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Détection du trouble développemental du langage à la petite enfance en pédopsychiatrie : facteurs de risque et inquiétudes parentales

Valade, Florence 07 1900 (has links)
Le très faible pourcentage d’enfants d’âge préscolaire atteints de troubles mentaux qui accèdent à des services de santé mentale spécialisés est un problème majeur de santé publique, compte tenu notamment de la prévalence élevée et des répercussions négatives importantes des troubles mentaux chez les jeunes enfants. C’est particulièrement le cas pour le trouble développemental du langage (TDL) qui est associé à des difficultés d’apprentissage et psychosociales significatives pouvant perdurer jusqu’à l’âge adulte. La présente thèse s’intéresse aux composantes de la surveillance développementale pour soutenir la détection précoce du TDL à la petite enfance en contexte pédopsychiatrique. Son objectif est de mieux cibler les facteurs de risque et les inquiétudes rapportées par les parents qui distinguent le TDL des autres troubles mentaux au sein d’un échantillon d’enfant d’âge préscolaire consultant en pédopsychiatrie. Le premier article vise à étudier les facteurs de risques propres au TDL, en les comparant aux autres troubles mentaux. L'acquisition des premières phrases après 24 mois, l’immigration maternelle et les antécédents familiaux de retard langagier ont été identifiés comme les prédicteurs les plus importants du TDL. De plus, les résultats montrent que les enfants atteints de TDL étaient exposés à un nombre significativement plus élevé de facteurs de risque que ceux atteints d'autres troubles mentaux. Le deuxième article explore la précision des inquiétudes parentales selon ses niveaux de sensibilité et spécificité ainsi que par sa valeur prédictive quant au diagnostic final des enfants. Les résultats ont démontré que les troubles du langage étaient mieux détectés par les parents que les autres troubles, tout en étant moins spécifiques, car ils pouvaient être associés à d'autres diagnostics que le TDL. Les inquiétudes parentales se sont avérées généralement fiables et pertinentes dans la détection de troubles mentaux dès l’âge préscolaire, à l’exception de la sphère motrice, au sein de laquelle les difficultés des enfants étaient sous-détectées. L’intégration des résultats des deux articles de la présente thèse montre qu’une meilleure connaissance et une utilisation plus efficiente des inquiétudes parentales ainsi que de facteurs de risque spécifiques lors des premiers stades du développement de l’enfant pourraient être déterminantes pour le pronostic du TDL, en se concentrant plus rapidement sur les interventions nécessaires et en s’assurant de la correspondance entre les besoins des familles et les services offerts. / The low percentage of preschool children with mental disorders accessing specialized mental health services is a major public health concern, given the high prevalence and significant negative impact of mental disorders in young children. This is particularly the case for developmental language disorder (DLD), which is associated with significant learning and psychosocial difficulties that can last into adulthood. This thesis focuses on the components of developmental surveillance to support the early detection of DLD in early childhood in a child psychiatric context. Its objective is to better target the risk factors and concerns reported by parents that distinguish DLD from other mental disorders in a sample of preschoolers consulting in child psychiatry. The first article aimed to study the risk factors specific to DLD, by comparing them to other mental disorders. Acquisition of first sentences after 24 months, maternal immigration and family history of language delay were identified as the most important predictors of DLD. In addition, the results demonstrate that children with DLD were exposed to a significantly higher number of risk factors than those with other mental disorders. In the second article the levels of sensitivity and specificity of parental concerns were reported, as well as its predictive value for the final diagnosis of children. The results showed that language disorders were better detected by parents than other disorders, while being less specific, as they could be associated with other diagnoses than DLD. Parental concerns have proven to be generally reliable and relevant in the detection of mental disorders from preschool age, except for the motor sphere, in which children's difficulties were under-detected. The integration of the results of our two articles demonstrates that a better knowledge and more efficient use of parental concerns as well as specific risk factors during the early stages of child development could be decisive for DLD prognosis, by focusing more quickly on the necessary interventions and ensuring the correspondence between the needs of families and the services offered.
