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Le référendum de 1979 sur la dévolution des pouvoirs en Écosse : analyse d'un échec programmé / The 1979 referendum on devolution of powers in Scotland : analysis of programmed failure

Moctar, Oumoukelthoum 08 June 2012 (has links)
Le long processus de revendication de l’autonomie en Écosse était couronné de succès en 1997 avec le rétablissement d’un Parlement local. Aujourd’hui, à quelques années seulement de cet événement majeur, l'actualité s’intéresse déjà à l'organisation d’un référendum sur l’indépendance complète du pays qui se tiendrait prochainement. En politique, une semaine est décidément une longue période, comme l'affirmait l’ancien Premier ministre Harold Wilson. Mais est-ce une raison valable pour oublier le passé ? Qui s'intéresse, par exemple, aujourd’hui à un autre référendum écossais, celui de 1979 ? Celui-ci, en dépit de son échec "programmé" ne mérite pas le mépris des historiens car c’est à partir de ce "désastre" politique que le processus conduisant à 1997 tire sa force. Cette thèse est une analyse minutieuse de l'état d’esprit en Écosse et les facteurs divers et contradictoires incitant l'électorat écossais à l'enthousiasme, au désintérêt et à l'absentéisme lors du référendum de 1979. Elle cherche à comprendre comment une nation dont le sentiment identitaire est si fort n’a pas trouvé de point de ralliement dans un projet politique visant à lui donner plus d'autonomie. Elle analyse comment un gouvernement de gauche a cru nécessaire de proposer un projet de dévolution en opposition avec sa propre philosophie politique et qui l'a conduit à sa perte. Enfin, elle explore comment la "victoire" des opposants à ce projet de dévolution, et tout particulièrement le Parti conservateur britannique, pouvait si mal interpréter le vrai message de l'électorat écossais lors de ce grand rendez-vous manqué. Cette thèse invite les historiens à une meilleure appréciation de la notion de "défaite" en politique et rappelle l'importance parfois très complexe du rôle joué par le passé dans les choix identitaires présents et à venir du peuple écossais. / Scotland’s long road to self-government was crowned with success in 1997 when the parliament was re-established in Edinburgh. Today, within only a few years of this momentous event, political analysts have already turned their attention to a forthcoming referendum on complete independence. As a former Prime minister was once keen to point out “a week is a long time in politics”, but is it a valid reason for ignoring the past? Who today, for instance, is interested in another referendum, that of 1979? Despite its image of "programmed” failure, this historical event does not deserve the contempt it has received from historians for it is precisely from this “disaster” that the processes leading to 1997 can be traced. This thesis is a detailed analysis of the state of mind of the Scottish people and the various and contradictory factors which pushed them towards enthusiasm, disinterest and absenteeism during the referendum of 1979. It seeks to understand how a nation so imbued with the sense of its own identity was unable to support a political project aimed at giving it more control over its own affairs. It analyses how a left-wing government found it necessary to propose a project of devolution of its own powers which was in conflict with its own political philosophy and which ultimately led to its own self-destruction. Finally, it examines how the message sent by the Scottish people at the time of this great “victory” should have been so badly understood by the antis and in particular by the Conservative Party. This thesis invites historians to think more carefully about the notion of “defeat” in political terms and remember the importance and often complex role played by the past, and popular images of the past, in shaping the sense of belonging and identity in the present and determining the future choices of the people of Scotland.
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Rock et politique au Royaume-Uni (1994-2007) : de "Cool Britannia" à " Broken Britain" / The Politics of Rock Music in the United Kingdom (1994 – 2007) : from "Cool Britannia" to "Broken Britain".

