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總額預算制度下醫院所有權結構與營運績效關係之研究

劉惠玲 Unknown Date (has links)
所有權結構、支付制度與競爭係影響醫院績效之關鍵因子,本研究援用相關文獻之發現,推論出三項因素對醫院績效之關係,並以我國獨特之總額預算制度為研究對象,蒐集、串連與合併不同來源之資料,實證檢視衝量競爭與所有權結構對醫院營運績效與醫療品質之聯合效果。 台灣於民國91年7月實施醫院總額預算制度後,浮動點值制度之設計為醫院間引入了衝量競爭(即虛假價格競爭),而結算後之點值則係反映出醫院間衝量競爭後之結果,醫院除了需面對支付點值所致之財務衝擊外,尚須面對自全民健保實行後,備受醫院詬病之核減制度之衝擊,因此,本文首先嘗試估算醫院受到核減與支付點值所致之財務衝擊程度。無論是國外或國內之研究,對於不同所有權結構醫院之績效表現是否有差異性,一直無法獲得一致性之結論,除了納入營運效率之績效指標外,本研究亦採用疾病別與醫院層級別之醫療品質指標來檢視不同所有權結構醫院之績效表現。更以考量核減與支付點值所致之財務衝擊程度,取代目前文獻僅以總額前、後之二元變數,評估財務衝擊程度對營運效率、醫療品質與財務績效之影響。最後,則是檢視總額預算制度下,醫院受到之財務衝擊度是否會縮小不同所有權結構醫院之營運效率與醫療品質表現之差距。 實證研究發現,不同所有權結構醫院之營運效率並未有顯著差異,但不同所有權結構醫院在某些疾病別品質指標(子宮肌瘤切除手術之住院超過7日機率與再入院率)與醫院層級品質指標(院內感染率與淨死亡率)表現上則有差異性;且公立或非營利醫院受到核減與支付點值之財務衝擊高於私立醫院,因此不同所有權結構醫院之行為與績效存有某些差異性。台灣的醫院在總額預算制度下,若受到之財務衝擊程度愈大,其營運效率會變差、醫療品質也受到負面之影響、財團法人醫院之醫務利益率與稅後淨利率也會降低,但現金流量比則會增加,故財務衝擊愈大,醫院之績效愈低。若同時考量財務衝擊度對不同所有權結構醫院之營運效率與醫療品質之聯合效果後,可發現財務衝擊雖然不會縮小公立(或非營利)醫院與私立醫院營運效率之差距,卻縮小公立(或非營利)醫院與私立醫院醫療品質之差距,故以台灣資料可部分支持「不同所有權結構醫院績效差距縮小之因素係競爭力量之崛起」之論點。 / Hospital ownership, payment system and competition are all key drivers to influence hospital performance. This research infer and depict the association of these three drivers from the related literature and empirically examined the effects of fictitious price competition due to the floating point-value system and ownership on hospital operational performance and quality of care by combing and merging different sources of data. Deduction rate of claim and the floating point-value system are the two controversial debates to the payment system. I attempt to estimate hospital financial pressures as precipitated by deduction rate of claim and floating point-value system. To investigate whether for-profit, not-for-profit, and government hospitals differ in operating performance and quality of care, five diagnose-level and two hospital-level quality indicators are selected. Different from prior research, the financial pressure is captured by hospital data instead of a binary variable (pre and post global budget) and I examine the effect of financial pressure on hospital operational efficiency, quality of care and financial performance. Finally, we test whether differences in operational efficiency and quality care among hospitals with different ownership forms will mitigate or narrow, as hospital financial pressure increases. The results show that for-profit, not-for-profit and government hospitals are far more alike than different in operational efficiency, but ownership affects not only the rate of readmission and the rate of the length of stay larger than 7 days of uterine myomectomy, but also the hospital-level quality indicators: the rate of nosocomial infection and hospital mortality rate. I also find higher financial pressure incurred at government or not-for-profit hospitals than for-profits hospitals. Given my findings, we conclude that hospital ownership status affect performance in terms of quality of care and financial pressure from rate of deduction and float point-value system. The study shows that financial pressure adversely affects operational efficiency and quality of care. As not-for proprietary hospital financial pressure increases, the profit margin and net profit ratio will decrease, but the cash flow ratio will increase. Nonetheless, deduction rate of claim and global budget has a negative impact on hospital performance. This research further considers the joint effect of financial pressure on difference between quality of care and efficiency of for-profit hospitals and the other two types. My results indicate that hospital financial pressure mitigates the difference of quality of care between for-profit hospital and not-for profit (or government) hospitals, but does not narrow the difference in quality of care between for-profit hospital and not-for profit (or government) hospitals. This finding partly supports that increased competition should force not-for-profit (or governmental) hospitals to be increasingly similar to their for-profit counterparts.
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Des soins de qualité pour la dépression en première ligne : une contribution à l’amélioration de l’état de santé de la population québécoise

Duhoux, Arnaud 04 1900 (has links)
Contexte De nombreuses études, utilisant des indicateurs de qualité variés, ont démontré que la qualité des soins pour la dépression n’est pas optimale en première ligne. Peu de ces études ont examiné les facteurs associés à la réception d’un traitement adéquat, en particulier en tenant compte simultanément des caractéristiques individuelles et organisationnelles. L'association entre un traitement adéquat pour un épisode dépressif majeur (EDM) et une amélioration des symptômes dépressifs n'est pas bien établie dans des conditions non-expérimentales. Les objectifs de cette étude étaient de : 1) réaliser une revue systématique des indicateurs mesurant la qualité du traitement de la dépression en première ligne ; 2) estimer la proportion de patients souffrant d’EDM qui reçoivent un traitement adéquat (selon les guides de pratique clinique) en première ligne ; 3) examiner les caractéristiques individuelles et organisationnelles associées à l’adéquation du traitement pour la dépression ; 4) examiner l'association entre un traitement minimalement adéquat au cours des 12 mois précédents et l'évolution des symptômes dépressifs à 6 et 12 mois. Méthodes La littérature sur la qualité du traitement de la dépression a été examinée en utilisant un ensemble de mots-clés (« depression », « depressive disorder », « quality », « treatment », « indicator », « adequacy », « adherence », « concordance », « clinical guideline » et « guideline ») et « 360search », un moteur de recherche fédérée. Les données proviennent d'une étude de cohorte incluant 915 adultes consultant un médecin généraliste, quel que soit le motif de consultation, répondant aux critères du DSM-IV pour l’EDM dans la dernière année, nichés dans 65 cliniques de première ligne au Québec, Canada. Des analyses multiniveaux ont été réalisées. Résultats Bien que majoritairement développés à partir de guides de pratique clinique, une grande variété d'indicateurs a été observée dans la revue systématique de littérature. La plupart des études retenues ont utilisé des indicateurs de qualité rudimentaires, surtout pour la psychothérapie. Les méthodes utilisées étaient très variées, limitant la comparabilité des résultats. Toutefois, quelque soit la méthode choisie, la plupart des études ont révélé qu’une grande proportion des personnes souffrant de dépression n’ont pas reçu de traitement minimalement adéquat en première ligne. Dans notre échantillon, l’adéquation était élevée (> 75 %) pour un tiers des indicateurs de qualité mesurés, mais était faible (< 60 %) pour près de la moitié des mesures. Un peu plus de la moitié de l'échantillon (52,2 %) a reçu au moins un traitement minimalement adéquat pour la dépression. Au niveau individuel, les jeunes adultes (18-24 ans) et les personnes de plus de 65 ans avaient une probabilité moins élevée de recevoir un traitement minimalement adéquat. Cette probabilité était plus élevée pour ceux qui ont un médecin de famille, une assurance complémentaire, un trouble anxieux comorbide et une dépression plus sévère. Au niveau des cliniques, la disponibilité de la psychothérapie sur place, l'utilisation d'algorithmes de traitement, et le mode de rémunération perçu comme adéquat étaient associés à plus de traitement adéquat. Les résultats ont également montré que 1) la réception d'au moins un traitement minimalement adéquat pour la dépression était associée à une plus grande amélioration des symptômes dépressifs à 6 et à 12 mois; 2) la pharmacothérapie adéquate et la psychothérapie adéquate étaient toutes deux associées à de plus grandes améliorations dans les symptômes dépressifs, et 3) l'association entre un traitement adéquat et l'amélioration des symptômes dépressifs varie en fonction de la sévérité des symptômes au moment de l'inclusion dans la cohorte, un niveau de