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Parental separation and child adjustment : longitudinal perspective and risk factors

Di Stefano, Gessica 03 1900 (has links)
Malgré de nombreuses études qui soutiennent l'idée que les enfants ayant vécu la rupture de leurs parents rencontrent un plus haut niveau de difficultés affectives et comportementales que les enfants de familles intactes, certaines questions restent à éclaircir. Notamment, les données empiriques existantes ne conduisent pas à des conclusions précises quant au moment exact de l’apparition de ces difficultés. De plus, ce n'est pas clair si ces difficultés sont associées à la séparation en soi, ou à bien d'autres facteurs liés à la séparation. Cette thèse est constituée de deux articles empiriques. Le premier examine l’adaptation de l’enfant avant et après la séparation en fonction du sexe et de l'âge au moment de la séparation. Le second article présente une étude qui a pour objectif de départager l’importance des facteurs parentaux et contextuels et celle de la séparation parentale pour expliquer l’adaptation de l’enfant. Les participants proviennent de l'Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ÉLDEQ, 1998-2006). À chaque enquête de l'ÉLDEQ, une entrevue structurée réalisée auprès de la mère a permis d'évaluer les niveaux d’hyperactivité/impulsivité, d’anxiété et d’agressivité physique de l’enfant. Pendant cette entrevue, les mères ont également répondu à des questions sur la qualité de leurs pratiques parentales et sur le revenu du ménage. Finalement, un questionnaire auto-administré à la mère a permis d'évaluer ses propres symptômes de dépression et d'anxiété. La première étude inclus 143 enfants de familles séparées et 1705 enfants de familles intactes. Deux sous-groupes ont été créés selon que l’enfant ait vécu la séparation entre 2 et 4 ans, ou entre 4 et 6 ans. L’adaptation de l'enfant a été évaluée à un temps de mesure avant la séparation et à deux temps de mesure après la séparation. Les résultats de cette première étude démontrent qu’avant la séparation, les enfants de familles intactes et séparées ne se distinguent pas significativement quant à leurs niveaux d’hyperactivité/impulsivité et d’anxiété. Par contre, ces difficultés deviennent significativement plus élevées chez les enfants de familles séparées après la rupture des parents. D’autres parts, le niveau d’agressivité physique est plus élevé chez les enfants de la séparation indépendamment du temps de mesure. Finalement, les différences entre les deux groupes d’enfants ne dépendent pas du sexe ou de l’âge au moment de la séparation. La deuxième étude inclus 358 enfants de 8 ans qui ont vécu la séparation de leurs parents, et 1065 enfants du même âge provenant de familles intactes. Après avoir contrôlé pour le sexe de l’enfant, les résultats ont démontré que lorsqu’on tient compte de la contribution des symptômes maternels de dépression et d'anxiété, de la qualité des pratiques parentales et du revenu du ménage dans l’adaptation de l’enfant, la séparation parentale ne demeurent plus liée aux niveaux d’anxiété et d'agressivité physique de l’enfant. Par contre, la relation entre la séparation parentale et l’hyperactivité/impulsivité de l’enfant demeure significative. Les résultats présentés dans les articles sont discutés ainsi que leurs implications. / Despite the large body of research supporting the idea that children who experience their parents’ separation encounter more emotional and behavioral difficulties than children who grow up in continuously intact homes, several questions remained to be investigated. Specifically, empirical evidence does not lead to clear conclusions regarding the time of onset of the adjustment difficulties experienced by children whose parents separate. Furthermore, it is not clear whether it is the separation per se that leads to these difficulties, or whether other factors can explain this association. The present thesis is made up of two empirical articles. The first examines the role of gender and age at the time of separation in children’s pre- and post-separation adjustment. The second article aims to disentangle the role of parental and contextual factors, and that of parental separation, in predicting child adjustment. Participants were from the Quebec Longitudinal Study of Child Development (QLSCD, 1998-2006). At every wave of the QLSCD, a structured interview with the mother allowed to assess children’s levels of hyperactivity/ impulsivity, anxiety, and physical aggression. During this interview, mothers also answered questions regarding the quality of their parenting and their household income. Finally, a self-report questionnaire was administered to mothers in order to assess their own symptoms of depression and anxiety. The first study included 143 children from separated families and 1705 children from intact families. Two categories of children were created according to whether separation occurred between ages 2 and 4, or between ages 4 and 6. Child adjustment variables were assessed at one time point prior to parental separation and at two time points following separation. The results of this first paper demonstrated that prior to separation, children of intact and separated families did not differ significantly with regards to their levels of hyperactivity/impulsivity and anxiety. However, children whose parents separated had significantly higher hyperactivity/impulsivity and anxiety levels after the occurrence of separation. Physical aggression was not further increased following parental separation, but was higher in children who experienced separation, irrespective of time. No gender or age differences were found in children’s pre- and post- separation adjustment. The second study included 358, 8 year-old children who had previously experienced parental separation, and 1065 children of the same age who lived in consistently intact homes since birth. After controlling for child gender, results demonstrated that once the contribution of maternal symptoms of depression and anxiety, parenting quality and household income was accounted for, parental separation was no longer associated with child anxiety and physical aggression. However, the relationship between separation and hyperactivity/impulsivity remained significant over and beyond what was contributed by the other variables. The results presented in the articles are discussed, and their implications are highlighted.
