• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 33
  • 14
  • 12
  • 6
  • 1
  • Tagged with
  • 81
  • 81
  • 23
  • 20
  • 16
  • 16
  • 16
  • 15
  • 13
  • 12
  • 12
  • 12
  • 11
  • 11
  • 11
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Die politische Presse der deutschen Schweiz und der Aufstieg des Dritten Reiches 1933-1939.

Padel, Gerd Hellmut. January 1951 (has links)
Zürich Univ., Phil. I Diss. - Auch im Buchh. bei Gut, Zürich.
12

La République populaire de Chine et l’Asie centrale post-soviétique :étude de politique étrangère

Kellner, Thierry 01 May 2005 (has links)
Si depuis l'effondrement de l'Union soviétique et la fin de la "guerre froide", la politique étrangère de la République populaire de Chine a fait l'objet de nombreuses études, aucune monographie (en 2004) ne s'est encore interrogée sur le contenu et les déterminants de la politique de Pékin à l'égard des cinq nouvelles Républiques apparues en 1991 en "Asie centrale". Aux frontières occidentales de la Chine, cinq nouvelles Républiques -le Kazakhstan, la République kirghize, l'Ouzbékistan, le Tadjikistan et le Turkménistan- regroupant une population évaluée aujourd'hui à 60 millions d'individus sont apparues du jour au lendemain sur l'échiquier régional. L'émergence de ces Républiques, dont la population est majoritairement d'origine musulmane, constitue en elle-même un phénomène d'une ampleur exceptionnelle. Elle dépasse la simple reconnaissance par la communauté internationale de cinq nouveaux États n'ayant pas d'existence préalable sur le plan international. L'enjeu est de taille car il appelle une recomposition géopolitique complète d'un espace géographique dont l'importance dépasse largement les limites territoriales de ces cinq nouvelles Républiques. Face à l'ampleur des transformations en cours, la recherche contemporaine demeure souvent tributaire d'une vision géographique issue de la guerre froide réduisant cette région à l'état d'"hinterland amorphe". Régulièrement, dans les études spécialisées, les chaînes montagneuses des Pamirs et des Tian Shan isolent encore l'espace centre-asiatique du reste du continent asiatique et de la République populaire de Chine en particulier. Il faut bien constater, et plus encore déplorer, cette place très marginale qu'occupe dans la littérature académique l'étude de la politique étrangère de Pékin à l'égard de cette région. D. Shambaugh, dans l'introduction d'un ouvrage collectif fondamental consacré à l'étude de la politique étrangère de la République populaire, avait pourtant déjà observé dès 1994 que "events in the former Soviet Union, particularly the Central Asian republics will have no small impact on China (.) China's future role in Central Asia (.) will thus become a pressing issue for future research". Cette suggestion est restée très largement ignorée. Or, la géographie, la longue durée historique mais aussi la situation politique complexe de la région autonome chinoise du Xinjiang devraient au contraire inviter les observateurs à se préoccuper de la politique étrangère mise en place progressivement par Pékin depuis 1991 à l'égard de ces nouveaux États. Face à l'Asie centrale, la République populaire de Chine se trouve confrontée à une situation tout à fait originale. Les changements intervenus en 1991, loin de mettre simplement un terme à la période de la "guerre froide" et à la menace militaire que l'Union soviétique faisait peser sur Pékin, renvoient