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Le Parlement et les relations internationales

Jamot, Didier 24 February 2012 (has links)
Le Parlement est généralement considéré comme un acteur institutionnel ne pouvant s'impliquer dans les relations internationales. Seul, le pouvoir exécutif disposerait de la capacité à agir dans ce domaine. En réalité, cet état de choses qui était vrai à l'aube de la Vème République n'est plus d'actualité. L'évolution du monde au lendemain de la Seconde Guerre mondiale avec la décolonisation, la fin de la guerre froide, la mondialisation, mais aussi l'accélération de la construction européenne, a été à l'origine de l'attrait des parlementaires pour les questions de politique étrangère. Les révisions constitutionnelles successives, les modifications des règlements des assemblées et l'adoption de plusieurs lois leur ont alors fourni les moyens d'agir.Désormais, les députés et les sénateurs exercent une influence sur la politique étrangère de la France ; ils disposent d'outils parlementaires leur assurant une information et un contrôle des activités internationales du Gouvernement ; et ils sont parvenus à mettre en place une véritable diplomatie parlementaire tant bilatérale, comme dans le cadre des groupes d'amitié, que multilatérale, comme dans celui des assemblées parlementaires internationales / Parliament is generally thought to be an institution which is incapable of influencing international relations. The Executive Power alone is said to be capable of acting in this sphere.In reality, while this was true at the dawn of the Fifth Republic, it is no longer the case. The way the world changed after World War II – decolonization, the end of the Cold War, globalization, but also the rapid European integration – was the fundamental appeal of foreign policy for members of Parliament. The constitutional changes which then occurred, changes to Rules of Procedure of the assemblies and the adoption of several laws, afforded them the ability to act. Ever since, deputies and senators have influenced French foreign affairs. They have access to tools which assure them information and a certain control of the Government's international activities. They have likewise succeeded in establishing a parliamentary diplomacy equally bilateral – like Friendship groups – as multilateral, as is found in international parliaments
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Le Congrès républicain (1994 – 2006)- Révolutions conservatrices, contradictions électorales, évolutions institutionnelles / The Republican Congress (1994-2006)- Conservative revolutions, electoral contradictions, institutional evolutions

