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Skogens skördemän : Skogs- och flottningsarbetareförbundets kamp för arbete och kollektivavtal 1918-1927 /

Persson, Bo, January 1991 (has links)
Akademisk avhandling--Filosofie doktorsexamen--Stockholm, 1991.
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Socialistes et enseignants : le Parti socialiste et la Fédération de l'Education nationale de 1971 à 1992 / Socialists and teachers : the Parti socialiste and the Fédération de l’éducation nationale from 1971 to 1992

Ferhat, Ismaïl 12 November 2013 (has links)
Les relations entre socialistes et enseignants sont à la fois marquées par une grande proximité et la crise entraînée par les tensions entre les deux champs entre 1997 et 2000. Les rapports entre ce milieu professionnel et ce courant politique sont supposés étroits. Pourtant, peu d’études ont été faites. La thèse propose une analyse des rapports entre le Parti socialiste et la Fédération de l’éducation nationale. Elle propose une analyse multidisciplinaire sur les interactions entre ces deux organisations, du congrès du PS à Epinay en 1971 à l’éclatement de la FEN en 1992. / Teachers and socialists had experienced, in contemporary France, a traditional alliance but also a major crisis under the left-wing government of 1997-2002. These interactions are supposed to be intense, but have entailed few scientific studies. This PhD paper focuses on a specific aspect of this relation, the partnership between the Parti socialiste and the Fédération de l’éducation nationale (the leading teacher union in France from 1946 to 1992. It studies on the interactions linking those organizations, from the socialist congress at Epinay in 1971 to the scission of the FEN in 1992.
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L'unité syndicale au Québec, 1880-1921

Bilodeau, Pierre-Paul, Bilodeau, Pierre-Paul 14 February 2024 (has links)
« Thèse présentée à l'École des gradués de l'Université Laval pour l'obtention du grade de maître ès arts (M.A.) (Relations industrielles) » / L'étude du mouvement syndical n'est certes pas récente; bien des spécialistes en sociologie et en relations industrielles ont tenté depuis plusieurs décennies de définir ses composantes et d'expliquer son fonctionnement. Plus nouveau est, cependant, l'engouement pour des études à caractère historique. Au Québec, cet intérêt croissant a suscité la formation du "Regroupement des chercheurs en histoire sur les travailleurs québécois". Malgré le nombre accru des études faites depuis 1970, aucune ne porte spécifiquement sur l'unité syndicale au sein du syndicalisme québécois. Pourtant, la pertinence d'une telle réflexion ou recherche nous est confirmée par certains événements qui ont marqué la scène syndicale québécoise au cours des dernières années. Le rappel des deux "Front commun" et du projet d'unification de la CSN et de la CEQ en fait foi. Aussi, cette recherche a été entreprise dans le but de combler, quoique partiellement, cette lacune dans la compréhension du mouvement syndical au Québec. Les historiens nous affirment qu'il est bon de scruter le passé afin d'en tirer des leçons pour le présent et même le futur. Il nous est donc apparu opportun d'examiner le phénomène de l'unité syndicale au cours de la phase de structuration et de consolidation du syndicalisme au Québec, c'est-à-dire pour la période: 1880-1921. Notre exercice est d'identifier, à l'aide d'un cadre de référence, les principales variables qui se sont avérées déterminantes dans l'évolution de l'unité ou du pluralisme syndical(e) pendant ces années.
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Pour un syndicalisme de lutte de classe! les groupes marxistes-léninistes et le mouvement syndical au Québec, 1972-1983

