rudes, paresseux, indolants et sauvages. Dans le quatrième et dernier moment, sur les récits de l’actualité, les peuples indigènes sont présentés, au minimum, en trois perspectives distinctes. Dans la première perspective, ils sont vus comme les sujets qui constituent des obstacles au progrès de la nation, car ils continuent à être classés comme des peuples peu dévoués au travail, sans compter que leurs terres délimitées sont des aires qui n’ont pas le droit d’être utilisées pour l’élévage et ni pour l’agriculture, comme le souhaite le secteur de l’agroalimentaire. Dans la deuxième perspective, ils sont présentés comme des sujets vivant en complète harmonie avec la nature et, pour cela, ils sont considérés comme leur protecteur. Dans la troisième perspective, les indigènes sont vus comme des sujets de droit et sont soutenus par l’État et par ceux qui prétendent faire usage des terres indigènes. De toute façon, on croit que les récits produits et analysés dans cette recherche, soit du passé soit du présent, surtout ceux issus du rapport savoir-pouvoir, réligieux ou laïques, ont agi et agissent dans le cadre de les classifier, de les hiérarchiser et de motiver une forme de pensée de la société environnante concernant les peuples indigènes, reconnaissant l’idée de respect des différences, bien qu’il y ait une réaction négative lorsqu’on traite la mise en place effective des droits constitutionnels et sociaux des indigènes. / Esta pesquisa foi realizada no Programa de Pós-Graduação em Educação da Universidade Federal do Rio Grande do Sul – UFRGS, e suas análises foram elaboradas a partir dos diálogos teóricos desenvolvidos e estimulados principalmente pela linha de pesquisa Estudos Culturais em Educação, em estado de estreita relação de aproximação aos pensamentos expressos por Michel Foucault, Roland Barthes, Gilles Deleuze e Jacques Derrida, fundamentalmente. Enquanto temática investigada, a pesquisa analisou a relação entre a produção das narrativas e os povos indígenas na Amazônia ao longo dos séculos XVIII ao XX. É importante frisar, sobretudo, que às narrativas, nesta pesquisa, foi atribuída a ideia de um dispositivo que serviu para nomear os sujeitos, de modo a classificá-los, hierarquizá-los e sugerir a criação de um sistema de pensamento social sobre os povos indígenas. A pesquisa foi constituída em quatro momentos. O primeiro corresponde ao lugar teórico e às ferramentas com as quais as análises foram produzidas, cuja finalidade consiste em construir uma forma de olhar visando sustentar a ideia de que a relação saber-poder pode, em certa circunstância, servir como instrumento pelo qual se procurou projetar a criação social do outro, além de também ressaltar o efeito político do uso da língua e da escrita. Dessa forma, a língua e a escrita são vistas como instrumentos sociais, com força de efeitos de verdades, pelos quais os tipos sociais negros e indígenas foram produzidos, principalmente por narrativas que os destacam na condição de sujeitos social e moralmente subalternos e selvagens. No segundo, são feitas as análises das narrativas produzidas pelos padres jesuítas João Daniel, Samuel Fritz, Cristóbal de Acuña, que atuaram na Amazônia e Antonio Sepp, que atuou na região do Rio Grande do Sul, procurando identificar como os povos indígenas foram incluídos nas narrativas de natureza religiosa. Evidentemente, estes textos revelaram as inúmeras iniciativas visando à transformação dos povos indígenas em cristãos e em sujeitos que incorporassem um modo de ser, de viver e de pensar ocidentalizado, pois dessa forma passariam a ser mais úteis para o projeto dos colonos e dos jesuítas que necessitavam de corpos e almas – corpos para os serviços braçais e almas para a expansão do cristianismo. No terceiro momento, foram analisadas as narrativas dos viajantes-cientistas-naturalistas do século XIX que passaram pela Amazônia e produziram narrativas a respeito dos povos indígenas, que reiteram a ideia anteriormente apresentada pelos jesuítas e, de igual modo, produziram suas narrativas apresentando os indígenas na condição de sujeitos rudes, preguiçosos, indolentes e selvagens. No último, sobre as narrativas da atualidade, os povos indígenas são apresentados, no mínimo, em três perspectivas distintas. Na primeira, são vistos como os sujeitos que representam obstáculos para o progresso da nação, pois continuam sendo classificados como povos pouco afeitos ao trabalho, além de suas terras demarcadas se constituírem em áreas que não podem ser utilizadas para a criação e plantação como pretende um setor do agronegócio; no segundo, são apresentados como sujeitos que vivem em completa harmonia com a natureza e, por isso, são considerados seus protetores; na terceira, os indígenas são vistos como sujeitos de direito e são apoiados diante das ações do Estado e daqueles que pretendem usar as terras indígenas. De qualquer forma, acredita-se que as narrativas produzidas e analisadas nesta pesquisa, sejam do passado, sejam da atualidade, principalmente as emergentes da relação saber-poder, religiosas ou laicas, agiram e agem no sentido de classificá-los, de hierarquizá-los e de estimular uma forma de pensamento da sociedade envolvente a respeito dos povos indígenas, que reconhece a ideia de respeito às diferenças, embora reaja negativamente quando se trata da efetivação objetiva dos direitos constitucionais e sociais dos indígenas.
45