Meyer, Alix 24 November 2012 (has links)
Le Congrès des Etats-Unis est une institution méconnue, mal comprise et souvent dénigrée, y compris par ses propres membres. On le dit en crise, inadapté aux exigences du monde moderne. L’objectif est donc d’évaluer les forces et les faiblesses objectives du Congrès contemporain pour le réinsérer dans la dynamique des freins et contre-pouvoirs au coeur du système politique américain. La période retenue s’étale de la victoire des Républicains menés par Newt Gingrich en 1994 jusqu’aux élections de mi-mandat de 2006 et au retour des Démocrates.  De la présidence Clinton à Bush, ces douze années offrent un contexte institutionnel varié. Elles forment une trajectoire historique fascinante de la rhétorique révolutionnaire qui accompagne les victoires de 1994 à la résignation d’une défaite marquée par une certaine corruption institutionnelle, partisane et idéologique. Le cœur de notre étude vise à étudier les conséquences institutionnelles du retour à un équilibre partisan dans les deux chambres du Congrès. La compétition entre les deux partis a été accompagnée par la polarisation du système politique. Notre étude retrace les débuts de l’entrée dans une nouvelle ère sur la colline du Capitole. On cherchera à combiner une approche politique et institutionnelle en analysant plus particulièrement trois domaines de l’action politique particulièrement révélateurs: les finances via la procédure budgétaire, la réforme de l’Etat providence, et les relations avec le judiciaire via les nominations des Juges d’Appel fédéraux, lieu privilégié de frictions entre la Maison-Blanche et le Sénat. À cette perspective institutionnelle, il s’agira d’ajouter une étude sociologique de cohorte des membres du Congrès, nécessaire pour comprendre les ressorts de l’action institutionnelle.  Au-delà des membres de la chambre, l’étude d’une période dominée par le parti de l’éléphant nous permettra de plonger au cœur du mouvement conservateur. Après avoir présenté les racines historiques de l'idéologie conservatrice qui domine au sein du Parti républicain, il s'agira de révéler comment un mouvement contestataire a transformé l’institution du Congrès mais aussi comment l’institution a transformé le mouvement conservateur et le Parti républicain.  Dans un contexte international de renforcement du pouvoir exécutif, l’étude du Congrès doit permettre de redécouvrir certaines leçons sur les modalités de fonctionnement d’un système démocratique. Il s’agit de montrer qu'au-delà des questions techniques, des jeux de procédures obscures, dans la tension qui anime le Congrès, se joue l’avenir du concept de démocratie représentative ; de rétablir un certain équilibre dans la perception du système américain : système plus complexe qu’il n’apparaît dans les médias et même parfois la littérature. On ne peut se contenter d’étudier la présidence impériale sans prêter attention au vortex qui siège, toujours, au coeur de la constitution. Ainsi, sans  faire un panégyrique du pouvoir législatif, il s’agira de remettre en cause la tentation d’un Césarisme plus ou moins démocratique qui chercherait à faire du Congrès une chambre d’enregistrement des volontés de l’exécutif. / The United States Congress is often disparaged including by its own members. The critics of the institution decry the gridlock on Capitol Hill and Congress's alleged inability to deal with the challenges of the modern world. The unpopularity of today's Congress calls into question its ability to represent the American people. In that context it is necessary to try to assess whether or not Congress is truly dysfunctional. To that end, this study proposes to study a period of twelve years from 1994 to 2006 during which the Republican party dominated the institution. In 1994, under the leadership of Newt Gingrich, the Republicans returned to the majority in the House of Representatives for the first time in forty years. In 2006, after another midterm election, the Republican majorities in the House and the Senate were soundly defeated. Drawing on the long and tortuous history of the relationship between the Republican party and conservatism, the new majorities proposed large-scale change that amounted to a conservative revolution. They had initially laid out a clearly conservative agenda that insisted on balancing the budget and reducing the size of government. A detailed study of their fiscal policy and their attempts at entitlement reform over the period actually leads us to conclude that they eventually governed over ever larger deficits and a growing federal government whose policies were adjusted to favor different portions of the population. It is therefore necessary to try to account for the discrepancy between the initial goals and the eventual results. This entails studying first the evolution of the Republican members of Congress themselves to see whether the policy changes can be explained by the members becoming more moderate. Another explanation centers on the relationship between the members of the Congress and their constituents. The Republican majorities could have been forced to moderate their positions by the voters themselves in the elections of 1996, 1998, 2000, 2002 and 2004. Here the complex interplay that implies the interpretation of election results comes into play. Over the past decades, the American political system has been polarizing clearly. The growing ideological gap between the two parties and their bases calls into question the institutional stability of an institution built on the necessity to compromise. Especially since both parties have polarized while the margins of the majorities have grown more narrow. It is thus essential to look at the constraints set up by the institutional system. The arcane nuances of the legislative process directly impinges on the content of legislation. Indeed, if the majority rules decisively over the House of Representatives, in the Senate, the minority can very easily block most initiatives. The growing recourse to procedural shortcuts offered by the budget process is a testament to that fact.Finally, the relationship with the president of the United States is very much a factor in the equation. The twelve years of Republican domination in Congress covers two very different periods. Until January 2001, they had to battle with President Clinton in a context of divided government. Following George W. Bush's election in 2000, they started working under the command of the White House. The stark contrast in the way Senate republicans dealt with the two presidents when it came to their judicial nominees for the Federal Courts of Appeal offers an excellent opportunity to evaluate the continuing yet variable strength of the system of checks and balances set up by the U.S. Constitution. A deeper understanding of the workings of the contemporary Congress might allow for a more nuanced vision of the institution as much more than a roadblock on the road of presidential leadership and, perhaps, lead to a better appreciation of the way its members are trying or failing to fulfill their constitutional duty.
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Les styles de représentation, leurs déterminants et effets comportemenaux : étude empirique des sénateurs français / Representational styles, their determinants and behavioral effect, an empirical study