en fait bien plus loin dans l'histoire. Si l'effondrement de l'URSS a certes clôturé l'expérience coloniale russe en Asie centrale, la situation de Pékin dans ce domaine est complétement différente. Aujourd'hui encore, la République populaire de Chine demeure dans sa composante spatiale, l'héritière de l'impérialisme de la dynastie mandchoue des Qing. L'émergence des Républiques d'Asie centrale nous ramène donc au partage de l'espace centre-asiatique entre Empire Russe et Empire Mandchou opéré au XVIIIème siècle. L'expansion territoriale des Empereurs mandchous a en effet conduit à l'annexion au domaine impérial chinois du Xinjiang/Turkestan oriental, cette périphérie contestée pendant une bonne partie de l'histoire chinoise. Dans la longue durée historique, cette région qui a certes entretenu des relations commerciales et culturelles importantes avec la Chine comme le Vietnam par exemple a en fait souvent échappé au contrôle effectif du pouvoir impérial chinois. Pékin qui a repris à son compte l'héritage territorial de la période mandchoue doit aujourd'hui gérer ce legs de l'histoire qui place sous son autorité des populations turcophones (Ouïgours, Kazakhs, Kirghizs, Ouzbeks) ou persanophones (Tadjiks), dont les liens ethniques, historiques, culturels et religieux avec l'"Asie centrale" sont extrêmement puissants. L'indépendance des Républiques d'Asie centrale accentue les problèmes liés à la gestion des "minorités nationales" auxquels la République populaire a été confrontée au Xinjiang/Turkestan oriental depuis sa fondation. L'indépendance de ces Républiques soulève donc d'importantes questions liées à la sécurité de la République populaire tout en ramenant au devant de la scène le problème de l'héritage colonial chinois, héritage que nie Pékin pour qui l'unité entre les différents groupes ethniques de la Chine fait au contraire partie du dogme officiel. La contradiction entre cette nouvelle situation internationale et le contexte interne de la République populaire de Chine apparaît donc ici en pleine lumière. C'est sans doute pour cette raison qu'un observateur chinois notait récemment que "it is probably only natural that in the last five years, China has put security concerns at the top of the agenda in its relations with Central Asian States". Face à son nouvel environnement régional, porteur de défis liés à sa sécurité, quelles ont été les réactions de Pékin ?Quelles stratégies a-t-elle développées pour y répondre ?Autrement dit, quels sont les axes de la politique étrangère que la République populaire de Chine a mis en oeuvre en direction des nouvelles Républiques depuis 1991 ?Voilà un ensemble de questions auxquelles la présente étude va tenter de répondre. Il s'agira de décrire la politique étrangère de Pékin à l'égard des Républiques d'Asie centrale depuis 1991, c'est-à-dire d'en exposer le cours et les variations ainsi que les objectifs mais aussi de tenter de l'expliquer, c'est-à-dire d'identifier les facteurs qui pèsent sur les choix des décideurs chinois et qui font la singularité de cette politique étrangère. Il s'agira d'analyser ses déterminants, tant au niveau systémique qu'au niveau interne. L'accent nous semble cependant devoir être mis plus particulièrement sur les facteurs internes car nous pensons que c'est principalement ces derniers qui déterminent et orientent les choix de Pékin face aux Républiques d'Asie centrale. / info:eu-repo/semantics/nonPublished
13