Narrativas sobre povos indígenas na Amazônia

Aguiar, José Vicente de Souza January 2012 (has links)
Cette recherche a été menée dans le cadre du Programme d'Études Supérieures en Éducation à l'Université Fédérale de Rio Grande do Sul - UFRGS et ses analyses ont été élaborées à partir des dialogues théoriques développés et stimulés, principalement dans le domaine des Études Culturelles en Éducation. Cela dans une relation étroite avec la pensée de Michel Foucault, Roland Barthes, Jacques Derrida et Gilles Deleuze, fondamentalement. En tant que thématique concernée, la recherche a analysé la relation entre la production des récits et les peuples indigènes de l'Amazonie au cours des XVIIIe au XXe siècles. Il est important de souligner, surtout, qu'aux récits, dans cette recherche, on a attribué l'idée d'un dispositif qui a servi à nommer les sujets, de façon à les classifier, les hiérachiser et suggérer la création d'un système de pensée sociale sur les peuples indigènes. La recherche a été constituée de quatre moments. Le premier moment correspond au lieu théorique et les outils avec lesquels les analyses ont été produites, dont la finalité consiste à construire une forme de regard visant à soutenir l'idée que la relation savoir - pouvoir peut, dans une certaine circonstance, servir d’instrument par lequel on a cherché à projeter la création sociale d'un autre, ainsi qu’à souligner l'effet politique de l'usage de la langue et de l'écriture. Ainsi, la langue et l'écriture sont perçues comme des instruments sociaux avec force d'effets de vérités, par lesquels les types sociaux noirs et indigènes ont été produits, surtout dans les récits où ils avaient une condition de sujets sociaux et moralement subalternes et sauvages. Dans le deuxième moment, on fait des analyses des récits produits par des prêtres jésuites, tels que João Daniel , Samuel Fritz, Cristóbal de Acuña, qui ont travaillé dans l'Amazonie, et Antonio Sepp, qui a travaillé dans l’état du Rio Grande do Sul, cherchant à identifier comment les peuples indigènes ont été inclus dans les récits de nature religieuse. Évidemment, ces textes ont révélé les innombrables initiatives visant à la conversion des peuples indigènes en chrétiens et en sujets qui assimilaient une façon d'être, de vivre et de penser occidentalisé, car de cette manière ils seraient de plus en plus utiles pour le projet des colons et des jésuites qui avaient besoin de corps et d'âmes - corps pour le travaux musclés et âmes pour l'expansion du christianisme. Dans le troisième moment, on a analysé les récits des voyageurs-scientifiques-naturalistes du XIXe siècle, qui sont passés par l’Amazonie et ont produit des récits sur les peuples indigènes, confirmant l’idée présentée avant par les jésuites et, de façon semblable, ont produit leurs récits présentant les indigènes comme des sujets rudes, paresseux, indolants et sauvages. Dans le quatrième et dernier moment, sur les récits de l’actualité, les peuples indigènes sont présentés, au minimum, en trois perspectives distinctes. Dans la première perspective, ils sont vus comme les sujets qui constituent des obstacles au progrès de la nation, car ils continuent à être classés comme des peuples peu dévoués au travail, sans compter que leurs terres délimitées sont des aires qui n’ont pas le droit d’être utilisées pour l’élévage et ni pour l’agriculture, comme le souhaite le secteur de l’agroalimentaire. Dans la deuxième perspective, ils sont présentés comme des sujets vivant en complète harmonie avec la nature et, pour cela, ils sont considérés comme leur protecteur. Dans la troisième perspective, les indigènes sont vus comme des sujets de droit et sont soutenus par l’État et par ceux qui prétendent faire usage des terres indigènes. De toute façon, on croit que les récits produits et analysés dans cette recherche, soit du passé soit du présent, surtout ceux issus du rapport savoir-pouvoir, réligieux ou laïques, ont agi et agissent dans le cadre de les classifier, de les hiérarchiser et de motiver une forme de pensée de la société environnante concernant les peuples indigènes, reconnaissant l’idée de