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Le collège de Dormans-Beauvais à la fin du Moyen Âge : stratégies politiques et parcours à l'Université de Paris (1370-1458) /

Kouamé, Thierry. January 2005 (has links)
Thèse de doctorat--Paris 1, 2002. / Dictionnaire biographique et documents en matin en annexes. Bibliogr. p. 641-661.
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Het "Speculum Historiale" van Vincent van Beauvais : een studie van zijn onstaansgeschiedenis /

Voorbij, J. B. January 1900 (has links)
Proefschrift--Letteren--Rijksuniversiteit Groningen, 1991. / La page de titre porte en tête "Rijksuniversiteit Groningen"
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Vinzenz von Beauvais : scholastische Universalchronistik als Quelle volkssprachiger Geschichtsschreibung /

Weigand, Rudolf, January 1991 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Sprach- und Literaturwissenschaftliche Fakultät--Eichstätt--Katholische Universität, 1987. / Bibliogr. p. 289-307.
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Cent mille provinciaux au XVIIe siècle : Beauvais et le Beauvaisis de 1600 à 1730 /

Goubert, Pierre, January 1977 (has links)
Texte abrégé de: Th.--Lettres--Paris, 1958. / Thèse soutenue sous le titre : "Beauvais et le Beauvaisis de 1600 à 1730"
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Les « Beaux-arts appliqués à l’industrie » : la Manufacture de Beauvais et ses peintres dans la seconde moitié du XIXe siècle / French decorative and industrial arts : the Beauvais manufacture and its painters during the second half of the nineteenth century

Le Drogoff, Agathe 24 May 2018 (has links)
Entre 1848 et 1914, un groupe de peintres exerça une « mainmise » sur la Manufacture de Beauvais. Pierre-Adolphe Badin et son fils, Jules, Pierre-Adrien Chabal-Dussurgey et Jules Diéterle en furent tour à tour les administrateurs et les principaux cartonniers. Chacun était issu d’une formation différente, de la plus courue à la moins reconnue : des Beaux-arts de Paris à l’école de l’industrie. Malgré la diversité de leur parcours, la Révolution de 1848 les rassembla au sein des Manufactures nationales, où ils participèrent à la régénération des arts décoratifs français. Il s’agit de comprendre les choix esthétiques de la Manufacture à travers deux niveaux d’analyse : celui des individus et de leur réseau, en les resituant ensuite dans le contexte plus général de l’industrie textile de la seconde moitié du XIXe siècle. / Between 1848 and 1914, a group of painters had a “stranglehold” on the Beauvais tapestry Manufacture. Pierre-Adolphe Badin and his son, Jules, Pierre-Adrien Chabal-Dussurgey and Jules Diéterle were in turns the managers and the main cartoon painters of this manufacture. They all came from different backgrounds: two of them attended the Fine Arts School of Paris, while the others ones were trained in the industry. Despite the diversity of their artistic careers, the French Revolution of 1848 brought these painters together within the National Manufactories, where they contributed to the revival of the French decorative arts. The aesthetic choices of the Beauvais Manufacture will be analyzed through the lens of these individual people and their network, while taking into account the global context of the textile industry during the second half of the nineteenth century.
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Le curé au prétoire : justice écclésiastique et développement de l'idéal sacerdotal tridentin dans le diocèse de Beauvais au XVIIe siècle

