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ÉTUDE COMPARATIVE SUR LES DEUX TRADUCTIONS FRANÇAISES DU ROMAN DOKTOR GLAS DE HJALMAR SÖDERBERG

Söderström, Mikael January 2009 (has links)
The present essay is a translation study on the two French versions of the Swedish novel Doktor Glas, by Hjalmar Söderberg. As one among relatively few Swedish novels of its time, Doktor Glas has been translated and re-translated. The main purpose of this study is to identify and explain differences between the two French versions of Doktor Glas, concerning the ways the literary style of the Swedish author has been translated. By focusing on the methods of translation (transitions, omissions and the use of footnotes) used by the different translators, I examine to what extent the later ones have been successful in rendering what I call the “söderbergian” style/”le style söderbergien”. For this purpose, certain passages from the two French versions have been examined and compared to the corresponding passages within the original text. The different translators have used different methods of translation, some of which are and have sometimes been considered as controversial, for example in terms of their capacity to render the author-specific style into another language. A main conclusion in this study is that the re-translation is the more faithful of the two French versions of the “söderbergian” style/”le style söderbergien”.
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ÉTUDE COMPARATIVE SUR LES DEUX TRADUCTIONS FRANÇAISES DU ROMAN <em>DOKTOR GLAS</em> DE HJALMAR SÖDERBERG

Söderström, Mikael January 2009 (has links)
<p>The present essay is a translation study on the two French versions of the Swedish novel <em>Doktor Glas</em>, by Hjalmar Söderberg. As one among relatively few Swedish novels of its time, <em>Doktor Glas</em> has been translated and re-translated.</p><p>The main purpose of this study is to identify and explain differences between the two French versions of <em>Doktor Glas</em>, concerning the ways the literary style of the Swedish author has been translated. By focusing on the methods of translation (<em>transitions,</em> <em>omissions and the use of footnotes</em>) used by the different translators, I examine to what extent the later ones have been successful in rendering what I call the “söderbergian” style/”le style söderbergien”. For this purpose, certain passages from the two French versions have been examined and compared to the corresponding passages within the original text.</p><p>The different translators have used different methods of translation, some of which are and have sometimes been considered as controversial, for example in terms of their capacity to render the author-specific style into another language. A main conclusion in this study is that the re-translation is the more faithful of the two French versions of the “söderbergian” style/”le style söderbergien”.</p>
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Le Petit Prince et ses deux traductions en suédois

Ekerot, Cecilia January 2016 (has links)
L’objectif de ce mémoire est une analyse et une évaluation de la retraduction en suédois de « Le Petit Prince » d’Antoine de Saint-Exupéry (T2), parue chez Modernista, en 2015, en relation avec le texte source en français et en relation avec la traduction classique, parue chez Rabén&amp;Sjögren, en 1952 (T1 ; la version révisée de 2015, actuelle au moment de la retraduction). L’analyse se base sur quelques concepts de Lita Lundquist, notamment la distinction entre stratégie de traduction « imitative » et « fonctionnelle », et la cohérence entre la stratégie « globale » et les stratégies « locales ». De plus, notre analyse nous mène à la distinction entre « traduction » et « révision », comme présentée par Philippe Bouquet (2012), et à la distinction entre une définition linguistique de traduction – approche principale de ce travail – et une définition socio-culturelle selon Toury (1995). Les résultats principaux sont 1) la découverte d’un manque de stratégie globale cohérente dans la T2 – à la différence de la T1– et 2) une dépendance forte de la T1 dans la T2. Aussi, dans la retraduction, nous avons remarqué une stratégie locale remarquable de suppression totale du pronom personnel suédois de man. Ces résultats sont brièvement discutés sous la lumière des aspects socio-culturels et dans une section sur l’applicabilité de l’hypothèse de la retraduction (Tegelberg 2014). / The aim of this paper is an analysis and an evaluation of the re-translation into Swedish of "Le Petit Prince" by Antoine de Saint-Exupéry (T2), published by Modernista in 2015, and its relation to the original French text as well as to the classical Swedish translation published by Rabén&amp;Sjögren in 1952 (T1; the 2015 version, contemporary with the re-translation). The analysis is based on some concepts of Lita Lundquist (2007): the distinction between "imitative" and "functional" translation strategies, and the coherence between a "global strategy" and "local strategies". Furthermore, this analysis leads us to a distinction between "translation" and "revision" as presented by Philippe Bouquet (2012), and to a distinction between a linguistic definition of translation – the main approach of this work – and the scoiolinguistic definition by Toury (1995). The main results are 1) the discovery of a lack of a coherent global strategy in T2 – as opposed to T1 - and 2) the strong reliance of T2 on T1. Also, we found a remarkable local strategy in T2, a total removal of the Swedish personal pronoun man. These results are briefly discussed in the light of socio-cultural aspects and in a section on the applicability of the retranslation hypothesis (Tegelberg 2014).
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Analyse socio-historique de la recherche en éducation : le cas de la recherche américaine sur l'efficacité scolaire