Le triangle stratégique Chine - Russie - Inde : possible contrepoids à l'hégémonie américaine?

Billette, Marc-André January 2008 (has links) (PDF)
En 1998, Evgeni Primakov, Premier Ministre russe de l'époque, évoque lors d'une visite en Inde, l'idée d'une relation triangulaire entre la Russie, l'Inde et la Chine. Pour lui un tel partenariat triangulaire stratégique représenterait une force pour une plus grande stabilité régionale et internationale. Aussi, ce triangle stratégique devrait servir à contrebalancer les États-Unis au niveau international. Quelques articles publiés dans des périodiques spécialisés ont traité de ce sujet, mais aucune recherche d'envergure n'a été produite à ce jour. Les articles cherchent à savoir si ce triangle a réellement pris forme. Ce texte s'inscrit donc la lignée des travaux effectués, mais à une échelle plus grande, et cherchera à son tour à répondre à la question que les auteurs se sont posée à propos du triangle Chine-Russie-Inde. Ce texte cherche à savoir, en premier lieu, si, depuis l'annonce de Primakov en 1998, le partenariat stratégique triangulaire entre New Delhi, Moscou et Beijing est bel et bien devenu une réalité. La typologie des triangles de Lowell Dittmer nous permettra d'établir la conformité ou non du triangle stratégique. Pour arriver à démontrer la validité de la relation triangulaire, une analyse des relations bilatérales nous aidera à démontrer s'il y a ou non partenariat stratégique entre les trois pays. En plus, l'implication des États-Unis dans chaque relation bilatérale viendra enrichir l'évaluation faite des relations. Par la suite, une analyse des relations de la Chine, de la Russie et de l'Inde, à travers l'Organisation de Coopération de Shanghai, permettra de démontrer dans quelles mesures l'OCS peut contrebalancer les États-Unis en Asie centrale. Aussi, l'analyse des relations bilatérales qu'entretiennent la Chine, la Russie et l'Inde avec l'Iran, rehaussera l'analyse des capacités du triangle dans leur stratégie de contrepoids vis-à-vis de Washington. Le texte conclut en affirmant que la positivité des relations bilatérales entre Beijing, Moscou et New Delhi, en plus des rencontres bilatérales qui sont organisé entre les trois capitales, permet de conclure qu'il y a bel et bien un partenariat stratégique triangulaire. Le concept de Soft Power, quant-à-Iui, nous permet de comprendre dans quelle mesure le triangle peut faire contrepoids à Washington. Le triangle, principalement à l'aide de l'OCS, peut contrebalancer les États-Unis dans la gestion des relations internationales en limitant les options disponibles et en obligeant la Maison Blanche à tenir compte des intérêts des ses partenaires. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Politique étrangère, Chine, Russie, Inde, États-Unis, Partenariat stratégique, Triangle stratégique, Soft power, Organisation de Coopération de Shanghai.
14

La réorganisation de l'hégémonie néolibérale : une analyse néogramscienne des discours adressés par les directeurs généraux de l'UNESCO à la conférence internationale des ONG de 1977 à 2007

Gheller, Frantz January 2009 (has links) (PDF)
« Les hommes font leur propre histoire, mais ils ne la font pas arbitrairement, ils la font dans des conditions héritées du passé. » Il y a près de deux siècles, c'est la conviction qu'exprimait Marx en prenant part à l'organisation politique des travailleurs de son époque. Le développement capitaliste avait alors engendré la séparation d'une sphère d'exploitation économique distincte de l'État, celle de la société civile. Aujourd'hui, les approches sociologiques sont nombreuses à célébrer l'accroissement de la participation des acteurs de cette sphère à l'élaboration de la politique internationale. Peu réussissent toutefois à lever le flou théorique qui persiste dans la littérature quant à la nature de leur pouvoir. Notre mémoire a pour objectif de contribuer à dissiper ce flou en prenant pour objet les discours prononcés par les directeurs généraux de l'UNESCO devant la Conférence internationale des ONG au cours des trente dernières années. L'analyse de ces discours sera l'occasion d'éclairer d'un nouvel angle le rôle qu'a joué cette organisation à vocation culturelle dans la mise en oeuvre des politiques néolibérales à l'échelle planétaire. La démarche utilisée combine de manière originale le cadre théorique développé au début du siècle passé par le théoricien italien Antonio Gramsci avec la méthode d'analyse du discours politique assistée par ordinateur développée par les sociologues québécois Gilles Bourque et Jules Duchastel. Insistant sur le fait que, dans les sociétés modernes, les luttes sociales reposent davantage sur l'affrontement de différentes visions du monde que sur l'usage de la force, l'analyse du discours livrée dans notre mémoire se conclut en relevant une transformation majeure du discours de l'UNESCO dans les dernières décennies. L'UNESCO demandait auparavant l'aide des représentants de la société civile pour défendre l'ordre mondial providentialiste. Il les enjoint aujourd'hui à ne pas remettre en cause l'ordre néolibéral qui a succédé à l'ordre providentialiste. Tel est le prix demandé aux éléments modérés de la société civile en échange de leur participation à la gouvernance mondiale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Discours politique, Gouvernance mondiale, Gramsci, Hégémonie, Néolibéralisme, Organisations internationales, Providentialisme, Société civile, UNESCO.
15

