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Early life factors influencing neurodevelopment and the study of the interrelations between different behavioural areas

Júlvez Calvo, Jordi 27 September 2007 (has links)
Antecedents: No hi ha gaire coneixement sobre el neurodesenvolupament de preescolars i la seva susceptibilitat enfront a factors ambientals. Objectius: Avaluar les respostes del neurodesenvolupament en nens i les seves característiques psicomètriques, i, si factors ambientals primerencs (ex., duració de la lactància materna i mares que fumen) poden influir tals respostes. Mètodes: Dues cohorts prospectives des del naixement en població general (Menorca (N=421) i Ribera d'Ebre (N=79)) van se seguides fins als 4 anys d'edat durant un període de dos anys (2001-2003). Els nens van ser avaluats per tres psicòlegs i els seus respectius mestres per les funcions neuropsicològiques (MCSA), els comportaments de dèficit d'atenció i d'hiperactivitat (TDAH-DSM-IV) i la competència social (CPSCS); junt amb l'administració (en persona) a les mares de qüestionaris generals.Resultats: Les respostes van mostrar característiques psicomètriques acceptables i els patrons neuropsicològics del TDAH eren consistents amb altres troballes sobre TDAH. La lactància materna de llarga durada estava associada amb una millora de totes les àrees comportamentals avaluades. Fumar durant l'embaràs estava associat a puntuacions cognitives més baixes.Conclusions: Avaluar el neurodesenvolupament a preescolars sans és factible i necessari per investigar efectes primerencs de factors ambientals i aplicar polítiques preventives de salut pública. / Background: Little is known about neurodevelopment among preschoolers and its susceptibility to environmental factors.Objectives: Assess neurodevelopmental outcomes and their psychometric characteristics in children; and, if early environmental factors (i.e., duration of breastfeeding and maternal smoking) influence the neurobehavioral outcomes. Methods: Two prospective population-based birth cohorts (Menorca (N=421) and Ribera d'Ebre county (N=79)) were followed up at the age of 4 years during a two year period (2001-2003). Children were assessed by three psychologists and their respective teachers for neuropsychological functions (MCSA), inattention-hyperactivity behaviors (ADHD-DSM-IV) and social behavior (CPSCS); in addition to maternal in person general questionnaires. Results: Outcomes showed acceptable psychometric characteristics and ADHD neuropsychological patterns were consistent with other ADHD findings. Long-term breastfeeding was associated with the improvement of all behavioral areas assessed. Maternal smoking during pregnancy was associated with lower cognitive scores.Conclusions: Assessing neurodevelopment in healthy preschoolers is feasible and necessary to investigate early effects of environmental factors and apply public health preventive policies.
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The association between childhood attention-deficit/hyperactivity disorder medication use and symptoms of mental health problems in adolescence : A 15-year longitudinal population-based study

Sabirova, Alina 04 1900 (has links)
No description available.
