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The standpoint of practical reason /

Korsgaard, Christine M. January 1990 (has links)
Th. Ph. D.--Cambridge (Mass.)--Harvard university, 1981.
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La théorie kantienne de l'interprétation des phénomènes religieux

Griguel, Svetlana January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Logica e filosofia pratica nello Hegel di Jena : dagli scritti giovanili al "Sistema dell'eticità /

Valenza, Pierluigi, January 1999 (has links)
Texte remanié de: Tesi di dottorato, 1994. / Bibliogr. p. 399-413.
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Pour une critique de la théorie de la communication : reconstruction de la raison pratique à partir du concept de responsabilité / Towards a critique of the theory of communication : Reconstruction of practical reason in the light of the concept of responsibility

Kaltsas, Spyridon 10 December 2011 (has links)
Dans notre étude, nous retraçons le chemin d’une reconstruction de la raison pratique à partir du concept de responsabilité. La théorie de la communication est en mesure de nous fournir les moyens théoriques pour saisir l’étroite relation entre responsabilité et normativité pratique, tant au niveau de la reconstruction de la raison pratique, qu’à celui de son application. Néanmoins, il ne s’agit pas d’une reconstruction du mouvement d’ensemble de la pensée de Habermas. Bien au contraire, nous procédons, tel est notre choix méthodologique, par une mise en relief de l’ouverture dialogique de la théorie de la communication à ses interlocuteurs. La théorie de la communication veut restaurer toute la richesse pratique du concept de responsabilité dans ses droits en s’appuyant sur une critique de la subjectivité moderne. Néanmoins, une critique de la théorie de la communication peut montrer que le moment de la constitution de l’intersubjectivité va de pair avec celui du sujet de la communication. / In our study, we are tracing the way of the reconstruction of the practical reason starting from the concept of responsibility. The theory of communication can provide us with the theoretical tools in order to understand the close relation between responsibility and the normative core of practice at the level of the reconstruction of the practical reason as also of its application. Nevertheless, our study does not have for his object the reconstruction of Habermas’ thought as a whole. On the contrary, our methodological choice is to proceed based on the emphasis on the opening of the dialogue of the theory of communication towards its interlocutors. The theory of communication attempts to restore the whole practical richness of the concept of responsibility underpinning a critique of the modern subjectivity. Nevertheless, a critique of the theory of communication can show that the moment of the constitution of the intersubjectivity is consistent with that of the subject of communication.
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La rhétorique et sa critique. A la rencontre du discours et de la liberté.

Nicolas, Loïc 13 May 2011 (has links)
L’objet de cette thèse est d’engager une discussion concernant l’épistémologie de la discipline rhétorique et de formuler des propositions visant à la refonder. En partie spéculative, la réflexion que je mène à partir des travaux de Chaïm Perelman notamment, rattache cette antique discipline à la « raison pratique ». Une raison agissante qui donne l’occasion d’assumer et d’affronter l’indétermination du monde – sans pour autant faire de cette indétermination un chaos, ni en prendre ombrage pour sombrer dans le relativisme. Dans cette perspective, la rhétorique se trouve conçue comme un dispositif propre à accompagner les hommes dans le difficile exercice d’une liberté citoyenne. Une liberté au sens fort, ancrée dans la pratique du politique, telle que l’entendaient les Anciens. Je m’efforce tout d’abord de montrer que, dès l’origine, la rhétorique a représenté une compétence nouvelle, mais aussi une occasion unique de dire, d’habiter et de séculariser le monde. Ma démarche consiste donc à réfléchir l’émergence de la rhétorique dans la Grèce ancienne. À ce titre, j’analyse la fonction politique, sociale, symbolique, attribuée à la parole dans cette Cité démocratique dont elle a accompagné l’invention. Parole qui s’est vue accorder une place inégalée : comme support et comme condition de l’action citoyenne. Pourtant, force est de constater que, malgré ce succès, la rhétorique a très vite été dénoncée comme un art de tromper, de mentir, de dissimuler ses lacunes. Des générations de philosophes, d’hommes d’Église ou de scientifiques se sont attachés à démonter son fonctionnement, sa dynamique, à décrier son enseignement et, finalement, à souhaiter son évincement. C’est pourquoi, je m’intéresse aux critiques qui ont été adressées à la parole rhétorique depuis l’Antiquité jusqu’au XIXe siècle. Par là, j’entends donner une vision nouvelle de cette antique « fonction » du langage, par-delà la synthèse de ses caricatures. En outre, mon propos s’attache à mettre en lumière les lieux communs sur lesquels se fonde notre relation au discours. Dans une optique qui va d’Aristote à Perelman, je défends l’idée selon laquelle la rhétorique ne constitue pas (comme on pourrait le penser) une méthode pour apprendre à vivre ensemble dans la paix des mots, mais, avant tout, une façon de pratiquer la critique avec et contre l’autre : l’adversaire. Et ceci afin de prendre des décisions dans le monde contingent des affaires humaines. Or, c’est justement au titre de sa fonction agonistique que la rhétorique a perdu sa place et son sens dans nos démocraties. Face à cela, l’enjeu de mon travail est de mettre en évidence, après Perelman, l’existence d’une raison tout à la fois une et plurielle. En effet, la multiplicité des voies possibles, leur antagonisme, n’est pas le signe d’une raison anarchique et inconséquente, le signe d’une raison hantée par la déraison. Il s’agit, au contraire, d’une chance offerte à la raison de se mettre à l’épreuve et de risquer la liberté. Du reste, perdre cette dimension agonistique, la dénoncer, la condamner comme irrationnelle, ainsi que le font les théories normatives de l’argumentation, revient à manifester la coupure entre le langage et les ressources critiques de la rhétoriques qui permettent de faire de nos prises de parole un moyen et une ressource de l’émancipation.
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Les premiers pas de la raison chez Hegel / Reason's first steps in Hegel