La politique étrangère française et l’Ukraine de la fin de la Première Guerre Mondiale à 1921 / The foreign French policy and Ukraine from the First World War’s end to 1921

Romanova, Mariya 02 June 2016 (has links)
Le déclenchement de la Grande Guerre change l’équilibre politique mondial, y compris en Europe centrale et orientale. L’écroulement des empires russe et austro-hongrois favorise la naissance des nouveaux États-nations, en particulier de l’Ukraine. Le jeune pays, tiraillé pendant quelques siècles, apparaît sur les décombres de deux puissances. Le nouveau régime s’oppose alors à des adversaires puissants : l’Armée Volontaire et l’Armée Rouge. Les décisionnaires du Gouvernement Provisoire russe, présidé par Alexandre Kerenskij et les bolcheviks, conduits par Vladimir Lénine, se prononcent défavorablement à la construction de l’État ukrainien indépendant et veulent le conserver sous la tutelle russe. Dans ces conditions, l’Ukraine sollicite l’appui des puissances étrangères pour lutter contre ses ennemis intérieurs. Les dignitaires ukrainiens demandent le concours militaire de deux camps belligérants : des Alliés et des Empires Centraux. En France, il y a deux groupes politiques. Le premier est favorable à la reconstruction de la Russie seule et indivisible. Ses représentants estiment que les pays soumis au pouvoir russe doivent lutter avec la Russie et les Alliés contre les Puissances Centrales. Il faut ainsi reconnaître le droit de ces pays à l’auto-détérmination. Le regroupement des forces militaires repose sur le principe des nationalités. La seconde tendance présentée par Jean Pélissier privilégie la lutte avec la jeune Ukraine contre le bolchévisme et ne considérait pas le mouvement ukrainien comme germanophile. Au début du XXième siècle, les camps politiques des Puissances Centrales et des pays de l’Entente jouent la carte ukrainienne pour atteindre leurs buts dans la Première Guerre Mondiale. / The I World War’s bursting changes the political balance in the central and oriental Europe. The collapse of the Russian and Austro-Hungarian empires favours new state-nations’ birth, in particulary the one of Ukraine. The young country torn during some centuries appears on two empires’ ruins. The new Ukrainian government confronts powerful opponents: the Volunteer Army and the Red Army. On the Ukrainian politicians’ mind, Provisional Government’s politics contrary to the principle of self-determination of nations. The Russian Provisory Government’s leaders headed by Alexander Kerensky and Bolsheviks headed by Vladimir Lenin protest against the Ukrainian independent state’s constitution. Their aim consists to conserve Ukraine under the Russian guardianship. In these conditions, Ukraine is searching for the military assistance of two adverse warring camps: those of Allied nations and Central Powers. There are two political tendencies in France. Some dignitaries consider that former Russian colonies should fight with Allied countries and Russia against Central Powers. This group of politicians is favorable to the reconstruction of the one and indivisible Russian empire. Military forces’ gathering is based on the self-determination principle. Their aim is to create a permanent body to promote the cause of national self-determination. The second tendency represented by Jean Pélissier privileged the fight against bolshevist forces with the young Ukrainian country. This political camp didn’t consider Ukrainian politicians to be germanophile. At the beginning of the XX th century, two adversary camps: those of Central Powers and Allied countries use the Ukrainian political asset to achieve their aims during the First World War.
16

La stratégie de construction de puissance de la Chine sur la scène internationale: le cas de la pénétration chinoise en Amérique latine / China's Strategy for Growth on the World Stage: the Case of the Chinese Penetration into Latin America