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Conceptualisation sociologique de la construction sociale du TDAH : médicalisation et pharmaceuticalisation des difficultés scolaires dans un système scolaire potentiellement anomique

T. Larose, Mathieu 05 1900 (has links)
Ce mémoire de maitrise constitue une proposition théorique dans le cadre de laquelle je propose une conceptualisation de la construction sociale du trouble déficitaire de l’attention (TDAH) et son traitement par médication psychostimulante, en s’intéressant au processus diagnostique et aux interactions qu’il implique entre les membres de l’écologie scolaire (enseignants, professionnels, élèves, parents, gestionnaires, formateurs), mais aussi entre ces derniers et ceux du domaine médical (médecin généraliste, pédopsychiatre ou psychiatre, pédiatre, psychologue, neurologue). En brossant un portrait exhaustif des connaissances sociales et scientifiques sur ce qu’on nomme communément le TDAH, je présente comment il y a eu redéfinition sociale d’un trouble scolaire en trouble médical, c’est-à-dire comment il y a eu une médicalisation des difficultés scolaires. Cette médicalisation ayant socialement cheminé vers une pharmaceuticalisation de cette non-conformité aux normes scolaires, alors que le traitement par médication psychostimulante est devenu une solution de plus en plus légitime pour plusieurs élèves d’ordre primaire au cours des dernières décennies. Cependant, même si mémoire ne vise pas à nier l’existence d’un tel trouble neurologique, de nombreux facteurs permettent d’observer que des processus sociaux peuvent influencer les taux diagnostiques et les taux de traitement par médication, alors qu’il y a raisons de croire que le Québec est en situation de surdiagnostics et de surprescriptions, principalement chez la population des élèves d’ordre primaire. Suivant cette perspective, ce mémoire propose une conceptualisation sociologique inédite qui pourrait permettre de mieux comprendre comment ces deux phénomènes sont le résultat d’une construction sociale par des processus sociaux. Une conceptualisation qui propose autant d’aborder et d’analyser le TDAH d’un point de vue macrosocial que d’un point de vue microsocial. / This master's thesis constitutes a theoretical proposal in which I propose a conceptualization to understand the social construction of ADHD and its treatment with psychostimulant medication, focusing on the diagnostic process and the interactions it involves between members of the school ecology (teachers, professionals, students, parents, managers, trainers), but also between those and those of the medical field (general practitioner, child psychiatrist or psychiatrist, pediatrician, psychologist, neurologist). By providing a comprehensive picture of social and scientific knowledge of what is commonly referred to as ADHD, I present how a school disorder has been socially redefined in a medical disorder, i.e. how academic difficulties have been medicalized. This medicalization has made a social path to pharmaceuticalizing this non-compliance with school standards, while psychostimulant medication treatment has become an increasingly legitimate solution for many primary students in recent decades. However, while memory is not intended to deny the existence of such a neurological disorder, there are many factors that can be observed by social processes that can influence diagnostic rates and rates of medication treatment, while there is reason to believe that Quebec is in a situation of overdiagnosis and overprescription, mainly among the primary student population. From this perspective, this dissertation proposes a new sociological conceptualization that could allow us to better understand how these two phenomena are the result of social construction from social processes. A conceptualization that proposes as much to address and analyze ADHD from a macrosocial point of view as from a microsocial point of view.
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TDAH et usage addictif des jeux vidéo chez les enfants

Masi, Laura 10 1900 (has links)
Les symptômes du TDAH et l’addiction aux jeux vidéo semblent partager une relation bidirectionnelle que nous avons voulu explorer davantage en présentant un état des connaissances actuelles de la littérature puis une étude sous forme d’article actuellement soumis. L' étude TDAH et usage addictif des jeux vidéo chez les enfants a pour objectifs de mieux comprendre la relation constatée en clinique et dans la littérature scientifique entre l’usage/addiction aux jeux vidéo et le TDAH chez les enfants de 4 à 12 ans : en comparant les modalités d'utilisation des jeux vidéo (temps de jeu, score de dépendance et utilisation par âge) entre des enfants TDAH et des enfants sans TDAH; en examinant les associations entre l’addiction