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Development of a pharmacological protocol to perform stress echocardiography in horsesSandersen, Charlotte 15 December 2006 (has links)
Deux raisons majeures justifient la nécessité de développer de nouvelles techniques dinvestigation en cardiologie équine : premièrement, il ny a pas dévidence que lincidence des baisses de performance dorigine cardiaque chez le cheval soit en diminution et deuxièmement, aucune nouvelle technique dinvestigation cardiaque na été développée en cardiologie équine depuis lavènement de léchocardiographie Doppler entre la fin des années 80 et le début des années 90 (Reef et al., 1989, Reef 1991, Long et al., 1992).
Léchocardiographie de stress est la seule technique qui permette le diagnostic dune dysfonction myocardique induite par lexercice. Or, ce problème, qui est caractérisé par un manque danomalies significatives lors de lexamen au repos, a été rapporté chez 5 à 8 % de chevaux examinés pour baisse de performance (Reef 1997, Martin et al., 2000). De plus, léchocardiographie de stress pourrait être utile pour lévaluation clinique du comportement des insuffisances valvulaires lors de lexercice, afin de préciser leur pronostic (Gehlen 2005b). Dans le cadre de la recherche, léchocardiographie de stress pourrait savérer constituer un outil utile pour lévaluation de la relation entre les maladies valvulaires et une éventuelle dysfonction ventriculaire.
Léchocardiographie de stress réalisée post-exercice a déjà été décrite dans le contexte de linvestigation des dysfonctions myocardiques induites par lexercice chez le cheval. Malheureusement, léchocardiographie de stress post-exercice ne reproduit que partiellement les conditions présentes lors de lexercice (Durando et al., 2002). Un exercice maximal ou tout au moins proche du maximum est nécessaire pour induire des changements des paramètres échocardiographiques mesurables pendant la période suivant immédiatement larrêt de lexercice (Reef 1997). Cest une procédure techniquement exigeante qui doit se satisfaire dimages de mauvaise qualité en raison de la respiration intense après un exercice soutenu. De plus, la chute rapide de la fréquence cardiaque après exercice limite la sensibilité du test. Linduction pharmacologique du stress, comparable à celle utilisée en médecine humaine pour poser le diagnostic et évaluer le pronostic sur certains patients souffrant de pathologies coronariennes, a été décrite chez le cheval pour surmonter les limitations de léchocardiographie de stress post-exercice, mais le protocole de stimulation pharmacologique utilisé sest cependant avérée myocardiotoxique (Frye et al., 2003).
Le but de nos études était de développer un protocole pharmacologique qui permette de réaliser une échocardiographie de stress dans lespèce équine, qui soit bien toléré et facile à réaliser, et qui induise des modifications qui miment lexercice de la manière la plus proche que possible.
Dans la première étude, nous avons comparé dune haute dose conventionnelle de dobutamine par rapport à une faible dose de dobutamine chez des poneys prémédiqués avec de latropine. En préambule à cette étude, nous avons en effet suspecté que les effets secondaires et le manque daugmentation de la fréquence cardiaque en réponse à ladministration de dobutamine chez le cheval pourraient être dus à lactivation dun réflexe hypertenseur au niveau du nerf vague en réponse à ladministration de cette molécule. Ces effets pourraient donc être évités en prémédiquant les patients avec un agent vagolytique tel que latropine. Dans notre étude, des poneys prémédiqués avec de latropine ont été soumis à des doses de dobutamine 8 fois plus faibles que dans un groupe recevant la dose conventionnelle de dobutamine. La stimulation cardiaque, évaluée sur base du débit cardiaque mesuré par échocardiographie Doppler comme indicateur de performance cardiaque globale, était légèrement plus haute et les effets secondaires étaient moins communément observés dans le groupe prémédiqué à latropine. De plus, la réponse en fréquence cardiaque et volume déjection montrait moins de variabilité entre sujets dans le groupe prémédiqué à latropine que dans le groupe recevant la dobutamine à la dose conventionnelle. Cette étude a démontré que dans lespèce équine, le protocole datropine conjugué avec de faibles doses de dobutamine présente de nombreux avantages par rapport aux autres types déchocardiographie de stress.