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Le lien entre le stress parental du père et le développement de la relation d’activation chez les enfants âgés entre 12 et 18 mois

Moffette, Valérie 11 1900 (has links)
De nos jours, le père est de plus en plus présent dans le quotidien de son enfant. Par son implication et son engagement, le père dans le développement de l’enfant a un rôle important et unique. Sa contribution se ferait entre autre par rapport à l’ouverture au monde en encourageant l’enfant à prendre des risques. Comme être mère, être père c’est de faire face à un ensemble de situations nouvelles quotidiennes, de vivre des déséquilibres et de l’imprévisibilité et de ne pas toujours être en contrôle des évènements qui se produisent. Ainsi, exercer ce rôle peut entraîner un certain niveau de stress qui peut influencer le développement de l’enfant. La présente étude vise à examiner l’existence d’un lien entre le stress parental du père et la relation d’activation chez les enfants âgés entre 12 et 18 mois ainsi que l’attachement père-enfant. Des données ont été recueillies auprès de 58 pères et leur enfant âgé entre 12 et 18 mois. Les résultats montrent que le stress parental n’est pas significativement lié à la relation d’activation ni à l’attachement père-enfant. De plus, le sexe de l’enfant ne modère pas ce lien. On note que le sexe de l’enfant est corrélé à la relation d’activation, c’est-à-dire que les garçons sont plus activés positivement que les filles. / Nowadays, the father is increasingly present in everyday life of his child. By his commitment and involvement, the father has an important and unique role in the child’s development. His contribution would be related to the child openness to the outside world and in encouragements to take risks. As with being a mother, being a father involve coping with a lot of new situations every day, living with imbalances and unpredictability and not being always in control of many given situations. So, exercising this role can cause a certain level of stress which can influence the development of the child. The aim of the present study is to examine the existence of a link between fathers’ parental stress and activation relationship of their 12 to 18 months-old children, as well as the father-child attachment relationship. Data were collected among 58 father-child dyads. The results show that parental stress is neither significantly associated to activation relationship nor to attachment relationship. Moreover, the child’s gender does not act as a moderator in this relationship. However, it appears that the child’s gender is correlated with activation relationship. The results show that boys are activated more positively than girls.
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Relations entre le programme de promotion des habiletés d’adaptation pour les enfants de 6-7 ans "Les amis de Zippy" et le climat de classe

Gosselin, Sabrina 06 1900 (has links)
Le programme d’enseignement des habiletés d’adaptation Les amis de Zippy vise la promotion de la santé mentale des élèves du premier cycle du primaire. La présente étude est une analyse secondaire réalisée à partir des données d’évaluation des effets du programme. L’objectif général vérifie si l’appartenance au groupe d’intervention est associée à une meilleure qualité du climat relationnel de classe à la fin de l’année scolaire, tel que perçu par les enseignants, tout en contrôlant pour la qualité du climat avant la réalisation du programme. La qualité du climat correspond aux relations entre les élèves et aux relations entre les élèves et l’enseignant. L’effet modérateur de la gestion de comportements et les pratiques pédagogiques est aussi analysé. L’échantillon est constitué de 35 enseignants auto-sélectionnés, répartis entre deux groupes non aléatoires. Les échelles suivantes du QES pour le primaire, version enseignant, sont utilisées : relations entre les élèves, relations entre les élèves et les enseignants, gestion des comportements et pratiques pédagogiques. Les résultats, obtenus grâce à des régressions linéaires multiples, montrent que généralement, l’appartenance au groupe n’explique pas significativement la qualité du climat de classe. Cependant, un effet d’interaction entre le climat de classe et la gestion de comportements est identifié. Lorsque les enseignants gèrent plus difficilement leur classe, le programme Les amis de Zippy est associé à un climat relationnel entre les élèves et l’enseignant moins favorable que dans le groupe témoin. Puisque ces résultats préliminaires peuvent être attribuables à des variables externes non contrôlées, ils devront être approfondis par des études subséquentes. / Les amis de Zippy teaching program for coping skills aims to promote mental health in junior elementary students. This study is a secondary analysis done with data derived from the program evaluation. The general goal is to verify if belongingness to the intervention group is linked to a better class relational climate at the end of the school year, as perceived by the teachers, while controlling for the class relational climate before the implantation of the program. The class relational climate refers to the relationships between the students and the relationship between the students and the teacher. The moderating effects of behaviors management and educational practices are analyzed as well. The sample is composed of 35 self-selected teachers no randomly separated into two groups. The following scales from the elementary school QES, teacher’s version, were used: relationships between the students, relationship between the students and the teacher, behaviors management and educational practices. Multiple linear regressions revealed that, generally, group belongingness does not significantly explain the quality of the class relational climate. However, an interaction effect with behaviors management is identified. When teachers have a hard time managing their class, the Les amis de Zippy program is associated with a less favorable relational climate between the students and the teacher then in the comparison group. However, these preliminary results need to be studied more thoroughly because they may be due to uncontrolled external variables.