aux jeux vidéo et les symptômes du TDAH; en explorant l’impact du genre dans l'utilisation des jeux vidéo et le type de jeux vidéo joués par les enfants. L’étude comprend 280 enfants, 135 d’un groupe clinique et 145 d’un groupe communautaire.L’étude est transversale, multicentrique (CHU Sainte-Justine et CIUSSS NIM), exploratoire, descriptive et ouverte. La méthodologie consiste en la passation de 3 questionnaires remplis par l’un des parents en une fois : questionnaire socio-démographique avec des spécifications concernant l’usage des jeux vidéo et des questions sur l’usage des parents et leur perception; Strenghs and Difficulties Questionnaire (SDQ); et le questionnaire sur l’attention et l’ordinateur (QUATTORD). Notre étude souligne la vulnérabilité des enfants TDAH pour l’usage excessif des jeux vidéo et les conséquences sur leur symptomatologie. Associées à ces résultats, nous avons procédé à des analyses complémentaires sur les caractéristiques de la population, et l’usage et perception des jeux vidéo chez les parents. Ces données semblent corroborer l’idée d’une relation multifactorielle à l’origine des comportements d’addiction aux jeux vidéo. / ADHD symptoms and video game addiction seem to share a two-way relationship that we intended to explore further by describing the current state of knowledge of the literature and conducting a study presented in the form of a currently submitted article. The objectives of this project are to better understand the relationship between video game use / addiction and ADHD in children aged 4 to 12: by comparing the methods of using video games (playtime, dependence score and use by age) between ADHD children and children without ADHD; examining the associations between video game addiction and ADHD symptoms; exploring the impact of gender in the use of video games and the type of video games played by children. The study is transversal, multicentric (CHU Sainte-Justine and CIUSSS NIM), exploratory, descriptive and open. The methodology consists of taking 3 questionnaires completed by one of the parents at once: socio-demographic questionnaire with specifications concerning the use of video games and questions on the use of parents and their perception; Strengths and Difficulties Questionnaire (SDQ); and the Attention and Computer Questionnaire (QUATTORD). Our study highlights the vulnerability of ADHD children to excessive use of video games and the consequences on their symptoms. Associated with these results, we carried out additional analyzes on the characteristics of the population, and the use and perception of video games among parents. Our data seem to support the idea of a multifactorial relationship at the root of video game addiction behaviors.
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Utilisation des médicaments pour le traitement du trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) durant la grossesse et le risque de TDAH et de malformations congénitales chez l’enfant

Lemelin, Maxim 10 1900 (has links)
Introduction : Le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est un trouble neurodéveloppemental caractérisé par l'inattention et/ou l'hyperactivité-impulsivité. Le TDAH est un trouble fréquent qui affecte environ 5% à 8% des enfants et des adolescents, et 4% des adultes. Les lignes directrices recommandent un traitement pharmacologique comme traitement de première intention pour le TDAH chez l'adulte. Bien que rare, il y a une augmentation constante de l'utilisation des médicaments pour le TDAH chez les adultes, y compris les femmes en âge de procréer et durant la grossesse. Ils représentent donc une exposition aux médicaments de plus en plus fréquente. Le TDAH non traité a un impact sur le bien-être ainsi que sur la santé psychosociale de la femme. D’ailleurs, il est associé à d’importants problèmes professionnels, interpersonnels et psychosociaux. Les préoccupations concernant l'exposition in utero aux médicaments pour traiter le TDAH reposent principalement sur l'impact que ces derniers peuvent avoir sur le fœtus. Objectifs : Cette thèse comprend trois volets de recherche liés à l’utilisation des médicaments psychostimulants et non stimulants dans le traitement du TDAH durant la grossesse. Le premier volet de recherche vise à décrire la prévalence d'utilisation, les dosages et les déterminants de l'utilisation des différents médicaments dans le traitement du TDAH chez les femmes enceintes. Le second volet de recherche consiste à évaluer l’association entre l’utilisation de médicaments pour le TDAH chez la femme enceinte et le risque de TDAH chez l’enfant. Le troisième volet de recherche est subdivisé en deux parties. La première partie visant à déterminer l'association entre l'exposition aux médicaments pour le TDAH au premier trimestre et le risque de malformations