La deuxième étude avait pour but didentifier les paramètres échocardiographiques les plus utiles à mesurer durant une échocardiographie de stress chez le cheval. Six chevaux en bonne santé ont subi le protocole de stress pharmacologique décrit dans la première étude et à chaque stade de la stimulation pharmacologique, les paramètres des modes échocardiographiques bidimensionnel (mode-B) et temps-mouvement (mode-M) ont été mesurés. Les modifications échocardiographiques les plus importantes ont été induites au niveau des paramètres suivants du mode-M : le diamètre interne du ventricule gauche (LVID) en systole, lépaisseur de la paroi libre du ventricule gauche en systole et diastole, lépaisseur du septum interventriculaire en systole et diastole, et la fraction de raccourcissement. Les modifications dans les paramètres du mode-B, bien que moins prononcées, ont reflété les changements observés dans le mode-M. Cependant, les mesures en mode-M prenaient davantage de temps et montraient une plus grande variabilité due aux erreurs de mesure que celles réalisées en mode-B. De plus, les changements entre les doses successives de dobutamine utilisées dans notre protocole pharmacologique nétaient pas toujours significatifs. Dun point de vue pratique, labandon dune dose sur deux de dobutamine dans ce protocole aurait donc peu de répercussion sur les résultats et permettrait de réduire considérablement le temps du test.
Sur base des deux premières études réalisées, le protocole de stimulation pharmacologique qui a été adopté pour les études suivantes consistait en une prémédication au moyen dun bolus de 35 µg/kg datropine par voie intra-veineuse (IV) suivie par une perfusion de dobutamine à des doses cumulatives de 2, 4, 6 et 8 µg/kg/minute.
Le but de la troisième étude était de comparer les modifications échocardiographiques en réponse à ce protocole de stimulation pharmacologique avec celles obtenues après un exercice. Dans cette étude, 6 chevaux sains ont subi un exercice submaximal sur tapis roulant, et ont été comparés à 6 chevaux sains soumis au challenge de stimulation pharmacologique. Dans les 2 groupes, les paramètres échocardiographiques en mode-M ont été mesurés à une fréquence cardiaque au repos ainsi quà une fréquence cardiaque de 80, 100, 110, 120, 130 et 140 battements par minute. La difficulté majeure rencontrée dans le groupe soumis à lexercice sur tapis roulant était la chute rapide de la fréquence cardiaque après arrêt de lexercice, tel que rapporté précédemment dans la littérature, ce qui empêché lobtention denregistrements échocardiographiques à des hautes fréquences cardiaques chez certains chevaux. De plus, chez certains de ces chevaux, la qualité des images était limitée à cause des mouvements de lanimal et sa respiration. Les paramètres échocardiographiques du mode-M nétaient pas significativement différents entre les deux groupes investigués, à lexception du diamètre interne du ventricule gauche en systole à 100, 110 et 120 bpm, diamètre qui était plus petit dans le groupe stimulé pharmacologiquement que dans le groupe stimulé par exercice. En outre, dans le groupe exercice, la plupart des modifications significatives des paramètres échocardiograpiques ne se manifestaient quà des fréquences cardiaques de 130 et 140/minute. Ces résultats confirment que pour quune échocardiographie de stress mette en évidence des anomalies induites par lexercice, lintensité de leffort réalisé au cours du test doit être très importante et les images échocardiographiques doivent être obtenues très rapidement après larrêt de leffort. La sensibilité du test lors déchocardiographie de stress post-exercice reste dès lors discutable.
Les 3 premières études réalisées dans le cadre de ce travail ont montré que le protocole de stimulation pharmacologique consistant en une prémédication à latropine suivie de faibles doses de dobutamine est bien toléré chez le cheval sain et que les modifications des paramètres échocardiographiques en mode-M, à lexception du diamètre interne du ventricule gauche en systole, sont similaires à celles observées suite à un effort submaximal sur tapis roulant. La différence observée entre les deux types de stimulation pourrait être expliquée par une post-charge plus basse lors de la stimulation pharmacologique quen réponse à un exercice. Cependant, lévaluation des conditions de charge du cur nécessite la mesure de paramètres précis. La pré-charge et la post-charge cardiaque, de concert avec la fréquence cardiaque et la contractilité du myocarde, constituent des déterminants majeurs des performances cardiaques. La réponse de la fréquence cardiaque à un protocole de stimulation atropine/faible dose de dobutamine a été étudiée en profondeur dans la première étude. Lobjectif de la quatrième étude était dévaluer la réponse des trois autres composants de la performance cardiaque, à savoir la pré-charge, la post-charge et la contractilité, au test de stress pharmacologique mis au point dans les 3 premières études du travail.