respect des différences, bien qu’il y ait une réaction négative lorsqu’on traite la mise en place effective des droits constitutionnels et sociaux des indigènes. / Esta pesquisa foi realizada no Programa de Pós-Graduação em Educação da Universidade Federal do Rio Grande do Sul – UFRGS, e suas análises foram elaboradas a partir dos diálogos teóricos desenvolvidos e estimulados principalmente pela linha de pesquisa Estudos Culturais em Educação, em estado de estreita relação de aproximação aos pensamentos expressos por Michel Foucault, Roland Barthes, Gilles Deleuze e Jacques Derrida, fundamentalmente. Enquanto temática investigada, a pesquisa analisou a relação entre a produção das narrativas e os povos indígenas na Amazônia ao longo dos séculos XVIII ao XX. É importante frisar, sobretudo, que às narrativas, nesta pesquisa, foi atribuída a ideia de um dispositivo que serviu para nomear os sujeitos, de modo a classificá-los, hierarquizá-los e sugerir a criação de um sistema de pensamento social sobre os povos indígenas. A pesquisa foi constituída em quatro momentos. O primeiro corresponde ao lugar teórico e às ferramentas com as quais as análises foram produzidas, cuja finalidade consiste em construir uma forma de olhar visando sustentar a ideia de que a relação saber-poder pode, em certa circunstância, servir como instrumento pelo qual se procurou projetar a criação social do outro, além de também ressaltar o efeito político do uso da língua e da escrita. Dessa forma, a língua e a escrita são vistas como instrumentos sociais, com força de efeitos de verdades, pelos quais os tipos sociais negros e indígenas foram produzidos, principalmente por narrativas que os destacam na condição de sujeitos social e moralmente subalternos e selvagens. No segundo, são feitas as análises das narrativas produzidas pelos padres jesuítas João Daniel, Samuel Fritz, Cristóbal de Acuña, que atuaram na Amazônia e Antonio Sepp, que atuou na região do Rio Grande do Sul, procurando identificar como os povos indígenas foram incluídos nas narrativas de natureza religiosa. Evidentemente, estes textos revelaram as inúmeras iniciativas visando à transformação dos povos indígenas em cristãos e em sujeitos que incorporassem um modo de ser, de viver e de pensar ocidentalizado, pois dessa forma passariam a ser mais úteis para o projeto dos colonos e dos jesuítas que necessitavam de corpos e almas – corpos para os serviços braçais e almas para a expansão do cristianismo. No terceiro momento, foram analisadas as narrativas dos viajantes-cientistas-naturalistas do século XIX que passaram pela Amazônia e produziram narrativas a respeito dos povos indígenas, que reiteram a ideia anteriormente apresentada pelos jesuítas e, de igual modo, produziram suas narrativas apresentando os indígenas na condição de sujeitos rudes, preguiçosos, indolentes e selvagens. No último, sobre as narrativas da atualidade, os povos indígenas são apresentados, no mínimo, em três perspectivas distintas. Na primeira, são vistos como os sujeitos que representam obstáculos para o progresso da nação, pois continuam sendo classificados como povos pouco afeitos ao trabalho, além de suas terras demarcadas se constituírem em áreas que não podem ser utilizadas para a criação e plantação como pretende um setor do agronegócio; no segundo, são apresentados como sujeitos que vivem em completa harmonia com a natureza e, por isso, são considerados seus protetores; na terceira, os indígenas são vistos como sujeitos de direito e são apoiados diante das ações do Estado e daqueles que pretendem usar as terras indígenas. De qualquer forma, acredita-se que as narrativas produzidas e analisadas nesta pesquisa, sejam do passado, sejam da atualidade, principalmente as emergentes da relação saber-poder, religiosas ou laicas, agiram e agem no sentido de classificá-los, de hierarquizá-los e de estimular uma forma de pensamento da sociedade envolvente a respeito dos povos indígenas, que reconhece a ideia de respeito às diferenças, embora reaja negativamente quando se trata da efetivação objetiva dos direitos constitucionais e sociais dos indígenas.
46