Wintgens, Sophie 28 November 2014 (has links) (PDF)
Dans le contexte de la globalisation post-Guerre froide, l’affirmation de « nouvelles puissances » et l’avènement concomitant de clubs interétatiques tels que les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), dans un système international au demeurant dominé par les États-Unis, alimentent les réflexions contemporaines sur la puissance et sa distribution mondiale. Eu égard au rôle international et aux potentialités conférés par sa dimension géopolitique d’État-continent, le seul développement économique de la Chine en fait aujourd’hui un acteur international incontournable (force), alors même que le syncrétisme de son modèle de développement présenté comme un « socialisme aux caractéristiques chinoises », alliant en ce sens des mécanismes de l’économie de marché à des éléments hérités du marxisme-léninisme, lui confère une certaine forme de vulnérabilité constitutive (faiblesse). Si bien que l’énigme de sa puissance (nature) et l’ambivalence de sa réponse à la domination américaine (exercice) enjoignent au double dépassement théorique.La présente thèse, dans son objectif d’analyser la stratégie de construction de puissance de la Chine sur la scène internationale à travers le cas de sa pénétration en Amérique latine, repose dès lors sur un double postulat théorique :la puissance chinoise se définit comme une entreprise de reconnaissance mondiale toujours en redéfinition et au résultat incertain, qui s’opère dans un monde multipolaire en gestation au sein duquel les puissances émergentes rivalisent avec les États-Unis et l’Union européenne (UE) pour la domination. Mesurer l’influence de la Chine sur la scène mondiale, à travers sa capacité à se faire reconnaître comme un acteur international de référence par les autres puissances émergentes et plus encore par les puissances occidentales, procède dès lors également d’une méthodologie ad hoc :seul l’examen corrélé des pratiques des acteurs, étatiques ou autres, (réalité) et du sens qu’ils confèrent à leurs actions (discours) permet de mesurer pleinement l’impact de la représentation que la Chine a du monde, d’elle-même et de sa place dans ce monde, sur les préférences et comportements des autres acteurs du système international.Dans ce cadre, le raisonnement au cœur de la présente thèse s’appuie sur deux parties ou questions centrales. La première interroge la stratégie de construction de puissance de la Chine sur la scène internationale post-Guerre froide. Elle met au jour le poids de trois enjeux fondamentaux en interne dans la construction de son statut d’acteur mondial incontournable, à savoir le poids de l’identité nationale façonnée par l’histoire et l’idéologie, le poids du régime mû par une quête de légitimité structurelle et le poids des intérêts nationaux guidant nécessairement sa diplomatie. La seconde partie questionne ensuite empiriquement la façon dont la Chine construit sa puissance vis-à-vis de l’Amérique latine, région porteuse d’un projet politico-économique sur lequel influent historiquement les stratégies respectives des États-Unis et de l’UE. Elle met au jour le déploiement par la Chine d’une stratégie nécessairement duale de coopération et d’hégémonie visant à consolider sa puissance sans atrophier son ascension (représentation), à même de séduire les États latino-américains (perception), et par conséquent de concurrencer les stratégies américaine et européenne influant sur le sous-continent (reconnaissance). / Centre(s) de recherche :CEFIR / Intitulé du diplôme :Docteur en Sciences politiques et sociales de l'Université de Liège et de l'Université Saint-Louis-Bruxelles / info:eu-repo/semantics/nonPublished
17

Intégration économique et gouvernance internationales : un programme de recherche en économie politique internationale (EPI)

Berthaud, Pierre 26 October 2006 (has links) (PDF)
L'objet de ce texte est de préciser les problématiques de recherche développées par l'auteur depuis la soutenance de sa thèse en 1992. La première partie décrit l'objet concret (ou champ d'étude) de cette recherche en présentant les principales conclusions de ses travaux sur la mondialisation et sur les problèmes qu'elle pose - y compris sur le plan analytique. La deuxième rend compte des avancées récentes de la théorie de l'intégration internationale et soutient qu'elle offre des bases pour une théorie de la mondialisation - c'est-à-dire pour un traitement scientifique des effets de la mondialisation sur les frontières, sur les nations et les États. La troisième partie est consacrée aux outils que l'EPI offre à l'économie internationale pour l'étude des problèmes politiques relatifs à la gouvernance du système international (théorie de l'hégémonie, des régimes) et, pour la période récente, à la gouvernance de la mondialisation (une théorie de la gouvernance globale ?).
18

