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Vers une critique de la raison quantique: les approches transcendantales en mécanique quantique.

Kauark-Leite, Patricia 10 December 2004 (has links) (PDF)
Cette thèse explore les interprétations transcendantales de la mécanique quantique, se concentrant sur les différences entre la constitution de l'objectivité dans la mécanique classique et dans la mécanique quantique. En premier lieu, la condition de l'objectivité dans l'épistémologie de Kant est analysée du point du vue du problème de la constitution de la matière. Par la suite, les changements épistémologiques présentés par la physique quantique sont examinés dans le but de vérifier si la philosophie transcendantale reste toujours valide. Une vue des différentes approches transcendantales est présentée, montrant les modulations des principes a priori pour expliquer le problème d'objectivation de la mécanique quantique. En conclusion, on défend et adopte une interprétation pragmatique transcendantale. La tâche principale est de donner une justification philosophique à la dimension intersubjective de l'objectivité quantique. L'investigation sur les conditions transcendantales converge aux conditions pragmatiques de l'usage des concepts quantiques. Le rôle du langage ordinaire dans le contexte quantique, souligné par Bohr, est évalué dans le cadre du tournant linguistique de la philosophie post-wittgensteinienne. Cette thèse défend et implique un changement des conditions transcendantales de la connaissance : des conditions subjectives de l'entendement (dans le sens de Kant) aux conditions intersubjectives du langage. Le changement lui-même est basé sur l'interprétation complémentaire de Bohr.
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La rhétorique et sa critique. A la rencontre du discours et de la liberté.

Nicolas, Loïc 13 May 2011 (has links)
L’objet de cette thèse est d’engager une discussion concernant l’épistémologie de la discipline rhétorique et de formuler des propositions visant à la refonder. En partie spéculative, la réflexion que je mène à partir des travaux de Chaïm Perelman notamment, rattache cette antique discipline à la « raison pratique ». Une raison agissante qui donne l’occasion d’assumer et d’affronter l’indétermination du monde – sans pour autant faire de cette indétermination un chaos, ni en prendre ombrage pour sombrer dans le relativisme. Dans cette perspective, la rhétorique se trouve conçue comme un dispositif propre à accompagner les hommes dans le difficile exercice d’une liberté citoyenne. Une liberté au sens fort, ancrée dans la pratique du politique, telle que l’entendaient les Anciens. Je m’efforce tout d’abord de montrer que, dès l’origine, la rhétorique a représenté une compétence nouvelle, mais aussi une occasion unique de dire, d’habiter et de séculariser le monde. Ma démarche consiste donc à réfléchir l’émergence de la rhétorique dans la Grèce ancienne. À ce titre, j’analyse la fonction politique, sociale, symbolique, attribuée à la parole dans cette Cité démocratique dont elle a accompagné l’invention. Parole qui s’est vue accorder une place inégalée : comme support et comme condition de l’action citoyenne. Pourtant, force est de constater que, malgré ce succès, la rhétorique a très vite été dénoncée comme un art de tromper, de mentir, de dissimuler ses lacunes. Des générations de philosophes, d’hommes d’Église ou de scientifiques se sont attachés à démonter son fonctionnement, sa dynamique, à décrier son enseignement et, finalement, à souhaiter son évincement. C’est pourquoi, je m’intéresse aux critiques qui ont été adressées à la parole rhétorique depuis l’Antiquité jusqu’au XIXe siècle. Par là, j’entends donner une vision nouvelle de cette antique « fonction » du langage, par-delà la synthèse de ses caricatures. En outre, mon propos s’attache à mettre en lumière les lieux communs sur lesquels se fonde notre relation au discours. Dans une optique qui va d’Aristote à Perelman, je défends l’idée selon laquelle la rhétorique ne constitue pas (comme on pourrait le penser) une méthode pour apprendre à vivre ensemble dans la paix des mots, mais, avant tout, une façon de pratiquer la critique avec et contre l’autre : l’adversaire. Et ceci afin de prendre des décisions dans le monde contingent des affaires humaines. Or, c’est justement au titre de sa fonction agonistique que la rhétorique a perdu sa place et son sens dans nos démocraties. Face à cela, l’enjeu de mon travail est de mettre en évidence, après Perelman, l’existence d’une raison tout à la fois une et plurielle. En effet, la multiplicité des voies possibles, leur antagonisme, n’est pas le signe d’une raison anarchique et inconséquente, le signe d’une raison hantée par la déraison. Il s’agit, au contraire, d’une chance offerte à la raison de se mettre à l’épreuve et de risquer la liberté. Du reste, perdre cette dimension agonistique, la dénoncer, la condamner comme irrationnelle, ainsi que le font les théories normatives de l’argumentation, revient à manifester la coupure entre le langage et les ressources critiques de la rhétoriques qui permettent de faire de nos prises de parole un moyen et une ressource de l’émancipation.
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L’amour imparfaitement rationnel : la conception de l’amour dans la moralité kantienne