Acri Soares, Mariana D' 29 June 2018 (has links)
L'objectif de la présente recherche est de suivre le chemin parcours par Hegel dans l'élaboration de sa conception de la raison dans certains de ses premiers écrits. Dans le premier moment, nous analyserons les textes de l'époque de Stuttgart (1785 - 1788) jusqu'à l'année 1800. Nous montrerons que Hegel a toujours conçu la raison différemment de l'entendement et que sa conception de la raison correspond à son idéal de l'unité, l'unité de l'universel et de l'individualité, son idéal de jeunesse. Notre étude va conduire à une compréhension de cet idéal comme un idéal esthético­politique. Ensuite, nous étudierons deux textes écrits pendant le début de son séjour à Iéna - La différence des systèmes philosophiques de Fichte et Schelling et Foi et savoir. Le but est maintenant de montrer comment Hegel commence l'élaboration de sa philosophie spéculative en tant que l'autoproduction et l'auto-reconnaissance de la raison. Et nous montrerons aussi qu'en même temps que Hegel critique la philosophie kantienne il lui est très reconnaissant. Dans le dernier moment, la recherche présente la conception de la raison dans la Phénoménologie de l'esprit. Nous suivrons donc le parcours de la « raison active » dans sa quête du bonheur, du juste en tant que réalisation effective de l'unité de l'universel et de l'individualité et voyons apparaître son caractère intersubjectif. Notre but central est de montrer que, malgré l'ultérieur développement de sa pensée, la conception de la raison se maintient en tant qu'un idéal de l'unification. / The purpose of this research is to follow Hegel's path in the construction of his conception of reason in some of his first writings. We start analyzing the texts from Stuttgart (1785 - 1788) to 1800. We will show that Hegel has always intended to conceive reason differently from understanding and that his conception of reason corresponds to his ideal of unity, the unity of the universal and the individuality, his ideal of youth. Our study will guide to a comprehension of this ideal as an aesthetical-political ideal. Next, we will study two texts from the beginning of his stay at Iena – “The Difference Between Fichte's and Schelling's Systems of Philosophy and Faith and Knowledge”. The aim at this point is to show how Hegel starts elaborating his speculative philosophy as the auto production and autorecognition of reason. We also show that at the same time Hegel critics Kant's philosophy, he recognizes its value. Finally, the research presents the conception of reason at the Phenomenology of the Spirit. We follow the path of the "active reason" in its quest for the happy state, of fairness as the actualization of the unity of the universal and the individuality and we see the appearance of his intersubjective character. Our main objective is to show, despite the future development of his thoughts, the conception of reason remains as an ideal of unification.
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De l’ingénierie de la raison à la raison pratique : Vers une nouvelle approche de la sécurité / From engineered reason to practical reason : Towards a new vision of safety

Blazsin, Hortense 04 December 2014 (has links)
Couplage fort VS faible, sécurité réglée VS sécurité gérée, ingénierie VS expertise terrain… Confrontées à des environnements complexes et incertains, les organisations maîtrisent les risques en oscillant entre contrôle rigide et souplesse face aux aléas. Au coeur de cette tension se trouve l'individu, capable de déterminer lorsque les règles ne suffisent plus et de s'adapter. Cela implique de considérer l'individu non plus comme un facteur, de défaillance ou même de fiabilité, mais comme un sujet autonome, capable de prendre des décisions raisonnées et éclairées. Mobilisant la philosophie pratique de Paul Ricoeur, la thèse construit la notion de « sécurité pratique ». Elle propose de préserver la sécurité grâce à la raison pratique des individus plutôt que la rationalité des organisations, de mobiliser la volonté plutôt que l'obéissance. La thèse présente la démonstration de la pertinence et de la possibilité bien réelle d'une telle approche de la sécurité, en l'étayant par des données terrain recueillies au sein d'une grande entreprise du secteur du gaz. / Tight VS loose coupling, managed VS enforced safety, engineering VS field knowledge... As they are now confronted with uncertain, complex environments, organizations manage safety by oscillating between rigid control and the flexibility required to manage hazards. At the heart of this tension rests the individual, who is able to determine whether following the rule is enough or if some level of adaptation is required. Yet this implies that the individual is no longer considered as a factor, neither of failure nor of reliability, but as a person who is autonomous and in a capacity to make enlightened, reasoned decisions. Building on Paul Ricoeur's practical philosophy, we develop the notion of « practical Safety ». It defends the idea that safety can be preserved by relying on people's practical reason rather than on organizational rationality, by mobilizing individual will rather than obedience. The PhD demonstrates that such an approach is both relevant and anchored in reality, using field data gathered within a gas distribution company.
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The typic in Kant’s critique of practical reason : moral judgment and symbolic representation