symptômes plus élevé étant associé à une amélioration plus importante à 6 et à 12 mois. Conclusions Nos résultats suggèrent que des interventions sont nécessaires pour améliorer la qualité du traitement de la dépression en première ligne. Ces interventions devraient cibler des populations spécifiques (les jeunes adultes et les personnes âgées), améliorer l'accessibilité à la psychothérapie et à un médecin de famille, et soutenir les médecins de première ligne dans leur pratique clinique avec des patients souffrant de dépression de différentes façons, telles que le développement des connaissances pour traiter la dépression et l'adaptation du mode de rémunération. Cette étude montre également que le traitement adéquat de la dépression en première ligne est associé à une amélioration des symptômes dépressifs dans des conditions non-expérimentales. / Background Numerous studies, using a variety of quality indicators, highlight an important gap in the quality of care for depression in primary care. Few of these studies examined factors associated with receiving adequate treatment, particularly with a simultaneous consideration of individual and organizational characteristics. The association between adequate treatment for a Major Depressive Episode (MDE) and improvements in depressive symptoms is not well established in naturalistic practice conditions. The objectives of this study were to i) systematically review indicators used to measure the quality of depression treatment in primary care, ii) estimate the proportion of primary care patients with a MDE who receive adequate treatment, iii) examine the individual and organizational characteristics associated with the receipt of minimally adequate treatment for depression, iv) examine the association between receiving minimally adequate treatment for MDE (i.e. according to clinical guidelines) in the previous 12 months and evolution of depressive symptoms at 6 and 12 months. Methods The literature on the quality of depression treatment was reviewed using a set of keywords (depression, depressive disorder, quality, treatment, indicator, adequacy, adherence, concordance, clinical guideline and guideline) and « 360search », a federated search engine. Data were obtained from a cohort study including 915 adults consulting a general practitioner (GP), regardless of the motive of consultation, meeting DSM-IV criteria for previous-year MDE, and nested within 65 primary care clinics in Quebec, Canada. Multilevel analyses were conducted. Results Though mostly based on recommendations from clinical practice guidelines, a great variety of indicators were observed. Most studies used rudimentary indicators to measure the quality of depression treatment, especially for psychotherapy. Studies also differed greatly with respect to the methods used, thus limiting the comparability of results. However, whatever the chosen method, most studies reveal that a large proportion of people with depression do not receive minimally adequate treatment in primary care settings. In our sample, adherence to guidelines was high (> 75 %) for one third of the quality indicators that were measured but was low (< 60 %) for nearly half of the measures. Just over half of the sample (52.2 %) received at least one minimally adequate treatment for depression. At the individual level, young adults (18-24) et older people (>65) had a lower probability of receiving at least one minimally adequate treatment. This probability was higher for people with a family physician, a supplementary insurance coverage, a comorbid anxiety disorder and a more severe depression. At the clinic level, the availability of psychotherapy on-site, the use of treatment algorithms, and the mode of remuneration perceived as adequate were associated with more adequate treatment. Results also showed that i) receiving at least one minimally adequate treatment for depression was associated with greater improvements in depression symptoms at 6 and at 12 months; ii) adequate pharmacotherapy and adequate psychotherapy were both associated with greater improvements in depression symptoms, and iii) the association between adequate treatment and improvement in depression symptoms varied as a function of severity of symptoms at the time of inclusion in the cohort with worse symptoms at the time of inclusion being associated with greater reductions at 6 and 12 months. Conclusions Our findings suggest that interventions are needed to increase the quality of depression treatment in primary care. These interventions should target specific populations (i.e. the younger adults and the elderly), enhance accessibility to psychotherapy and to a regular family physician, and support primary care physicians in their clinical practice with patients suffering from depression in different ways such as developing knowledge to treat depression and adapting mode of remuneration. This study also shows that adequate treatment for depression is associated with improvements in depressive symptoms in naturalistic primary care practice conditions.
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Suivi postnatal à domicile après un congé précoce : Critères de sélection et Appréciation du délai

Pomerleau, Sophie G. 08 1900 (has links)
Aujourd’hui, la satisfaction des utilisateurs des services de santé est reconnue comme une mesure de la qualité des soins. Au Québec, le congé précoce en obstétrique constitue la norme pour les mères ayant donné naissance à un bébé en santé. Selon la littérature, cette pratique n’entraîne pas de répercussions négatives pour la santé des mères et de leur nouveau-né à condition qu’un suivi adéquat soit assuré. D’autre part, bien qu’il semble que la diminution de la durée du séjour hospitalier soit appréciée par les mères, peu de données sont disponibles relativement aux caractéristiques menant à l’appréciation du suivi postnatal. Objectifs : Cette étude s’intéresse principalement à la première visite à domicile effectuée par une infirmière suite au congé précoce en obstétrique. Dans un premier temps, elle vise à tracer un portrait des mères en fonction du délai de la première visite à domicile et, dans un second temps, à connaître les facteurs associés à l’appréciation, par les mères, du délai de cette visite. Méthode : Les données de cette étude ont été recueillies au Québec, entre janvier 2002 et janvier 2003, lors d’une enquête téléphonique effectuée auprès de mères de bébés nés en santé, un mois suivant leur accouchement vaginal sans complication (n=1548). Pour nos analyses, nous avons retranché les mères ayant eu une durée de séjour de plus de 60 heures, une grossesse de moins de 37semaines et un bébé pesant moins de 2500 g à la naissance. Notre échantillon se compose donc de 1351 mères. Résultats : 86,2 % des mères ont reçu une offre de visite à domicile. La majorité (80.2 %) des mères ont reçu la visite dans les trois premiers jours suivant leur retour à la maison, dont près du tiers (28,1 %), dans les 24 premières heures. Comparativement aux mères visitées au deuxième ou troisième jour suivant le congé, celles visitées dans les 24 premières heures ont jugé la durée de séjour hospitalier trop courte (p=0,018) et reçu un appel de l’infirmière qui a duré plus longtemps (p=0, 009). De plus, au moment du congé, elles perçoivent leur bébé en moins bonne santé (p=0,029). Elles ont aussi accouché d’un bébé plus petit (p=0,052) qui a tendance à avoir présenté des signes d’ictères pendant le séjour hospitalier (p=0,100). D’autre part, la majorité des mères (86,4 %) disent que le délai de la première visite à domicile est adéquat alors que 11,6 % le jugent trop court et 2,3 % trop long. Pour les mères visitées au premier jour, l’analyse multivariée révèle que certaines caractéristiques et certains besoins sont associés à la perception que le délai de la visite est trop court : une seule visite postnatale, un revenu familial de plus de 40 000 $, la perception que la durée de séjour est trop longue et le fait de ne pas allaiter. Pour les mères qui reçoivent la