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Le concept de "routine organisationelle" entre cognition et institution

Mangolte, Pierre-André 06 January 1998 (has links) (PDF)
Le concept de routine organisationnelle a été avancé par Nelson et Winter en 1982 pour expliquer le comportement des firmes dans une perspective évolutionniste. La thèse propose une interprétation et redéfinition du concept qui permet d'intégrer dans la routine elle-même la dimension institutionnelle de l'économie. La routine est rattachée à un principe général d'explication du comportement, en termes d'habitudes. Ce principe appliqué aux organisations conduit à distinguer des "répertoires" de routines (ou dépôts) qui mémorisent des connaissances productives situées, (2) et les performances actuelles ou "routines en acte" qui en sont l'expression dans un certain contexte. Les connaissances ainsi stockées sont articulées ou tacites, et cet aspect de la théorie sépare cette approche d'autres théories de l'organisation (Simon, March, Cyert, etc.). les routines permettent d'expliquer la performance d'ensemble de la firme dans une hypothèse de trêve du "conflit intra-organisationnel", car la trêve maintient l'ensemble des membres de l'organisation dans le cadre du circuit routinier inscrit dans les répertoires. En levant cette hypothèse, on aboutit à une redéfinition des routines organisationnelles selon deux dimensions, cognitive et sociale. Les répertoires cristallisent alors aussi des relations sociales, qui une fois stabilisées deviennent institutions. Le cognitif et l'institutionnel ne relèvent pas des mêmes logiques de formation, ce qui oblige à envisager différemment les processus de transformation des différentes routines.
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Rémunération des dirigeants et nature de l’actionnariat : pratiques et évolutions dans les grandes entreprises françaises / CEO compensation and ownership patterns : pay-setting process and evolutions in French listed companies

Almeida, Lionel 30 November 2015 (has links)
La rémunération des grands dirigeants a augmenté de façon substantielle ces dernières décennies et a participé à l’accroissement des inégalités par les hauts revenus. Deux typologies pour les actionnaires de contrôle sont proposées pour analyser l’évolution et les pratiques de rémunérations des (P-)DG au sein des grands groupes cotés français. La première typologie se fonde sur l’identité de l’actionnaire et différencie des actionnaires actifs et engagés dans la stratégie de la firme, et des actionnaires passifs ou diversifiés. Parmi ces derniers se trouvent des actionnaires dont la stratégie est essentiellement financière. Les rémunérations sont plus élevées et plus sensibles aux performances de court-terme pour ces derniers. La seconde typologie se fonde sur deux critères : le degré (participation au capital) et l’ancienneté (années d’exercice du contrôle) du contrôle. En s’appuyant sur un modèle de données de panel à effet de seuil (modèle PTR), les politiques de rémunération des dirigeants permettent de différencier quatre régimes dans le degré, et deux dans l’ancienneté du contrôle. Cette typologie différencie les contrôles de type dispersé, influent, dominant et majoritaire, d’une part, et les effets des actionnaires de contrôle récents et de long-terme, d’autre part. L’évolution des rémunérations est enfin étudiée en se fondant sur ces deux typologies et sur une période de 12 années. Au-delà de facteurs liés au fonctionnement du « marché des dirigeants », les typologies mettent en évidence un phénomène de rattrapage et de contagion consécutif à la transparence des rémunérations depuis 2001, et une forte augmentation des bonus sous l’effet de l’augmentation des capitalisations boursières et des transformations de l’actionnariat qui l’ont accompagnée. / CEO compensation rose substantially in the last decades and contributed to the rise in high revenues. Two typologies for the controlling shareholders are suggested to study the evolution and the pay-setting process of CEO compensation in large French listed firms. The first typology is based on the identity of shareholders and differentiates active and involved ones to passive or diversified ones. While the former are involved in the industrial strategy of the firm, the latter comprise shareholders whose strategy is mainly financial. CEO pays are higher and more sensitive to short-term performance in this latter case. The second typology is defined according to two criteria, namely the degree and seniority of control. They respectively refer to the share of equity and the number of years of control. Based on a Panel Threshold Regression (PTR) model, CEO pay policies allows to differentiate four regimes in the degree of control, and two in the seniority of control, namely dispersed, influent, dominant, and majority control on the one hand, and new and long-term controlling shareholders, on the other hand. These two typologies are eventually used to study the evolution of CEO pay over a 12-year period in France. Beyond factors related to the so-called “market for CEOs”, the typologies reveal a catching up and contagion effect since the implementation of transparency since 2001, and a tremendous rise in bonuses that went hand in hand with the rise in market capitalizations and subsequent changes in ownership patterns.
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Jalons pour une théorie de la firme comme entité fondée sur le pouvoir : le gouvernement interne et externe des firmes modernes / Essay on the theory of the firm as a power-based entity : the internal and external governance of modern firms

Chassagnon, Virgile 13 December 2010 (has links)
La question de la nature de la firme n’a jamais suscité de consensus parmi les économistes, ce qui signifie que loin d’être épuisé, ce champ de recherche mérite de faire l’objet de nouveaux développements théoriques. Quelles sont les propriétés constitutives et quels sont les mécanismes de gouvernement – interne et externe – des firmes ? Partant d’une analyse critique des théories économiques, cette thèse propose de poser les jalons d’une théorisation de la firme en tant qu’entité réelle émergente fondée sur le pouvoir. Pour ce faire, nous développons une démarche méthodologique originale reposant sur une approche pluridisciplinaire (économie, théorie des organisations et droit) et expliquons que la firme crée des mécanismes génératifs intrinsèques. Pour comprendre les règles constitutives de la firme, nous analysons les relations de pouvoir, lesquelles sont, par nature, plurielles et « cohésives ». Avec l’évolution récente de l’environnement institutionnel, les relations de pouvoir se sont substantiellement modifiées. Que ce soit dans l’entité firme (gouvernement interne) ou dans l’entité firme-réseau (gouvernement externe), nous montrons théoriquement et empiriquement – à partir des enquêtes REPONSE 2004-2005 et ERIE – une relation positive entre le pouvoir et la coopération dans l’activité de production. De nombreuses implications politico-légales et normatives émanent de notre travail de recherche. / The question of the nature of the firm has not lead to a consensus among economists, which means that this research field is not obsolete and makes way for new theoretical investigations. What are the constitutive properties and the internal and external governance mechanisms of firms? Starting from a critical analysis of economic theories, this dissertation proposes some building blocks for a new approach to the firm as a power-based emergent real entity. To do so, an original methodological reasoning based on an interdisciplinary framework (economy, organization theory and law) is proposed and it is shown that the firm produces intrinsic generative mechanisms. In order to understand the constitutive rules of the firm, we analyze power relationships, which are in essence plural and cohesive. With the recent evolution of the institutional environment, power relationships have been substantially modified. Whether in the real entity called “firm” (intra-firm level) or in the real entity called “network-firm” (inter-firm level), we show both theoretically and empirically – from the 2004-2005 REPONSE and ERIE surveys – a positive relationship between power and cooperation in productive activity. Several politico-legal and normative implications result from this dissertation.

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