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Famille royale et pouvoir sous l'Ancien empire égyptien /

Baud, Michel, January 1999 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Hist.--Paris 4, 1994. / Bibliogr. p. 381-393. Index.
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Les proclamations royales sous les Tudors, 1485-1603 entre pardon et châtiments, l'utilisation de la justice pour gouverner

Lemire, Mélanie January 2012 (has links)
Lorsque Henry VII monte sur le trône en 1485, il est loin d'être le successeur légitime. Bien qu'avoir gagné la bataille de Bosworth lui permette d'accroître celle-ci, ce n'est que sous ses descendants qu'elle sera totalement acquise. Les prérogatives royales, particulièrement les proclamations royales et le pardon, sont l'une des méthodes utilisées par cette dynastie pour asseoir leur pouvoir. Même si leur légitimité est de moins en moins en doute, ils doivent faire face à des révoltes pour différentes raisons, principalement politiques et religieuses. Les Tudors n'ont pas tous réagi de la même manière à cette contestation de leur autorité. Alors qu'Henry VII pardonne tous les Northern rebels lors de son ascension, Elizabeth procède à une forte répression lors de la rébellion des comtes. Le contexte joue en partie sur les décisions de répression, mais l'opinion publique y est également pour quelque chose. Bien que les proclamations royales aient été utilisées pour gouverner, l'utilisation du pardon et du châtiment dans celles-ci a certes été utile pour la construction de la légitimité, mais elle n'est pas seule à avoir servie [i.e. servi] le dessein des Tudors.
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Sub specie deae : les impératrices et princesses romaines assimilées à des déesses : étude iconologique /

Mikocki, Tomasz, January 1995 (has links)
Texte remanié et trad. de: Thèse d'habilitation--Faculté d'histoire--Varsovie--Université. / Version française d'une thèse en polonais. Bibliogr. p. 225-234. Index.
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Jean-Baptiste Oudry et la tapisserie / Jean-Baptiste Oudry and tapestry

Pradier, Élodie 27 November 2015 (has links)
De 1726 à 1755, Jean-Baptiste Oudry (1686-1755), peintre du roi Louis XV, occupa diverses fonctions au sein des manufactures royales de tapisseries : peintre de modèles, directeur entrepreneur de Beauvais, surinspecteur des Gobelins. Selon Louis Gougenot (1761), son biographe de l’Académie royale de peinture et de sculpture, ces nominations lui apportèrent réputation et fortune. La production de Beauvais était destinée pour les riches aristocrates et bourgeois ; celle des Gobelins, pour le roi. La conséquence de cette différenciation peut se percevoir non seulement sur le plan administratif, mais aussi sur le plan artistique. Aussi, les œuvres produites n’avaient pas la même valeur économique et artistique. Par ricochets, la réception des modèles réalisés par Oudry ne fut pas la même. La tenture des Chasses royales tissée à Paris était considérée comme une œuvre majeure de sa carrière. Par ailleurs, son biographe louait les soins et la vigilance que le peintre apporta aux établissements en vue de « faire des tapisseries de première beauté » (Oudry). Dans divers mémoires administratifs, le peintre exprimait ses vues générales en matière d’art des lisses et expliquait les moyens à mettre en œuvre pour perfectionner et « donner aux ouvrages tout l’esprit et toute l’intelligence des tableaux » des maîtres. Or, la réception des tapisseries ne pas fit pas l’unanimité parmi les historiens de l’art au cours des XIXe et XXe siècles. Oudry fut en effet jugé acteur de la décadence de cet art textile décrit comme asservi à la peinture. C’est pourquoi il nous faut comprendre le contexte d’élaboration des principes artistiques développés par le peintre. C’est l’objet de cette étude. / From 1726 to 1755, Jean-Baptiste Oudry (1686-1755), painter of the king Louis the XVth, was appointed for different capacities at the royal manufactures of tapestries: painter of models, director of Beauvais, inspector of the Gobelins. According to Louis Gougenot (1761), his biographer at the royal Academy, these appointments gave him reputation and wealth. Tapestries from Beauvais were made for rich aristocrats and the upper middle-classes; tapestries from the Gobelins were for the king. The consequence of this hierarchy was visible not only from an administrative point of view, but also from an artistic point of view. Therefore the different productions did not have the same economical and artistic value. Indirectly, Oudry’s models weren’t considered with a similar attention. For example, the tenture of the Chasses royales woven at Paris was considered one of the most important work in his career. Furthermore, Gougenot praised Oudry for his care and attention to details at these two factories to make beautiful tapestries. In different administrative journals, Oudry expressed his general view of the art and explained the means to perfect and to bring to the tapestries, the spirit and the intelligence of masters’ paintings. Nevertheless, the reception of these tapestries were not favourably unanimous amongst the art historians 19th and 20th centuries. Oudry was indeed judged player of the degradation of this textile art described as subservient to painting. This is the reason why, it is important to understand the context of elaboration of the artistic principles that were developed by the painter. This is the purpose of this study.
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« Mystères » et « joyeusetés » : les peintres de Lyon autour de 1500 / « Mysteres » and « joyeusetés » : painters of Lyons around 1500