Dubois-Campagna, Alexis January 2009 (has links)
Dès la fin des années 1960, se développe une nouvelle tendance socialiste au Québec dans un contexte marqué par l'épuisement de la Révolution tranquille et par une ébullition idéologique sur la scène internationale. Dans ce climat politique, des groupuscules marxistes-léninistes (m-l) de tendance maoïste voient le jour au Québec, principalement dans la deuxième moitié des années 1970. Au même moment, sur le front syndical québécois, la lutte est intense entre travailleurs et employeurs. Les fronts communs de 1972 et 1975 et d'importantes grèves en font foi. De plus, de nombreux chefs syndicaux n'hésitent pas à s'attaquer directement au patronat et à l'État dans des discours clairement nourris par l'idéologie socialiste. Le radicalisme politique, même s'il n'est pas homogène et généralisé dans les centrales québécoises, s'impose de plus en plus dans les syndicats locaux comme dans les instances supérieures. C'est précisément les liens entre ces deux mondes, celui des groupuscules marxistes-léninistes et celui des centrales syndicales, qui nous intéressent. L'originalité de notre travail tient au fait qu'il lie les historiographies du marxisme-léninisme et du syndicalisme, ce qui représente un angle intéressant afin de renouveler la réflexion dans ces deux champs de recherche, certes très proches, mais malheureusement trop souvent étanches. À l'aide de diverses sources écrites, notamment les publications des organisations m-l et les archives des mêmes groupes, mais aussi d'entrevues menées par l'auteur avec d'anciens militants syndicaux, nous observons les relations entre les deux principaux groupuscules marxistes-léninistes, à savoir En Lutte! et la Ligue communiste (marxiste-léniniste) du Canada, et les centrales syndicales québécoises entre 1972 et 1983. Effectivement, il nous semble pertinent de mieux comprendre la nature des liens et des influences réciproques entre ces acteurs sociaux. L'objectif premier de cette recherche est de mettre en relief le militantisme des marxistes-léninistes au sein de ces institutions syndicales. En effet, la structure ouverte des syndicats, c'est-à-dire démocratique et accessible à tous les travailleurs syndiqués, a permis à un grand nombre de membres et sympathisants m-l de s'y intégrer et d'y faire valoir des positions d'extrême gauche. Et c'est justement le militantisme soutenu des m-l qui, contrastant avec celui beaucoup plus passif de l'ensemble des membres syndiqués, leur a permis d'influencer les positions et les stratégies des centrales syndicales, du moins de s'y faire entendre et de susciter des débats, particulièrement entre 1975 et 1980. Notre recherche sur cet aspect du militantisme syndical des marxistes-léninistes québécois éclaire des zones d'ombre de l'histoire politique récente de la province. De plus, cette étude amène une connaissance plus profonde de la place du radicalisme dans la culture politique québécoise et une meilleure compréhension du militantisme et de ses rouages. Afin d'atteindre nos objectifs, nous analysons d'abord le discours des marxistes-léninistes au sujet du monde syndical. Il sera notamment question des critiques sévères lancées contre les chefs syndicaux, ainsi que de la lutte idéologique qui secoue les différents groupes marxistes. Nous étudions ensuite les stratégies et les actions des m-l face aux syndicats, comme la volonté de se présenter à des postes électifs. Finalement, ce mémoire tente de mettre en lumière le militantisme m-l dans les différentes instances de la Confédération des syndicats nationaux, tout particulièrement le Conseil central de Montréal.
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L'agitation étudiante et lycéenne de l'après-Mai 1968 à 1986. Du cadre national à l'exemple clermontois

Carboni, Nicolas 24 January 2012 (has links) (PDF)
Longtemps, l'histoire des universités françaises et des lycées s'est limitée à une histoire institutionnelle, celle des réformes, des politiques scolaires et universitaires. Mais depuis de nombreuses années, de nouvelles problématiques sont au cœur des réflexions. Ainsi, depuis Mai 68, on s'interroge sur les acteurs de la vie universitaire et scolaire, notamment les étudiants et les lycéens. En effet, avec les événements de mai et juin 1968, étudiants et les lycéens français ont pris une place de plus en plus importante sur la scène politique et sociale. Cette évolution est particulièrement remarquable à Clermont­‐Ferrand, où la jeunesse estudiantine et lycéenne se fait entendre à intervalles réguliers. Il existe effectivement dans la capitale auvergnate une tradition de lutte étudiante et lycéenne, qui trouve ses racines dans les événements survenus pendant la Seconde Guerre Mondiale, à l'occasion du repli de l'université de Strasbourg à Clermont, ou encore dans les luttes étudiantes et lycéennes contre la guerre d'Algérie et la guerre du Vietnam. De cette tradition de lutte naît un paysage politique et syndical particulier dans les lycées et facultés de la ville. Des années 1960 aux années 1980, lycéens et étudiants clermontois sont particulièrement impliqués dans les combats politiques et dans les luttes sociales, qu'ils concernent directement ou non le monde scolaire et universitaire. Ils s'intègrent à un mouvement plus large, ce mouvement étudiant et lycéen, qui atteint son apogée dans les années 1960 et 1970.Le travail de recherche présenté entend s'interroger sur ces relations entre mouvement local et mouvement national : est­‐ce que les lycéens et les étudiants clermontois se distinguent du reste de la population étudiante et lycéenne ? Quels sont les grands sujets de mobilisation à Clermont­‐Ferrand entre 1968 et 1986 et sont-­‐ils en adéquation avec ceux de la jeunesse française ? Quelles sont les formes de mobilisation de la jeunesse étudiante et lycéenne clermontoise et différent‐elles de celles observables à l'échelle nationale ? C'est sur toutes ces questions que ce travail s'attarde, entendant montrer la place du mouvement étudiant et lycéen clermontois au sein du mouvement social local et français.
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Mouvements sociaux, syndicats et action politique à Montréal : l'histoire du FRAP (1970-1974)