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Symptômes dépressifs et consommation problématique de substances psychoactives : effets modérateurs du contexte social

Rochon, Audrey 08 1900 (has links)
Seulement une minorité d’adolescents qui consomment des substances psychoactives développe des problèmes significatifs reliés à cette consommation. Il importe donc de connaître et de comprendre les processus par lesquels se développe la consommation problématique afin de pouvoir la prévenir. Cette étude examine le rôle des symptômes dépressifs et des relations sociales dans le développement de la consommation problématique à l’adolescence. Plus précisément, elle vise à déterminer, à l’aide d’un devis longitudinal corrélationnel prospectif, si le soutien des pairs, le soutien des parents et la qualité de la relation maître-élève ont des effets modérateurs protecteurs sur la relation entre les symptômes dépressifs et la consommation problématique. L’échantillon utilisé pour cette étude est tiré de la Stratégie d’Intervention Agir Autrement et comprend 4473 adolescents. Des régressions linéaires multiples ont été effectuées et ont démontré que les symptômes dépressifs et le soutien des parents augmentent le risque d’une consommation problématique, alors que le soutien des pairs le diminue. De plus, les résultats confirment le rôle protecteur du soutien des pairs, mais indiquent que le soutien des parents exacerbe le lien entre les symptômes dépressifs et la consommation problématique. Par ailleurs, la qualité de la relation maître-élève est associée à une consommation moins problématique uniquement chez les jeunes qui n’ont pas beaucoup de symptômes dépressifs. Les implications de ces résultats sont discutées. / Of adolescents who use drugs, only a minority develops significant problems related to this drug use. It is then relevant to know and understand the processes by which this problematic consumption develops itself in order to be able to prevent it. This study examines the roles of depression symptoms and social relationships in the development of problematic drug use at the adolescence. More precisely, it aims at determining, with the help of a prospective correlational longitudinal design, if peers support, parental support and the quality of the teacher-student relationship have moderator effects on the relationship between depressive symptoms and problematic drug use. The sample used for this study is taken from the Stratégie d’Intervention Agir Autrement and is comprised of 4473 teenagers. Multiple linear regressions were completed and showed that depressive symptoms enhance the risk of a problematic drug use to be developed, whereas peers support impairs it. Contrary to what was expected, results show that parental support enhances the risk of developing a problematic drug use and that the teacher-student relationship has no significant impact. Moreover, peers support has a protective role, parental support intensifies the relationship between depressive symptoms and problematic drug use, whereas the quality of the teacher-student relationship attenuates it.
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Comportements parentaux et autorégulation chez l’enfant : une perspective développementale

Bordeleau, Stéphanie 03 1900 (has links)
Étant donné que le sommeil ainsi que les problèmes intériorisés et extériorisés durant l’enfance sont associés à plusieurs aspects du développement social, affectif et cognitif de l’enfant, il apparait essentiel d’étudier ces deux indicateurs de l’autorégulation chez les enfants ainsi que de comprendre les facteurs qui contribuent à leur émergence. L’objectif général de la thèse était donc de mieux comprendre les facteurs associés au développement de l’autorégulation psychophysiologique, telle que mesurée par la qualité du sommeil de l’enfant, ainsi que l’autorégulation émotionnelle et comportementale, telle qu’indiquée par la présence de symptômes intériorisés et extériorisés chez l’enfant. La thèse est composée de deux articles de nature empirique. L’objectif du premier article de la thèse était d’examiner les liens qui existent entre quatre comportements parentaux (i.e., la sensibilité maternelle, le soutien à l’autonomie maternel, l'orientation mentale de la mère et la qualité des interactions père-enfant) et le sommeil de l’enfant, de façon longitudinale et prospective. Les trois comportements maternels ont été mesurés avec 70 dyades mère-enfant, tandis que la qualité des interactions père-enfant a été évaluée chez 41 de ces familles. À 12 mois, l’orientation mentale maternelle et la sensibilité maternelle ont été évaluées. Le soutien à l'autonomie maternel a été mesuré à 15 mois, tandis que la qualité des interactions père-enfant a été évaluée à 18 mois. Le sommeil des enfants a été mesuré à 3 et 4 ans en utilisant un agenda de sommeil rempli par la mère. Les résultats indiquaient qu’en contrôlant pour le statut socioéconomique familial et le fait d’aller en garderie ou non, la qualité des interactions mère-enfant et père-enfant est liée à la proportion de sommeil ayant lieu la nuit chez les enfants d’âge préscolaire. Le deuxième article visait à étudier les effets d’interaction entre le sommeil de l’enfant et la sensibilité maternelle en ce qui a trait au développement des problèmes intériorisés et extériorisés. À 1 et 4 ans, 55 dyades mère-enfant ont participé à deux visites à domicile. À 1 an, la sensibilité maternelle a été évaluée et les mères ont complété l’agenda du sommeil de l’enfant. À 4 ans, les mères ont rempli le Child Behavior Checklist pour évaluer les symptômes intériorisés et extériorisés chez leur enfant. Les résultats ont montré que la sensibilité maternelle interagit avec la durée du sommeil de l’enfant. Ainsi, les résultats ont indiqué une relation négative entre la sensibilité maternelle et les problèmes intériorisés et extériorisés, mais seulement chez les enfants qui dorment plus la nuit. Les résultats présentés dans les deux articles