Levy, Tania 25 November 2013 (has links)
Esquisser le portrait de la commaunauté des peintres lyonnais, entre le début du règne de Louis XI (1461) et la crise de la fin des années 1520, a constitué le présupposé de cette recherche. Le recours aux sources (comptables, fiscales et ecclésiastiques) s’est révélé indispensable à l’étude prosopographique et à une démarche d’histoire sociale de l’art, permettant la localisation des peintres, de leurs ateliers, les quelques filiations, leur place enfin (fortune et position sociale) dans la cité. Mais au-delà de cette première approche, l’étude des commanditaires, personnages capitals de la production artistique, a permis de définir plus finement le visage de la pratique picturale lyonnaise. Entre notables, Consulat, ecclésiastiques et rois, les activités de commande dans la ville ont souligné l’absence de grands chantiers et de grandes commandes dans ces décennies de prospérité croissante. Ce sont donc les fêtes, au premier rang desquelles les entrées royales et solennelles, qui mobilisent les forces économiques, littéraires et évidemment artistiques. L’étude des protagonistes de ces cérémonies royales et urbaines comme des thèmes déployés permet de caractériser de façon plus précise l’articulation entre artistes, commanditaires et cité comme d’approfondir la connaissance sur la pratique des peintres, en effet mieux détaillée dans ce cadre. / To sketch the portrait of the painters’ community of Lyon, between the beginning of the reign of Louis XI (1461) and the crisis of the end of 1520s, was the presupposition of this research. The appeal to sources (accounts, taxes and from ecclesiastic origin) showed itself essential to the study of painters and to the approach of social history of the art, allowing the location of them, their workshops, the some filiations, their place finally (fortune and social position) in the city. But beyond this first approach, the study of the patrons, major characters of the artistic production, allowed to define more finely the face of the pictorial practice of Lyon. Between notables, consuls, Consulate, clerics and kings, the activities of command in the city underlined the absence of big construction sites and big orders in these decades of increasing prosperity. They are thus the festivals, in the front row of which the royal and solemn entries, which mobilize the economic, literary and obviously artistic strengths. The study of the protagonists of these royal and urban ceremonies as spread themes allows to characterize in a more precise way the articulation between artists, patrons and city as to deepen the knowledge on the practice of the painters, indeed better known by this way.
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L'impact des recommandations des commissions d'enquête sur la législation québécoise