Comby, Marc January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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"Travayè an larila - Les travailleurs sont dans la rue" : syndicalisme et protestation en Guadeloupe et en Martinique / "The workers take the street : labour and contention in Guadeloupe and Martinique

Odin, Pierre 08 December 2017 (has links)
En janvier 2009, une grève générale de 44 jours était déclenchée à l’appel du Liyannaj Kont Pwofitasyon - pour « Unité contre l’exploitation » en Guadeloupe et du Kolectif 5 Févrié - « Collectif du 5 février » en Martinique. Ces deux coalitions menées par des syndicalistes entendaient alors mobiliser la population locale contre la cherté de la vie aux Antilles, en soulignant le caractère inégalitaire et colonial de ce phénomène. La première partie de ce travail entend exposer la genèse du syndicalisme aux Antilles : d’abord, en décrivant l’influence des événements de Mai 68 sur la jeunesse anticolonialiste antillaise ; ensuite, en analysant les trajectoires des militants anticolonialistes qui se sont tourné vers le syndicalisme à la fin des années 1970. La deuxième partie est consacrée à l’encadrement politique des syndicats antillais contemporains, au sein de quatre organisations : l’Union Générale des Travailleurs de la Guadeloupe (UGTG), la Confédération Générale du Travail (CGTG et CGTM) et la Confédération Démocratique des Travailleurs Martinique (CDMT). Plus spécifiquement, il sera ici question de la façon dont l’indépendantisme et les différents courants d’extrême gauche parviennent à imprimer et à maintenir leurs orientations politiques tout en composant avec la diversité des publics auprès desquels interviennent les syndicats. Notre troisième partie revient quant à elle sur la situation de conflit social généralisé qui surgit à la faveur de la grève générale de 2009, en analysant le travail de coalition entre les différents acteurs protestataires, les négociations avec les autorités de l’île et la dynamique de radicalisation du conflit. / In January 2009, a general strike, that would last 44 days, broke out following the call of the Liyannaj Kont Pwofitasyon (“Unite against exploitation”) in Guadeloupe and of the Kolectif 5 Févrié (“Collective of February 5th”) in Martinique. Those two coalitions led by union leaders sought to mobilize the local population against the high cost of living in the Antilles, insisting on the unequal and colonial dimensions of this phenomenon. The first part of this work tackles the genesis of unionism in the Antilles: first by describing the influence of May 1968 events on the anticolonial youth in those islands; then by analyzing the trajectories of the anticolonial activists who turned toward unionism at the end the 1970s. The second part of the dissertation is dedicated to the study of contemporary union’s political culture, throughout the analysis of four organizations: the Union Générale des Travailleurs de la Guadeloupe (UGTG), the Confédération Générale du Travail (CGTG and CGTM), and the Confédération Démocratique des Travailleurs de Martinique (CDMT). More specifically, it will uncover the way separatism and the various branches of the far-left succeed in imposing and maintaining their political options while dealing with the diversity of the constituents that the unions serve. The third part will focus on the situation of widespread social unrest, which emerged as a result of the 2009 general strike. It will analyze the coalition work of the various protesting groups, the collective bargaining with local authorities and the dynamics of conflict radicalization.
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Un nouvel esprit contestataire – La grammaire pragmatiste du syndicalisme d'action directe libertaire