Westra, Adam 12 1900 (has links)
No description available.
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Dualisme et réflexion: le passage entre théorique et pratique dans la philosophie transcendantale d'Immanuel Kant / Transition between theoretical and practical Immanuel Kant's Transcendental Philosophy

Spetschinsky, Sergueï 24 March 2012 (has links)
Le présent travail consiste en une étude de l’œuvre d'Immanuel Kant, avec pour objet la question du passage entre théorique et pratique. En étudiant méticuleusement chacune des étapes du développement de la pensée kantienne, ce travail abouti sur la mise au jour d'un principe fondamental, dit du double mouvement du dualisme et de la réflexion, d'après lequel se structure l'ensemble de la pensée kantienne, mais aussi plus généralement, la possibilité de toute philosophie transcendantale. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La rhétorique et sa critique: à la rencontre du discours et de la liberté

Nicolas, Loïc 13 May 2011 (has links)
L’objet de cette thèse est d’engager une discussion concernant l’épistémologie de la discipline rhétorique et de formuler des propositions visant à la refonder. En partie spéculative, la réflexion que je mène à partir des travaux de Chaïm Perelman notamment, rattache cette antique discipline à la « raison pratique ». Une raison agissante qui donne l’occasion d’assumer et d’affronter l’indétermination du monde – sans pour autant faire de cette indétermination un chaos, ni en prendre ombrage pour sombrer dans le relativisme. Dans cette perspective, la rhétorique se trouve conçue comme un dispositif propre à accompagner les hommes dans le difficile exercice d’une liberté citoyenne. Une liberté au sens fort, ancrée dans la pratique du politique, telle que l’entendaient les Anciens.<p><p>Je m’efforce tout d’abord de montrer que, dès l’origine, la rhétorique a représenté une compétence nouvelle, mais aussi une occasion unique de dire, d’habiter et de séculariser le monde. Ma démarche consiste donc à réfléchir l’émergence de la rhétorique dans la Grèce ancienne. À ce titre, j’analyse la fonction politique, sociale, symbolique, attribuée à la parole dans cette Cité démocratique dont elle a accompagné l’invention. Parole qui s’est vue accorder une place inégalée :comme support et comme condition de l’action citoyenne. Pourtant, force est de constater que, malgré ce succès, la rhétorique a très vite été dénoncée comme un art de tromper, de mentir, de dissimuler ses lacunes. Des générations de philosophes, d’hommes d’Église ou de scientifiques se sont attachés à démonter son fonctionnement, sa dynamique, à décrier son enseignement et, finalement, à souhaiter son évincement. C’est pourquoi, je m’intéresse aux critiques qui ont été adressées à la parole rhétorique depuis l’Antiquité jusqu’au XIXe siècle. Par là, j’entends donner une vision nouvelle de cette antique « fonction » du langage, par-delà la synthèse de ses caricatures.<p><p>En outre, mon propos s’attache à mettre en lumière les lieux communs sur lesquels se fonde notre relation au discours. Dans une optique qui va d’Aristote à Perelman, je défends l’idée selon laquelle la rhétorique ne constitue pas (comme on pourrait le penser) une méthode pour apprendre à vivre ensemble dans la paix des mots, mais, avant tout, une façon de pratiquer la critique avec et contre l’autre :l’adversaire. Et ceci afin de prendre des décisions dans le monde contingent des affaires humaines. Or, c’est justement au titre de sa fonction agonistique que la rhétorique a perdu sa place et son sens dans nos démocraties. Face à cela, l’enjeu de mon travail est de mettre en évidence, après Perelman, l’existence d’une raison tout à la fois une et plurielle. En effet, la multiplicité des voies possibles, leur antagonisme, n’est pas le signe d’une raison anarchique et inconséquente, le signe d’une raison hantée par la déraison. Il s’agit, au contraire, d’une chance offerte à la raison de se mettre à l’épreuve et de risquer la liberté. Du reste, perdre cette dimension agonistique, la dénoncer, la condamner comme irrationnelle, ainsi que le font les théories normatives de l’argumentation, revient à manifester la coupure entre le langage et les ressources critiques de la rhétoriques qui permettent de faire de nos prises de parole un moyen et une ressource de l’émancipation.<p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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