visite au deuxième et troisième jour, ce sont, seulement, le fait d’avoir été au rendez-vous médical et le fait d’avoir reçu une seule visite qui sont associés à la perception que le délai de la visite est trop court. Pour conclure, au Québec, le programme de suivi postnatal universel semble en mesure d’offrir une visite à domicile dans les délais prescrits à une majorité de mères. Les résultats de cette étude suggèrent que le délai de la première visite à domicile n’est pas optimal pour toutes les mères et permettent d’envisager que certaines mères auraient souhaité recevoir une seconde visite plus tardivement au cours de la période postnatale. D’autres recherches devront être effectuées afin de parfaire nos connaissances relativement au moment idéal pour réaliser les interventions postnatales.Mots clefs : Satisfaction, appréciation des utilisateurs, qualité des soins, programme universel, suivi postnatal, congé précoce en obstétrique, visite à domicile, délai de la visite, provision des services. / Patient satisfaction is now recognized as part of a measure of quality of care. In Québec, early discharge following normal delivery is common practice. Early discharge was proven to have no impact on the mother’s and baby’s health status when adequate follow-up is ensure. Women’s seems to appreciate early discharge but few studies have explored the factors contributing to the expression of satisfaction regarding home visits in the context of postnatal early discharge. Objectives: This study as two main objectives. First, we want to identify which characteristics are associated with the delay of the first postnatal visit. Second, we want to determine which factors are contributing to the appreciation of the visit’s delay. Methods : Data were obtained through a telephone survey conducted in the province of Quebec between January 2002 and January 2003. Mothers that had a normal vaginal delivery and a healthy baby were reached one month after giving birth (n=1548). For analysis purposes, mothers with length of stay above 60 hours, less than 37 week of pregnancy and a newborn weighing less than 2500 g at birth were cut off leaving a sample of 1351 mothers. Results: 86.2% of the mothers have been offered a postnatal visit. Most women (80.2%) received a home visit within three days and almost a third (28.1%) within the first 24 hours after hospital discharge. When compared to the mothers who received the visit within 2 or 3 days, mothers that received a visit within the first 24 hours found the hospital stay too short (p=0.018) but received a longer telephone call by the nurse (p=0.009). These mothers gave birth to smaller babies (p=0.052) whom also presented jaundiced while being in the hospital (p=0.100). Finally, at discharge, these mothers perceive their baby to be less healthy (p=0.029). On the other end, 86.4 % of all mothers are satisfied with the delay of the first postnatal visit, while 11.6% of them found it too short and 2.3% too long. For the mothers visited the first day, logistic regression analysis reveals that some characteristics as: having only one postnatal visit, a family income of more than 40 000$, perceived hospital stay as too long and not breastfeeding, are significantly associated with the perception of having a visit too soon after hospital discharge. For mothers visited on the second or third day after discharge, the perception that the delay was too short is only significantly associated with having a baby’s medical appointment within the first two weeks and one postnatal visit. Conclusion: Quebec’s postnatal visit program seems to offer a visit within an adequate length of time for the majority of mothers. Results of this study suggest that the time after the hospital discharge for the first visit might not be optimal for all mothers. This allows us to consider that some mothers would have appreciated a second postnatal visit. Further studies are needed to pursue analysis of the delays between discharge and the first visit in order to better meet the needs of mothers. Keywords :Satisfaction, user evaluation, quality of care, universal program, postnatal care, postpartum early discharge, home visit, timing, service provision
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Des soins de qualité pour la dépression en première ligne : une contribution à l’amélioration de l’état de santé de la population québécoise

Duhoux, Arnaud 04 1900 (has links)
Contexte De nombreuses études, utilisant des indicateurs de qualité variés, ont démontré que la qualité des soins pour la dépression n’est pas optimale en première ligne. Peu de ces études ont examiné les facteurs associés à la réception d’un traitement adéquat, en particulier en tenant compte simultanément des caractéristiques individuelles et organisationnelles. L'association entre un traitement adéquat pour un épisode dépressif majeur (EDM) et une amélioration des symptômes dépressifs n'est pas bien établie dans des conditions non-expérimentales. Les objectifs de cette étude étaient de : 1) réaliser une revue systématique des indicateurs mesurant la qualité du traitement de la dépression en première ligne ; 2) estimer la proportion de patients souffrant d’EDM qui reçoivent un traitement adéquat (selon les guides de pratique clinique) en première ligne ; 3) examiner les caractéristiques individuelles et organisationnelles associées à l’adéquation du traitement pour la dépression ; 4) examiner l'association entre un traitement minimalement adéquat au cours des 12 mois précédents et l'évolution des symptômes dépressifs à 6 et 12 mois. Méthodes La littérature sur la qualité du traitement de la dépression a été examinée en utilisant un ensemble de mots-clés (« depression », « depressive disorder », « quality », « treatment », « indicator », « adequacy », « adherence », « concordance », « clinical guideline » et « guideline ») et « 360search », un moteur de recherche fédérée. Les données proviennent d'une étude de cohorte incluant 915 adultes consultant un médecin généraliste, quel que soit le motif de consultation, répondant aux critères du DSM-IV pour l’EDM dans la dernière année, nichés dans 65 cliniques de première ligne au Québec, Canada. Des analyses multiniveaux ont été réalisées. Résultats Bien que majoritairement développés à partir de guides de pratique clinique, une grande variété d'indicateurs a été observée dans la revue systématique de littérature. La plupart des études retenues ont utilisé des indicateurs de qualité rudimentaires, surtout pour la psychothérapie. Les méthodes utilisées étaient très variées, limitant la comparabilité des résultats. Toutefois, quelque soit la méthode choisie, la plupart des études ont révélé qu’une grande proportion des personnes souffrant de dépression n’ont pas reçu de traitement minimalement adéquat en première ligne. Dans notre échantillon, l’adéquation était élevée (> 75 %) pour un tiers des indicateurs de qualité mesurés, mais était faible (< 60 %) pour près de la moitié des mesures. Un peu plus de la moitié de l'échantillon (52,2 %) a reçu au moins un traitement minimalement adéquat pour la dépression. Au niveau individuel, les jeunes adultes (18-24 ans) et les personnes de plus de 65 ans avaient une probabilité moins élevée de recevoir un traitement minimalement adéquat. Cette probabilité était plus élevée pour ceux qui ont un médecin de famille, une assurance complémentaire, un trouble anxieux comorbide et une dépression plus sévère. Au niveau des cliniques, la disponibilité de la psychothérapie sur place, l'utilisation d'algorithmes de traitement, et le mode de rémunération perçu comme adéquat étaient associés à plus de traitement adéquat. Les résultats ont également montré que 1) la réception d'au moins un traitement minimalement adéquat pour la dépression était associée à une plus grande amélioration des symptômes dépressifs à 6 et à 12 mois; 2) la pharmacothérapie adéquate et la psychothérapie adéquate étaient toutes deux associées à de plus grandes améliorations dans les symptômes dépressifs, et 3) l'association