Pereira, Irène 03 June 2009 (has links) (PDF)
Depuis les années 1990, on assiste, selon la littérature sociologique, à un renouveau de la contestation. Nous avons formulé l'hypothèse que ce renouveau serait marqué par un esprit pragmatiste. Pour approfondir cette hypothèse, nous avons effectué une enquête ethnographique dans deux organisations libertaires se référant au syndicalisme d'action directe, à savoir l'organisation anarchiste, Alternative Libertaire, fondée en 1991, et le syndicat Sud Culture Solidaires créé en 1996. <br />Nous nous sommes donnés comme objectif d'analyser les homologies existant entre la philosophie pragmatiste et les pratiques militantes au sein d'organisations se réclamant du syndicalisme d'action directe. <br />La mise en valeur de ces homologies, nous a permis de constituer une grammaire, au sens de la sociologie pragmatique, du syndicalisme d'action directe. <br />La construction de cette grammaire s'est effectuée en outre en dessinant une topographie de la gauche radicale aujourd'hui à partir des controverses entre les organisations que nous avons étudiées et d'autres groupes militants. Pour cela, nous avons étudié l'histoire des différents courants de la gauche radicale et en particulier des différents courants de l'anarchisme. Cela nous a conduit à distinguer trois grammaires principales à l'oeuvre dans la gauche radicale: une grammaire de la modernité – universaliste, humaniste et démocratique -, une grammaire socialiste fondée sur la lutte des classes et la dénonciation de l'exploitation économique et enfin une grammaire postmoderne qui s'appuie sur une prise en compte des revendications culturelles des minorités.
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Les formes de l'engagement des cadres . Pratiques collectives et offres de représentation

Bensoussan, Mathieu 05 November 2008 (has links) (PDF)
L'action collective des cadres ne se réduit pas à la seule forme syndicale et intercatégorielle d'organisation et de représentation. Les cadres peuvent s'engager dans le syndicalisme catégoriel, incarné par la Confédération Générale des Cadres (CGC), ou dans une centrale ouvrière. Mais ils peuvent aussi s'impliquer dans les associations professionnelles qui les regroupent selon le critère du type d'emploi occupé, ou dans l'association des anciens élèves de leur École. La thèse, prenant pour objet l'action collective des cadres en lien avec le travail et l'emploi, consiste à expliquer cette pluralité des offres de représentation des cadres et la variété de leurs engagements, par la compréhension du sens que revêt chacune de ces formes d'action (syndicale, professionnelle, corporative) et l'analyse des trajectoires individuelles d'implication. Elle démontre que le caractère pluriel de l'action collective des cadres s'explique par l'équivocité de leur rapport à la relation de subordination, immanente au contrat de travail : c'est le rapport ambivalent des cadres à la subordination salariée qui est la cause de la diversité de leurs pratiques collectives. La thèse montre que chaque type de groupement (syndicat, association professionnelle et groupement d'anciens élèves) est une ressource spécifique, qui autorise la conscription de la subordination à l'employeur et la reconnaissance d'une valeur individuelle irréductible à son évaluation hiérarchique contingente.
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Ingénieur, politique et société dans le contexte de la restructuration capitaliste brésilienne

Gutierrez, Andriei 25 February 2011 (has links) (PDF)
L'objet d'étude de notre thèse correspond au groupe professionnel des ingénieurs brésiliens face aux transformations politiques et économiques menées au Brésil dans les années 1990 et 2000, notamment l'introduction des politiques néolibérales et de la restructuration productive. La thèse analyse comment les différentes fractions du groupe professionnel ont été touchées par ces transformations et comment ses distinctes organisations d'intérêt ont agit dans la conjoncture politique. D'un coté, la thèse montre comment la combinatoires des politiques d'ouverture commerciale, de déréglementation financière, de privatisations et de reforme de l'État sont liées à l'augmentation de la participation du secteur privé dans l'économie et à la croissante dépendance financière, technologique et patrimoniale du pays envers l'extérieur. D'autre par, la thèse suggère que les politiques de déréglementation du marche de travail, de reforme du système de retraites et de focalisations des dépenses sociales de l'État ont eu un effet sur le groupe professionnel : il y a une croissante tendance d'individualisation de la gestion de la carrière et du bien-être. A partir d'une étude quantitative avec des ingénieurs et qualitative entre ceux et leurs organisations d'intérêt, notre thèse est ciblée sur l'analyse de l'évolution historique et politique du groupe professionnel. Elle part, dans un premier moment, de la description de la littérature que porte sur les organisations d'intérêt des ingénieurs dans les années 1970 et 1980 et analyse, dans un deuxième moment, la façon dont ces organisations ont agit dans la conjoncture politique des années 1990 et 2000. La thèse fait également une analyse exploratoire des profils politiques des ingénieurs des entreprises étatiques, en spéciale la Petrobras, en les comparant directement avec les transformations dans leurs rapports de travail. D'une manière plus générale, notre thèse soutient que la dynamique des luttes macrosociales a d'influence considérable sur le positionnement politique des différentes fractions du groupe professionnel et de ses organisations d'intérêt.

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