Clément, Guillaume 01 December 2014 (has links)
Dans les années 1990, le rock britannique revient sur le devant de la scène, porté par des groupes tels Blur, Oasis, Pulp et Suede, que la presse rassemble sous l'étiquette Britpop. Non contents de s'inspirer des grands groupes locaux des années 1960, comme les Beatles, ces musiciens se distinguent par une écriture et une image profondément ancrées dans leur propre identité britannique, et évoquent volontiers dans leurs chansons le mode de vie de la jeunesse comme la culture de la classe ouvrière. Cette renaissance sur les plans musical et culturel (participant au phénomène Cool Britannia) est contemporaine de la rénovation de l'idéologie et de l'image du Parti travailliste, qui devient New Labour sous la férule de Tony Blair, intéressé par la vision positive de la britannicité dépeinte par la Britpop. Dans la course aux élections législatives de 1997, le chef de l'opposition cherche à présenter son parti comme jeune et moderne, et se rapproche des acteurs de la scène rock de l'époque dans le but de courtiser l'électorat jeune qui fait défaut à la gauche depuis les années 1980. L'utilisation du rock en tant qu'outil de soutien politique pourrait néanmoins paraître contre-Nature à cause du rôle traditionnel de ce genre musical, lié aux sous-Cultures et mouvements contestataires. L'étude des excroissances du mouvement Britpop, visibles jusqu'à l'accession de Gordon Brown au poste de Premier ministre en 2007, permettra de dégager l'existence d'une veine critique et contestataire au sein de cette même scène rock, proposant une vision plus réaliste de la société, rappelant l'idée de Broken Britain mise en avant par les Conservateurs à cette époque. / In the 1990s, a string of successful bands such as Blur, Oasis, Pulp and Suede, inspired by glorious forefathers like the Beatles, revived the British rock genre. The press was quick to dub this new scene "Britpop", to describe the way these bands drew their inspiration from their own sense of Britishness, both in their appearance and in their lyrics, which documented several aspects of youth and working-Class cultures in Britain. Meanwhile, the Labour Party was undergoing a similar kind of rebirth under the influence of Tony Blair, who rebranded his party as New Labour. Since Britpop offered a positive, near-Patriotic vision of Britishness in line with the spirit of "Cool Britannia", Blair sought to obtain a very visible support from the Britpop scene in the run-Up to the 1997 general election. This was conceived as a way to help rejuvenate the Labour Party's image and to secure the youth vote which had eluded the left since the 1980s. However, the traditional view of rock music (as a type of protest music, prone to generating subcultures) hardly seems compatible with the idea that it could be used to support a mainstream political party. As the Britpop format went on to influence homegrown rock music into the next decade, with Gordon Brown succeeding Blair as Prime Minister in 2007, it seems several bands took British rock back to its primary, subversive function by painting a realistic picture of British society, closer to the concept of "Broken Britain" than to that of "Cool Britannia".
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Gypsies et Travellers au Royaume-Uni et leur image dans la presse entre 1997 et 2010 / Gypsies and Travellers in the United Kingdom and their image in the press between 1997 and 2010

Presber, Ingrid Lucia 19 November 2012 (has links)
Les principaux stéréotypes relatifs aux Gypsies présents dans la presse britannique contemporaine sont fermement enracinés dans une perception historique homogène et persistante faite d’incompréhension envers cette communauté ethnique non-indigène, dépréciée et rejetée depuis près de six siècles. L’examen de l’histoire du peuple romani - à partir de la migration hors de l’Inde jusqu’à la tentative de génocide sur le continent européen entre 1933-1945 - permet d’éclairer l’attitude de la presse britannique envers la minorité romani (gypsy). On peut être frappé par la ténacité et la prégnance des préjugés et stéréotypes et l’évolution constatée pendant la période étudiée n’en est que plus significative. Le thème dominant demeure le mode de vie non-sédentaire qui déclenche l’hostilité envers les Gypsies et Travellers souvent présentés comme un groupe social marginal, soucieux de profiter d’un statut de minorité ethnique pour servir ses intérêts propres et sans offrir en retour une contribution à l’harmonie et à la prospérité de la société dans son ensemble. Mais l’antithèse - qui les présente comme victimes de préjugés ainsi que de lois inadaptées à leur héritage culturel - tend à prendre de l’ampleur. Une politique plus compréhensive adoptée par le gouvernement New Labour, dans le cadre de sa promotion de la diversité et du multiculturalisme, conjuguée avec une mobilisation des communautés gypsy et traveller (utilisant notamment les nouvelles technologies et s’appuyant sur les groupes de pression) ont permis de noter une amélioration récente du statut de ces minorités de tradition non-sédentaire et l’évolution concomitante de leur couverture par une partie de la presse reflète et renforce à la fois ce changement. Les progrès constatés dans la situation réelle des communautés gypsy et traveller et dans leur représentation médiatique demandent à être confortés mais ils semblent bien acquis et notamment être de nature à faciliter la résistance à la politique moins favorable menée par le gouvernement de coalition depuis 2010. / Gypsies (or Romanies) have been denigrated and rejected for nearly six hundred years and the consistent historical perception of stereotyping and misunderstanding of this non-indigenous ethnic community is perpetuated by the contemporary British press. Romani history, from migration out of India to the genocide in Europe in the 20th century and more contemporary events has set the backdrop against which contemporary society and the British press have adopted a tenacious and pervasive attitude of stereotyping and prejudice towards the Romani (Gypsy) minority, a trend which will be evident in the analysis provided by this thesis. The dominant theme is the non-sedentary lifestyle that has triggered the hostility of ‘respectable’ sedentary society against Gypsies as well as Travellers. The minority, marginalised groups can sometimes be portrayed as being intent on using their minority status for personal gains whilst not contributing to the harmony and prosperity of society as a whole. The antithesis, which seems to be gaining ground, presents them as victims of prejudice as well as of laws which are incompatible with their cultural heritage. The New Labour government adopted comprehensive policies to address the promotion of diversity and multiculturalism and, together with the mobilisation of the Gypsy and Traveller communities (notably aided by the use of new technologies and the support of pressure groups), there have been recent improvements of the status of these traditionally non-sedentary communities, and the simultaneous development of their coverage by a part of the press both reflects and reinforces this change. The British press has represented Gypsy and Traveller communities more favourably of late, with the progress and gains afforded by New Labour. Those gains must be consolidated and sufficiently robust to resist the less favourable policies of the coalition government since 2010.
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La politique étrangère britannique au début de la guerre froide : le cas de la crise de Berlin 1948-49 / British Foreign Policy at the Beginning of the Cold War : the Case of Berlin Crisis 1948-1949

