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Gender roles and physical function in old age

Ahmed, Tamer 10 1900 (has links)
Contexte : Les différences de fonctionnement physique entre les hommes et les femmes ne sont pas bien comprises. Les chercheurs ont porté attention aux différences biologiques entre les hommes et les femmes mais ne se sont pas concentrés sur les différences de fonctionnement physique et de mobilité qui pourraient être reliées au sexe et au genre. En particulier, les effets de la masculinité et de la féminité sur le fonctionnement physique des personnes âgées n’ont pas été examinés. Objectifs : L’objectif principal de cette recherche est d’évaluer l’association entre fonctionnement physique et rôles de genre. Pour atteindre cet objectif, nous avons examiné : 1) la validité de la version courte (12 items) de l’Inventaire des rôles sexués de Bem (IRSB) ; 2) les associations transversales et longitudinales entre l’IRSB et des indicateurs de mobilité et de performance physique, et finalement 3) les variables jouant un rôle de médiation entre l’IRSB et la performance physique. Méthodes : Les données de l’étude internationale sur la mobilité au cours du vieillissement (IMIAS) recueillies en 2012 et 2014 ont été utilisées dans cette recherche. Cette étude s’est déroulée dans 5 villes : Saint-Hyacinthe (Québec) and Kingston (Ontario) au Canada, Tirana (Albanie), Manizales (Colombie) et Natal (Brésil), avec un échantillon approximatif à chaque site de 200 hommes et 200 femmes âgés de 65 à 74 ans vivant dans la communauté (N=2004). Deux aspects du fonctionnement physique ont été examinés dans cette thèse : la mobilité et la performance physique. La mobilité a été mesurée par deux questions sur la difficulté à marcher un Km et à monter un étage d’escaliers. La performance physique a été objectivée par le Short Physical Performance Battery (SPPB). Cette batterie inclut des mesures de la marche, de l’équilibre et de la force musculaire et elle mesure le temps requis pour exécuter trois tests : marcher quatre mètres, se tenir début en position de tandem et se lever d’une chaise cinq fois. Pour la validation psychométrique de l’instrument IRSB, des analyses factorielles exploratoires et confirmatoires ont été réalisées. Pour les études d’associations transversales, des analyses de régression de Poisson ont permis l’estimation des ratios de prévalence pour les incapacités de mobilité et la mauvaise performance physique, comparant les rôles masculins, féminins et indifférenciés. Pour l’étude de l’incidence de la mauvaise performance physique, les estimations de risque relatif ont été obtenues à l’aide de la régression de Poisson. L’étude des variables de médiation entre les rôles de genre et la performance physique a inclus le tabagisme, l’inactivité physique, la consommation d’alcool, l’index de masse corporelle élevé, le nombre de maladies chroniques et la dépression. Finalement, une méta-analyse a été effectuée pour examiner l’homogénéité des associations entre les rôles de genre et la performance physique dans les cinq sites de recherche. Résultats : Les résultats des analyses factorielles pour l’instrument de mesure IRSB ont révélé qu’une solution à deux facteurs (instrumentalité-expression) donne une validité conceptuelle satisfaisante, ainsi qu’un ajustement aux données supérieur par rapport à une solution à trois facteurs. La solution à deux facteurs permet d’assigner un score de masculinité et un score de féminité à chaque participant et de classifier les personnes âgées dans quatre catégories selon leur typologie de rôle de genre : masculin, féminin, androgyne et indifférencié. En ce qui concerne les associations avec les indicateurs de mobilité et de fonctionnement physique, les rôles féminins et indifférenciés sont des facteurs indépendants associés à la prévalence des incapacités dans la mobilité et à la mauvaise performance après ajustement avec des variables de confusion potentielle. Les rôles féminins et indifférenciés sont des facteurs de risque associés à une détérioration plus rapide du fonctionnement des extrémités inferieures. Nous avons rapporté une incidence de mauvaise performance physique plus élevée pour ceux qui adoptent un rôle féminin (IRR ajusté=2.36, intervalle de confiance de 95% 1.55-3.60) ou le rôle indifférencié (IRR ajusté=2.19, 95% Intervalle de confiance de 95% 1.45-3.30) comparé au rôle androgyne. Le score de masculinité est associé à la performance physique, alors que le score de féminité ne l’est pas. Une augmentation d’une unité sur le score de masculinité est associée à une incidence de mauvais fonctionnement physique plus faible (IRR ajusté=0.76, 95% intervalle de confiance de 95% 0.67-0.87). Les rôles de genre agissent sur les comportements de santé (tabagisme et inactivité physique), sur l’index de masse corporelle et sur les maladies chroniques et la dépression, tous des facteurs de risque pour la performance physique. Les effets des rôles de genre ne sont que partiellement expliqués par ces facteurs de médiation et un effet direct des rôles de genre sur le fonctionnement physique reste toujours significatif. Conclusion : Les rôles de genre sont présents dans tous les cinq sites de recherche. La mobilité et la performance physique des personnes âgées sont associées au type de rôle de genre avec un possible effet protecteur pour les personnes androgynes, indépendamment du fait qu’ils