Kenny, Katherine 20 September 2012 (has links)
Cette thèse cherche à expliquer le concept de l’amour chez Emmanuel Kant. Elle essaye de catégoriser les différentes définitions de ce concept. Elle tente d’analyser ces définitions en utilisant trois clés d’analyse : la raison et l’émotion, la liberté et la communauté et la distance et la proximité. L'amour kantien est aussi analysé dans la perspective de la nature du sujet kantien pour le comparer au devoir d’amour.
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Ratio und fides; eine Untersuchung über die ratio in der Theologie Luthers.

Lohse, Bernhard, January 1958 (has links)
Habilitationsschrift--Hamburg. / Includes bibliography.
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Écriture et gestion chez un procureur au Parlement de Provence : analyse du livre de raison de Jean Garcin (1574-1588) /

Coulombe, Isabelle. Unknown Date (has links)
Thèse (M.Sc.) -- Université Laval, 1997. / Bibliogr.: f. 152-160. Publié aussi en version électronique.
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Zum Verhältnis von Wissen und Glauben in der kritischen Philosophie Immanuel Kants : Struktur- und Aufbauprobleme dieses Verhältnisses in der "Kritik der reinen Vernunft" /

Kvist, Hans-Olof. January 1978 (has links)
Akademisk avhandling--Teologi--Åbo, 1978. / Bibliogr. p. 345-374.
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La connaissance de soi, dans la perspective de Socrate / Self-knowledge, from the perspective of Socrates

Mosaffa, Mohammadmehdi 15 December 2015 (has links)
Intitulée : «La connaissance de soi, dans la perspective de Socrate», cette thèse a pour but d’étudier les caractéristiques de la démarche de Socrate, en ce qui concerne la connaissance de soi et son importance. La mise en œuvre de la vie humaine, telle qu’elle mérite d’être vécue, au sens socratique, est l’objectif indispensable de cet engagement philosophico-spirituel, qui consiste à rendre à l’homme, l’identité existentielle qui lui est essentiellement propre. C’est donc à la recherche de cette identité concrète, que Socrate a toujours invité ses interlocuteurs, et invite encore les lecteurs, à faire usage de leur intellect, afin de découvrir la partie la plus divine de leur âme. La question de la connaissance de soi, dans la perspective de Socrate relève plus précisément de la connaissance de l’âme, considérée comme le véritable soi, portant en elle l’empreinte divine. Par conséquent, se connaître soi-même vise la contemplation de cette particularité propre à l’homme, laquelle le conduit à son excellence. L’aspect subjectif de cette entreprise rationnelle, garantit totalement l’indépendance de l’individu, à la recherche de lui-même, lui permettant également d’acquérir les connaissances qui résident en lui, selon la théorie de la réminiscence. D’où la nécessité de s’appliquer à cette tâche essentielle de l’existence humaine, afin de lui donner un véritable sens humain. La connaissance de l’intelligible―faisant partie intégrante de sa recherche―, cet éveilleur de l’esprit a mis en œuvre, d’une manière extraordinaire, les outils essentiels de sa philosophie pratique, à savoir : la dialectique, la réfutation et la maïeutique, portées par son Amour, en vue de faire sortir ses semblables de leur caverne d’ignorance, en les invitant à se diriger vers le monde intelligible. Il ne s’agit donc pas de chercher un idéal, dans l’espoir de de s’y conformer, ce qui met en péril la liberté du sujet, mais de s’accomplir le plus concrètement, le plus parfaitement possible, comme un être humain excellemment achevé. C’est dans ce contexte précis, que la connaissance de soi, dans la perspective de Socrate, sera prise comme le modèle par excellence de cet accomplissement. / Entitled “Self-khowledge, from the perspective of Socrates” this thesis intends to examine fundamental characteristics of the Socrates’ authentic approach to self-knowledge, and the utmost importance of it. Implementation of human life, as it deserves to be lived, in the Socratic sense of the word, is the essential purpose of this philosophical and spiritual commitment, which aims at giving back to the human being the ontological identity, of his own by essence. Therefore, Socrates always invited his interlocutors, and still now invites his readers, to search for this concrete identification, and to use their intellect in order to discover the most divine part of their soul. The self-knowledge problem in the Socrates’ perspective is questioned here, for it precisely comes from the soul knowledge, considered as the genuine one-self, bearing in it the heavenly imprint. Therefore, “to know one-self“ aims at contemplating the divine part of our one-self, which leads the man to his excellence, as such he is destined to become. The subjective aspect of this rational enterprise gives a guarantee of total independence to the individual seeking his one-self. It also allows him to acquire the knowledge that lies in him according to the “reminiscence theory, “hence the necessity for him is to take great care of this essential task of a human life, in order to give it a real human significance. To know what is intelligible, being an integral part of his research, “He who awakened the mind“developed in a wonderful manner essential tools of his practical philosophy which are: dialectics, refutation, maieutic, as supported by his Love, intending to let his fellow-men to get out of their “cave“ of ignorance, by inducing them to head for the intelligible world. It does not mean to seek an ideal with the hope to look like it, which unquestionably puts at risk the individual’s freedom, but to find out one’s own fulfilment in the most possible concrete and perfect way as an excellently accomplished human being. In this very context, self-knowledge, such as Socrates meant it, will be considered as the pre-eminent model of this accomplishment.
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Casanova en mouvement : des attraits de la raison aux plaisirs de la croyance / A wayering Casanova : from the appeal of reason to the pleasures of belief