Saule, Kevin 07 December 2013 (has links)
Cette thèse étudie un volet méconnu de la réforme catholique. Grâce à l’étude d’un peu moins de 200 procédures judiciaires instruites par la justice ecclésiastique au XVIIe siècle à l’encontre de curés déviants du diocèse de Beauvais, notre recherche entend appréhender le rôle du tribunal ecclésiastique (l’officialité) dans le processus de disciplinement du clergé paroissial. Organisée en trois parties (« Les siècles des désordres » ; « Le curé délinquant dans son milieu paroissial » ; « Le curé délinquant face à ses juges »), la thèse démontre que, loin d’être marginalisée, l’officialité diocésaine de Beauvais parvient à maintenir ses prérogatives sur les prêtres, sans voir son champ de compétences contesté par les juridictions laïques. La justice de l’évêque fonctionne le plus souvent selon les mêmes principes que la justice royale, en cherchant plus à concilier et à réformer qu’à punir. La sentence de l’official, toujours lourde, n’est finalement prononcée que lorsque le curé a prouvé qu’il était incapable de s’amender malgré de multiples rappels à l’ordre. Les curés délinquants ayant maille à partir avec la justice épiscopale ont un profil particulier. Issus des milieux les moins défavorisés, formés « sur le tas », ils sont très souvent originaires d’un diocèse étranger et appartiennent tous – ou presque – aux générations antérieures à la mise en place du séminaire diocésain. Grâce à des soutiens nombreux et variés dans leur paroisse, les curés aux mœurs dissolues parviennent à se maintenir dans leur cure pendant de longues années avant que les scandales ne provoquent leur disgrâce. La vie religieuse de la paroisse n’est pas fortement perturbée par l’inconduite du curé comme le montrent les registres paroissiaux, les fonds des fabriques et les dossiers de paroisses. Contrairement aux discours alarmants tenus par certains plaignants, les ouailles ne se détournent pas de l’église à la suite des scandales et ne remettent pas en cause la validité des sacrements administrés par le curé. / This dissertation examines a little known part of the Catholic reformation. Thanks to the study of not less than 200 cases against deviant priests investigated by ecclesiastical courts in the diocese of Beauvais in the XVIIth century, our research tries to understand the part played by ecclesiastical courts (i.e. « officialités ») in the process of controlling parish priests. This dissertation is divided into three parts – « The Centuries of Disorders », « The Delinquent Priest in his Parish » and « The Delinquent Priest in Court » - and shows that, far from being marginalised, the Beauvais ecclesiastical court succeeds in keeping its prerogatives over priests without seeing its sphere of competence challenged by secular courts. Most of the time, the bishop’s judicial decisions work according to the same principles as the King’s, trying to reconcile and reform rather than to punish. The sentence of the judicial vicar (the « officialis ») is always severe and eventually only handed down when the priest showed he was unable to mend his ways in spite of numerous warnings. The deliquent priests who are at odds with the bishop’s justice have a distinctive profile. They come from the least underprivileged backgrounds, they were trained « on the job », they often come from a foreign diocese and all, or almost all, belong to generations living before the setting up of diocesan seminaries. Thanks to multitudinous and varied support from their parish, the morally depraved priests manage to remain in the place for many years before scandals cause them fall into disfavour. The religious life in the area is not greatly disturbed by the misbehaviour of the priest as the parish records and files as well as the mill resources show. Unlike the alarming speech of some plaintiffs, the flock doesn’t turn away from the Church after the scandals nor questions the validity of the sacraments administered by the priest.
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Jean-Baptiste Oudry et la tapisserie / Jean-Baptiste Oudry and tapestry