soient un homme ou une femme. Les rôles de genre semblent influencer les comportements de santé et les risques de développer une maladie chronique et de souffrir de dépression, ce qui peut avoir des effets sur la fonction physique au cours du vieillissement. Cette étude est la première sur le sujet et nos résultats devraient être confirmés par des études futures avant d’être traduits en interventions concrètes de santé publique. / Background: Gender differences in mobility disability among older adults are not well understood. Studies have focused on the biological differences between men and women, but not on the mobility differences due to interrelationships of sex and gender. The associations between masculinity, and femininity on physical function in old age have never been examined. Objective: The main objective of this dissertation is to study the relationships between physical function and gender roles in old age. To accomplish this objective, I have: 1) assessed the psychometric properties and construct validity of the 12-items short form Bem Sex Roles Inventory (BSRI), 2) examined the cross-sectional associations between BSRI and mobility and physical performance, and 3) examined mediating pathways between BSRI and physical performance. Methods: A total of 2004 community-dwelling older adults from the International Mobility in Aging Study (IMIAS) aged 65 to 74 years were recruited in Natal (Brazil), Manizales (Colombia), Tirana (Albania), Kingston (Ontario, Canada), and Saint-Hyacinthe (Quebec, Canada). Two aspects of mobility loss will be assessed in this dissertation: first, Mobility disability is a self-reported measure of the difficulty to walk half a mile or climb one flight of stairs without assistance. Second, poor physical function or performance of the lower extremities which is assessed by an objective tool and defined as inability to perform physical action in the manner considered normal in the short physical performance battery (SPPB). This battery includes three timed tests of lower extremity function: a hierarchical test of standing balance, a four-meter walk, and five repetitive chair stands. To assess the validity of BSRI in old age as a measure of gender roles. The psychometric properties of the 12- items short form BSRI were assessed by means of exploratory (EFA) and confirmatory factor analysis (CFA). To assess the cross-sectional associations between gender roles and both measures of mobility loss, I used Poisson regression analysis to estimate prevalence rate ratios of gender role types using the androgynous type as reference category. To calculate the incidence of poor physical performance after two years of follow up, Poisson regression was conducted for the estimation of relative risks. Body mass index, smoking, alcohol consumption, physical activity, chronic diseases, and depression were tested as potential mediators in the pathway between gender roles and physical performance in old age. Finally, taking account the possible differences in associations between countries, I have conducted a meta-analysis to estimate overall effects of masculinity and femininity scores on physical performance based on five distinct studies representing each research site of IMIAS. Results: The results of Exploratory Factor Analysis revealed a three-factor model. This model was further confirmed by CFA and compared with the original two-factor structure model. CFA results revealed that a two-factor solution (instrumentality-expressiveness) has satisfactory construct validity and superior fit to data compared to the three-factor solution. These factor analysis findings allowed to calculate scores of masculinity and femininity and classify participants into four categories according to gender roles: Masculine, feminine, androgynous and undifferentiated. Feminine and undifferentiated gender roles are independent risk factors associated with the prevalence of mobility disability and low physical performance in older adults. Consistent with cross sectional analysis, higher incidence of poor physical performance was observed among participants endorsing the feminine role or the undifferentiated role compared to the androgynous role. Higher masculinity but not femininity scores predicted good physical performance two years later. Gender roles predicted poor physical performance through statistically significant direct and indirect pathways. Cumulative smoking, BMI, physical activity, multimorbidity, and depression were serial mediators explaining the indirect effect of gender roles on physical performance. These intermediate behavioral and pathological pathways only partially mediated the observed associations. None of the potential serial mediators in the present study could completely account for the association between gender roles and physical performance. Conclusions: Traditional gender roles are existent in the five research sites of IMIAS. Gender roles influence physical function in old age with a possible protective effect of androgyny in old age independent of biological sex. Gender roles influence health behaviors which in turn contribute to chronic conditions and faster decline of lower extremities physical function. This study adds to the scant literature on this topic and the findings obtained from this dissertation need to be confirmed by future longitudinal studies for the appropriate translation into public health actions.