Le tympan de Vézelay : les peuples de la terre dans la pensée et l’art roman : traditions iconographiques et littéraires / The tympanum of Vézelay : people of the Earth in romanesque art and thought : iconographical and litterary traditions

Le Gallic, Maï 16 July 2012 (has links)
Elaboré dans les premières décennies du XIIe siècle, le tympan central du portail de la nef de Vézelay est l’un des témoins privilégiés du renouveau iconographique que connaît l’art roman entre la fin du XIe et le début du XIIe siècle. Maintes fois étudiée, son iconographie demeure pourtant énigmatique par la rareté de son thème – la Pentecôte – et plus encore ses scènes périphériques, portant l’image des peuples de la terre. C’est à ce motif, dans sa relation au contexte qui l’environne, que cette étude est dédiée. Le premier chapitre envisage les circonstances historiques, intellectuelles et monumentales qui ont vues l’élaboration d’un tel programme, lequel se révèle fortement ancré dans le renouveau que connaît la communauté au XIe siècle. Le second chapitre, consacré à l’iconographie tympanale, en livre l’étude matérielle et descriptive avant de la replacer au sein de la tradition iconographique de la Pentecôte. Une analyse qui démontre combien le tympan, nonobstant sa rareté, se conforme aux principes de cette tradition. Le dernier chapitre, enfin, aborde le motif des peuples de la terre. Il en livre tout d’abord une définition affinée par l’analyse générale de ses formes et traditions iconographiques, littéraires et conceptuelles depuis l’antiquité. Révélant une prédilection pour le champ ornemental et divertissant au Moyen Âge, le motif accède, au tympan, à une valeur symbolique et sémantique rare propre au cadre religieux au sein duquel il prend place. Objet de curiosité et image d’altérité, il fonctionne ici tel un point d’entrée pour le fidèle, autant qu’il unifie l’iconographie tympanale et renforce les notions inhérentes au thème de la Pentecôte / Designed in the early decades of the twelfth century, the central tympanum of the the nave portal of Vezelay is one of the privileged witnesses of the iconographic revival of Romanesque art between the late eleventh and early twelfth century. Repeatedly studied, its iconography yet remains enigmatic by the rarity of its theme – the Pentecost – and more, by its peripheral scènes, bearing the image of the peoples of the earth. It is to this pattern, in its relation to its surrouding context, that this study is dedicated. The first chapter considers the historicals, intellectuals and monumentals circumstances that have witnessed the development of such a program, which reveals deep roots in the revival the community knew in the eleventh century. The second chapter, devoted to the tympanum’s iconography, perfoms its descriptive and material study before replacing it in the iconographic tradition of Pentecost. An analysis which demonstrates how the tympanum, despite its rarity, is consistent with the principles of this tradition. Finally, the last chapter discusses the pattern of the peoples of the earth. It first delivers a refined definition through the general analysis of its iconographics, literaries and conceptuals forms and traditions since antiquity. Revealing a predilection for the decorative and entertaining fields in the Middle Ages, the tympanum’s pattern accesses a rare symbolic and semantic value peculiar to the religious framework within which it takes place. Object of curiosity and image of otherness, it works here as an entry point for the worshippers, as well as it unifies the tympanum’s iconography and strengthens inherents concepts to the theme of Pentecost.
47