Dans cette étude, 6 chevaux adultes sains ont été soumis au test de stimulation pharmacologique mis au point dans les études précédentes. La période de pré-éjection a diminué avec laugmentation de la stimulation pharmacologique, mais na pas été modifiée par ladministration datropine ce qui confirme les études réalisées chez lhomme et le chien, chez qui ni le pacing ni laugmentation de la fréquence cardiaque induite par latropine nont altéré ce paramètre (Hassan and Turner 1983, Pipers et al., 1978, Harris et al 1967).
Par contre, dans notre étude le temps déjection a montré une corrélation négative avec la fréquence. Ces résultats confirment létude de Lightowler et al (2003), qui a montré une forte corrélation négative entre le temps déjection et la fréquence cardiaque dans lespèce équine. De nombreuses études ont proposé lutilisation du rapport période de pré-éjection/temps déjection comme paramètre de mesure de la fonction systolique indépendant des conditions de charge chez lhomme (Weissler et al., 1968, Cokkinos et al 1976). Dautres études ont cependant démontré une corrélation significative entre ce paramètre et la fréquence cardiaque (Pipers et al, 1978; Spodick et al 1984). Dans notre étude, le rapport période de pré-éjection/temps déjection na pas été modifié durant la stimulation pharmacologique, ce qui est probablement dû à laddition de différents facteurs opposés. En général, une augmentation de la pré-charge associée à une réduction de la post-charge induit des changements des temps dintervalles systoliques suggérant une augmentation du travail myocardique, et inclut une réduction de la période de pré-éjection et du rapport période de pré-éjection/temps déjection (Hassan and Turner, 1983, Weissler 1977, Lewis et al 1977). A linverse, une réduction de la pré-charge associée à une augmentation de la post-charge induit des changements des temps dintervalles systoliques suggérant une diminution du travail myocardique et inclut une augmentation de la période de pré-éjection et du rapport période de pré-éjection/temps déjection et une réduction du temps déjection (Hassan and Turner, 1983, Weissler 1977, Lewis et al 1977). Les effets de la post-charge et des agents inotropes sont plus complexes car une augmentation ou une diminution de la post-charge prolonge le temps déjection alors que les inotropes positif et négatifs induisent une diminution de ce paramètre (Atkins and Snyder 1992).
La vitesse de raccourcissement des fibres circonférentielles est considérée comme une mesure indépendante de la pré-charge de la contractilité, mais est affectée par la post-charge (Atkins and Snyder 1992). Pour surmonter linfluence de la fréquence cardiaque sur ce paramètre, une formule corrigeant ce paramètre pour la fréquence cardiaque (Colan et al 1984) a été utilisée dans notre étude. Tant avec ou sans correction pour la fréquence cardiaque, la vitesse de raccourcissement des fibres circonférentielles a augmenté significativement avec la stimulation à la dobutamine. Une constatation similaire a été observée chez des chiens (Lang et al 1986) et chez lhomme (Colan et al 1984), et démontre leffet inotrope positif de la dobutamine.
Dans le cadre clinique, la résistance vasculaire systémique est communément utilisée comme paramètre dévaluation de la post-charge ventriculaire. Elle est estimée sur base de la différence entre la pression artérielle systémique moyenne et la pression auriculaire gauche moyenne, multipliée par un facteur de conversion de 80 dyne * cm-2/mmHg, et divisée par le débit cardiaque. Cette formule a été validée par angiographie (Grossmann and McLaurin 1980). Klabunde (2004) a suggéré que dans les conditions cliniques, la pression auriculaire gauche peut être négligée dans cette formule, ce qui facilite la mesure de la résistance vasculaire systémique en pratique.