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Les corrélats du sexe et du genre dans les différences sexuelles du fonctionnement cognitif : une étude exploratoire

Kheloui, Sarah 12 1900 (has links)
Les corrélats de la cognition sexuellement dimorphique demeurent partiellement compris puisque plusieurs variables de nature psychosociale et biologique modulent de façon synergique ces habiletés cognitives. Les corrélats du sexe et du genre dans le fonctionnement cognitif sexuellement dimorphique ont été évalués dans un échantillon d’individus âgés de 18 à 45 ans (N=87) et d’orientations sexuelles diverses. Les hormones sexuelles (estradiol, testostérone et progestérone) ont été mesurées par le biais d’échantillons de salive à quatre temps de mesure différents lors du paradigme expérimental. Les rôles de genre, l’orientation sexuelle et les variables sociodémographiques ont été évalués par l’entremise de questionnaires auto-rapportés. La contraception étant source importante de variation, a été prise en compte via des questionnaires auto-rapportés. Les participants ont complété une tâche de rotation mentale, de fluidité verbale ainsi que le Trier Social Stress Test par la suite. Le volet de réactivité au stress était un volet des de ce paradigme de recherche, mais pas un objectif de la présente étude puisque cette question a été investiguée dans des études précédentes. Les hommes ont mieux performé à la tâche de rotation mentale que les femmes alors qu’aucune différence significative n’a été démontrée pour la tâche de fluidité verbale. Des associations significatives et positives ont été observées entre l’estradiol et la performance de fluidité verbale pour les femmes naturellement cyclées comparativement à celle utilisant des contraceptifs oraux, mais pas pour la progestérone et la testostérone. En contrôlant pour les hormones sexuelles, un effet d’interaction significatif entre le sexe et les rôles de genre a été identifié démontrant que les femmes s’identifiant comme masculines performaient mieux à la tâche de rotation mentale que les autres groupes de femmes. Ces résultats exploratoires suggèrent un effet principalement conduit par le sexe et les hormones sexuelles sur la performance cognitive qui pourrait également être influencé par des facteurs psychosociaux. / The correlates of sexually dimorphic cognition are not yet fully understood since many biological and psychosocial variables modulate these cognitive abilities in synergy. Sex and gender correlates of sexually dimorphic cognition were assessed in a sample of individuals ages 18-45 years (N=87) from diverse sexual orientations. Sex hormones (estradiol, testosterone and progesterone) were assessed via saliva samples at four timepoints throughout testing. Gender-roles, sexual orientation and socio-demographics were measured via self-report questionnaires. Contraception being an important variability factor was assessed via self-report questionnaires. Participants completed mental rotation and verbal fluency tasks as well as the Trier Social Stress Test afterwards. The stress reactivity aspect was evaluated but was not one of the main objectives of the current study as previous publications have investigated this already. Men performed better than women at mental rotation, while no significant difference was found for verbal fluency. Significant positive associations were observed between estradiol and word fluency for the naturally cycling women compared to the women using oral contraception but not for progesterone and testosterone. While controlling for sex hormones, a significant interaction effect of sex and gender-roles was identified showing that masculine women performed better than other women groups at the mental rotation task. These exploratory results suggest an effect principally driven by sex and sex hormones on cognitive performance that may also be influenced by psychosocial factors.
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Les rôles de genre professionnels en lien avec la charge allostatique et le fonctionnement psychosocial de travailleurs d'hôpital psychiatrique

Beauchamp-Kerr, Philippe 09 1900 (has links)
Les inégalités genrées sont reliées à des trajectoires de maladies qui sont distinctes pour les hommes et les femmes. La mesure de ces inégalités est un défi, mais demeure essentielle pour mieux expliquer les différences individuelles en santé organisationnelle. L’objectif de cette étude exploratoire et rétrospective était d’investiguer les associations entre des couches s’étendant du niveau individuel (ex. rôles de genre) jusqu’au niveau macroscopique (ex. rôles de genre professionnels) en lien avec la charge allostatique (23 biomarqueurs), le stress au travail (demandes-contrôle-soutien, déséquilibre efforts-récompenses) et la santé mentale (dépression, d’épuisement professionnel, trauma) chez des travailleurs d’hôpital psychiatrique (N=192). Nous proposons une nouvelle approche pour mesurer les inégalités de genre dans le cadre d’analyses rétrospectives, mais qui pourrait aussi être incorporer dans de nouveaux devis expérimentaux. Nos résultats démontrent que le niveau de masculinité individuelle était associé positivement avec les demandes psychologiques et le soutien social perçu au travail. Le niveau de masculinité et de féminité associé à un emploi, quant à eux, étaient positivement associés avec le contrôle sur les tâches, ainsi que le surengagement au travail. Tant les niveaux de masculinité et de féminité individuel avaient des effets protecteurs sur les symptômes de dépression et d’épuisement professionnel, alors que seul le niveau de masculinité individuel avait des effets protecteurs sur les symptômes de trauma. Par contre, aucune association n’a été trouvée entre les rôles de genre individuel, professionnels et la charge allostatique. Au-delà des rôles de genre d’un