entre un traitement adéquat et l'amélioration des symptômes dépressifs varie en fonction de la sévérité des symptômes au moment de l'inclusion dans la cohorte, un niveau de symptômes plus élevé étant associé à une amélioration plus importante à 6 et à 12 mois. Conclusions Nos résultats suggèrent que des interventions sont nécessaires pour améliorer la qualité du traitement de la dépression en première ligne. Ces interventions devraient cibler des populations spécifiques (les jeunes adultes et les personnes âgées), améliorer l'accessibilité à la psychothérapie et à un médecin de famille, et soutenir les médecins de première ligne dans leur pratique clinique avec des patients souffrant de dépression de différentes façons, telles que le développement des connaissances pour traiter la dépression et l'adaptation du mode de rémunération. Cette étude montre également que le traitement adéquat de la dépression en première ligne est associé à une amélioration des symptômes dépressifs dans des conditions non-expérimentales. / Background Numerous studies, using a variety of quality indicators, highlight an important gap in the quality of care for depression in primary care. Few of these studies examined factors associated with receiving adequate treatment, particularly with a simultaneous consideration of individual and organizational characteristics. The association between adequate treatment for a Major Depressive Episode (MDE) and improvements in depressive symptoms is not well established in naturalistic practice conditions. The objectives of this study were to i) systematically review indicators used to measure the quality of depression treatment in primary care, ii) estimate the proportion of primary care patients with a MDE who receive adequate treatment, iii) examine the individual and organizational characteristics associated with the receipt of minimally adequate treatment for depression, iv) examine the association between receiving minimally adequate treatment for MDE (i.e. according to clinical guidelines) in the previous 12 months and evolution of depressive symptoms at 6 and 12 months. Methods The literature on the quality of depression treatment was reviewed using a set of keywords (depression, depressive disorder, quality, treatment, indicator, adequacy, adherence, concordance, clinical guideline and guideline) and « 360search », a federated search engine. Data were obtained from a cohort study including 915 adults consulting a general practitioner (GP), regardless of the motive of consultation, meeting DSM-IV criteria for previous-year MDE, and nested within 65 primary care clinics in Quebec, Canada. Multilevel analyses were conducted. Results Though mostly based on recommendations from clinical practice guidelines, a great variety of indicators were observed. Most studies used rudimentary indicators to measure the quality of depression treatment, especially for psychotherapy. Studies also differed greatly with respect to the methods used, thus limiting the comparability of results. However, whatever the chosen method, most studies reveal that a large proportion of people with depression do not receive minimally adequate treatment in primary care settings. In our sample, adherence to guidelines was high (> 75 %) for one third of the quality indicators that were measured but was low (< 60 %) for nearly half of the measures. Just over half of the sample (52.2 %) received at least one minimally adequate treatment for depression. At the individual level, young adults (18-24) et older people (>65) had a lower probability of receiving at least one minimally adequate treatment. This probability was higher for people with a family physician, a supplementary insurance coverage, a comorbid anxiety disorder and a more severe depression. At the clinic level, the availability of psychotherapy on-site, the use of treatment algorithms, and the mode of remuneration perceived as adequate were associated with more adequate treatment. Results also showed that i) receiving at least one minimally adequate treatment for depression was associated with greater improvements in depression symptoms at 6 and at 12 months; ii) adequate pharmacotherapy and adequate psychotherapy were both associated with greater improvements in depression symptoms, and iii) the association between adequate treatment and improvement in depression symptoms varied as a function of severity of symptoms at the time of inclusion in the cohort with worse symptoms at the time of inclusion being associated with greater reductions at 6 and 12 months. Conclusions Our findings suggest that interventions are needed to increase the quality of depression treatment in primary care. These interventions should target specific populations (i.e. the younger adults and the elderly), enhance accessibility to psychotherapy and to a regular family physician, and support primary care physicians in their clinical practice with patients suffering from depression in different ways such as developing knowledge to treat depression and adapting mode of remuneration. This study also shows that adequate treatment for depression is associated with improvements in depressive symptoms in naturalistic primary care practice conditions.
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Contexte de genre, autonomie des femmes et utilisation des services de santé maternelle en milieu rural africain : analyse par modèles d’équations structurelles

Adjiwanou, Visseho 10 1900 (has links)
La vie des femmes du continent africain et de leurs enfants continue d’être mise en danger lors de chaque accouchement car les risques de décès maternels et infantiles sont encore très élevés. Il est estimé chaque année à environ le quart du million le nombre de décès maternel et de près de quatre millions celui des enfants de moins de cinq ans. La comparaison de la situation sanitaire avec d’autres contextes permet de mieux cerner l’ampleur du problème : en Afrique sub-Saharienne, le risque de décès lié à la grossesse est de l’ordre de 1 pour 31, alors qu’il n’est que de 1 pour 4300 dans les pays industrialisés. Cette situation est évitable et, le plus souvent, résulte de la sous ou non-utilisation des services de santé maternelle, du manque de structures adéquates de soins ou de personnel de santé qualifié. Notre thèse cherche à comprendre la manière dont les inégalités de genre au sein du ménage et dans la communauté renforcent les inégalités quant à l’utilisation des services de santé maternelle, ainsi qu’aux relations empiriques qui lient les différents recours aux soins. Concrètement, elle vise à 1) proposer une mesure des normes de genre favorables à la violence contre les femmes et à analyser son influence sur leur prise de décision au sein du ménage, 2) analyser simultanément l’influence de ces normes et de l’autonomie des femmes sur le recours aux soins prénatals et à l’accouchement assisté et finalement, 3) cerner l’influence des soins prénatals sur le recours à l’accouchement assisté. Chacun de ces objectifs se heurte à un problème méthodologique substantiel, soit de mesure ou de biais de sélection, auxquels l’approche par modèles d’équations structurelles que nous avons adoptée permet de remédier. Les résultats de nos analyses, présentés sous forme d’articles scientifiques, s’appuient sur les données issues des Enquêtes Démographiques et de Santé (EDS) du Ghana, du Kenya, de l’Ouganda et de la Tanzanie et concernent les femmes vivant en milieu rural. Notre premier article propose une mesure des normes de genre et, plus exactement, celles liées à la violence contre les femmes en recourant à l’approche des variables latentes. Les cinq questions des EDS relatives à l’attitude des femmes sur la légitimation de la violence ont permis de saisir cette mesure au niveau contextuel. Les résultats suggèrent d’une part que cette mesure a de bons critères de validité puisque l’Alpha de Cronbach varie de 0.85 pour le Kenya à 0.94 pour le Ghana; les chi-deux sont non significatifs partout; le RMSEA est en dessous de 