congénitales majeures (MCMs). La seconde partie consiste à évaluer l'impact du biais de sélection dans les études pharmacoépidémiologiques périnatales en utilisant des cohortes d’étude basée sur différents critères d’éligibilité. Méthodologie : Le programme de recherche est basé sur les données de la Cohorte des grossesses du Québec (CGQ). Dans le premier volet de cette thèse, nous avons effectué une étude de cohorte longitudinale chez les femmes couvertes par le régime d'assurance médicaments de la RAMQ de 1998 à 2015 pour identifier la prévalence et les déterminants de l’utilisation des médicaments pour le TDAH. Les déterminants de l'utilisation des médicaments pour le TDAH durant la grossesse ont été estimés avec des équations d'estimation généralisées. Dans le second volet nous avons utilisé un devis d’étude de cohorte pour mesurer le risque de survenue de TDAH chez l’enfant à la suite de l’exposition in utero aux médicaments pour le TDAH. Une analyse de survie pour modéliser le temps à la survenue de l’événement a d’abord été menée. Par la suite, pour prendre en compte les facteurs intrafamiliaux invariants non mesurés dans le premier modèle d’analyse, nous avons évalué le risque de TDAH chez l’enfant par l’intermédiaire d’une analyse de type « siblings ». Dans le troisième volet, nous nous sommes intéressés à l’aspect épidémiologique et méthodologique des études périnatales antérieures dans l’évaluation du risque de malformations congénitales majeures. Compte tenu des limites méthodologiques relatives aux études antérieures, nous avons effectué une étude de cohorte incluant tous les enfants singletons nés à terme, les mortinaissances et les avortements induits et planifiés afin d’évaluer le risque de malformations congénitales majeures et l'impact d'un biais de sélection potentiel dans les études pharmacoépidémiologiques périnatales. Résultats : Les résultats du projet 1 ont démontré que la prévalence de l'utilisation de médicaments pour le TDAH chez les femmes enceintes au Québec a augmenté de façon significative entre 1998 et 2015. Les résultats du projet 2 ont permis de constater que l'exposition in utero aux médicaments pour le TDAH n'était pas associée à un risque accru de TDAH chez les enfants. Nos analyses combinant la régression de Cox et l’analyse de type « sibling » suggèrent que l'association est due à des facteurs environnementaux génétiques et/ou familiaux. Finalement, les résultats du projet 3 ont démontré que l'utilisation de médicaments pour le TDAH au cours du premier trimestre augmente le risque de MCMs de 29% chez les nouveau-nés, en particulier de malformations cardiaques. La définition des critères d'inclusion n'expliquerait pas l'ampleur du risque de MCM associé à l'utilisation de médicaments pour le TDAH. Conclusion : Ce programme de recherche dresse un portrait global de l’usage et des risques des traitements pharmacologiques spécifiques au TDAH chez les femmes enceintes au Québec. L’usage des médicaments psychostimulants et non stimulants dans le traitement du TDAH durant la grossesse augmente significativement au fil du temps. L’exposition in utero aux médicaments pour traiter le TDAH ne serait pas associée à un risque accru de TDAH chez les enfants. De ce fait, l'association est très probablement due à des facteurs environnementaux génétiques et/ou familiaux. Bien que les conséquences fœtales de l'exposition prénatale restent à déterminer, l’utilisation de ces médicaments dans le traitement du TDAH au cours du premier trimestre augmente le risque de malformations congénitales majeures chez le nouveau-né. Ainsi, ces informations sont importantes dans l’évaluation des stratégies de traitement du TDAH chez les femmes enceintes. / Introduction: Attention deficit/hyperactivity disorder (ADHD) is a neurodevelopmental disorder characterized by inattention and/or hyperactivity-impulsivity. ADHD is a common disorder that affects about 5% to 8% of children and adolescents, and 4% of adults. Guidelines recommend pharmacological treatment as the first-line treatment for adult ADHD to manage symptoms and impairments. Although rare, the use of these drugs in adults, including women of childbearing age, has increased significantly. They therefore represent an increasingly frequent exposure to these drugs during pregnancy. Untreated ADHD has an impact on the well-being as well as on the psychosocial health of women. Moreover, it is associated with important professional, interpersonal and psychosocial problems. Concerns about in utero exposure to ADHD drugs are based primarily on the impact they may have on the fetus. Objectives: This thesis includes three research projects related to the use of psychostimulant and nonstimulant drugs in the treatment of ADHD during pregnancy. The first project of the research aims is to describe the prevalence