Pradier, Élodie 27 November 2015 (has links)
De 1726 à 1755, Jean-Baptiste Oudry (1686-1755), peintre du roi Louis XV, occupa diverses fonctions au sein des manufactures royales de tapisseries : peintre de modèles, directeur entrepreneur de Beauvais, surinspecteur des Gobelins. Selon Louis Gougenot (1761), son biographe de l’Académie royale de peinture et de sculpture, ces nominations lui apportèrent réputation et fortune. La production de Beauvais était destinée pour les riches aristocrates et bourgeois ; celle des Gobelins, pour le roi. La conséquence de cette différenciation peut se percevoir non seulement sur le plan administratif, mais aussi sur le plan artistique. Aussi, les œuvres produites n’avaient pas la même valeur économique et artistique. Par ricochets, la réception des modèles réalisés par Oudry ne fut pas la même. La tenture des Chasses royales tissée à Paris était considérée comme une œuvre majeure de sa carrière. Par ailleurs, son biographe louait les soins et la vigilance que le peintre apporta aux établissements en vue de « faire des tapisseries de première beauté » (Oudry). Dans divers mémoires administratifs, le peintre exprimait ses vues générales en matière d’art des lisses et expliquait les moyens à mettre en œuvre pour perfectionner et « donner aux ouvrages tout l’esprit et toute l’intelligence des tableaux » des maîtres. Or, la réception des tapisseries ne pas fit pas l’unanimité parmi les historiens de l’art au cours des XIXe et XXe siècles. Oudry fut en effet jugé acteur de la décadence de cet art textile décrit comme asservi à la peinture. C’est pourquoi il nous faut comprendre le contexte d’élaboration des principes artistiques développés par le peintre. C’est l’objet de cette étude. / From 1726 to 1755, Jean-Baptiste Oudry (1686-1755), painter of the king Louis the XVth, was appointed for different capacities at the royal manufactures of tapestries: painter of models, director of Beauvais, inspector of the Gobelins. According to Louis Gougenot (1761), his biographer at the royal Academy, these appointments gave him reputation and wealth. Tapestries from Beauvais were made for rich aristocrats and the upper middle-classes; tapestries from the Gobelins were for the king. The consequence of this hierarchy was visible not only from an administrative point of view, but also from an artistic point of view. Therefore the different productions did not have the same economical and artistic value. Indirectly, Oudry’s models weren’t considered with a similar attention. For example, the tenture of the Chasses royales woven at Paris was considered one of the most important work in his career. Furthermore, Gougenot praised Oudry for his care and attention to details at these two factories to make beautiful tapestries. In different administrative journals, Oudry expressed his general view of the art and explained the means to perfect and to bring to the tapestries, the spirit and the intelligence of masters’ paintings. Nevertheless, the reception of these tapestries were not favourably unanimous amongst the art historians 19th and 20th centuries. Oudry was indeed judged player of the degradation of this textile art described as subservient to painting. This is the reason why, it is important to understand the context of elaboration of the artistic principles that were developed by the painter. This is the purpose of this study.
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Oändliga möjligheter i en begränsad karneval : En analys av barnets makt i Michael Endes roman Den oändliga historien

Endertorp, Frida January 2023 (has links)
There has always been some sort of power struggle between children and adults in children’s literature. My essay is an analysis of the German children’s fantasy novel The Neverending Story (swe. Den oändliga historien, ger. Die unendliche Geschichte) with focus on the child’s power and power related relationships between the child and adults. The power dynamics play a large part in the novel that is rarely, or never, talked about. I will use a close reading analysis regarding the main character Bastian’s relationship to different adult characters, his journey to power, how the novel fits Bachtin’s carnival theory and the true ruler of Bastian’s world as well as the world of Fantastica (swe. Fantásien, ger. Phantásien). The study shows among other things that while Bastian gains power throughout the novel, he is somewhat punished for using that power and ultimately loses it. He is subordinate to the adults around him; however, holds some sort of power over them at different points in the novel. His journey to power can be described with Clémentine Beauvais’ concepts of authority and might, where the mighty child gains authority in Fantastica. The journey can also be described as a carnival, though that can also be questioned regarding the fact that Bastian is punished for using his power. In my analysis, I also question who, or what, holds the mightiest position in Bastian’s world and Fantastica respectively. At the end of the day, Bastian is just a child with the potential of being mighty, but his age makes him subordinate to the adult world.
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L'espace urbain entre Antiquité et Moyen Âge, analyse géoarchéologique des terres noires : études de cas.

Borderie, Quentin 26 October 2011 (has links) (PDF)
Les terres noires sont des sédiments urbains épais et sombres, situés entre les stratifications antiques et médiévales des anciennes agglomérations. Leur étude est un enjeu pour comprendre les sociétés du premier Moyen Âge et leurs pratiques des espaces urbains. L'interprétation de ces niveaux nécessite la mise en place d'études fines, recourant notamment à la géoarchéologie. En se fondant sur un inventaire des observations de terres noires, dans cinq régions du nord de la France (Haute-Normandie, Picardie, Île-de-France, Champagne-Ardenne et Lorraine), 20 stratifications de terres noires, réparties à Beauvais, Metz et Noyon, ont fait l'objet d'une approche géoarchéologique. L'important potentiel d'information contenu dans les terres noires a pu être démontré. La complexité de leur organisation a pu être soulignée, grâce à l'analyse stratigraphique et celle de leur structuration latente. La caractérisation physico-chimique de 89 unités stratigraphiques ainsi que l'analyse micromorphologique de 79 lames minces a permis d'identifier les processus à l'origine de la formation des terres noires et, au-delà, de proposer des activités et des pratiques socio-spatiales urbaines qui ont pu les créer. La diversité des apports à l'origine des terres noires a pu être mise en évidence. Ce sont souvent de petits dépôts rythmés et hétérogènes, pouvant correspondre à des rejets d'activités multiples, domestiques ou artisanales, ou parfois à des aménagements d'espaces intérieurs ou extérieurs. Cette recherche apporte donc des informations substantielles à l'étude des espaces urbains entre Antiquité et Moyen Âge et propose une approche et des pistes de travail pour en analyser la complexité.
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L’auteur au temps du recueil : repenser l’autorité et la singularité poétiques dans les premiers manuscrits à collections auctoriales de langue d’oïl (1100-1340).