Au cours dun exercice sub-maximal chez le cheval, il a été démontré que par rapport au repos, le débit cardiaque augmente approximativement 4 fois (Thomas et al.,, 1983), alors que la pression artérielle systémique augmente dun facteur 1.7 (Hornicke et al, 1977). Théoriquement, cela devrait être associé à une chute de 68% de la résistance vasculaire systémique. La dobutamine est connue pour réduire la résistance vasculaire systémique dans plusieurs espèces animales et chez lhomme (Leier et al 1977). Dans notre étude, la dobutamine a effectivement réduit ce paramètre dune valeur de 324 à une valeur de 137 dyne * s/cm5, soit une chute de 58 %, ce qui représente les changements du même ordre que ceux observés lors dun exercice sub-maximal dans cette espèce et suggère une chute de la post-charge du ventricule gauche. Cependant, la résistance vasculaire systémique ne reflète pas exactement la post-charge du ventricule gauche puisquelle ne tient compte que du tonus vasomoteur périphérique (Lang et al 1986). La post-charge ventriculaire est en effet définie comme la force sopposant au raccourcissement de la fibre ventriculaire durant la phase déjection (Weber et al., 1982, Nichols and Pepine 1982). Cette force nest que très grossièrement évaluée sur base de la pression artérielle périphérique, du tonus vasomoteur périphérique, ou de la résistance vasculaire systémique, et doit plutôt être évaluée sur base du stress éprouvé par la paroi ventriculaire durant léjection. Ce stress fait intervenir à la fois des facteurs internes et des facteurs externes au myocarde. Selon le principe de La Place, le stress de la paroi ventriculaire est directement proportionnel à la dimension et à la pression et inversement proportionnel à lépaisseur de la paroi (Gould et al., 1974, Weber and Janicki 1980, Grossmann et al., 1975). Dans notre étude, le stress de la paroi, estimé sur base de la formule : WS = MAP * (LVIDs / LVFWs * ( 1+ LVFWs/LVIDs)) 0.34,
ou MAP est la pression systémique moyenne, LVIDs est le diameter interne du ventricule gauche en fin de systole, LVFWs est lépaisseur de la paroi libre du ventricule gauche, et 0.34 est en facteur de conversion pour transfomer mmHg en g/cm² (Lang et al., 1986), na pas changé significativement durant la stimulation pharmacologique, ce qui pourrait être dû à la somme des effets de la diminution de la dimension du ventricule gauche et de laugmentation de la pression artérielle systémique moyenne et de lépaisseur de la paroi libre du ventricule gauche.
En conclusion, cette quatrième étude de notre travail a démontré que les intervalles de temps systoliques et la vitesse de raccourcissement des fibres circonférentielles (corrigée ou non pour la fréquence cardiaque) ont changé significativement en réponse au protocole de stimulation pharmacologique, ce qui suggère une modification de la performance ventriculaire chez les chevaux subissant un test de stress à la dobutamine. La post-charge ventriculaire gauche diminue significativement en réponse au test de stimulation pharmacologique lorsquelle est évaluée sur base de la résistance vasculaire systémique, alors quelle diminue seulement légèrement en réponse à ce test lorsquelle est évaluée sur base dune mesure du stress de la paroi ventriculaire gauche.
La mesure combinée du débit cardiaque et de la pression artérielle systémique au repos et au cours dun test de stimulation cardiaque maximale, tel que réalisé dans nos précédentes études, permet la mesure dun paramètre appelé la capacité de pompe cardiaque (Tan 1987, Tan et al., 1989). En médecine humaine, ce paramètre a été démontré comme constituant un paramètre fiable destimation du pronostic chez des patients souffrant dinsuffisance cardiaque chronique (Tan 1987, Tan et al., 1989, Williams et al., 2001, Cotter et al., 2003, Fincke et al., 2004, Williams et al., 2005, Garcia-Gonzales et al., 2006, Hodges et al., 2006, Bromeley et al., 2006). Ce paramètre na par contre jamais été validé et testé en cardiologie équine. Lobjectif de la dernière étude de notre travail était de tester la faisabilité de la mesure de la capacité de réserve cardiaque chez le cheval sain sur base du test de stimulation pharmacologique développé dans nos 4 premières études. Pour cette étude, la capacité de pompe cardiaque a été évaluée à la fois par échocardiographie Doppler et par thermodilution chez 6 chevaux adultes sains. Les résultats obtenus ont permis de constater que le protocole de stimulation pharmacologique développé permet la mesure de la capacité de pompe cardiaque chez le cheval adulte sain. La valeur de ce paramètre savère être du même ordre de grandeur par kilo de poids vif que celle obtenue chez lhomme. Cependant, les résultats obtenus par thermodilution différaient de ceux obtenus par échocardiographie doppler à des hauts niveaux de stimulation cardiaque. Des études complémentaires devraient dès lors être réalisées pour vérifier la validité de techniques dévaluation non invasives (échocardiographie doppler et mesure de la pression artérielle par oscillométrie) pour la mesure de la capacité de pompe cardiaque chez le cheval.