Yeganeh Cary, Niaz 17 November 2017 (has links)
Si la gestion de la crise de Berlin 1948-1949 est d’emblée une affaire anglo-américaine pouvant déboucher sur un affrontement avec les Soviétiques, l’observateur est très rapidement confronté à une littérature qui traite du sujet massivement du point de vue états-unien. Le point de départ de ce travail consiste à dissocier le front anglo-américain contre l’URSS en explorant la voix du Royaume-Uni dans la résolution de la crise de Berlin alors qu’un gouvernement travailliste, ayant obtenu pour la première fois une majorité confortable aux élections en juillet 1945, est au pouvoir. Pour ce faire, nous interrogeons ce cas d’étude selon deux axes. Le premier concerne la signification particulière des micro-débats dans les instances gouvernementales en charge de la gestion de la crise berlinoise. Ce cadre spécifique ne peut éluder un deuxième niveau d’analyse qui relève du contexte général dans lequel le processus décisionnel s’opère, renvoyant à la politique étrangère des années Attlee et à la politique d’occupation du Royaume-Uni en Allemagne après 1945. La thèse défendue est que l’étude micro-historique de la gestion britannique de la crise berlinoise prend tout son sens si celle-ci est appréhendée dans sa dimension duale, c’est-à-dire spécifique et globale. En effet, le problème berlinois est géré par une multitude d’instances gouvernementales, situées à Londres ou dans la zone d’occupation allemande, avec des acteurs qui ne sont pas tous au Parti travailliste. Dès lors, comment peut-on caractériser leur style décisionnel à l’aune des débats qui sont considérés comme des micro-récits d’un événement de la guerre froide naissante ? En outre, cette analyse micro-historique témoigne d’une politique britannique élaborée vis-à-vis de l’Allemagne depuis la Deuxième Guerre mondiale avec la participation active de certaines figures travaillistes issues d’un parti qui a longuement œuvré pour des relations harmonieuses dans les affaires internationales. Dans ce cas, comment peut-on distinguer la perception britannique du problème allemand à partir de 1940 ? Ces deux niveaux de contextualisation globale permettent ainsi de comprendre les catégories notionnelles autour desquelles s’organisent les micro-récits de la gestion britannique de la crise de Berlin. Le cadre analytique de ce travail qui utilise l’approche interprétative de Mark Bevir donne également à voir des caractéristiques d’une conception et d’une pratique de la politique étrangère par le Parti travailliste qui héberge plusieurs courants en son sein. / The Berlin crisis 1948-1949 has received some attention in scholary literature on the origins of the Cold War. But the British part has been poorly served compared to the American. This thesis examines the British decision-making process during the Berlin crisis considering that the Labour Party formed its majority government for the first time in July 1945. It offers a detailed examination of the Berlin crisis tackled as a specific case study through which it becomes possible to analyse the debates in a variety of governmental structures dealing with an issue which also pertained to the general context of the Attlee years’ foreign policy as well as to the British occupation policy in Germany after 1945. This thesis argues that the Berlin crisis can be properly understood if it is contextualised in its twofold dimension i.e. at specific and global levels. Firstly, the British decision-making process involved a variety of actors in London or in the occupied zone of Germany who were not all from the Labour Party. Thus, how can the decision-making process be characterised by studying the multi-faceted debates during this prominent 11-month event of the early Cold War? Secondly, the Berlin case also refers to the British policy towards Germany outlined during the Second World War with key Labour politicians’ active contribution. Considering that the Labour Party had long advocated harmonious international relations, what has the British perception of the German problem since 1940 highlighted? The dual contextualisation of the Berlin crisis within Labour foreign policy, on the one hand, and within the framework of British occupation policy in Germany, on the other hand, offers a better understanding of the story-telling of its decision-making process. Besides, using Mark Bevir’s interpretive method, this thesis helps evaluate British role during the Berlin crisis as well as the Labour Party’s approach to foreign policy in the early Cold War.
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De la social-démocratie au social-libéralisme. Les débats au sein de la social-démocratie européenne : 1990-2010 / From social democracy to social liberalism. Debates within the european social democracy since 1990