Schwimmer, Marina January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Les romans de Milan Kundera : problèmes de traduction et de réception

Béji, Myriam 08 1900 (has links)
No description available.
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Analyse socio-historique de la recherche en éducation : le cas de la recherche américaine sur l'efficacité scolaire

Schwimmer, Marina January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Histoire(s) des traductions et des retraductions du Popol Vuh

Lovisi, Séverine 08 1900 (has links)
Le Popol Vuh est une œuvre littéraire aux dimensions mythologique et historique issue de la culture maya-quichée du Guatemala. Rédigé vers 1550 en langue quichée au moyen de l’alphabet latin suivant la phonétique espagnole, le texte a connu depuis le début du XVIIIe siècle de nombreuses traductions et retraductions. Ces versions diffèrent à bien des égards : format bilingue ou unilingue, composition du paratexte, titre, découpage en chapitres, précision du transfert, style littéraire, stratégie de traduction des noms de personnages et des toponymes, etc. En outre, le paratexte de ces différentes versions suggère l’existence d’un dialogue transhistorique émulateur entre leurs traducteurs successifs, en particulier vers l’espagnol, le français et l’anglais. Afin de mieux comprendre ces phénomènes, la présente thèse propose de décrire l’histoire des traductions et des retraductions du Popol Vuh vers l’espagnol, le français et l’anglais et d’avancer une explication aux caractéristiques de cette histoire. Pour ce faire, nous avons adop-té un cadre théorique bermanien (Berman, 1990, 1995) et une méthodologie adaptée au champ d’étude de l’histoire de la traduction et à notre objet d’étude (Berman, 1995; Lépinette, 1997; Pym, 1998). Nous avons d’abord constitué un catalogue de traductions et de retraductions du Popol Vuh en espagnol, en français et en anglais comme point de départ pour retracer, grâce à leur paratexte, les grandes lignes du dialogue transhistorique entre les auteurs des différentes versions du Popol Vuh dans ces langues. Une fois les interlocuteurs principaux identifiés, nous avons procédé à une analyse descriptive et comparative des approches adoptées par les traduc-teurs des versions identifiées comme les plus pertinentes dans l’histoire des traductions et des retraductions du Popol Vuh, à savoir les versions de Ximénez (env. 1703), Brasseur (1861), Raynaud (1925), Recinos (1947), Edmonson (1971), Chávez (1978), Tedlock (1985) et Sam Colop (2008). Cette analyse comprend pour chaque version l’étude de son paratexte et d’un échantillon de traduction, en l’occurrence, l’épisode de la mort de Vucub-Caquix. Grâce à la méthodologie que nous avons adoptée, qui tient compte du profil, de l’horizon et de la position traductive du sujet traduisant, et qui éclaire l’analyse du texte traduit à la lumière de son paratexte, nous avons pu avancer des explications aux caractéristiques observées pour chaque version de notre corpus. Notre thèse permet ainsi de démontrer que les versions du Po-pol Vuh varient avec leur contexte au sens large, mais surtout avec la vision de l’œuvre quichée propre au cercle dans lequel évolue chaque traducteur, de même qu’elles varient en fonction de l’intention de chaque traducteur. Nous avons également confirmé que l’approche adoptée par les traducteurs du Popol Vuh semble être de plus en plus sourcière, même s’ils veillent, notam-ment dans le paratexte, à continuer d’accompagner le lecteur cible dans sa découverte d’un objet littéraire qui est le fruit d’un univers pour lui étranger, l’accessibilité de l’œuvre restant une priorité dans les divers projets de traduction analysés. Notre thèse constitue une étude de cas dont la méthodologie ne demande qu’à être testée dans le cadre de l’étude du cycle de retraductions d’autres textes autochtones américains anciens. Par ailleurs, elle invite aussi à interroger le rôle de la traduction dans le parcours littéraire de ce genre de textes. / The Popol Vuh is a literary work with mythological and historical dimensions that comes from the Mayan-Quichean culture of Guatemala. Written around 1550 in the Quichean language using the Latin alphabet according to Spanish phonetics, the text has been translated and retranslated many times since the beginning of the 18th century. These versions differ in many ways: bilingual or unilingual edition, composition of the paratext, title, division into chapters, precision of the transfer, literary style, strategy for translating character names and toponyms, etc. Moreover, the paratext of these different versions suggests the existence of an emulating transhistorical dialogue between their successive translators, particularly into Span-ish, French and English. In order to better understand these phenomena, this dissertation intends to describe the history of translations and retranslations of the Popol Vuh into Spanish, French and English and to offer an explanation of the characteristics of this history. To do so, we have adopted a Ber-manian theoretical framework (Berman, 1990, 1995) and a methodology adapted to the field of study of the history of translation and to our object of study (Berman, 1995; Lépinette, 1997; Pym, 1998). We began by compiling a catalog of translations and retranslations of the Popol Vuh into Spanish, French, and English as a starting point for tracing, through their par-atext, the main lines of the transhistorical dialogue between the authors of the different ver-sions of the Popol Vuh in these languages. Once the main interlocutors were identified, we proceeded to a descriptive and comparative analysis of the approaches taken by the translators of the versions identified as the most relevant in the history of translations and retranslations of the Popol Vuh, namely the versions by Ximénez (c. 1703), Brasseur (1861), Raynaud (1925), Recinos (1947), Edmonson (1971), Chávez (1978), Tedlock (1985) and Sam Colop (2008). This analysis includes for each version the study of its paratext and a translation sam-ple, in this case the episode of Vucub-Caquix's death. The methodology we have adopted, which takes into account the profile, horizon and translat-ing position of the translating subject, and which sheds light on the analysis of the translated text thanks to its paratext, enables us to put forward explanations of the characteristics ob-served for each version of our corpus. Thus our dissertation reveals that the versions of the Popol Vuh vary with their context in the broadest sense, but above all with the vision of the Quichean text specific to the circle in which each translator evolves, just as they vary accord-ing to each translator's intention. We have also confirmed that the approach adopted by the translators of the Popol Vuh seems to be increasingly source-oriented, even if they are careful, particularly in the paratext, to continue to help the target readers in their discovery of a literary work that is the fruit of a universe that is foreign to them, the accessibility of the work remain-ing a priority in the various translation projects analyzed. Our dissertation is a case study whose methodology could be tested for the study of the cycle of retranslations of other ancient Native American texts. Furthermore, it also invites us to ques-tion the role of translation in the literary journey of these texts.
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Les retraductions françaises d'Al Moqqadima d'Ibn Khaldoun : étude paratextuelle des retraductions de Vincent-Mansour Monteil (1967) et d’Abdesselam Cheddadi (2002)