Lensemble de nos études a donc permis de mettre au point un protocole de stimulation cardiaque pharmacologique qui permet une évaluation qualitative et quantitative de la fonction myocardique lors dune stimulation chez le cheval adulte sain. A lavenir, ce protocole dévaluation de la fonction myocardique sous stimulation devrait être appliqué chez des chevaux montrant une intolérance à leffort inexpliquée ou souffrant de différentes pathologies cardiaques afin de valider son utilité en tant quoutil de diagnostic et de pronostic en médecine équine.
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Korrelationer mellan agility och unilateral och bilateral effektutveckling hos kvinnliga fotbollsspelare / Correlations between agility and unilateral and bilateral power output in female soccer playersMalmborg, Julia, Årneby, Henrik January 2012 (has links)
Bakgrund: Unilateral benträning är ett relativt outforskat område inom träningsvetenskapen. Traditionellt genomförs fysträning för intermittenta idrotter bilateralt, trots att idrottens rörelser sker unilateralt. Det finns många studier som behandlar samband mellan agility och effektutveckling, men få som har undersökt skillnaden mellan unilateral och bilateral effektutveckling sett till agility. Syfte: Syftet med denna studie var att undersöka om unilateral effektutveckling har en starkare korrelation med agility än vad bilateral effektutveckling och agility har hos kvinnliga fotbollsspelare i division 2. Metod: Kvinnliga fotbollsspelare (n=13, ålder 23 ± 4 år) utförde vertikalhopp med tilläggsbelastning på båda benen, vänster ben och höger ben på 20 kg, 30 kg, 40 kg samt för båda benen på 50 kg och T-test och Pro agility test. Effektutveckling i förhållande till kroppsvikten på båda benen (PBbw), vänster ben (PVbw) och höger ben (PHbw) analyserades och korrelerades sedan mot T-test (Ttest) och Pro agility test (Proagility). Resultat: Signifikanta korrelationer hittades mellan agility och både vänster unilateral (PVbw-Ttest, r = -0,578) och bilateral (PBbw-Ttest, r = -0,741; PBbw-Proagility, r = -0,555) effektutveckling, där korrelationen bilateralt var starkast. Ingen signifikant korrelation hittades mellan höger ben och agility. Konklusion: Bilateral effektutveckling hade en starkare korrelation med agility än vad unilateral effektutveckling och agility hade hos kvinnliga fotbollsspelare i division 2. / Background: Unilateral training is considered to be a new field of interest within the science of sports. Traditionally most of the strength and conditioning training is performed bilaterally even though the majority of motions in sports are carried out unilaterally. Previous studies have examined the correlations between agility and power output but few of them investigated the difference between unilateral and bilateral power output and agility. Objective: The aim of this study was to examine whether the correlation between unilateral power output and agility is stronger than the correlation between bilateral power output and agility in female division 2 soccer players. Method: Female soccer players (n=13, age 23 ± 4 years) performed loaded counter movement jumps with 20 kg, 30 kg and 40 kg for both legs, left leg and right leg and with 50 kg for both legs and T-test and Pro agility test. Power output, in relation to body weight for both legs (PBbw), left leg (PVbw) and right leg (PHbw) was analyzed and correlated against T-test (Ttest) and Pro agility test (Proagility). Results: Significant correlations were found between agility and both left unilateral (PVbw-Ttest, r = -0,578) and bilateral (PBbw-Ttest, r = -0,741; PBbw-Proagility, r = -0,555) power output, where the bilateral correlation was the strongest. No significant correlation was found between the right leg and agility. Conclusion: Bilateral power output had a stronger correlation with agility than unilateral power output and agility in female division 2 soccer players.