Droits et obligations démocratiques en Afrique subsaharienne francophone

Mukonde, Pascal Musulay January 1999 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
48

Acculturation et socio-économie chez les Montagnais et les Naskapi du Lac John près de Schefferville

Désy, Pierrette. 09 April 2024 (has links)
No description available.
49

L'indétermination du statut du peuple en droit constitutionnel : réflexions à partir des tensions entre référendum et État de droit

Revon, Mathias 06 June 2022 (has links)
Thèse en cotutelle, Université Laval, Québec et Aix-Marseille Université, Marseille. / À l'image de l'expérience du « chat de Schrödinger » qui met en évidence la situation paradoxale dans laquelle un sujet se trouve simultanément dans deux états incompatibles, deux statuts du peuple coexistent au sein d'une démocratie libérale. D'une part, la souveraineté du peuple est le socle théorique à partir duquel la démocratie libérale a été façonnée. En principe, elle confère au peuple un pouvoir illimité. D'autre part, l'État de droit, qui s'est considérablement développé depuis la seconde moitié du XXe siècle, impose au pouvoir politique de respecter certaines limites. Cela suppose que le peuple s'y soumette également. Une telle situation semble paradoxale, car elle implique que le peuple soit à la fois souverain et limité. La thèse soutenue est qu'une telle coexistence est possible, parce qu'il existe une indétermination du statut du peuple. Autrement dit, il s'agit de démontrer qu'au sein d'une démocratie libérale, le peuple n'est ni souverain, ni limité, mais potentiellement les deux. Ainsi, l'incompatibilité entre souveraineté du peuple et État de droit demeure, mais elle est maintenue en suspens. Dans ce cadre que nous qualifierons de compromis dilatoire, des rapports complexes faits de tensions et de complémentarité peuvent se développer entre démocratie et libéralisme. Dès lors, le recours au concept d'indétermination en droit constitutionnel permet de renouveler en profondeur la définition de la démocratie libérale. Cette indétermination a cependant des limites. En effet, l'incompatibilité sous-jacente peut être révélée, lorsqu'à l'occasion d'un référendum, la volonté exprimée par le peuple apparaît potentiellement contraire à l'État de droit. Les scrutins provoquant de telles tensions sont au cœur de la démonstration et seront appréhendés à travers le concept de référendum illibéral. Ce dernier a pour conséquence de lever l'indétermination et, ce faisant, de rompre l'équilibre sur lequel repose la démocratie libérale. / Like the “Schrödinger’s cat” experiment, which highlights the paradoxical situation in which a subject is simultaneously in two incompatible states, two statuses of the people coexist within a liberal democracy. On the one hand, the sovereignty of the people is the theoretical basis on which liberal democracy has been shaped. In principle, it gives the people unlimited power. On the other hand, the rule of law, which has developed considerably since the second half of the 20th century, imposes certain limits on political power. This presupposes that the people are also subject to them. Such a situation seems paradoxical, since it implies that the people are both sovereign and limited. The thesis is that such coexistence is possible because there is an indeterminacy of the status of the people. In other words, it is to demonstrate that in a liberal democracy, the people are neither sovereign nor limited, but potentially both. Consequently, the incompatibility between the sovereignty of the people and the rule of law remains, but it is kept in abeyance. In this framework, which we shall describe as a dilatory compromise, complex relations made up of tensions and complementarities can develop between democracy and liberalism. That is why the use of the concept of indeterminacy in constitutional law makes it possible to renew in depth the definition of liberal democracy. However, this indeterminacy has its limits. Indeed, the underlying incompatibility may be revealed when, on the occasion of a referendum, the will expressed by the people appears potentially contrary to the rule of law. Polls that provoke such tensions are at the heart of the demonstration and will be apprehended through the concept of illiberal referendum. The latter has the consequence of removing indeterminacy and, in so doing, of breaking the balance on which liberal democracy rests.
50