Le Conseil de sécurité à l'ombre de l'hégémonie américaine

Foul, Wassila Amel January 2007 (has links) (PDF)
Cette recherche tente de démontrer d'une part, l'incidence négative de la désertion des États-Unis dans son rôle de leader parmi « la communauté internationale » sur l'efficacité du régime de sécurité collective de l'ONU et, d'autre part, sur la manière dont les décisions unilatéralistes de politique étrangère américaine nuisent à la crédibilité et l'action du Conseil de sécurité. Elle se base sur la théorie de la stabilité hégémonique de Charles Kindleberger qui affirme qu'en absence de soutien fort de la puissance hégémonique le régime international s'affaiblit. Notre hypothèse de recherche qui se rapporte à cette théorie est que la faiblesse du Conseil de sécurité dans l'après-guerre froide est imputable à la démission des États-Unis de la fonction de leadership bienveillant. Cette défection se traduit dans la pratique par une politique étrangère de plus en plus unilatéraliste, axée sur la sécurité nationale des États-Unis aux dépens du régime de la sécurité collective et de son institution. La recherche abordera la genèse du Conseil de sécurité en soulignant le rôle central des Etats-Unis dans la création et le maintien du régime de sécurité. Elle soulignera leur réticence, dans l'après-guerre froide, à concéder au Conseil de sécurité la prérogative du maintien de la paix et la sécurité. Une position qui se radicalisera suite aux attentats du 11 septembre 2001. À cet égard, l'évolution des orientations de la politique étrangère américaine et leur perception du multilatéralisme sont exploitées pour démontrer leur incidence sur l'efficacité, voire, la crédibilité du Conseil de sécurité d'une part et la stabilité du système international, d'autre part. Les répercussions de la politique étrangère américaine sur la pertinence du Conseil de sécurité dans le domaine du maintien de la paix sont illustrées à travers trois études de cas : la crise de Yougoslavie (1991), l'invasion de l'Irak (2003) et les positions américaines vis-à-vis de la réforme de l'ONU. Au terme de cet exercice, il apparaît qu'en l'absence de soutien effectif de la part des États-Unis au régime de sécurité collective de l'ONU, le Conseil de sécurité ne peut prétendre jouer un rôle important dans le maintien de la paix et de la sécurité internationale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Conseil de sécurité, États-Unis, Leadership, Sécurité collective, Stabilité hégémonique.
19

L'élargissement de l'OTAN et l'encerclement de la Russie : une deuxième Guerre Froide?