ont été discutés, ainsi que leurs implications théoriques et cliniques. / Since sleep and internalizing and externalizing problems in childhood are associated with several aspects of social, emotional and cognitive development, it appears essential to study these two indicators of self-regulation in children and to understand the factors that contribute to their emergence. The overall objective of the thesis was to better understand the factors associated with the development of psychophysiological self-regulation, as measured by the quality of child sleep, as well as emotional and behavioural self-regulation, as indicated by the presence of internalizing and externalizing symptoms in children. The first article aimed to examine the prospective and longitudinal links between the quality of mother-child and father-child interactions and preschoolers’ sleep. Three dimensions of maternal interactive behavior were considered with 70 mother-child dyads, while the quality of father-child interactions was assessed among 41 of these families. At 12 months, maternal mind-mindedness and maternal sensitivity were rated. Maternal autonomy support was assessed at 15 months and the quality of father-child interactions was scored at 18 months. Children’s sleep was assessed at 3 and 4 years using a sleep diary completed by mothers during three consecutive days. Results indicated that after controlling for family SES and daycare attendance, the quality of both mother-infant and father-infant interactions was related to children’s proportions of night-time sleep at preschool age. The second article aimed to examine infant sleep as a moderator of the relation between maternal sensitivity and child externalizing and internalizing symptoms, in a prospective longitudinal design. 55 infants took part in two assessments, at 1 and 4 years. Maternal sensitivity was rated at 1 year, based on observations performed throughout a home visit. Infant sleep was assessed at 1 year as well, using a sleep diary completed by mothers. At 4 years, mothers completed the Child Behavior Checklist to assess children’s internalizing and externalizing symptoms. Results indicated that maternal sensitivity interacted with infant sleep duration, such that there were negative relations between sensitivity and subsequent internalizing and externalizing symptoms only for children who slept more at night. The results presented in both articles are discussed along with their theoretical and clinical implications.
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Les relations d’attachement et d’activation père-enfant : effet modérateur de l’engagement paternel pour prédire le développement socio-affectif des enfants

Dumont, Caroline 12 1900 (has links)
Tout autant que la mère, le père est une figure d’attachement importante pour l’enfant. Toutefois le lien d’attachement père-enfant se formerait différemment du lien d’attachement mère-enfant. Les pères sont souvent plus engagés que les mères dans des activités ludiques, moins dans des activités de soins. Les jeux faits avec le père sont souvent plus physiques aussi, plus stimulants. En incitant son enfant au jeu de façon sensible, le père devient un tremplin pour l’exploration de son enfant et le développement de sa confiance en soi et en l’autre. C’est en tant que figure d’ouverture sur le monde que le père aurait une plus grande influence sur le développement de son enfant. C’est ce que nous apprennent les études sur l’engagement paternel. Jusqu’à maintenant peu d’auteurs ont étudié l’engagement des pères en même temps que l’attachement père-enfant, mais plusieurs proposent déjà que cette fonction d’ouverture sur le monde expliquerait la formation du lien père-enfant. La relation d’attachement père-enfant serait basée sur une relation d’activation. L’objectif de la présente thèse est précisément de mieux comprendre la nature du lien d’attachement père-enfant. Deux articles composent cette thèse. Le premier article est théorique et fait une recension de la littérature sur l’attachement père-enfant et l’engagement paternel. Le deuxième article est empirique et propose justement de vérifier l’influence de l’engagement paternel sur la formation du lien d’attachement au père. En tout 53 dyades pères-enfants ont participé à cette étude. L’engagement des pères au niveau du réconfort, de la stimulation et de la discipline a été évalué lorsque les enfants avaient entre 12 et 18 mois. À cet âge, la qualité d’attachement et de la relation d’activation ont aussi été évaluées, respectivement avec la Situation étrangère et la Situation risquée. Les deux mises en situation ont ensuite été comparées pour voir laquelle prédit mieux le développement des enfants à l’âge préscolaire, au niveau des compétences sociales, des problèmes intériorisés et des problèmes extériorisés. Les résultats obtenus indiquent que la Situation risquée prédit mieux le développement socio-affectif des enfants (compétences sociales et problèmes intériorisés). Aucun lien n’a été trouvé avec la Situation étrangère, même en tenant compte de l’engagement du père au niveau du réconfort. Ces résultats valident la théorie de la relation d’activation et l’importance de la fonction paternelle d’ouverture sur le monde. Les limites de la présente étude, ainsi que ses implications théoriques et méthodologiques, seront abordées dans la discussion du deuxième article et en conclusion de la présente thèse. / Like mothers, fathers are important attachment figure for children. However, the mechanism behind father-child attachment appears to be different and unique. Compared to mothers, fathers engaged in more playful activities with their children, less in nursing activities. The games they do together are also more physical and more exciting. By encouraging his child to explore in a sensitive way, a father becomes a catalyst for risk-taking, helping his child to become confident in himself and in others. That function of opening children to the outside world would