Fournier, Axel 09 1900 (has links)
Le présent mémoire porte sur les impacts, sur la législation québécoise, des commissions d'enquête portant sur les manques d'intégrité et d'éthique dans l'administration. Plus spécifiquement, il y est présenté une étude de la mise en oeuvre par le législateur des recommandations proposées par les commissaires dans leurs rapports depuis la Confédération. Bien que les commissions d'enquête soient mandatées par le gouvernement afin de découvrir la vérité dans une affaire particulière et ce, par le biais d'une procédure quasi-judiciaire, leurs rapports comportent des propositions pour prévenir la répétition du même problème. Durant les premières décennies des commissions d'enquête au Québec (1867‒1959), hormis quelques cas (ex. Commission Dunscomb, 1869‒1870 ; Commission Cannon, 1909), leurs rapports ne contenaient que peu de recommandations législatives, et lorsque c'était le cas, les parlementaires étaient réticents à les intégrer dans la législation (sauf pour la Commission Dunscomb). Depuis les années 1960, les rapports des commissions d'enquête rassemblent des recommandations plus complexes et les législatures successives se sont montrées davantage intéressées à les mettre en oeuvre. Elles ont réagi à la couverture médiatique étendue des commissions d'enquête (Commission Cliche, 1975; Commission Charbonneau 2015) et ont eu tendance à adopter rapidement des lois s'inspirant de leurs rapports. Dans les dernières décisions, les commissions ont proposé la création de plusieurs institutions gouvernementales politiquement indépendantes qui ont par la suite été créées (Agence du Revenu du Québec, Autorité des marchés publics, etc.). Cependant, au cours de l'histoire, le législateur a été plus réticent à suivre les recommandations visant les parlementaires ou les ministres eux-mêmes. / The subject of this master's thesis are the impacts on Quebec's legislation of inquiry commissions on the lack of integrity and ethics in public administration. More specifically, the implementation by lawmakers of recommendations proposed by commissioners’ reports since Confederation is examined. Even though public inquiry commissions are mandated by the government to discover the truth in a particular case by using a quasi-judicial proceeding, their reports contain proposals to prevent new occurrences of the same problem. During the first decades of public inquiry commissions in Québec (1867‒1959), their reports contained but few legislative recommendations, (with some exceptions, e.g. Dunscomb Commission, 1869‒1870; Cannon Commission, 1909), and when such recommendations were included, parliamentarians were reluctant to integrate them in legislation (save for Dunscomb Commission). Since the 1960s, public inquiry commissions' reports have contained more complex recommendations and the successive legislatures have proven themselves more interested in implementing them. Legislators reacted to the extended media coverage of inquiry commissions (e.g. Cliche Commission, 1975; Charbonneau Commission 2015) and the tendency has been for the rapid adoption of laws inspired by their reports. In the last decades, commissions have proposed the creation of several politically independent government institutions, leading to their creation (Agence du Revenu du Québec, Autorité des marchés publics, etc.). However, throughout history, lawmakers have been more reluctant to follow recommendations respecting parliamentarians or ministers themselves.
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Une "forêt" royale au Moyen Age : Le pays de Lyons, en Normandie (vers 1100 - vers 1450) / A royal forest in the Middle Ages : The pays de Lyons in Normandy (circa 1100 - circa 1450)

Nardeux, Bruno 19 June 2017 (has links)
Alors que la forêt de Lyons est souvent assimilée à une simple forêt-frontière, dix années d’enquête nous obligent à modifier radicalement cette définition géo-historique. Il faut dire qu’entre temps, il a fallu reconsidérer la notion même de forêt qui désignait au haut Moyen Âge, non pas de grandes étendues boisées, mais tout au contraire un espace fortement humanisé où coexistent futaies et taillis, landes et prairies, champs et villages. De cette grande forêt médiévale de Lyons – la plus importante de Normandie avec ses 30 000 ha – entièrement dévolue à l’usage et aux besoins de son détenteur ducal ou royal se dégage alors un pays, lui-même fruit de la sédimentation de quatre espaces nettement identifiés, entre 1100 et 1450. Des multiples séjours des Plantagenêts puis des Capétiens, attestés par plus de 500 chartes signées en forêt de Lyons entre 1100 et 1400 et justifiées soit par la chasse (espace résidentiel), soit par la guerre (espace militaire) résultent en effet un espace politique qui explique la fortune étonnante d’au moins deux favoris issus du pays de Lyons : Guillaume de Longchamps, chancelier d’Angleterre sous Richard Cœur de Lion et Enguerrand de Marigny, le familier de Philippe le Bel. S’ajoutent à cela tous les revenus qu’un espace économique comme la forêt de Lyons procure à son détenteur, en se rappelant l’importance prise par le bois dans l’économie médiévale. En définitive, l’on découvre ainsi que ce pays a fini par produire un véritable écosystème d’une résilience à toute épreuve jusqu’à ce que les années sombres de la fin de la Guerre de cent ans finissent par avoir raison de cet âge d’or qu’a représenté le Moyen Âge pour la forêt de Lyons. / Although the forest of Lyons is often defined simply as a border forest, ten years of research has enabled me to make a radical change to this old geographical definition. My reconsideration of even the concept of “forest,” shows that, in the High Middle Ages, the word meant not large stretches of woodlands but, instead, a well-developed space, where timberlands, thickets, heaths, pastures, cultivated fields, and villages coexisted. The medieval forest of Lyons, the most important in all Normandy with its 30,000 hectares, was entirely devoted to the use and necessities of its ducal or royal title-holder, and it emerged as a pays formed by the coalescence of four distinct spaces between 1100 and 1450. The many sojourns of the Plantagenets and then the Capetians — due to hunting (residential space) and various wars (military space) — are documented by more than 500 acts signed in the forest of Lyons between 1100 and 1400. These sojourns produced a political space that explains the stunning careers of at least two royal favorites, natives of the pays of Lyons: William Longchamp, chancellor under Richard the Lionheart, and Enguerrand de Marigny, chief minister of Philip the Fair. Since wood was a necessity in medieval times, the forest of Lyons was also an important economic space because it earned significant revenue for its title-holder. All things considered, it is clear that the pays of Lyons produced a true ecosystem able to survive all hardships until the dark, final period of the Hundred Years War put an end to the Golden Age that the Middle Ages had brought to the forest of Lyons.
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Les tombes royales et les tombes de prestige en Mésopotamie et en Syrie du Nord au Bronze Ancien / Royal tombs and tombs of prestige in Mesopotamia and North Syria in the Early Bronze Age