Gobeil, Nathalie January 2010 (has links) (PDF)
En 1994, le président Russe, Boris Eltsine, avançait que l'élargissement de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) pourrait faire sombrer l'Europe « dans une Paix Froide ». Aujourd'hui encore, ces paroles résonnent lorsque l'on constate l'entêtement avec lequel la Russie s'oppose à l'élargissement de l'OTAN, qui s'étend de plus en plus près de son territoire. En effet, la croissance de l'OTAN vers ce qui a constitué pendant au moins cinquante ans la sphère d'influence de l'URSS, et même une partie de celle-ci, ne semble toujours pas terminée. Aux yeux de la Russie, cette expansion semble souvent guidée par les ambitions des États-Unis. Cette courte mise en contexte soulève la question suivante: comment expliquer la réaction de la Russie face à l'élargissement de l'OTAN sous l'influence de l'hégémonie américaine? En analysant cette relation plutôt complexe, nous argumenterons que cet élargissement de l'OTAN, sous influence américaine, est le principal facteur qui a motivé la Russie à promouvoir la multipolarité du système international et à multiplier ces alliances dans le but de contrer l'hégémonie américaine, et par le fait même contrer l'expansion de l'OTAN qui se rapporte de plus en plus du territoire russe. Tant que la question de l'élargissement de l'OTAN n'est pas réglée, il y a de fortes chances que la prédiction de Boris Eltsine se concrétise. Le cadre théorique utilisé dans cette thèse nous permettra d'avoir une meilleure idée quant aux perspectives d'avenir du comportement russe. Dans un premier temps, nous utiliserons le néoréalisme de Waltz, selon qui la Russie peut être considérée comme une grande puissance au sein du système international, étant donné ses intérêts et les enjeux sécuritaires auxquels elle fait face. Dans un second temps, nous utiliserons une approche constructiviste qui explique les actions de la Russie sur la base de l'identité nationale véhiculée au sein de la société par l'élite dirigeante, et non pas en termes de puissance relative. L'application de ces deux théories des relations internationales nous permettra ainsi d'identifier des tendances plus générales en ce qui concerne différents aspects de la relation entre la Russie et les États-Unis par rapport à l'OTAN.
20

Les accords internationaux sur la propriété intellectuelle : stratégies de contrôle du marché mondial de l'agriculture et des ressources biologiques de la planète par les pays et les firmes transnationales du centre impérialiste capitaliste

Guilmain, Benoit January 2007 (has links) (PDF)
L'objet de ce mémoire est d'étudier les politiques internationales en matière de droits de propriété intellectuelle comme éléments de stratégie de contrôle du marché mondial de l'agriculture par les pays et les industries du centre impérialiste capitaliste. Pour arriver à cette fin, nous avons fait nôtre la théorie de Samir Amin sur la violente polarisation du système-monde capitaliste entre les pays du centre impérialiste et les pays de la périphérie. Nous avons dressé un historique des droits de propriété intellectuelle, plus particulièrement des brevets, afin d'en dégager les arguments historiquement avancés pour légitimer les régimes des brevets. La théorie de Jean-Pierre Berlan sur la guerre historique entre les sélectionneurs végétaux et les agriculteurs ou paysans nous a permis d'établir les liens entre les brevets, les accords et conventions internationales sur la propriété intellectuelle, et le marché de l'agriculture. Notre hypothèse générale de recherche est que la Convention de l'UPOV, la CDB et l'Accord sur les ADPIC de l'OMC sont des éléments de stratégies des pays du centre impérialiste capitaliste et de leurs firmes transnationales ayant comme objectif premier et fondamental le contrôle hégémonique mondial de l'agriculture et, par conséquent, des agriculteurs, des paysans et de la chaîne alimentaire humaine. Afin de vérifier notre hypothèse, nous avons analysé à l'aide de la méthode de l'analyse de contenu ces trois textes juridiques internationaux, ainsi que 74 documents d'information élaborés par le Secrétariat du GATT, entre les années 1987 et 1990, lors des négociations qui ont mené à la rédaction et à l'adoption de l'Accord sur les ADPIC. L'analyse de ces documents nous a permis de constater que ces accords constituent des éléments de stratégie de contrôle du marché mondial de l'agriculture des pays du centre capitaliste. En globalisant les brevets, puis en instaurant un système mondial des droits de propriété intellectuelle sur la base des normes de ces pays, la mise sur le marché des organismes génétiquement modifiés devient un outil d'appropriation de la diversité biologique, du contrôle de l'agriculture et de la pratique millénaire et ontologique de l'agriculteur consistant à utiliser les grains récoltés comme semence pour les récoltes ultérieures, d'hyperconcentration des brevets dans le domaine de l'agriculture dans les firmes transnationales des pays du centre capitaliste et d'accroissement gigantesque des profits de ces firmes. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Propriété intellectuelle, Brevets, Brevetabilité, Agriculture, Contrôle, Domination, Centre, Périphéries.

Page generated in 0.1741 seconds