have an important impact on children’s socioemotional development. That is what we have learned from studies on father involvement. Until now, very few researchers have studied father involvement and father-child attachment at the same time, but many of them are already suggesting that it is by opening up children to the outside world that fathers become important attachment figure for them. Father-child attachment would build on the quality of their activation relationship. The present thesis aimed precisely at improving our understanding of father-child attachment. Two articles are included. The first article is a theoretical one. It is review of what has been written up to now on father-child attachment and on father involvement. The second article is empirical. It is specifically about evaluating the influence of fathering on the mechanism behind father-child attachment. A total of 53 father-child dyads were included in the present study. Father involvement in comfort, stimulation and discipline was measured when children where between 12 and 18 months old. At this age, attachment and activation quality was also measured, respectively with the Strange Situation and the Risky Situation. The two procedures where then compared to see which one was better able to predict children level of social competency, internalizing problems and externalizing problems during preschool years. Results indicates that the Risky Situation is a better predictor of children’s socio-emotional development (social competency and internalizing problems). No relationship was found with the Strange Situation, even when considering father involvement in comfort. Those results support the activation relationship theory and the importance of openness to the outside world for fathers. This study limitations, as well as it’s theoretical and methodological implications will be explained in the discussion of the second article and in the conclusion of the present thesis.
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L'évolution des comportements d'agressivité physique de la petite enfance à l'âge scolaire : le rôle des relations d'amitié en début de scolarisation

Salvas, Marie-Claude 11 1900 (has links)
Cette thèse avait pour objectif d’examiner les liens longitudinaux entre les relations d’amitié et l’évolution des comportements d’agressivité physique en début de scolarisation. Guidé par les principes énoncés par les théoriciens de l’apprentissage social, de l’attachement, du développement de la personnalité et de la théorie du jugement moral, le rôle principal et modérateur de certaines dimensions spécifiques à la qualité de la relation d’amitié, ainsi que des attributs comportementaux des amis et des caractéristiques personnelles de l’enfant a été évalué. Des données provenant de l’Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ELDEQ), de l’Étude des Jumeaux nouveau-nés du Québec (EJNQ) et de l’évaluation des effets d’un programme d’intervention dyadique ont été analysées. Les mesures utilisées dans cette thèse ont été collectées entre la maternelle et la 2e année du primaire, soit de 5 à 8 ans, directement auprès des enfants, de leurs amis, leurs pairs, leurs parents et leurs enseignants par le biais de questionnaires, d’entrevues sociométriques et de mises en situation hypothétiques. En lien avec la perspective de l’apprentissage social, les résultats ont montré que l’association à des amis agressifs en maternelle est liée à une augmentation des comportements d’agressivité physique chez l’enfant. Cependant, en lien avec les théories du développement de la personnalité et la perspective de l’attachement, le fait d’établir une relation d’amitié de bonne qualité est reliée à une diminution des comportements agressifs à travers le temps. De plus, une interaction entre la qualité de la relation et les attributs comportementaux des amis a indiqué que le risque lié à l’association à des amis agressifs est atténué dans le contexte d’une relation d’amitié de bonne qualité. Les résultats indiquent également que chez les garçons, la présence de conflits entre amis à la maternelle est associée de façon linéaire à de plus hauts niveaux de comportements agressifs, indépendamment du risque génétique de l’enfant face à cette problématique. Une interaction triple a par ailleurs révélé que le conflit n’était pas lié à une augmentation de l’agressivité physique dans le contexte d’une relation d’amitié caractérisée par l’affect positif et une bonne capacité à régler les conflits. Enfin, les résultats ont montré un effet indirect d’une intervention dyadique sur la diminution des comportements d’agressivité physique, qui opère à travers l’amélioration de la capacité des amis à régler leurs conflits. Ces résultats appuient le rôle bénéfique de la qualité de la relation d’amitié sur l’évolution des manifestations de comportements d’agressivité physique et suggèrent que cet aspect relationnel soit pris en compte dans les programmes de prévention des conduites agressives. En somme, la mise en évidence d’associations et d’interactions significatives entre la qualité des relations d’amitié, les attributs comportementaux des amis et les manifestations de comportements d’agressivité physique en début de scolarisation suggère que certains aspects et dimensions relationnelles positives peuvent être bénéfiques au développement des enfants agressifs. La prévention du maintien et de l’aggravation des conduites agressives par l’entremise de l’amélioration de la qualité des relations d’amitié représente une avenue prometteuse. / The aim of the present dissertation was to investigate the prospective links between friendship relationships and physical aggression development during the early school years. Within a theoretical framework based on social learning, personality, attachment and socioconstructivist theories, we examined the unique and combined role of various dimensions of friendship quality, friends’ behavioral characteristics and child’s pre-existing