Lazzarini, Catherine Marie 26 March 2011 (has links)
Les tombes royales et les tombes de prestige sont spécifiques d’une partie de la communauté détenant un pouvoir régional ou local. Dans le contexte du Bronze Ancien en Mésopotamie et en Syrie, l’étude archéologique a permis de distinguer les tombes de prestige des autres tombes selon trois critères principaux : l’architecture monumentale, la localisation topographique et le matériel funéraire déposés dans les tombes. Ces traits constituent un ensemble de signes complexes intégré dans un discours idéologique. L’étude a eu pour objectif de replacer les pratiques funéraires dans la société et les pratiques rituelles et sociales du pouvoir. Une perspective anthropologique apportée au sujet des tombes royales et de prestige a permis de mettre en évidence comment les pratiques funéraires sont un instrument institutionnel de manipulation idéologique, intégrées dans un discours social et politique structuré. Comme d’autres moments centraux de la société, les pratiques funéraires sont des pratiques rituelles et sociales qui jouent un rôle dans la représentation du pouvoir des élites et la structuration de la communauté. Elles permettent de reproduire et de maintenir l’équilibre social et de justifier le pouvoir des dites élites. / The royal tombs and the tombs of prestige are specific of a group detaining a regional power or local power. We have identified archaeological traits in the Syrian and Mesopotamian Early Bronze Age context which could distinguish the prestige tombs from the others. These formal features are the monumental architecture, the specific location of the prestige tombs and the group of graves associated, and the grave goods. The wealth of the deposition and the structure are characteristics of the prestige tombs and it constitutes complex signs integrated in an ideological discourse. Thus, an anthropological perspective has been essential to appreciate the social implication of the elite funerary practices. As others main events in the society, funerary practices of prestige are rituals and social practices which play a role in the representation of the elite power and in the structure of the society. The royal tombs and the tombs of prestige are social instruments of ideological manipulation; the funerary practices are integrated in social discourse through rituals in order to reproduce and maintain social structure and justify the elite power.
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Représentations et exercice du pouvoir : les fables du "Calila et Dimna" castillan du XIIIe siècle, un miroir animalier du monde de cour / Representations and exercise of power : The fables of the 13th century Castilian version of "Calila et Dimna", an animal mirror of the courtiers world