Schnatterer, Tinette 14 November 2014 (has links)
Les typologies de parlementaires occupent une place centrale dans les études parlementaires.Nous proposons une définition du concept de «style de représentation», centrée sur lescaractéristiques déclarées des parlementaires - permettant de traiter les caractéristiques des élusdans leur diversité en examinant le spectre le plus large possible d’activités représentatives - et desaisir la manière dont ces activités s’articulent entre le niveau local et le niveau national. Ceconcept nous permettra d’étudier empiriquement les liens entre les styles de représentation -dansnotre cas des sénateurs français-, leurs déterminants et leurs effets comportementaux et desurmonter ainsi le descriptivisme propre à beaucoup d'études mobilisant des types parlementaires.L'analyse de cinq styles de représentation des sénateurs français met en évidence que les stylesde représentation sont des réponses aux contraintes et ressources des parlementaires et qu’ilsaffectent de manière systématique le comportement des sénateurs. / Typologies of parliamentarians play a central role in the study of legislators and their behavior. Wepropose a narrow concept of styles of representation, focused on the expressed characteristics ofparliamentarians and taking into account the largest possible spectrum of representational activitiesincluding the local and the national arena of the mandate.This concept enables us to study empirically the links between styles of representations -in ourcase of French senators-, their determinants and behavioral effects and to overcome thedescriptiveness of many studies mobilizing typologies of parliamentarians.The analysis of five styles of representation of the French senators show, that these styles areanswers to the constraints and resources of the parliamentarians and that they affect the senators’behavior in a systematic manner.
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Le heavy metal érigé en contre-culture dans le cadre du Record Labeling Hearing : une sous-culture en émergence entre stigmatisation et reconnaissance

Gendreau, Marc-Antoine 30 April 2014 (has links)
La thèse analyse un document intitulé Record Labeling Hearing (RLH) (1985), qui reprend dans son intégralité une séance qui s’est tenue au Congrès des États-Unis à propos du contenu jugé problématique de certains albums de musique. Au cœur de cette séance, se retrouve le Parents Music Resource Centre (PMRC), un groupe de pression qui voit le jour en 1984. D’après le PMRC, les albums avec des paroles traitant de sexe, de violence, d’occulte, de drogues et d’alcool méritent l’autocollant du « Parental Advisory : Explicit Lyrics » afin d’avertir les parents des thématiques abordées. La séance réunit des sénateurs du Congrès américain, les membres du PMRC et des alliés de ces derniers, dont la National Parent/Teacher Association (NPTA), ainsi que des représentants de l’industrie de la musique et trois artistes. Nous verrons dans la thèse qu’en fait, c’est le heavy metal que le PMRC et ses alliés visaient lors du RLH et non par exemple certains contenus transversaux à divers types d’albums de musique. A cette époque, la sous-culture du heavy metal était encore en émergence et pour tout dire bien fragile. En 1985, elle était même menacée de fragmentation en raison de la popularité de certains de ses sous-genres. Or, en présentant le heavy metal comme une contre-culture, le RLH a aidé ce genre musical à se constituer en véritable sous-culture.
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Le heavy metal érigé en contre-culture dans le cadre du Record Labeling Hearing : une sous-culture en émergence entre stigmatisation et reconnaissance

Gendreau, Marc-Antoine January 2014 (has links)
La thèse analyse un document intitulé Record Labeling Hearing (RLH) (1985), qui reprend dans son intégralité une séance qui s’est tenue au Congrès des États-Unis à propos du contenu jugé problématique de certains albums de musique. Au cœur de cette séance, se retrouve le Parents Music Resource Centre (PMRC), un groupe de pression qui voit le jour en 1984. D’après le PMRC, les albums avec des paroles traitant de sexe, de violence, d’occulte, de drogues et d’alcool méritent l’autocollant du « Parental Advisory : Explicit Lyrics » afin d’avertir les parents des thématiques abordées. La séance réunit des sénateurs du Congrès américain, les membres du PMRC et des alliés de ces derniers, dont la National Parent/Teacher Association (NPTA), ainsi que des représentants de l’industrie de la musique et trois artistes. Nous verrons dans la thèse qu’en fait, c’est le heavy metal que le PMRC et ses alliés visaient lors du RLH et non par exemple certains contenus transversaux à divers types d’albums de musique. A cette époque, la sous-culture du heavy metal était encore en émergence et pour tout dire bien fragile. En 1985, elle était même menacée de fragmentation en raison de la popularité de certains de ses sous-genres. Or, en présentant le heavy metal comme une contre-culture, le RLH a aidé ce genre musical à se constituer en véritable sous-culture.

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