of use, the dosages and the determinants of the use of the different drugs in the treatment of ADHD in pregnant women. The second project of the research is to assess the association between the use of ADHD drugs in pregnant women and the risk of ADHD in children. The third research project is subdivided into two parts. The first part aims to determine the association between exposure to ADHD drugs in the first trimester and the risk of major congenital malformations. The second part consists of evaluating the impact of selection bias in perinatal pharmacoepidemiologic studies using study cohorts based on different eligibility criteria. Methodology: The research program is based on data from the Quebec Pregnancy Cohort (QPC). In the first project of this thesis, we carried out a longitudinal cohort study among women covered by the RAMQ drug insurance plan from 1998 to 2015 to describe the prevalence and identify the determinants of the use of ADHD medication. The determinants of ADHD medication use during pregnancy were estimated with generalized estimation equations. In the second project, we used a cohort study design to measure the risk of ADHD in children following in utero exposure to ADHD medications. A survival analysis to model the time of onset of the event was first performed. Subsequently, to take into account the invariant intrafamily factors not measured in the first model, we assessed the risk of ADHD in children with a sibling design. In the third project, we looked at the epidemiological and methodological aspect of previous perinatal studies in assessing the risk of major congenital malformations. Given the methodological limitations of previous studies, we performed a cohort study including all singletons born at term, stillbirths and induced/planned abortions in order to assess the risk of major congenital malformations and the impact of a potential selection bias in perinatal pharmacoepidemiologic studies. Results: The results of the first project demonstrated that the prevalence of ADHD medication use among pregnant women in Quebec increased significantly between 1998 and 2015. The results of the second project showed that exposure in utero medication for ADHD was not associated with an increased risk of ADHD in children. Our method of analysis combining Cox regression and sibling analysis suggests that the association is due to genetic and/or familial environmental factors. Finally, the results of the third project demonstrated that the use of ADHD medication during the first trimester increases the risk of MCMs by 29% in live-born singletons, especially heart defects. The definition of the inclusion criteria would not explain the magnitude of the risk of MCM associated with the use of medications for ADHD. Conclusion: This research program provides a comprehensive portrait of the use and risks of pharmacological treatments specific to ADHD in pregnant women in Quebec. The use of psychostimulant and nonstimulant medications in the treatment of ADHD during pregnancy increases significantly over time. In utero exposure to medications to treat ADHD is not believed to be associated with an increased risk of ADHD in children. Therefore, the association is most likely due to genetic and/or familial environmental factors. Although the fetal consequences of prenatal exposure remain to be determined, the use of these medications in the treatment of ADHD in the first trimester increases the risk of major congenital malformations in the infant. Thus, this information is important in evaluating treatment strategies for ADHD in pregnant women.
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Association entre le mode d’accouchement et le risque du trouble du déficit d'attention avec ou sans hyperactivité chez l'enfant

Ferroum, Malika 07 1900 (has links)
Au Canada, en 2018-2019 la naissance par césarienne s’élève à 29% dépassant ainsi les taux de 10-15% recommandés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Au cours des dernières années, les naissances par césariennes ne cessent d’accroitre, malgré les risques associés qui sont rapportés dans la littérature pour la mère et l’enfant. Bien que couramment pratiquée, la césarienne reste une intervention chirurgicale avec des risques à court et à long terme. Chez les enfants nés par césarienne, nous retrouvons des taux plus élevés d’asthme, d’obésité, de problème d’allergies etc. Tandis que chez les mères subissant la césarienne, nous retrouvons plus de cas d’infection, d’hémorragie et des risques plus élevées de rupture du placenta et de fausse couche lors des grossesses subséquentes. Puisque la prévalence de la césarienne ne cesse d’augmenter, il est primordial de comprendre son influence sur le développement neurologique de l’enfant. L’association entre le mode d’accouchement et les