Stout, Julien 04 1900 (has links)
Cette thèse entend proposer une analyse originale du phénomène connu mais polémique que constitue l’introduction de la notion d’auteur dans la littérature de langue française au Moyen Âge. Il s’agira d’essayer de contribuer à repenser la signification poétique, culturelle et historique de ce moment particulier où l’auteur – c’est-à-dire l’attribution d’un texte ou d’une série de textes à un nom propre donné – s’est imposé pour la première fois comme un critère structurant et primordial dans la production et surtout la transmission des textes de langue française dans les manuscrits médiévaux. Usant du concept foucaldien de fonction-auteur, des théories de la réception et du paratexte, ainsi que de la « Nouvelle Codicologie », l’approche déployée ici aborde l’auteur en tant que construction textuelle et éditoriale signifiante au sein d’un corpus de recueils littéraires de langue d’oïl où la volonté de construire des figures d’auteurs par les éditeurs de ces ouvrages est à la fois claire et indiscutable. Partie à l’origine d’un examen systématique de la tradition manuscrite d’environ 320 noms de poètes de langue d’oïl actifs entre 1100 et 1340, l’analyse se concentre principalement sur 25 manuscrits contenant des collections auctoriales dédiées à 17 poètes, dont le nom est associé avec insistance à une série de textes copiés les uns à la suite des autres. Parmi ces auteurs, on trouve les célèbres Chrétien de Troyes, Rutebeuf et Adam de la Halle, mais aussi Philippe de Thaon, frère Angier, Guillaume le clerc de Normandie, Pierre de Beauvais, Philippe de Remi, Gautier le Leu, Jacques de Baisieux, Geoffroi de Paris, Jean de l’Escurel, Baudouin de Condé, Jean de Condé, Watriquet de Couvin et Nicole Bozon. La présente analyse tente de nuancer et de dépasser la lecture répandue selon laquelle ces manuscrits à collections auctoriales individuelles constitueraient, de concert avec les fameuses biographies de troubadours et les chansonniers de trouvères, souvent présentés comme leurs « ancêtres », les débuts balbutiants d’une vaste épopée de l’avènement de l’« auteur moderne », annonciateur tout à la fois d’une « subjectivité littéraire », d’une « esthétique autobiographique » et d’un contrôle accru des auteurs historiques, réels, sur la transmission manuscrite de leurs propres œuvres. Tout en offrant une mise à jour contextuelle et matérielle – données originales à l’appui – concernant la dimension collaborative de la genèse de ces recueils et le caractère modulaire de leur transmission, on montrera qu’ils sont le fruit d’un dialogue nourri avec le modèle livresque latin et pluriséculaire de l’auctor – qui est à la fois un auteur, un garant de la vérité (auctoritas) et un ambassadeur prestigieux de la grammaire –, ainsi qu’avec l’antique exemple d’œuvres dites « biobibliographiques », qui décrivent la vie et l’œuvre d’auteurs illustres et exemplaires, comme le fait le De viris illustribus de saint Jérôme. Les manuscrits étudiés usent à répétition de ce modèle ancestral de la biobibliographie (« la vie et l’œuvre ») pour mettre en scène un face-à-face entre auteurs de langue d’oïl et auctores. Or cette mise en regard s’avère d’autant plus intéressante que, contrairement à ce qu’on observe pour les troubadours, considérés très tôt comme de nouveaux auctores illustres en langue vulgaire, dignes de cautionner l’excellence de la poésie et de la grammaire d’oc, elle ne prend pas uniquement, en français, la forme d’une imitation ou d’une adaptation de modèles anciens. En fait, l’analogie avec les auctores donne lieu à des exercices savants, autoréflexifs et parfois ironiques sur la fabrique éditoriale, poétique et épistémologique du type d’auteur et d’auctoritas qui peuvent (ou non) être bâtis dans des recueils en langue d’oïl, idiome qui était encore dépourvu à l’époque (1100-1340) de véritable grammaire, et où fleurissaient en revanche les genres littéraires de divertissement comme le roman, où l’on explorait la porosité des frontières entre le vrai et le faux, entre le bien et le mal. Plus qu’un pas pris dans la direction d’un sacre inéluctable, l’« invention de l’auteur français » à laquelle procèdent les recueils étudiés est un geste pétri des incertitudes et des interrogations de ceux qui le posaient, et