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The effect of breathing pattern retraining on performance in competitive cyclistsVickery, Rachel L Unknown Date (has links)
The increased work of breathing associated with intense cycling has been identified as a factor that may negatively affect cycling performance. The aerodynamic position, abnormal respiratory mechanics either at rest or during exercise, and the development of a tachypnoeic breathing pattern are factors known to increase the work of breathing. Breathing pattern retraining aims to decrease the work of breathing by delaying the onset of dynamic hyperinflation and the recruitment of accessory breathing muscles. To date no studies have investigated the performance, physiological and perceptual consequences of manipulating breathing pattern in trained cyclists. Purpose: The aim of the present study was to investigate the effect of breathing pattern retraining on 20-km time trial performance and respiratory and metabolic measures in competitive cyclists. Method: Twenty-four competitive male cyclists (age 37.7 ± 8.6 years, mean ± SD; peak 4.34 ± 0.47 L·min-1) were match paired on 20-km time trial performance and assigned at random to either an intervention group (breathing pattern retraining; N = 12) or control group (N = 12). 20-km time trial performance, pulmonary function and the physiological and perceptual response during a maximal incremental cycle step test were assessed pre- and post-intervention. The intervention group underwent four weeks of specific breathing pattern retraining using exercises designed to reduce dynamic hyperinflation and optimise respiratory mechanics. The control group attended the laboratory once a week during this period and performed a 10 minute sub-maximal ride wearing a biofeedback breathing harness. The control group was led to believe the purpose for their participation was to investigate the effect that maximal exercise had on breathing pattern, and to test the reliability of the breathing harness. There was no attempt to modify the breathing pattern of the control group. Data were analysed using an MS Excel spreadsheet designed for statistical analysis. The uncertainty in the effect was expressed as 90% confidence limits and a smallest worthwhile effect of 1.0% was assumed. Results: The intervention group showed substantial improvements in 20-km time trial performance (-1.5 ± 1.1%) and incremental power (3.2 ± 3%). Additionally, breathing frequency (-13.2 ± 8.9%; -9.5 ± 8.4%), tidal volume (10.6 ± 8.5%; 9.4 ± 7.6%), inspiratory time (10.1 ± 8%; 9.4 ± 7.7%), breathing RPE (-30 ± 33.9%; -24.7 ± 28.1%) and leg RPE (-27.9 ± 38.5%; -24.7 ± 28.2%) were all positively affected at lactate threshold and lactate turn point. No positive changes were observed in the control group for 20-km time trial performance (0.0 ± 1.0%), incremental power (-1.4 ± 3.5%), breathing frequency (-1.6 ± 8.0%; -2.0 ± 7.9%), tidal volume (0.9 ± 7.2%; 2.9 ± 9.4%), breathing RPE (16.1 ± 50.2%, 24.8 ± 43%) or leg RPE (13.4 ± 39.6%; 19.9 ± 43.2%) . Conclusion: These results provide evidence of the performance enhancing effect of four weeks of breathing pattern retraining in cyclists. Furthermore, they suggest breathing pattern can be retrained to exhibit a controlled pattern, without a tachypnoeic shift, during high intensity cycling. Additionally, these results indicate breathing pattern retraining attenuates the respiratory and peripheral perceived effort during incremental exercise. Key words: Breathing pattern disorders, retraining, blood stealing, cycling, performance, power output, respiratory mechanics, perceived exertion, 20km-TT
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Mechanical power output and neuromuscular activity during and following recovery from repeated-sprint exercise in manMendez Villanueva, Alberto January 2005 (has links)
The purpose of the present study was to examine the time-course of mechanical power output and neuromuscular activity during fatiguing repeated-sprint exercise and recovery in man. Prior to the main study, we also investigated the reproducibility of power output during a single 6-s cycling sprint. For this study, eleven healthy moderately trained males performed a 6-s standing sprint on the front-access cycle ergometer on four separate occasions. The results of the study showed that reliable power outputs can be obtained after one familiarization session in subjects unfamiliar with maximal cycling sprint exercise. However, the inclusion of an extra familiarization session ensured more stable power outputs. Therefore, two trials should allow adequate familiarization with the maximal 6-s cycling test. For