Bihet, Karine 08 February 2012 (has links)
La thèse vise à appréhender la situation de la social-démocratie européenne et son évolution au cours des deux dernières décennies. Adoptant une approche comparatiste, elle repose sur l’étude du Parti socialiste français, du Parti social-démocrate allemand et du Parti travailliste britannique. En partant du projet de Troisième voie proposé par Tony Blair et les modernisateurs du New Labour, il s’agit de montrer la mutation doctrinale et programmatique de ces partis. Ceux-ci, avec des divergences et des spécificités nationales, ont, dans les programmes adoptés et les politiques gouvernementales menées, convergé vers une même orientation d’ensemble, marquée par un accueil beaucoup plus favorable aux thèses libérales. Cette prise de distance par rapport au modèle traditionnel pour tendre vers un paradigme social-libéral ne signifie pas pour autant l’abandon des valeurs propres à la social-démocratie. Les partis concernés ont essayé de s’adapter au nouveau contexte économique et social tout en préservant les principes et les idéaux sociaux sur lesquels ils se sont construits. Le socle identitaire de cette famille politique demeure ainsi largement préservé. Cette évolution idéologique s’accompagne d’une mutation des organisations partisanes qui l’accomplissent. Celles-ci ont connu à la fois une modification de leur sociologie, électorale et militante(caractérisée par une désaffection des soutiens traditionnels), et une diminution de leur ancrage dans la société liée à la baisse du nombre d’adhérents et à l’éloignement par rapport aux syndicats. Leur place au sein des systèmes partisans nationaux est également remise en cause : dans la recherche du bon positionnement sur l’échiquier politique, la question des alliances avec les autres partis constitue alors un enjeu essentiel. Le mode de fonctionnement de ces organisations a enfin lui aussi connu des modifications significatives. Les réformes internes menées par les dirigeants tendent à valoriser l’adhérent et accroître son rôle ; de nouvelles pratiques militantes, plus individualistes, apparaissent. La fonction et la spécificité de ces partis s’en trouvent diminuées. / The thesis aims to understand the situation of european social democracy and its evolution over the last two decades. Taking a comparative approach, it is based on the study of French Socialist Party, the German Social Democratic Party and the British Labour Party. Beginning from the Third Way project proposed by Tony Blair and New Labour modernizers, the matter is to show the doctrinal and programmatic transformation of these parties. These, with some differences and national characteristics, in the programs and policies undertaken, have converged towards the same overall direction, marked by a much more favorable reception to liberal theories. This distancing from the traditional model to move towards a social-liberal paradigm does not necessary mean the abandonment of values belonging to the Social Democrats. The parties involved have tried to adapt to new economic and social context while preserving the principles and social ideals on which they are built. The base of this political family’s identity remains largely well preserved. The ideological evolution goes with a mutation of partisan organizations who realize it. These have experienced both a change in their sociology, electoral and activist (characterized by a dis like of traditional supporters), and a decrease from their roots in society related to the decline in membership and distance against unions. Their position within the party systems is also questionned : in search of good positioning on the political spectrum, the question of alliances with other parties is then a key issue. The modus operandi of these organizations has finally also experienced significant changes. Internal reforms undertaken by the leaders tend to enhance the member and increase its role and new militant practices, more individualistic, appear. The function and specificity of these parties have diminished.
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L'influence de la situation géopolitique au Moyen-Orient sur la génération des accords israélo-arabes depuis Camp David I : La frontière d'Israël

Hirtzlin-Pinçon, Olivier 19 June 2008 (has links) (PDF)
La question moyenne-orientale est dans l'actualité depuis 1948. C'est en cette année que se crée l'Etat d'Israël sur les décombres du mandat britannique en Palestine. Dès le commencement, la guerre va commencer à fixer les frontières entre Israël et ses voisins arabes. Cependant, après 1967, une nouvelle question va apparaître, celle des relations avec les Territoires occupés. En conséquence, l'Etat d'Israël aura deux questions frontalières à gérer : la question interétatique classique et la question interne avec les Palestiniens. Cette recherche tente de démontrer les voies employées par les différents acteurs régionaux et internationaux pour trouver une solution à cette question juridique qui cause l'instabilité régionale. On s'appuiera sur le droit, l'Histoire, la science politique (en particulier, l'étude des idéologies sioniste et arabiste) et les relations internationales pour trouver une cohérence aux réussites et aux échecs qui ont émaillé l'histoire du Moyen-Orient depuis 1948 et le fait qu'Israël n'ait encore que deux frontières internationalement reconnues, une avec l'Egypte et l'autre avec le royaume de Jordanie.

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