Medjahed, Milouda 05 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur les retraductions françaises du XXe siècle d’Al Moqaddima (Les Prolégomènes) (1377) d’Ibn Khaldoun, un traité historique et philosophique du XIVe siècle. La première traduction française, Les Prolégomènes, est réalisée par De Slane entre 1840 et 1863. Elle est suivie de deux retraductions, à savoir Discours sur l’histoire universelle (1967- 1968) réalisée par Vincent-Mansour Monteil, et Le Livre des Exemples I : Autobiographie, La Muqaddima (2002) réalisée par Abdesselam Cheddadi. L’objet de ce mémoire est de mener une analyse contextuelle, paratextuelle et discursive de ces deux retraductions de l’œuvre monumentale d’Ibn Khaldoun, afin de dégager les principaux facteurs déterminant, dans chaque cas, le choix de retraduire. Notre approche théorique s’inscrit dans le contexte récent de remise en cause de ladite « hypothèse de la retraduction » d’Antoine Berman, qui privilégie une analyse textuelle de l’œuvre (re)traduite en négligeant quelque peu l’analyse contextuelle éclairant les conditions de production des retraductions, et en limitant le positionnement du traducteur à sa relation envers la « vérité » du texte source. Ainsi, en retraçant l’histoire des différentes éditions des Prolégomènes au XXe siècle, en exposant le contexte qui entoure les retraductions, et en nous nous attachant aux stratégies discursives déployées par les traducteurs en marge de ces dernières, nous tenons compte des réflexions récentes sur les « causalités multiples » du phénomène de la retraduction, tout en montrant comment la subjectivité du traducteur, ses décisions et ses motivations sont reliées à tous les éléments extratextuels ou contextuels mis en valeur par les théoriciens. Nous montrons par notre analyse que les deux retraductions au corpus sont motivées par des facteurs internes au texte (tels que l’authenticité de leur original, une meilleure connaissance du texte, de la langue et de la culture source, la nécessité de corriger des erreurs dans les traductions antérieures), mais aussi par de nouveaux éléments externes au texte (tels que le changement de normes sociales, littéraires et traductionnelles, l’émergence de nouvelles interprétations du texte, le positionnement idéologique du retraducteur, sa volonté de s’imposer comme une autorité, etc.). La retraduction s’avère donc un phénomène complexe motivé par une combinaison de facteurs, à la fois internes (textuels), externes (contextuels) et personnels, propres au (re)traducteur. / This thesis studies the XXth-century French retranslations of Ibn Khaldun’s XVIth- century historical and philosophical treatise Al Moqaddima (or Prolegomena, 1377). The first French translation as Les Prolégomènes was written by De Slane between 1840 and 1863. It was followed by two XXth-century retranslations, respectively entitled Discours sur l’histoire universelle (1967-1968) by Vincent-Mansour Monteil, and Le Livre des Exemples I : Autobiographie, La Muqaddima (2002) by Abdesselam Cheddadi. This thesis explores the contexts, paratexts, and discursive strategies surrounding each retranslation of Khaldun’s monumental treatise, in order to clarify the major factors that determine, in each case, the translator’s decision to retranslate. Our theoretical approach stems from recent debates around Antoine Berman’s “retranslation hypothesis”, which focuses on a textual analysis of retranslations, and tends to downplay the importance of the context surrounding the production of retranslations, and limits the translator’s positioning to his/her relationship to the “truth” of the original. By documenting the history of XXth-century editions of Khaldun’s Prolegomena, by establishing the context surrounding each retranslation, and by analyzing the discursive strategies deployed by each retranslator in the margins of his work, our study takes into account recent theories of “plural causality” in retranslation; we also highlight the ways in which the translators’ subjectivity, their choices and motivations are deeply connected with the extra-textual, or contextual elements emphasized by such theories. Our analysis shows the two translations under study to be motivated by internal, textual factors (such as: more authentic original manuscripts, better textual criticism and understanding of the source language and culture, the necessity to correct errors in the previous translations, etc.), but also extra-textual, or contextual factors (changing social, literary and translation norms, new interpretations of the original, the translator’s ideological position and need to establish his authority, etc.). In the end, retranslation emerges as a complex phenomenon deriving from a variety of causes, at once internal (textual), external (contextual), and personal, that is, due to the translator’s own agency.
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«Oroonoko» d'Aphra Behn en traduction française (1745-2009)