vulnerabilities in regard to the persistence of young children’s physical aggression. Data from the Quebec Longitudinal Study of Child Development (QLSCD), from the Quebec Newborn Twin Study (QNTS) and from an efficacity test through a dyadic intervention program were used. Measures in this dissertation were collected from kindergarten to grade 2, when the children were aged from 5 to 8 years old, with the children themselves, their friends, their classmates, their parents, as well as their teachers, through various questionnaires, a peer evaluation procedure and hypothetical scenarios. In line with the social learning perspective, friends’ aggression was linked to a significant increase in children’s physical aggression. However, in line with the social bonding perspective, a good friendship quality played both a compensatory and a protective role, by respectively reducing children’s initial level of physical aggression and by mitigating the associations between friends’ and children’s physical aggression. Results also show that friendship conflict was associated to a linear increase with boys’ but not with girls’ physical aggression over time. Shared positive affect and conflict resolution skills were found to mitigate the prospective association between friendship conflict and children’s physical aggression. These results were independent of children’s sex and genetic risk for physical aggression. No interaction effects were found between the friendship dimensions and genetic risk for aggression, suggesting that children are equally affected independently from their genetic liability. Results showed an indirect effect of the dyadic intervention on decreasing levels of physical aggression through the improvement of one specific feature of friendship quality: conflict resolution. These results support the causal role of friendship quality on the developmental course of physical aggression and point to the inclusion of this relational aspect in prevention programs targeting young aggressive children. Overall, the main and moderating effect found between friendship quality, friend’s aggression and child personal characteristics bring both theoretical and practical implications. Indeed, these results suggest that fostering a positive relationship between friends in the early school years may decrease physical aggression even if the friends are aggressive. Besides, high friendship quality may also buffer against the risk associated with experiencing conflict. These findings underscored the importance of taking into account the relational characteristics, such as conflict resolution and positive affect, in order to better understand the impact of friendship relationships on children’s physical aggression development.
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Parental separation and child adjustment : longitudinal perspective and risk factors

Di Stefano, Gessica 03 1900 (has links)
Malgré de nombreuses études qui soutiennent l'idée que les enfants ayant vécu la rupture de leurs parents rencontrent un plus haut niveau de difficultés affectives et comportementales que les enfants de familles intactes, certaines questions restent à éclaircir. Notamment, les données empiriques existantes ne conduisent pas à des conclusions précises quant au moment exact de l’apparition de ces difficultés. De plus, ce n'est pas clair si ces difficultés sont associées à la séparation en soi, ou à bien d'autres facteurs liés à la séparation. Cette thèse est constituée de deux articles empiriques. Le premier examine l’adaptation de l’enfant avant et après la séparation en fonction du sexe et de l'âge au moment de la séparation. Le second article présente une étude qui a pour objectif de départager l’importance des facteurs parentaux et contextuels et celle de la séparation parentale pour expliquer l’adaptation de l’enfant. Les participants proviennent de l'Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ÉLDEQ, 1998-2006). À chaque enquête de l'ÉLDEQ, une entrevue structurée réalisée auprès de la mère a permis d'évaluer les niveaux d’hyperactivité/impulsivité, d’anxiété et d’agressivité physique de l’enfant. Pendant cette entrevue, les mères ont également répondu à des questions sur la qualité de leurs pratiques parentales et sur le revenu du ménage. Finalement, un questionnaire auto-administré à la mère a permis d'évaluer ses propres symptômes de dépression et d'anxiété. La première étude inclus 143 enfants de familles séparées et 1705 enfants de familles intactes. Deux sous-groupes ont été créés selon que l’enfant ait vécu la séparation entre 2 et 4 ans, ou entre 4 et 6 ans. L’adaptation de l'enfant a été évaluée à un temps de mesure avant la séparation et à deux temps de mesure après la séparation. Les résultats de cette première étude démontrent qu’avant la séparation, les enfants de familles intactes et séparées ne se distinguent pas significativement quant à leurs niveaux d’hyperactivité/impulsivité et d’anxiété. Par contre, ces difficultés deviennent significativement plus élevées chez les enfants de familles séparées après la rupture des parents. D’autres parts, le niveau d’agressivité physique est plus élevé chez les enfants de la séparation indépendamment du temps de mesure. Finalement, les différences entre les deux groupes d’enfants ne dépendent pas du sexe ou de l’âge au moment de la séparation. La deuxième étude inclus 358 enfants de 8 ans qui ont vécu la séparation de leurs parents, et 1065 enfants du même âge provenant de familles intactes. Après avoir contrôlé pour le sexe de l’enfant, les résultats ont démontré que lorsqu’on tient compte de la contribution des symptômes maternels de dépression et d'anxiété, de la qualité des pratiques parentales et du revenu du ménage dans l’adaptation de l’enfant, la séparation parentale ne demeurent plus liée aux niveaux d’anxiété et d'agressivité physique de l’enfant. Par contre, la relation entre la séparation parentale et l’hyperactivité/impulsivité de l’enfant demeure