0.05; le CFI supérieur à 0.96 et les saturations sont pour la plupart supérieures à 0.7 dans tous les pays. D’autre part, à l’aide du modèle d’équations structurelles multiniveaux, nous avons trouvé qu’au-delà de leur propre attitude envers la violence contre les femmes, celles qui vivent dans un milieu où les normes de genres sont plus favorables à la violence ont plus de chances d’être de faible autonomie ou sans autonomie (comparativement à forte autonomie) dans l’ensemble des pays étudiés. Le second article documente l’influence des inégalités de genre, cernées au niveau contextuel par les normes favorables à la violence contre les femmes et au niveau individuel par l’autonomie de prise de décision au sein du ménage, sur la survenue des soins prénatals au cours du premier trimestre et sur les recours à au moins 4 consultations prénatales et à l’accouchement assisté. En utilisant également les modèles d’équations structurelles multiniveaux sur les mêmes données du premier article, nous constatons que chacune de ces variables dépendantes est fortement influencée par la grappe dans laquelle la femme vit. En d’autres mots, son lieu de résidence détermine le comportement de santé maternelle que l’on adopte. De même, en contrôlant pour les autres variables explicatives, nos résultats montrent que les femmes qui vivent dans un milieu où les normes de genre liées à la violence contre les femmes sont élevées ont, en moyenne, une plus grande chance de ne pas accoucher auprès d’un personnel qualifié au Ghana et en Ouganda, de ne pas débuter leurs soins prénatals dans le premier trimestre dans les mêmes pays, et de ne pas recourir à au moins quatre consultations prénatales en Tanzanie. Par contre, cette variable contextuelle n’influence pas significativement le recours aux soins de santé maternelle au Kenya. Enfin, les résultats montrent que les normes de genre favorables à la violence contre les femmes sont plus déterminantes pour comprendre le recours aux soins de santé maternelle dans les pays étudiés que l’autonomie de prise de décision de la femme. Dans le cadre du troisième et dernier article empirique de la thèse, nous nous sommes intéressés à l’importance des soins prénatals dans le processus de recours à l’accouchement assisté et à la place du contenu des soins reçus avant l’accouchement dans cette relation. Cet article met en exergue l’existence de biais d’endogénéité au Kenya et en Tanzanie, où sans sa prise en compte, l’effet des soins prénatals sur le recours à l’accouchement auprès d’un personnel qualifié serait fortement biaisé. De plus, il ressort qu’à l’exception du Ghana et dans une moindre mesure de la Tanzanie, cet effet est totalement médiatisé par le contenu des soins prénatals que les femmes reçoivent. L’article met ainsi en relief le rôle des prestataires de soins qui pour atteindre plus efficacement les populations doivent agir en tant que leaders au sein de leur communauté. / In Africa, the lives of women and their offspring continue to be threatened at every birth because of the underuse of maternal health care. It is estimated that every year about a quarter of a million the number of maternal deaths and nearly four million children die before age five. Comparing the health patterns in sub-Saharan Africa with other contexts helps to better understand the reality of sub-Saharan Africa, where the risk of death in pregnancy is of the order of 1 to 31, while it is only 1 per 4300 in industrialized countries. This situation is preventable and most often is the result of under or non-use of maternal health services, lack of adequate health care facilities or skilled health personnel. This thesis seeks to understand how gender inequality within the household and in the community reinforces inequalities in the use of maternal health services, as well as the empirical relationship linking the various types of maternal health care uptakes. Specifically, it aims to 1) provide a measure of gender norms favorable to violence against women and to analyze its influence on women’s decision-making authority within the household, 2) simultaneously analyze the impact of these gender norms along with the women’s decision-making authority on the use of antenatal care and delivery assistance, and finally, 3) determine the influence of antenatal care on the use of assisted delivery. Each of these objectives faces substantial methodological issues, either measurement or selection bias, which the structural equation modeling approach we adopted overcomes. The results of our analysis, in the form of scientific articles, are based on the data from Demographic and Health Surveys (DHS) of Ghana, Kenya, Uganda and Tanzania and are related to women living in rural areas. Our first article provides a measure of gender norms and, more specifically, those related to violence against women by using the approach of latent variables. The five questions of the DHS on women's attitudes about the legitimacy of violence allowed measuring these gender norms at contextual level. The results suggest that this measure has good validity criteria as the Cronbach's alpha ranged from 0.85 to 0.94 for Kenya to Ghana, the chi-square is insignificant everywhere, the RMSEA is below 0.05 and the CFI above 0.96 and saturation are mostly higher than 0.7 in all countries. On the other hand, using multilevel structural equation modeling, we found that beyond their own attitude toward violence against women, women who live in an environment where gender norms are more favorable to violence are more likely to be of low or no decision-making autonomy (compared to high decision-making autonomy) in all the countries studied. The second Article documents the influence of the gender inequality identified at the contextual level by the gender norms favorable to violence against women and at the individual level by the women’s autonomy of decision-making within the household, on the occurrence of antenatal care during the first quarter, and the use of at least four antenatal care and assisted delivery with skilled professional. Also using multilevel structural equation modeling on the same data of article 1, we find that each of these dependent variables is strongly influenced by the cluster in which the woman lives. In other words, her place of residence determines the maternal health behavior she adopts. Similarly, controlling for other variables, our results show that women who live in an environment where gender norms related to violence against women are higher, have on average, a greater chance of not giving birth with a qualified staff in Ghana and Uganda, of not starting their antenatal care in the first trimester in the same countries, and of not reaching at least four antenatal care visits in Tanzania. By cons, this contextual variable does not significantly affect the use of maternal health care in Kenya. Finally, the results show that norms in favor of gender violence against women are more critical to understand the use of maternal health care in the countries studied than the women’s decision-making autonomy. Chapter VII is the last empirical paper of the thesis and examines the effects of prenatal care on the use of skilled birth attendance and also investigates the role of the content of prenatal care in this relationship. Previous studies on the topic have failed to control for possible endogeneity biases, limiting the validity of their conclusions. Our findings point to the existence of important biases in Kenya and Tanzania, where the estimated effect of prenatal care on the use of skilled birth attendance is highly biased downwards when endogeneity is not taken into account in the statistical model. Furthermore, with the exception of Ghana and, to a lesser extent, of Tanzania, our findings indicate that the beneficial effects of prenatal health care are completely mediated by the content of services that women receive. This study emphasizes the role of healthcare providers who, to effectively reach populations, must also act as leaders in their community.