Dalbion, Mathilde 02 December 2016 (has links)
Dans un certain nombre d’œuvres didactiques et sapientiales du Moyen Âge, l’animal est utilisé comme représentation du prince et de son entourage. L’animal est tantôt filtre, tantôt masque, un regard porté sur les cours princières par des auteurs plus ou moins impliqués dans celles-ci, et qui trouvent en l’animal l’outil le plus expressif pour exposer certaines valeurs ou dénoncer certains comportements. Notre étude se fonde sur un ensemble de sources, essentiellement le Calila et Dimna composé en Castille au milieu du XIIIe siècle pour l’infant Alphonse (futur Alphonse X) ; l’analyse inclut une étude de l’itinéraire textuel du Calila et Dimna : quelles différences présentent les versions indienne (Panchatantra), persane, arabe (Kalila wa Dimna), hébraïque, castillane, et les versions latines (Jean de Capoue et Raymond de Béziers). L’étude est étayée par une comparaison avec des textes indiens, persans et arabes qui offrent un rapport thématique avec ce traité dans la représentation du monde animalier. Textes latins et français (Roman de Renart, Roman de Fauvel accessoirement) complètent le corpus. Nous nous interrogeons aussi sur l’influence de la fable antique gréco-latine sur le traité (Ésope, Avianus), dans le choix des animaux et de leurs caractéristiques, notamment ; et sur les modalités de la transmission à l’Occident d’autres textes ayant suivi des itinéraires parallèles (Sendebar, Secret des Secrets, Roman des Sept sages de Rome). Nous nous demanderons si le Calila et Dimna n’était pas – comme le Renart ou le Fauvel – la caricature d’un certain milieu curial que les lecteurs contemporains n’avaient aucun mal à reconnaître ; et ce qu’il s’agisse de la version arabe ou de la version castillane du traité, étant entendu que chaque traducteur successif a contextualisé cette vision de la cour. Nous chercherons à comprendre la fonction et les mécanismes de ces masques animaliers : au-delà d’un bestiaire complexe, que nous nous attacherons à analyser de façon détaillée, en quoi et comment l’animal sert-il de filtre aux critiques politiques, comment constitue-t-il le miroir d’une vie de cour, et quelles images nous renvoie-t-il des courtisans ? Quels animaux sont-ils choisis (selon les versions) pour incarner tel ou tel homme de cour ? Quels préceptes moraux, traits de caractères, ou valences symboliques chaque animal « humanisé » véhicule-t-il ? Pourquoi utiliser des animaux ? Sont-ils là pour distraire les princes ou permettent-ils aux auteurs d’en dire plus qu’ils ne pourraient se l’autoriser, avec des héros humains ? L’animal est-il donc masque ou miroir ? / In a number of didactic and sapiential works of the Middle Ages, the animal is used as a representation of the prince and his entourage. The animal is sometimes a filter, sometimes a mask, looking at the princely courts by more or less involved authors. They find in the animal the most expressive tool to expose some values or to denounce some behaviours. Our study is based on a variety of sources, mainly the Calila et Dimna composed in Castile in the middle of the 13th century for the Infante Alfonso (future Alfonso X); the analysis includes a study of the Calila et Dimna textual path: what are the differences between Indian (Panchatantra), Persian, Arabic (Kalila wa Dimna), Hebrew, Castilian and Latin (Jean de Capoue and Raymond de Béziers) versions ? The study is supported by a comparison between some Indian, Persian and Arabic texts offering a thematic relevance in the animal world with this treatise. Latin and French (Roman de Renart, Roman de Fauvel secondarily) texts complete the corpus. We are also wondering about the Greco-Latin antique fable influence on the treatise (Esope, Avianus), concerning the choice of the animals and their characteristics. The modes of transmission to the Occident of other texts that followed parallel ways (Sandbar, Secret des Secrets, Roman des Sept Sages de Rome) are reviewed. We will be wondering whether the Calila et Dimna was not, as le Roman de Renart or le Roman de Fauvel, the caricature of a certain curial milieu that contemporary readers had no difficulty to recognise; Both the Arabic and the Castilian version of the treatise are concerned, on the understanding that each successive translator contextualised this vision of court. We will seek to understand the function and the mechanisms of these animal masks: beyond the complex bestiary, which will be thoroughly analysed, how and to what extent the animal is used as a filter for political criticism, how it constitutes the mirror of a court life, and what are the reflected images of the courtiers ? What animals are chosen (depending on the version) to embody one courtier or another ? Which moral precepts, character traits or symbolic values, each « humanised » animal is transmitting ? Why use animals ? Are they there to amuse princes or to allow the authors to tell more than they could with human heroes ? Is the animal a mask or a mirror ?

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