significative. Les résultats présentés dans les articles sont discutés ainsi que leurs implications. / Despite the large body of research supporting the idea that children who experience their parents’ separation encounter more emotional and behavioral difficulties than children who grow up in continuously intact homes, several questions remained to be investigated. Specifically, empirical evidence does not lead to clear conclusions regarding the time of onset of the adjustment difficulties experienced by children whose parents separate. Furthermore, it is not clear whether it is the separation per se that leads to these difficulties, or whether other factors can explain this association. The present thesis is made up of two empirical articles. The first examines the role of gender and age at the time of separation in children’s pre- and post-separation adjustment. The second article aims to disentangle the role of parental and contextual factors, and that of parental separation, in predicting child adjustment. Participants were from the Quebec Longitudinal Study of Child Development (QLSCD, 1998-2006). At every wave of the QLSCD, a structured interview with the mother allowed to assess children’s levels of hyperactivity/ impulsivity, anxiety, and physical aggression. During this interview, mothers also answered questions regarding the quality of their parenting and their household income. Finally, a self-report questionnaire was administered to mothers in order to assess their own symptoms of depression and anxiety. The first study included 143 children from separated families and 1705 children from intact families. Two categories of children were created according to whether separation occurred between ages 2 and 4, or between ages 4 and 6. Child adjustment variables were assessed at one time point prior to parental separation and at two time points following separation. The results of this first paper demonstrated that prior to separation, children of intact and separated families did not differ significantly with regards to their levels of hyperactivity/impulsivity and anxiety. However, children whose parents separated had significantly higher hyperactivity/impulsivity and anxiety levels after the occurrence of separation. Physical aggression was not further increased following parental separation, but was higher in children who experienced separation, irrespective of time. No gender or age differences were found in children’s pre- and post- separation adjustment. The second study included 358, 8 year-old children who had previously experienced parental separation, and 1065 children of the same age who lived in consistently intact homes since birth. After controlling for child gender, results demonstrated that once the contribution of maternal symptoms of depression and anxiety, parenting quality and household income was accounted for, parental separation was no longer associated with child anxiety and physical aggression. However, the relationship between separation and hyperactivity/impulsivity remained significant over and beyond what was contributed by the other variables. The results presented in the articles are discussed, and their implications are highlighted.
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Le lien entre le stress parental du père et le développement de la relation d’activation chez les enfants âgés entre 12 et 18 mois

Moffette, Valérie 11 1900 (has links)
De nos jours, le père est de plus en plus présent dans le quotidien de son enfant. Par son implication et son engagement, le père dans le développement de l’enfant a un rôle important et unique. Sa contribution se ferait entre autre par rapport à l’ouverture au monde en encourageant l’enfant à prendre des risques. Comme être mère, être père c’est de faire face à un ensemble de situations nouvelles quotidiennes, de vivre des déséquilibres et de l’imprévisibilité et de ne pas toujours être en contrôle des évènements qui se produisent. Ainsi, exercer ce rôle peut entraîner un certain niveau de stress qui peut influencer le développement de l’enfant. La présente étude vise à examiner l’existence d’un lien entre le stress parental du père et la relation d’activation chez les enfants âgés entre 12 et 18 mois ainsi que l’attachement père-enfant. Des données ont été recueillies auprès de 58 pères et leur enfant âgé entre 12 et 18 mois. Les résultats montrent que le stress parental n’est pas significativement lié à la relation d’activation ni à l’attachement père-enfant. De plus, le sexe de l’enfant ne modère pas ce lien. On note que le sexe de l’enfant est corrélé à la relation d’activation, c’est-à-dire que les garçons sont plus activés positivement que les filles. / Nowadays, the father is increasingly present in everyday life of his child. By his commitment and involvement, the father has an important and unique role in the child’s development. His contribution would be related to the child openness to the outside world and in encouragements to take risks. As with being a mother, being a father involve coping with a lot of new situations every day, living with imbalances and unpredictability and not being always in control of many given situations. So, exercising this role can cause a certain level of stress which can influence the development of the child. The aim of the present study is to examine the existence of a link between fathers’ parental stress and activation relationship of their 12 to 18 months-old children, as well as the father-child attachment relationship. Data were collected among 58 father-child dyads. The results show that parental stress is neither significantly associated to activation relationship nor to attachment relationship. Moreover, the child’s gender does not act as a moderator in this relationship. However, it appears that the child’s gender is correlated with activation relationship. The results show that boys are activated more positively than girls.

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