Guénette, Marie-France 04 1900 (has links)
No description available.
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Analyse des deux traductions françaises du roman Solstorm d’Åsa Larsson

Nilsson, Hugo January 2020 (has links)
L’auteure suédoise Åsa Larsson a eu un grand succès en France avec ses polars avec le personnage principal Rebecka Martinsson, contribuant à la compréhension interculturelle entre la France et la Suède pendant les dernières 15 années. La première oeuvre dans la série de Rebecka Martinsson, Solstorm, a été traduite en français pour la première fois en 2006 sous le titre Horreur Boréale, et retraduite en 2020 sous le titre Les nouveaux prophètes. Il y a, grosso modo, deux stratégies de traduction : la traduction imitative (adaptée à la langue traduite) et la traduction fonctionnelle (adaptée à la langue cible). L’hypothèse d’Antoine Berman postule entre autre que les retraductions vont diachroniquement vers un style plus imitatif. Le but de ce mémoire est d’analyser la stratégie de traduction des deux traductions pour vérifier ou rejeter l’hypothèse de Berman. La méthode utilisée était la sélection de 28 extraits du livre Solstorm avec des phénomènes typiquement « suédois » (comme par exemple les jurons, le dialecte et la gastronomie) et l’analyse de leurs traductions respectives. Notre analyse montre qu’une grande majorité des extraits sélectionnés sont traduits d’une façon fonctionnelle, et qu’il n’y a aucune tendance que la deuxième traduction soit traduite d’un style plus imitatif que la première traduction. Donc, l’hypothèse de Berman n’a pas pu être confirmée par cette analyse qui n’a, toutefois, étudié que des extraits de l’oeuvre originale et ses traductions. / Having a major success in France, the Swedish novelist Åsa Larsson has with her crime novels starring Rebecka Martinsson contributed to the intercultural comprehension between Sweden and France over the last 15 years. The first book in the Rebecka Martinsson saga, Solstorm, was translated into French in 2006 under the title Horreur Boréale and retranslated in 2020 under the title Les nouveaux prophètes. There are roughly two possible strategies of translation: foreignization (adaption to the translated language) and domestication (adaption to the target language). The hypothesis of Antione Berman states amongst others that translations move diachronically towards the strategy of foreignization. The aim of this thesis is to analyse the two translations of Solstorm, examining whether the hypothesis of Berman could be confirmed or rejected. The method used was choosing 28 extracts containing typical “Swedish” phenomena (for instance the cursing, the dialect and the Swedish gastronomy) from the original version and analysing their translation, respectively. Our analysis shows that a large majority of extracts are translated in a domesticating style, and no tendency towards an increased use of the foreignizing strategy over time could be observed. The hypothesis of Berman could then not be confirmed through this analysis, but further studies of the original version are needed to confirm the results.

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