the main study, eight young moderately trained adult men performed an exercise protocol that consisted of ten, 6-s sprints on a wind-braked cycle ergometer interspersed with 30 s of recovery. After 6 min of passive recovery, five, 6-s sprints were repeated, again interspersed by 30 s of recovery. Peak power output (PPO) and mean power output (MPO) were measured during each sprint and EMG data (i.e., RMS) from the vastus lateralis muscle were also recorded. A one-way ANOVA with repeated measures (i.e., sprint number) was used to allocate the significant differences in each dependent variable over time. Analysis revealed a decline in power output during the fatiguing exercise that was accompanied by a decrease in EMG amplitude of the vastus lateralis muscle. Six minutes after the fatiguing exercise, power output during sprint 11 significantly recovered with respect to values recorded in sprint 10, but remained significantly lower than that recorded in the initial sprint. Thus, 6 min was insufficient to fully recover from the fatiguing repeated sprint protocol utilised in this study. The main findings in the present study were that: 1) the partial recovery of power output in sprint 11 was not accompanied by the recovery V of EMG amplitude; 2) similar mean power outputs were recorded during sprint 4 and 11 despite a significantly lower EMG activity recorded during the latter sprint; and 3) despite comparable mean power outputs during sprint 4 and 11, the decrease in power output over the next five sprints was greater for sprints 11 to 15 than for sprints 4 to 8.
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Numerical Investigation of Power Generated by Turbine FarmsPrajapati, Seezan 15 June 2020 (has links)
No description available.
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Unilateral Traditional Weight Lifting Generates Greatest Acute Upper Body Power OutputNakachi, Evan H 01 October 2014 (has links) (PDF)
Bilateral deficit (BLD) is a phenomenon where the force generated from simultaneous bilateral limb contractions is less than the sum force generated by separate right and left limb contractions. There have been many BLD studies, but the measures of force generation have predominantly been with isometric and isokinetic contractions. There are, however, no dynamic upper body isotonic unilateral weight lifting studies on acute power output. The purpose of this study was to determine acute power output between bilateral and unilateral weight lifting under the conditions of traditional and circuit weight lifting. Seventeen male BYU rugby players (age = 21.8 ± 2.1 years; mass = 93.5 ± 12.5 kg; height = 181.9 ± 5.0 cm) participated in the study. Each subject participated in 4 randomized weight lifting testing sessions separated by at least 48 h. Each weight lifting protocol included 6 dumbbell lifts (bench press, bent over row, overhead press, bicep curls, front raise, and bent over raise) performed as explosively as possible for 5 sets of 5 repetitions at 40–50% of 1RM. GymAware [GYM] units measured power output for the right and left arms. Peak and mean power (of all lifts combined) was greatest in the unilateral traditional weight lifting (UTWL) group compared to all other groups (p < .0001 for each comparison). No significant differences in overall peak and mean power (all lifts combined) existed between the other 3 groups. UTWL peak and mean power outputs were significantly highest for all lifts. UTWL and bilateral traditional weight lifting (BTWL) generated the second or third highest peak power outputs for all lifts, but they were not statistically different from each other except for the bent over raise. Bilateral circuit weight lifting (BCWL) generated the lowest peak power output in all lifts, but was not statistically different from the third lowest peak power output except for the bent over raise. Our study determined that dynamic upper body isotonic unilateral movements generate significantly greater power output than dynamic upper body isotonic bilateral movements using free weights. It was also concluded that traditional weight lifting protocols generated greater power output than circuit weight lifting protocols.
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An Exploration of the Relationship between Menstrual Phase and Collegiate Female Upper and Lower Body Anaerobic CapacitiesScanlon, Kelsey F. 11 August 2017 (has links)
No description available.
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The Acute Effects of Differing Conditioning Loads on Counter-Movement Jump Performance in the Recreational AthleteClevidence, Michael W. 25 April 2008 (has links)
No description available.