individu, notre étude démontre l’utilité de mesurer les rôles de genre professionnels afin de mieux expliquer les associations entre le stress subjectif et ses conséquences sur la santé. / Gendered inequalities in workplace stress are linked to sex-specific health trajectories that are poorly understood. Measuring these gendered inequalities are challenging but an essential endeavor to better explain individual differences in occupational health. The aim of this exploratory, retrospective study was to investigate pathways linking layers of individual-level (e.g., sociocultural gender-roles) and macro-level (e.g., occupational gender-roles) gender factors to measures of allostatic load (23 biomarkers), workplace stress (e.g., job strain, effort-reward imbalance) and mental health (e.g., depressive symptoms, burnout symptoms, trauma symptoms) in a sample of psychiatric hospital workers (N=192). We propose a practical web-based survey approach to measure macro-level gendered occupational factors for retrospective analyses that could also be integrated in novel experimental designs. Our findings show that individual-level masculine gender-roles were positively associated with psychological demands and social support. Masculine and feminine occupational gender-roles were positively associated with decisional latitude and overcommitment. Both individual masculine and feminine gender-roles had protective effects on depressive symptoms and burnout symptoms but only individual masculine gender-roles had protective effects on trauma symptoms; however occupational gender-roles had no effects on mental health. No associations were found with allostatic load. Moving beyond an individual’s gender-roles, our study demonstrates the utility of measuring occupational gender-roles to delineate challenging associations between subjective stressors and health outcomes that should be applied in analyses for future studies of sex differences in occupational health.
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Qualité de vie professionnelle et bien-être au travail en protection de la jeunesse : l’influence des rôles de genre sur la violence au travail et ses conséquences

Dufour, Renaud 07 1900 (has links)
L'exposition à la violence au travail peut avoir des conséquences professionnelles négatives pour les travailleurs en protection de la jeunesse. Bien que des études antérieures aient identifié des facteurs de protection et de risque en lien avec cet enjeu, les différences individuelles liées aux rôles de genre restent encore à être explorées. Allant au-delà du sexe, ce mémoire vise à examiner comment les rôles de genre influencent l'exposition à la violence au travail, la qualité de vie professionnelle et le bien-être au travail chez les travailleurs en protection de la jeunesse. Un échantillon randomisé stratifié par sexe de 301 travailleurs en protection de la jeunesse canadiens (hommes: 15,6%, femmes: 84,4%) a été recruté afin que les participants remplissent des questionnaires validés portant sur l’exposition à la violence au travail, les rôles de genre, la qualité de vie professionnelle et le bien-être au travail. Les différences de moyennes pour l’exposition à la violence au travail, la qualité de vie professionnelle et le bien-être au travail selon le rôle de genre ont ensuite été évalué à l’aide d’ANCOVA en contrôlant pour l'expérience clinique et le type de travail. L'effet modérateur des rôles de genre sur les autres variables a été évalué par le biais de régressions linéaires multiples hiérarchiques. L'androgynie (masculinité élevée et féminité élevée) était associée à des scores plus élevés sur les indicateurs positifs de la qualité de vie professionnelle et du bien-être au travail. Cependant, les rôles de genre n'ont montré aucun effet modérateur significatif sur la relation entre l'exposition à la violence et les indicateurs de bien-être psychologique au travail. Les résultats montrent comment les analyses comparatives entre les genres peuvent fournir davantage d’information sur les mécanismes entourant la qualité de vie professionnelle et le bien-être au travail. Ils suggèrent également que l'androgynie pourrait être liée à des avantages psychosociaux potentiels pour les travailleurs en protection de la jeunesse. / Exposure to workplace violence puts child protection workers at risk for adverse occupational outcomes. While previous studies have identified protective and risk factors, individual differences in gender roles have yet to be explored. Moving beyond sex, the present thesis aims to examine the ways in which gender roles influence exposure to workplace violence, professional quality of life and wellbeing at work among child protection workers. A randomised sample stratified by sex of 301 Canadian child protection workers (Male: 15.6%, Female: 84.4%) completed validated questionnaires of exposure to workplace violence, gender roles, professional quality of life, and wellbeing at work. Mean differences in workplace violence, professional quality of life, and wellbeing at work according to gender role were then assessed using ANCOVAs controlling for clinical experience and type of work. The moderating effect of gender roles on other variables was assessed through hierarchical multiple linear regressions. Androgyny (high masculinity and high femininity) was associated with higher scores on positive indicators of professional quality of life and wellbeing at work. However, gender roles showed no significant moderating effect on the relationship between exposure to violence and indicators of psychological wellbeing at work. Results show how gender-based analyses can provide additional insights into the dynamics surrounding professional quality of life and wellbeing at work. They also suggest that androgyny could be related to potential psychosocial benefits for child protection workers.