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"A gestão de unidades de saúde mental em hospitais gerais na grande São Paulo". / General hospital psychiatric units management in São Paulo metropolitan area

Lucchesi, Maurício 24 October 2001 (has links)
Apesar de terem surgido há mais de um século na Europa, o crescimento do número de unidades de saúde mental em hospitais gerais no Brasil veio de encontro às diretrizes das reformas sanitária e psiquiátrica propaladas partir da década de setenta. Desde então, essas unidades não foram submetidas a uma avaliação sistemática. O presente trabalho teve por objetivo conhecer os modos de funcionamento, a inserção na rede de assistência à saúde mental e o compromisso populacional de algumas dessas unidades na Região Metropolitana da Grande São Paulo. Para isso buscou-se obter, segundo a lógica de um processo avaliatório, as premissas que norteariam o uso de informações por gestores situados em diversos níveis em relação às unidades estudadas. Os resultados evidenciaram falta de clareza quanto ao papel desse tipo de equipamento dentro da rede assistencial, o que parece ser fruto da ausência de uma política de saúde mental na região. As dificuldades mais freqüentemente relatadas, como a impossibilidade de garantir a vinculação de pacientes em serviços extra-hospitalares especializados após a internação e a grande proporção de pacientes que chegam aos pronto-atendimentos sem necessitarem de um cuidado de urgência, não foram tidas como passíveis de algum tipo de resposta por parte dos hospitais gerais. Nas unidades, onde se privilegiam informações sobre a produção dos serviços em detrimento da avaliação do acesso e do impacto no estado de saúde da população que reside na área de abrangência do hospital, há um funcionamento independente do restante da rede, o que contribui para a fragmentação e iniqüidade da assistência à saúde mental. Um dos principais exemplos é a exclusão de pacientes das enfermarias psiquiátricas dos hospitais gerais, particularmente os cronificados, cuja patologia impossibilita a efetividade da terapêutica médica dentro do prazo estipulado para a internação. Em contrapartida, foram identificadas iniciativas que pretendem resgatar a integralidade da atenção, prioritariamente aos pacientes que merecem intervenções de maior complexidade e de longo prazo. Quanto ao cuidado aos pacientes portadores de transtornos mentais mais prevalentes, uma alternativa seria utilizar mecanismos de pressão – entre os quais informações sobre a utilização dos pronto-atendimentos psiquiátricos – para que os gestores municipais passem a investir nesse sentido. / Although having appeared more than a century ago in Europe, the increase in the number of mental health units in general hospitals in Brazil met the guidelines of the public health and psychiatric reforms propagated since the early seventies. Since then, these units haven't been submitted to a systematic assessment. The objective of present work was to be acquainted with the functioning modes of some of these units in São Paulo metropolitan area, their insertion in the mental health assistance system and their commitment to the population. In order to do so, there was an attempt to obtain, according to an assessment logic, the premisses guiding the use of information by the managers situated in different levels in relation to the studied units. The findings showed little clarity concerning the uses of such instruments inside the assistance system, which seems to be connected to the lack of a mental health policy for the studied region. The most frequently mentioned difficulties, like the impossibility to guarantee the patient the continuity of the treatment in the extra hospital services, after he has left the hospital, and the great proportion of patients that arrive at urgency services without having the need to receive urgent care, were not seen as something that general hospitals themselves could contribute to. The units, where the information about the services' production were privileged to the prejudice of the assesment of the services' access and the impact of the unit on the healthconditions of the population living under its referal areas, function independently of the rest of the mental health services, which contributes to the mental health care fragmentation and iniquity. One of the principal examples is the exclusion of patients from the the general hospitals' psychiatric inpatient services, especially the chronically mentally ill, whose pathologies make an effective treatment impossible, considering the period of time set for hospitalization. On the other hand, there has been identified initiatives that wish to redeem the integrate care, especially for the patients that require a more complex and long run treatment. An alternative for the care of the patients that have the most prevalent disabilities would be the use of pressure mechanisms – like information concerning the uses of psychiatric urgency services – to estimulate local managers investments.
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Évaluation des liens entre la composition des équipes de soins infirmiers et la qualité et sécurité des soins dans des unités de soins critiques

Bolduc, Jolianne 07 1900 (has links)
No description available.
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Contexte de genre, autonomie des femmes et utilisation des services de santé maternelle en milieu rural africain : analyse par modèles d’équations structurelles

Adjiwanou, Visseho 10 1900 (has links)
La vie des femmes du continent africain et de leurs enfants continue d’être mise en danger lors de chaque accouchement car les risques de décès maternels et infantiles sont encore très élevés. Il est estimé chaque année à environ le quart du million le nombre de décès maternel et de près de quatre millions celui des enfants de moins de cinq ans. La comparaison de la situation sanitaire avec d’autres contextes permet de mieux cerner l’ampleur du problème : en Afrique sub-Saharienne, le risque de décès lié à la grossesse est de l’ordre de 1 pour 31, alors qu’il n’est que de 1 pour 4300 dans les pays industrialisés. Cette situation est évitable et, le plus souvent, résulte de la sous ou non-utilisation des services de santé maternelle, du manque de structures adéquates de soins ou de personnel de santé qualifié. Notre thèse cherche à comprendre la manière dont les inégalités de genre au sein du ménage et dans la communauté renforcent les inégalités quant à l’utilisation des services de santé maternelle, ainsi qu’aux relations empiriques qui lient les différents recours aux soins. Concrètement, elle vise à 1) proposer une mesure des normes de genre favorables à la violence contre les femmes et à analyser son influence sur leur prise de décision au sein du ménage, 2) analyser simultanément l’influence de ces normes et de l’autonomie des femmes sur le recours aux soins prénatals et à l’accouchement assisté et finalement, 3) cerner l’influence des soins prénatals sur le recours à l’accouchement assisté. Chacun de ces objectifs se heurte à un problème méthodologique substantiel, soit de mesure ou de biais de sélection, auxquels l’approche par modèles d’équations structurelles que nous avons adoptée permet de remédier. Les résultats de nos analyses, présentés sous forme d’articles scientifiques, s’appuient sur les données issues des Enquêtes Démographiques et de Santé (EDS) du Ghana, du Kenya, de l’Ouganda et de la Tanzanie et concernent les femmes vivant en milieu rural. Notre premier article propose une mesure des normes de genre et, plus exactement, celles liées à la violence contre les femmes en recourant à l’approche des variables latentes. Les cinq questions des EDS relatives à l’attitude des femmes sur la légitimation de la violence ont permis de saisir cette mesure au niveau contextuel. Les résultats suggèrent d’une part que cette mesure a de bons critères de validité puisque l’Alpha de Cronbach varie de 0.85 pour le Kenya à 0.94 pour le Ghana; les chi-deux sont non significatifs partout; le RMSEA est en dessous de 0.05; le CFI supérieur à 0.96 et les saturations sont pour la plupart supérieures à 0.7 dans tous les pays. D’autre part, à l’aide du modèle d’équations structurelles multiniveaux, nous avons trouvé qu’au-delà de leur propre attitude envers la violence contre les femmes, celles qui vivent dans un milieu où les normes de genres sont plus favorables à la violence ont plus de chances d’être de faible autonomie ou sans autonomie (comparativement à forte autonomie) dans l’ensemble des pays étudiés. Le second article documente l’influence des inégalités de genre, cernées au niveau contextuel par les normes favorables à la violence contre les femmes et au niveau individuel par l’autonomie de prise de décision au sein du ménage, sur la survenue des soins prénatals au cours du premier trimestre et sur les recours à au moins 4 consultations prénatales et à l’accouchement assisté. En utilisant également les modèles d’équations structurelles multiniveaux sur les mêmes données du premier article, nous constatons que chacune de ces variables dépendantes est fortement influencée par la grappe dans laquelle la femme vit. En d’autres mots, son lieu de résidence détermine le comportement de santé maternelle que l’on adopte. De même, en contrôlant pour les autres variables explicatives, nos résultats montrent que les femmes qui vivent dans un milieu où les normes de genre liées à la violence contre les