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High-fat diet effects on contractile performance of isolated mouse soleus and extensor digitorum longus when supplemented with high dose vitamin DShelley, S.P., James, Rob S., Eustace, S.J., Eyre, E.L.J., Tallis, J. 05 January 2024 (has links)
Yes / Evidence suggests vitamin D3 (VD) supplementation can reduce accumulation of adipose tissue and inflammation and promote myogenesis in obese individuals, and thus could mitigate obesity-induced reductions in skeletal muscle (SkM) contractility. However, this is yet to be directly investigated. This study, using the work-loop technique, examined effects of VD (cholecalciferol) supplementation on isolated SkM contractility. Female mice (n = 37) consumed standard low-fat diet (SLD) or high-fat diet (HFD), with or without VD (20,000 IU/kg-1 ) for 12 weeks. Soleus and EDL (n = 8-10 per muscle per group) were isolated and absolute and normalized (to muscle size and body mass) isometric force and power output (PO) were measured, and fatigue resistance determined. Absolute and normalized isometric force and PO of soleus were unaffected by diet (P > 0.087). However, PO normalized to body mass was reduced in HFD groups (P 0.588). HFD reduced EDL isometric stress (P = 0.048) and absolute and normalized PO (P 0.493). Cumulative work during fatiguing contractions was lower in HFD groups (P 0.060). This study uniquely demonstrated that high-dose VD had limited effects on SkM contractility and did not offset demonstrated adverse effects of HFD. However, small and moderate effect sizes suggest improvement in EDL muscle performance and animal morphology in HFD VD groups. Given effect sizes observed, coupled with proposed inverted U-shaped dose-effect curve, future investigations are needed to determine dose/duration specific responses to VD, which may culminate in improved function of HFD SkM. NEW FINDINGS: What is the central question of this study? Can vitamin D supplementation alleviate detrimental effects of high-fat diet (HFD) consumption on contractile performance of isolated skeletal muscles? What is the main finding and its importance? The present study is the first to examine the synergistic effects of HFD consumption and vitamin D supplementation on the contractile performance of isolated skeletal muscle. These findings suggest high dose vitamin D has limited effects on force, power or fatigue resistance of isolated mouse soleus and extensor digitorum longus.
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Physiological demands of competitive elite cross-country skiingCarlsson, Magnus January 2015 (has links)
Introduction Researchers have, for decades, contributed to an increased collective understanding of the physiological demands in cross-country skiing; however, almost all of these studies have used either non-elite subjects and/or performances that emulate cross-country skiing. To establish the physiological demands of cross-country skiing, it is important to relate the investigated physiological variables to the competitive performance of elite skiers. The overall aim of this doctoral thesis was, therefore, to investigate the external validity of physiological test variables to determine the physiological demands in competitive elite cross-country skiing. Methods The subjects in Study I – IV were elite male (I – III) and female (III – IV) cross-country skiers. In all studies, the relationship between test variables (general and ski-specific) and competitive performances (i.e. the results from competitions or the overall ski-ranking points of the International Ski Federation (FIS) for sprint (FISsprint) and distance (FISdist) races) were analysed. Test variables reflecting the subject’s general strength, upper-body and whole-body oxygen uptake, oxygen uptake and work intensity at the lactate threshold, mean upper-body power, lean mass, and maximal double-poling speed were investigated. Results The ability to maintain a high work rate without accumulating lactate is an indicator of distance performance, independent of sex (I, IV). Independent of sex, high oxygen uptake in whole-body and upper-body exercise was important for both sprint (II, IV) and distance (I, IV) performance. The maximal double-poling speed and 60-s double-poling mean power output were indicators of sprint (IV) and distance performance (I), respectively. Lean mass was correlated with distance performance for women (III), whereas correlations were found between lean mass and sprint performance among both male and female skiers (III). Moreover, no correlations between distance performance and test variables were derived from tests of knee-extension peak torque, vertical jumps, or double poling on a ski-ergometer with 20-s and 360-s durations (I), whereas gross efficiency while treadmill roller skiing showed no correlation with either distance or sprint performance in cross-country skiing (IV). Conclusion The results in this thesis show that, depending on discipline and sex, maximal and peak oxygen uptake, work intensity at the lactate threshold, lean mass, double-poling mean power output, and double-poling maximal speed are all externally valid physiological test variables for evaluation of performance capability among elite cross-country skiers; however, to optimally indicate performance capability different test-variable expressions should be used; in general, the absolute expression appears to be a better indicator of competitive sprint performance whereas the influence of body mass should be considered when evaluating competitive distance performance capability of elite cross-country skiers.
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