Rothé, Sophie 08 October 2014 (has links)
Le mythe de Casanova a longtemps réduit l’individu à un charmeur écervelé. Il a aussi masqué son statut d’écrivain. Afin de poursuivre l’œuvre de dévoilement de ses écrits, cette thèse étudie l’un des paradoxes qui les jalonnent. Imprégné de philosophie éclairée, le chevalier de Seingalt expose son mépris pour les croyances superstitieuses. Toutefois, témoin de la persistance de l’irrationnel au siècle des Lumières, il devient charlatan et met ses talents théâtraux au service de la duperie, développant ainsi une « esthétique de la superstition ». Pourtant, au cours de son existence, en particulier lors de l’expérience des Plombs, l’imposteur devient victime de ses craintes irrationnelles. Incapable de fixer ses convictions, ses postures philosophiques demeurent contradictoires, et marquent son écriture elle-même. Passant des attraits de la raison aux plaisirs de la croyance, l’aventurier s’abandonne donc plaisamment au mouvement, non seulement en matière féminine mais aussi en littérature et philosophie / For a long time, the myth of Casanova has reduced him to a brainless womanizer and has overshadowed his literary work. In order to furtherunveil his writings, this thesis studies one of the paradoxes that are regularly found in them. Steeped with enlightened philosophy, the chevalier de Seingalt shows his despise for superstitious beliefs. However, as he is confronted to irrationality during the Age of Enlightment, he becomes a charlatan and uses his theatrical skills to dupe other people, which makes him develop an « aesthetic of superstition ». Still, at some point of his life – in particular during the Leads episode – the imposter falls victim to his own irrational fears. Unable to decide on his convictions, his philosophical thoughts remain contradictory andaffect his writings. As he switches from the appeal of reason to the pleasures of belief, the adventurer indulges himself in wavering, not only in terms of women, but also in literature and philosophy
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Cogito et raison : l’épreuve de la folie / Cogito and reason : the confrontation with madness

Su, Hsiao-Chun 11 April 2015 (has links)
Cette thèse prend son point de départ dans la Première Méditation de Descartes. Le fil deconducteur cartésien nous mène à la fameuse « querelle de la folie » entre Foucault etDerrida, où se pose la question du statut de la folie face au cogito et à la raison. Dansl’Histoire de la folie Michel Foucault défend l’idée que la folie se voit non seulement rejetée àl’extérieur de la souveraineté du cogito, mais également exclue de la société. Dès lors,Foucault envisage, d’un côté, les critiques du philosophe Jacques Derrida, de l’autre, cellesde psychiatres et d’historiens de la psychiatrie. En dépit de la rupture du dialogues entre lesdeux philosophes, ainsi que de l'incompatibilité des positions respectives de la philosophiefoucaldienne et de la médecine, une tentative est envisagée ici de repenser à nouveaux fraisle couple folie/raison, ainsi que le rapport de la maladie mentale à la santé. Kant nous offre,au tournant de la modernité, des ressources philosophiques permettant d’envisager cesdifficultés, et ouvre d’autre part un un chemin vers l’Antiquité, lieu d’une entente possibleentre la philosophie et la médecine. La philosophie antique nous apparaît alors comme unetradition susceptible d’enrichir des enjeux tels que le rapport de la folie à la raison, ouencore de la thérapie de l’âme à la quête de la sagesse. Nous suivons cette piste kantienne, etremontons aux pensées antiques afin de réexaminer raison et cogito dans leur confrontationà l’épreuve de la folie. / This phD takes its beginning from the interpretations of Descartes’ Meditations on FirstPhilosophy. According to Madness and Civilization of Foucault, in the Western history,madness was excluded in order to legitimate the cogito and the reason, and mad peoplewere excluded by the social forces from the end of the 18th century on. A seriousdisagreement raised between two great French philosophers, Foucault and Derrida. On theother hand, the psychiatrists attack Foucault’s abstract theory and defend their practicalknowledge. How to think about the relationship between raison and madness? Kant, as aphilosopher of modernity, offers a solution to these problems, by his vision, not yetdisconnected from the views of the antique world, where philosophy and medicine shared acommon field. From the ancient wisdom to the contemporary, this phD aims at clarifyingthe complicated relationship between the cogito and the reason, confronted as they are tothe existence of madness.
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A formação do homem virtuoso no Emílio de Jean-Jacques Rousseau / La formation de l’homme vertueux chez Emile de Jean-Jacques Rousseau