femmes sont élevées ont, en moyenne, une plus grande chance de ne pas accoucher auprès d’un personnel qualifié au Ghana et en Ouganda, de ne pas débuter leurs soins prénatals dans le premier trimestre dans les mêmes pays, et de ne pas recourir à au moins quatre consultations prénatales en Tanzanie. Par contre, cette variable contextuelle n’influence pas significativement le recours aux soins de santé maternelle au Kenya. Enfin, les résultats montrent que les normes de genre favorables à la violence contre les femmes sont plus déterminantes pour comprendre le recours aux soins de santé maternelle dans les pays étudiés que l’autonomie de prise de décision de la femme. Dans le cadre du troisième et dernier article empirique de la thèse, nous nous sommes intéressés à l’importance des soins prénatals dans le processus de recours à l’accouchement assisté et à la place du contenu des soins reçus avant l’accouchement dans cette relation. Cet article met en exergue l’existence de biais d’endogénéité au Kenya et en Tanzanie, où sans sa prise en compte, l’effet des soins prénatals sur le recours à l’accouchement auprès d’un personnel qualifié serait fortement biaisé. De plus, il ressort qu’à l’exception du Ghana et dans une moindre mesure de la Tanzanie, cet effet est totalement médiatisé par le contenu des soins prénatals que les femmes reçoivent. L’article met ainsi en relief le rôle des prestataires de soins qui pour atteindre plus efficacement les populations doivent agir en tant que leaders au sein de leur communauté. / In Africa, the lives of women and their offspring continue to be threatened at every birth because of the underuse of maternal health care. It is estimated that every year about a quarter of a million the number of maternal deaths and nearly four million children die before age five. Comparing the health patterns in sub-Saharan Africa with other contexts helps to better understand the reality of sub-Saharan Africa, where the risk of death in pregnancy is of the order of 1 to 31, while it is only 1 per 4300 in industrialized countries. This situation is preventable and most often is the result of under or non-use of maternal health services, lack of adequate health care facilities or skilled health personnel. This thesis seeks to understand how gender inequality within the household and in the community reinforces inequalities in the use of maternal health services, as well as the empirical relationship linking the various types of maternal health care uptakes. Specifically, it aims to 1) provide a measure of gender norms favorable to violence against women and to analyze its influence on women’s decision-making authority within the household, 2) simultaneously analyze the impact of these gender norms along with the women’s decision-making authority on the use of antenatal care and delivery assistance, and finally, 3) determine the influence of antenatal care on the use of assisted delivery. Each of these objectives faces substantial methodological issues, either measurement or selection bias, which the structural equation modeling approach we adopted overcomes. The results of our analysis, in the form of scientific articles, are based on the data from Demographic and Health Surveys (DHS) of Ghana, Kenya, Uganda and Tanzania and are related to women living in rural areas. Our first article provides a measure of gender norms and, more specifically, those related to violence against women by using the approach of latent variables. The five questions of the DHS on women's attitudes about the legitimacy of violence allowed measuring these gender norms at contextual level. The results suggest that this measure has good validity criteria as the Cronbach's alpha ranged from 0.85 to 0.94 for Kenya to Ghana, the chi-square is insignificant everywhere, the RMSEA is below 0.05 and the CFI above 0.96 and saturation are mostly higher than 0.7 in all countries. On the other hand, using multilevel structural equation modeling, we found that beyond their own attitude toward violence against women, women who live in an environment where gender norms are more favorable to violence are more likely to be of low or no decision-making autonomy (compared to high decision-making autonomy) in all the countries studied. The second Article documents the influence of the gender inequality identified at the contextual level by the gender norms favorable to violence against women and at the individual level by the women’s autonomy of decision-making within the household, on the occurrence of antenatal care during the first quarter, and the use of at least four antenatal care and assisted delivery with skilled professional. Also using multilevel structural equation modeling on the same data of article 1, we find that each of these dependent variables is strongly influenced by the cluster in which the woman lives. In other words, her place of residence determines the maternal health behavior she adopts. Similarly, controlling for other variables, our results show that women who live in an environment where gender norms related to violence against women are higher, have on average, a greater chance of not giving birth with a qualified staff in Ghana and Uganda, of not starting their antenatal care in the first trimester in the same countries, and of not reaching at least four antenatal care visits in Tanzania. By cons, this contextual variable does not significantly affect the use of maternal health care in Kenya. Finally, the results show that norms in favor of gender violence against women are more critical to understand the use of maternal health care in the countries studied than the women’s decision-making autonomy. Chapter VII is the last empirical paper of the thesis and examines the effects of prenatal care on the use of skilled birth attendance and also investigates the role of the content of prenatal care in this relationship. Previous studies on the topic have failed to control for possible endogeneity biases, limiting the validity of their conclusions. Our findings point to the existence of important biases in Kenya and Tanzania, where the estimated effect of prenatal care on the use of skilled birth attendance is highly biased downwards when endogeneity is not taken into account in the statistical model. Furthermore, with the exception of Ghana and, to a lesser extent, of Tanzania, our findings indicate that the beneficial effects of prenatal health care are completely mediated by the content of services that women receive. This study emphasizes the role of healthcare providers who, to effectively reach populations, must also act as leaders in their community.
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Suivi postnatal à domicile après un congé précoce : Critères de sélection et Appréciation du délai

Pomerleau, Sophie G. 08 1900 (has links)
Aujourd’hui, la satisfaction des utilisateurs des services de santé est reconnue comme une mesure de la qualité des soins. Au Québec, le congé précoce en obstétrique constitue la norme pour les mères ayant donné naissance à un bébé en santé. Selon la littérature, cette pratique n’entraîne pas de répercussions négatives pour la santé des mères et de leur nouveau-né à condition qu’un suivi adéquat soit assuré. D’autre part, bien qu’il semble que la diminution de la durée du séjour hospitalier soit appréciée par les mères, peu de données sont disponibles relativement aux caractéristiques menant à l’appréciation du suivi postnatal. Objectifs : Cette étude s’intéresse principalement à la première visite à domicile effectuée par une infirmière suite au congé précoce en obstétrique. Dans un premier temps, elle vise à tracer un portrait des mères en fonction du délai de la première visite à domicile et, dans un second temps, à connaître les facteurs associés à l’appréciation, par les mères, du délai de cette visite. Méthode : Les données de cette étude ont été recueillies au Québec, entre janvier 2002 et janvier 2003, lors d’une enquête téléphonique effectuée auprès de mères de bébés nés en santé, un mois suivant leur accouchement vaginal sans complication (n=1548). Pour nos analyses, nous avons retranché les mères ayant eu une durée de séjour de plus de 60 heures, une grossesse de moins de 37semaines et un bébé pesant moins de 2500 g à la naissance. Notre échantillon se compose donc de 1351 mères. Résultats : 86,2 % des mères ont reçu une offre de visite à domicile. La majorité (80.2 %) des mères ont reçu la visite dans les trois premiers jours suivant leur retour à la maison, dont près du tiers (28,1 %), dans les 24 premières heures. Comparativement aux mères visitées au deuxième ou troisième jour suivant le congé, celles visitées dans les 24 premières heures ont jugé la durée de séjour hospitalier trop courte (p=0,018) et reçu un appel de l’infirmière qui a duré plus longtemps (p=0, 009). De plus, au moment du congé, elles perçoivent leur bébé en moins bonne santé (p=0,029). Elles ont aussi accouché d’un bébé plus petit (p=0,052) qui a tendance à avoir présenté des signes d’ictères pendant le séjour hospitalier (p=0,100). D’autre part, la majorité des mères (86,4 %) disent que le délai de la première visite à domicile est adéquat alors que 11,6 % le jugent trop court et 2,3 % trop long. Pour les mères visitées au premier jour, l’analyse multivariée révèle que certaines caractéristiques et certains besoins sont associés à la perception que le délai de la visite est trop court : une seule visite postnatale, un revenu familial de plus