L'économie des populations de l'Anse à Henry à Saint-Pierre et Miquelon entre 2800 et 500 AA : analyse fonctionnelle et comparaison entre les données tracéologiques et typologiques des outils lithiques pré-inuits et amérindiens

St-Pierre, Éloïse 28 September 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 25 septembre 2023) / Le site archéologique de l'Anse à Henry, situé sur l'archipel français de Saint-Pierre et Miquelon, a été occupé par des populations pré-inuites et amérindiennes pendant plus de 5000 ans. Les archéologues ont proposé que l'Anse ait essentiellement servi à l'exploitation des ressources maritimes puisque son emplacement géographique aurait favorisé la chasse aux mammifères marins et la pêche. Cependant, cette hypothèse n'a pas pu être vérifiée puisqu'aucune donnée zoo archéologique n'a été découverte. Ce mémoire s'intéresse donc aux activités économiques qui ont été pratiquées sur le site par les différents groupes culturels qui y ont séjourné. L'analyse fonctionnelle a été utilisée pour étudier les outils lithiques que les Pré-Inuits et les Amérindiens auraient employés quand ils ont occupé le site de l'Anse à Henry. Une analyse comparative des deux composantes a ensuite été effectuée pour distinguer le profil économique de chacun des groupes et vérifier si les ressources exploitées étaient similaires. Ce projet de recherche contribue à la mise en valeur du seul site pré-inuit découvert sur le territoire français. Il permet aussi d'élaborer un référentiel expérimental qui regroupe les traces d'utilisation de la rhyolite de Saint-Pierre et Miquelon; une matière lithique largement employée par les populations préhistoriques de l'archipel et du sud de Terre-Neuve. Ce référentiel permet également d'étudier les traces diagnostiques qui témoigneraient de neuf activités de subsistance qui pourraient avoir été pratiquées par ces communautés. Par ces expérimentations, il a été possible d'analyser et de déterminer la fonction des outils en rhyolite de l'Anse à Henry. Les données tracéologiques ont par la suite été comparées à la morphologie des artefacts étudiés. Cette comparaison avait pour objectif de vérifier si les outils lithiques avaient été façonnés en fonction des ressources exploitées ou non. / The archaeological site of Anse à Henry located on the French archipelago of Saint-Pierre et Miquelon was occupied by paleoeskimo and amerindian populations during more than 5000 years. Archaeologists suggest than the site was used for the exploitation of its marine resources. Indeed, its geographic location would have favored the hunting of marine mammals and the fishing. However, this hypothesis could not be verify since no zooarchaeology data was collected. This Master's thesis focuses on the economic activities that were practiced on the site by the different cultural groups who lived there. Use-wear analysis used to study the lithic tools associated to the Pre-Inuit and Amerindian people who occupied the site of Anse à Henry. A comparative analysis was realized on the two Pre-Inuit components to identify and distinguish the economic profile of each group and to verify whether the resources exploited were comparable. This research was also the opportunity to highlight the only Pre-Inuit site on French territory. It allowed us to create a use-wear experimental reference regarding the Saint-Pierre et Miquelon rhyolite use wear; a lithic material widely used by the prehistoric populations of the archipelago and in south Newfoundland. Also, this frame of reference allowed us to study the diagnostic use-wear patterns of nine subsistence activities that were often practiced by these communities. Furthermore, this frame of reference gave us the opportunity to analyze and determine the function of the rhyolite tools found at Anse à Henry. The data, provided by tracaeology was then compared to the shape of the tools were studied. The aim of this comparison was to verify whether the lithic tools were shaped according to the specific resources exploited.

Page generated in 0.1573 seconds