troubles neurodéveloppementaux tel que le trouble du déficit d'attention et d’hyperactivité (TDAH) chez les enfants est peu étudié avec des résultats souvent contradictoires ou non concluants. Le TDAH est l'un des troubles neurodéveloppementaux les plus courants chez les enfants avec une prévalence mondiale qui s’élève à 7.2% (IC 95% 6.7-7.8). Ainsi, le projet de ce mémoire a pour objectif d’évaluer l’association entre les modes d’accouchements et le TDAH chez l’enfant, tout en palliant les limites méthodologiques observées dans la littérature présentement. Afin de répondre à cette question, le projet évalue trois modes d’accouchements et ainsi recherche l’association entre l’accouchement par césarienne élective, par césarienne d’urgence ou par voie vaginale assistée et le risque de TDAH chez les enfants comparativement à l’accouchement par voie vaginale non assisté. Cette étude de cohorte rétrospective populationnelle tire l’entièreté de ses données de la Cohorte des Grossesses du Québec (CGQ) sur une période allant de 1998 à 2015. L’étude retrouve une augmentation de 6 % (IC 95% 1.03 - 1.10) du risque de TDAH chez les enfants nés par césarienne d’urgence et une augmentation de 12 % (IC 95% 1.06 - 1.19) du risque de TDAH chez les enfants nés par voie vaginale assisté avec ventouse ou forceps. Aucune association (HRa=0.96 IC 95% 0.91 - 1.01) n’a été retrouvée entre l’accouchement par césarienne élective et l’augmentation du risque de TDAH chez les enfants. Par la suite, plusieurs analyses de sensibilités ont été effectuées pour évaluer la robustesse des résultats, mais aucune n’a significativement alterné nos résultats. En conclusion, l’étude démontre l’existence d’une association entre l’accouchement par césarienne d’urgence et par voie vaginale assisté et le risque de TDAH chez les enfants. Ces résultats renforcent la nécessité d’étudier davantage les répercussions de la césarienne et des accouchements assistés avec des instruments sur l’enfant dans un contexte Canadien, où nous retrouvons peu de recherche sur le sujet. / In Canada the rate of caesarean deliveries is about 29 % of all birth in 2018-2019. Despite the known risk of this major surgery, caesarean section rates are continually rising beyond the recommended rate by the world health organization (WHO) of 10 to 15 %. Scientific research has identified several short- and long-term potential risks associated with this procedure for both the child and mother. For the child, researchers have found higher rates of asthma, obesity, and allergy problems. As for the mother, some of these risks include post-partum infection, hemorrhage and higher risks of placental rupture and miscarriages in future pregnancies. Caesarean section rates have been steadily increasing and it is essential to understand its influence on the neurological development of the child. Few studies have investigated the association between the mode of delivery and neurodevelopmental disorders such as attention deficit hyperactivity disorder (ADHD) in children. Currently the literature shows often contradictory or inconclusive results. ADHD is one of the most common neurodevelopmental disorders in childhood with a worldwide prevalence of up to 7.2% (CI 95% 6.7-7.8). Therefore, the project of this thesis aims to evaluate the association between modes of delivery and ADHD in children while overcoming the methodological limitations observed in the literature. To answer this question, the project is evaluating three modes of delivery by looking into the association between elective caesarean, emergency caesarean or assisted vaginal delivery and the risk of ADHD in children compared to unassisted vaginal birth. This prospective population-based study uses data on pregnancies and children from 1998 to 2015 from The Quebec Pregnancy Cohort (QPC). Our adjusted analyses showed that children born via emergency caesarean and assisted vaginal delivery were 6% (CI 95% 1.03 - 1.10) and 12% (CI 95% 1.06 - 1.19) respectively more likely to have ADHD compared to children born via unassisted vaginal delivery. 6 However, no association was found between elective caesarean birth (HRa=0.96 CI 95% 0.91 - 1.01) and the risk of ADHD in children. Several sensitivities analyze were performed to assess the robustness of these findings, but none significantly altered our results. While a caesarean delivery and assisted vaginal birth are essential and lifesaving procedures, they can put children at risk. As showed in this study, emergency caesarean and assisted vaginal birth increase the risk of ADHD in children. These findings reinforce the need for further research to evaluate the impact of caesarean and assisted deliveries on the children especially in a Canadian context where studies are still limited.

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