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Les corrélats de sexe et de genre dans la cognition sexuellement polymorphique

Cartier, Louis 08 1900 (has links)
La cognition sexuellement polymorphique (CSP) résulte de l'interaction entre des facteurs biologiques du sexe (sexe assigné à la naissance, hormones sexuelles) et psychosociaux du genre (identité de genre, rôles de genre, orientation sexuelle). La littérature reste assez mitigée quant à la magnitude des effets de ces variables. Seules quelques études ont considéré la CSP au-delà du sexe assigné à la naissance. Dans ces quelques études, ces facteurs supplémentaires liés au sexe et au genre n’ont été pris en compte qu’individuellement. Ce projet a utilisé une batterie de tests cognitifs classiques conçus pour évaluer l'influence des hormones sexuelles sur les performances cognitives. Parallèlement, nous avons cherché à évaluer les effetsrespectifs du sexe assigné à la naissance, des hormones sexuelles et des facteurs psychosociaux liés au genre sur la CSP. Nous avons recruté 222 adultes qui ont effectué huit tâches cognitives évaluant diverses fonctions cognitives au cours d'une session protocolaire de 150 minutes. Les sous-groupes ont été divisés comme suit : hommes cisgenres hétérosexuels (n = 46), hommes cisgenres non hétérosexuels (n = 36), femmes cisgenres hétérosexuelles (n = 36), femmes cisgenres non hétérosexuelles (n = 38), et personnes issues de la diversité de genre (n = 66). Des échantillons de salive ont été prélevés avant, pendant et après les tests cognitifs pour mesurer les niveaux de testostérone, d'estradiol, de progestérone, de cortisol et de déhydroépiandrostérone. Les variables psychosociales ont été adressées via des questionnaires autorapportés validés. La batterie cognitive présentée reflète des différences entre les sexes qui sont partiellement en concordance avec la littérature. Il est intéressant de noter que les facteurs biologiques semblent expliquer les différences de performances dans les tâches cognitives genrées «masculines» (par exemple, spatiales), tandis que les facteurs psychosociaux semblent expliquer les différences de performances dans les tâches cognitives genrées «féminines» (par exemple, verbales). Nos résultats fournissent une base solide pour une meilleure compréhension de la CSP en allant au-delà du sexe assigné à la naissance en tant que variable binaire. Nous soulignons l'importance de considérer le sexe comme un facteur biologique et le genre comme un facteur socioculturel, tous deux associés de manière unique à la CSP. / Sexually polymorphic cognition (SPC) results from the interaction between biological sex (birth-assigned sex, sex hormones) and psychosocial gender (gender identity, gender roles, sexual orientation) factors. The literature remains quite mixed regarding the magnitude of the effects of these variables. Only few studies consider SPC beyond birth-assigned sex. From these studies, other sex and gender factors were considered individually. This project used a battery of classic cognitive tests designed to assess the influence of sex hormones on cognitive performance. At the same time, we aimed to assess the inter-related and respective effects that birth-assigned sex, sex hormones, and gender-related psychosocial factors have on SPC. We recruited 222 adults who completed eight cognitive tasks that assessed a variety of cognitive domains during a 150-minute session. Subgroups were recruited as follows: cisgender heterosexual men (n = 46), cisgender nonheterosexual men (n = 36), cisgender heterosexual women (n = 36), cisgender non-heterosexual women (n = 38), and gender diverse (n = 66). Saliva samples were collected before, during, and after the test to assess testosterone, estradiol, progesterone, cortisol, and dehydroepiandrosterone. Psychosocial variables were derived from self-report questionnaires. The cognitive battery presented reflects gender differences that are partially consistent with the literature. Interestingly, biological factors seem to explain differences in male-typed cognitive tasks (e.g., spatial), while psychosocial factors seem to explain differences in female-typed cognitive tasks (e.g., verbal). Our results provide a solid foundation for a better understanding of SPC by going beyond birth-assigned sex as a binary. We highlight the importance of treating sex as a biological factor and gender as a sociocultural factor both uniquely associated with SPC.

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