qui en mesuraient la profonde vanité au regard de Dieu et de la mort. / This thesis aims to provide an original analysis on an often studied yet controversial issue: the introduction of the notion of authorship in French language medieval literature. The objective here is to reconsider the poetic, cultural, and historical signification of the particular moment when the author – understood here as the attribution of a text or of a series of texts to a proper noun – first became an essential structuring criteria in the production, and more importantly, in the transmission of French-language texts through medieval manuscripts. Using Michel Foucault’s concept of fonction-auteur, theories of reception and of the paratext, as well as New Codicology, this thesis will consider the author as a signifying textual and editorial construction within several literary collections written in langue d’oïl, in which the editors clearly and undeniably sought to construct figures of the author. Based on the systematic examination of the manuscript tradition of approximately 320 names of langue d’oïl poets, who were active between 1100 and 1340, this analysis will focus primarily on 25 manuscripts containing authorial collections dedicated to 17 poets, whose names are strongly associated with a series of texts that are copied one after the other. Among these authors are the famous Chrétien de Troyes, Rutebeuf and Adam de la Halle, as well as Philippe de Thaon, frère Angier, Guillaume le clerc de Normandie, Pierre de Beauvais, Philippe de Remi, Gautier le Leu, Jacques de Baisieux, Geoffroi de Paris, Jean de l’Escurel, Baudouin de Condé, Jean de Condé, Watriquet de Couvin and Nicole Bozon. This thesis attempts to question and ultimately discard the common conception according to which the manuscripts containing individual authorial collections constituted – along with the famous biographies of the troubadours and the chansonniers of the trouvères, often considered as their « ancestors » – the timid beginnings of the rise of the « modern author », himself a prequel to « literary subjectivity », « autobiographical aesthetics » and an ever stronger control exerted by actual empirical authors over the manuscript transmission of their own works. While offering contextual and material updates – supported by original data – regarding the collaborative process that went into the creation of these collections, as well as the modular aspect of their reception, this thesis will show that these collections were formed through a rich dialogue with the centuries-old latin model of the auctor – who is at once an author, a guardian of truth (auctoritas) and a prestigious ambassador of grammar –, as well as with the antique tradition of « biobibliographical » texts, dealing with the life and works of famous and exemplary authors, such as De viris illustribus, by saint Jerome. The manuscripts studied here repeatedly used this ancient model of biobibliography (« the life and works ») in order to stage a competition between authors writing in langue d’oïl and auctores. This confrontation is particularly interesting when one considers that – contrary to what may be observed in the case of the troubadours, who were quickly seen as the new illustrious vernacular auctores, worthy of vouching for the excellency of langue d’oc poetry and grammar – , we are not simply dealing here with a form of imitation or adaptation in French of ancient models. In fact, the analogy with auctores allows for autoreflexive and sometimes ironic learned exercises, dealing with the editorial, poetic and epistemological creation of the type of author and auctoritas in manuscript collections in langue d’oïl, an idiom which at the time (1100-1340) lacked a true grammar, yet was used in various literary genres meant for entertainment, such as romance, which explored the evanescent barriers between truth and lies, good and evil. Rather than a small step in the long path towards an inevitable coronation, the « invention of the French author » undertaken by these collections constitutes an action that reflects all the uncertainty and interrogations of those who undertook it, while being fully convinced of its utter vanity in the eyes of God and death.

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