Silva, Aline de Fatima Sales 03 March 2017 (has links)
Submitted by Cássia Santos (cassia.bcufg@gmail.com) on 2017-03-21T12:03:21Z No. of bitstreams: 2 Tese - Aline de Fatima Sales Silva - 2017.pdf: 1019570 bytes, checksum: 3c0acdd666f4cad7c661b68bb6309974 (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) / Approved for entry into archive by Luciana Ferreira (lucgeral@gmail.com) on 2017-03-21T12:20:28Z (GMT) No. of bitstreams: 2 Tese - Aline de Fatima Sales Silva - 2017.pdf: 1019570 bytes, checksum: 3c0acdd666f4cad7c661b68bb6309974 (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) / Made available in DSpace on 2017-03-21T12:20:28Z (GMT). No. of bitstreams: 2 Tese - Aline de Fatima Sales Silva - 2017.pdf: 1019570 bytes, checksum: 3c0acdd666f4cad7c661b68bb6309974 (MD5) license_rdf: 0 bytes, checksum: d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e (MD5) Previous issue date: 2017-03-03 / This paper approaches the fundamentals of virtuous man in Jean-Jacques Rousseau’s Émile in light of the concept of perfectibility, while discussing human formation from a universal perspective. In its totality, the human being is one of reason and emotion, and therefore oscillates between the natural and the civilian dimensions in a trajectory that goes from the moral awakening process to the degeneration of self-love (amour de soi) into a love of self (amour-propre), and natural pity, weakened and vilified by the misfortunes of social life. In the root of this constituted society, I distinguish between Rousseau’s political virtue and moral virtue in the attempt to demonstrate that, in Émile, virtue comprises, too, the whole of man’s reason and sensibility as the mainstay of the formative process, through which new meanings for human existence are constructed. As an advocate for negative education as opposed to the positive model carried on throughout the history of progress, Rousseau sustains it is no good to develop power to reason by flooding the ignorant child with social duties and matters. Instead, the preeminent and harmonic use of senses is a primary role of education and a valuable tool for instilling the ability to reason. Self-knowledge and self-awareness are then particular yet indispensable within a universal order capable of adjusting reason and emotions, duty and will, as well as conforming them to human potentialities by keeping the man in harmony with nature and themself, especially during the development of the moral being. / Esta tese busca, no Emílio de Jean-Jacques Rousseau, os fundamentos da formação do homem virtuoso. À luz do conceito de perfectibilidade discuto a possibilidade da formação humana na perspectiva universal, considerando o homem em sua totalidade como ser de sentimento e razão. Mostro, nesse percurso, os primeiros embates do homem no estado de natureza e o despertar da moralidade no processo civilizatório, trajetória pela qual o amor de si se transformou em amor-próprio, bem como a piedade natural, enfraquecida e vilipendiada pela vida social, é sufocada em meio ao artifício que sucedeu a vida simples e equilibrada do homem natural. Distingo, no seio dessa sociedade constituída, a virtude política da virtude moral em Rousseau e demonstro que a concepção de virtude no Emílio tem um caráter universal, abrange a totalidade do humano como ser de consciência e razão, daí a centralidade do processo formativo como possibilidade de ascensão da vida a outros patamares de existência. Seguindo o curso da natureza, que tudo faz de maneira correta, Rousseau elabora, na contramão da educação construída pela história do progresso, a educação negativa, formação que se diferencia da que ele chama de positiva, aquela que pretende formar o intelecto antes dos sentidos, enchendo as crianças de conhecimentos sobre os quais ela ainda não tem condições de raciocinar. Rousseau demonstra a preeminência do sentimento no homem como necessidade primeira da educação que deve começar por aperfeiçoar na criança os órgãos dos sentidos, desenvolvendo nela a sensibilidade para que possa exercer a razão pelo exercício bem-ordenado dos sentimentos. Conhecer si mesmo, suas necessidades e possibilidades é essencial à compreensão da ordem universal que, no plano do humano, garante o equilíbrio entre a razão e a sentimento, o dever e a vontade, mediando os desejos de acordo com as potencialidades do homem, mantendo-o em sintonia com a natureza e consigo mesmo, consciente dos embates que certamente enfrentará na vida social, especialmente na formação do ser moral.

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