de 40 000 $, la perception que la durée de séjour est trop longue et le fait de ne pas allaiter. Pour les mères qui reçoivent la visite au deuxième et troisième jour, ce sont, seulement, le fait d’avoir été au rendez-vous médical et le fait d’avoir reçu une seule visite qui sont associés à la perception que le délai de la visite est trop court. Pour conclure, au Québec, le programme de suivi postnatal universel semble en mesure d’offrir une visite à domicile dans les délais prescrits à une majorité de mères. Les résultats de cette étude suggèrent que le délai de la première visite à domicile n’est pas optimal pour toutes les mères et permettent d’envisager que certaines mères auraient souhaité recevoir une seconde visite plus tardivement au cours de la période postnatale. D’autres recherches devront être effectuées afin de parfaire nos connaissances relativement au moment idéal pour réaliser les interventions postnatales.Mots clefs : Satisfaction, appréciation des utilisateurs, qualité des soins, programme universel, suivi postnatal, congé précoce en obstétrique, visite à domicile, délai de la visite, provision des services. / Patient satisfaction is now recognized as part of a measure of quality of care. In Québec, early discharge following normal delivery is common practice. Early discharge was proven to have no impact on the mother’s and baby’s health status when adequate follow-up is ensure. Women’s seems to appreciate early discharge but few studies have explored the factors contributing to the expression of satisfaction regarding home visits in the context of postnatal early discharge. Objectives: This study as two main objectives. First, we want to identify which characteristics are associated with the delay of the first postnatal visit. Second, we want to determine which factors are contributing to the appreciation of the visit’s delay. Methods : Data were obtained through a telephone survey conducted in the province of Quebec between January 2002 and January 2003. Mothers that had a normal vaginal delivery and a healthy baby were reached one month after giving birth (n=1548). For analysis purposes, mothers with length of stay above 60 hours, less than 37 week of pregnancy and a newborn weighing less than 2500 g at birth were cut off leaving a sample of 1351 mothers. Results: 86.2% of the mothers have been offered a postnatal visit. Most women (80.2%) received a home visit within three days and almost a third (28.1%) within the first 24 hours after hospital discharge. When compared to the mothers who received the visit within 2 or 3 days, mothers that received a visit within the first 24 hours found the hospital stay too short (p=0.018) but received a longer telephone call by the nurse (p=0.009). These mothers gave birth to smaller babies (p=0.052) whom also presented jaundiced while being in the hospital (p=0.100). Finally, at discharge, these mothers perceive their baby to be less healthy (p=0.029). On the other end, 86.4 % of all mothers are satisfied with the delay of the first postnatal visit, while 11.6% of them found it too short and 2.3% too long. For the mothers visited the first day, logistic regression analysis reveals that some characteristics as: having only one postnatal visit, a family income of more than 40 000$, perceived hospital stay as too long and not breastfeeding, are significantly associated with the perception of having a visit too soon after hospital discharge. For mothers visited on the second or third day after discharge, the perception that the delay was too short is only significantly associated with having a baby’s medical appointment within the first two weeks and one postnatal visit. Conclusion: Quebec’s postnatal visit program seems to offer a visit within an adequate length of time for the majority of mothers. Results of this study suggest that the time after the hospital discharge for the first visit might not be optimal for all mothers. This allows us to consider that some mothers would have appreciated a second postnatal visit. Further studies are needed to pursue analysis of the delays between discharge and the first visit in order to better meet the needs of mothers. Keywords :Satisfaction, user evaluation, quality of care, universal program, postnatal care, postpartum early discharge, home visit, timing, service provision
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Exploration des conceptions de la performance privilégiées par des infirmières et des membres de l’équipe d’encadrement impliqués dans l’offre de services infirmiers : une étude qualitative exploratoire

Rolland, Karine 07 1900 (has links)
Problématique : Les organisations de santé font face à des pressions diverses pour offrir des soins et des services qui répondent aux plus hauts critères de performance et rendre compte de cette performance. Ces pressions proviennent de différents acteurs tels que les usagers du système de santé et les décideurs politiques. En raison de la place importante que prennent les infirmières dans l’offre de services de santé, il existe un intérêt croissant pour la mise en place d’interventions visant à mesurer et à améliorer la performance des services infirmiers. Cependant, dans le cadre de ces processus, les organisations sont souvent confrontées à des visions différentes et conflictuelles de la performance et à diverses approches pour la mesurer. Objectifs : Cette étude qualitative exploratoire a pour but d’explorer les conceptions de la performance des membres de l’équipe d’encadrement impliqués dans la prestation des services infirmiers et des infirmières soignantes et d’examiner dans quelle mesure les conceptions de la performance des deux groupes d’acteurs correspondent ou entrent en conflit. Méthodologie : Des entrevues semi-dirigées ont été conduites auprès de cinq membres de l’équipe d’encadrement et de trois infirmières. Une analyse de contenu a été effectuée à la fois pour faire ressortir l’éventail des conceptions et celles qui sont les plus prépondérantes dans les discours. Le cadre de référence ayant guidé cette analyse est une adaptation du modèle conceptuel de Donabedian comprenant trois dimensions soit la structure, le processus et les résultats (Unruh & Wan, 2004). Résultats : L’analyse des données recueillies auprès des membres de l’équipe d’encadrement fait ressortir dix conceptions distinctes, mais interreliées de la performance qui mettent l’accent sur les éléments de processus de soins infirmiers et de résultats chez la clientèle. Concernant les infirmières, neuf conceptions ont été répertoriées et l’accent a été porté surtout sur les éléments concernant l’adéquation des ressources humaines infirmières et de processus de soins infirmiers. Certaines similitudes et différences ont été repérées entre les conceptions de ces deux groupes d’acteurs. Conclusion : Cette étude permet de mieux comprendre les conceptions de la performance des acteurs impliqués dans l’offre de services infirmiers. Le modèle intégrateur qui résulte de la combinaison de ces différentes conceptions offre un cadre utile pour guider la construction d’outils de mesure de performance directement en lien avec les soins infirmiers et répondre à la demande d’imputabilité par rapport à ces services. / Background : Healthcare organizations face pressure to supply care and services that meet the highest level of performance and to show accountability in regards to this performance. These pressures come from different individuals ranging from the users of the healthcare system to political leaders. Since the nursing staffs occupy an important part in the supply of the healthcare services, there is a growing interest to put in place actions that would increase the performance of the nursing services as well as measure it. However, as part of this process, healthcare organizations often face conflictual notions of what performance is and how to properly measure it. Objectives : This qualitative exploratory study aims to explore the different notions of what performance is as seen by management teams involved in the nursing services delivery and by the field nurses to determine how much these notions are similar to each other or rather in opposition. Methodology: Semi-directed interviews have been held with five management teams’ members and also with three nurses. A content analysis has been made to illustrate the various notions of what performance is and those that show up the most. The framework used in this study is an adaptation of Donabedian’s model which includes three components: structure, process and results (Unruh & Wan, 2004). Findings: Ten distinct but related performance notions that focus on nursing’s process and impact on the users have been identified from data collected from management team members. On the nurses’ side, nine notions have been identified and put the focus mainly on the adequacy of nursing human resources with the nursing process. Some differences and similarities have also been identified between the performance notions of the two groups. Conclusion : This study gives a better understanding of the different performance notions that come from the various individuals involved in the nursing supply. The integrator model that result from the mix of these different notions will be useful in the creation of performance measurement tools directly linked with the nursing services, which will help respond to the accountability demand towards these services.

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