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La rétention de sûreté : la première mesure de sûreté privative de liberté depuis le nouveau Code pénal‎ / Rétention de sûreté : the first security measure of depravation of liberties since the new Criminal Code

Mallein, Elise 02 November 2015 (has links)
Le droit pénal français est marqué par une volonté de prévenir la récidive. Ce souhait se concrétise par l’introduction de mesures de sûreté dont la rétention de sûreté. Toutefois, la rétention de sûreté n’est pas une mesure de sûreté comme les autres, ce qui a conduit à de nombreux débats qui, en réalité, reprennent d’anciennes et récurrentes controverses. Cette mesure part en effet du postulat que les criminels sexuels et/ou violents présentent une maladie, maladie qui laisse présumer un risque de récidive. En les traitants comme des malades, le législateur considère ainsi qu’ils sont curables. En conséquence, il convient de mettre en œuvre des soins, seule solution pour prévenir une récidive. Cependant, cette même maladie conduit souvent le patient à refuser les soins pourtant nécessaires au regard de cette maladie. Dans ces circonstances, le soin est contraint, mais non imposé, par la menace, puis la mise en œuvre effective, d’une mesure privative de liberté qu’est la rétention de sûreté, ce qui constitue une menace pour les libertés individuelles. Le mécanisme même de la rétention de sûreté fait ainsi apparaître de nombreux problèmes criminologiques, psychologiques, constitutionnels, conventionnels que le droit français ne peut ignorer. Il est nécessaire de les prendre en compte pour éviter que la rétention de sûreté ne devienne une mesure purement éliminatrice au détriment de son principal objectif, qui reflète le fondement même du droit pénal français, à savoir prévenir la récidive tout en permettant à terme la réinsertion des criminels dans la société. / The French criminal law is characterised by a willingness to prevent recidivism. To give concrete expression to this will, security measures are implemented among which the secure detention. However, the secure detention is not an ordinary measure and gives rises to many debates which, in fact, take up old and recurrent controversies. This measure is based on the assumption that sexual and/or violent criminals show a disease which may suggest a risk of a second offence. As a result, by considering them as sick persons, the legislator asserts that they can be treated. Accordingly, medical care is advised as the only solution to prevent a second offence. However, this disease itself often induces the patient to refuse cares even if it is required for this disease. Under these circumstances, care is constrained by law but not imposed by threat. Yet, if the attempt fails, a measure which deprives of liberties will be effective, such as the secure detention, what threatens individual freedoms. The secure detention process raises many criminological, psychological, constitutional and conventional problems than the French law can’t ignore. It’s necessary to take them into account to prevent the secure detention turning into a phase-out measure to the detriment of its mains objective, which reflects the cause itself of the criminal French law, i. e. to prevent the second offence while helping criminals in the long run to become reintegrated in society.
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Le rôle médiateur du biais d’attribution d’intention hostile dans la relation entre l’agressivité et la personnalité antisociale : une étude des potentiels reliés aux évènements

Ursulet, Adriana 08 1900 (has links)
Tous les jours, dans le monde, des comportements agressifs sont commis à l’égard d’individus, causant des préjudices physiques, psychologiques et financiers. En réponse à une provocation, ces agressions sont dites réactives et peuvent être alimentées par des biais cognitifs d’attribution d’intention hostile et des styles de personnalité antisociale. Comblant un trou dans la littérature scientifique, cette étude a pour but d’évaluer le biais d’attribution d’intention hostile ainsi que son rôle dans la relation entre la personnalité antisociale et l’agressivité réactive. Dans cette perspective, les participants étaient invités à répondre à des questionnaires évaluant la personnalité, les processus cognitifs et l’agressivité. Puis, pendant l’enregistrement de leur activité cérébrale, ils devaient lire des scénarios d’interactions sociales et attribuer une intention aux comportements décrits comme ambigus et provocateurs. Nous avons analysé la N400, une composante de potentiels reliés aux évènements, associée à la présentation d’intentions inattendues hostiles ou non hostiles après chaque scénario. Des analyses de corrélations de Pearson et de régressions linéaires multiples ont été réalisées pour examiner la validité de notre modèle de médiation. Les résultats montrent que la N400 est plus forte lors de la présentation d’intention non hostile inattendue que lors de la présentation d’intention hostile inattendue dans les régions centropariétales. La personnalité antisociale et la violation des attentes hostiles étaient reliées positivement à l’agressivité réactive. La personnalité antisociale prédisait l’agressivité réactive même à l’ajout de la violation des attentes hostile (Z = .30, p = .76) ou de la violation des attentes non hostiles (Z = -.32, p = .75) comme médiateur. En somme, le rôle médiateur du biais d’attribution d’intention n’est pas confirmé et d’autres études sont nécessaires pour mieux comprendre le lien entre la personnalité antisociale et l’agressivité réactive. / Every day, around the world, aggressive behaviors are committed against individuals, causing physical, psychological and financial harm. In response to provocation, these assaults are said to be reactive and can be fuelled by cognitive biases of attributing hostile intent and antisocial personality styles. Filling a gap in the scientific literature, the purpose of this study is to evaluate hostile intent bias and its role in the relationship between antisocial personality and reactive aggression. To this end, participants were asked to complete questionnaires assessing personality, cognitive processes and aggression. Then, while recording their brain activity, they were asked to read scenarios of social interactions and to attribute intent to behaviors described as ambiguous and provocative. We analyzed the N400, an event-related potential component associated with the presentation of unexpected hostile or non-hostile intentions after each scenario. Pearson correlation and multiple linear regression analyses were performed to examine the validity of our mediation model. The results show that the N400 is stronger in the presentation of unexpected non-hostile intent than in the presentation of unexpected hostile intent in the centro-parietal regions. Antisocial personality and violation of hostile expectations were positively related to reactive aggression. Antisocial personality predicted reactive aggression even with the addition of hostile expectation violation (Z = .30, p = .76) or non-hostile expectation violation (Z = -.32, p = .75) as a mediator. In sum, the mediating role of intention attribution bias is unconfirmed and further studies are needed to better understand the link between antisocial personality and reactive aggression.
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La relation entre les traits de troubles de la personnalité limite et le fonctionnement socio-cognitif dans la population générale

Louis, Pascal 03 1900 (has links)
Des difficultés sociales sont liées au trouble de la personnalité limite (TPL). Pour les comprendre, le traitement de l’information lors de décisions sociales doit être étudié. Parmi ces informations sociales, les expressions faciales émotives sont moins bien identifiées chez les individus ayant un TPL (Daros et al., 2013) comparativement aux individus sains. Également, une étude rapporte que des participants ayant un TPL acceptent plus d’offres monétaires, indépendamment du degré d’équité, que les individus sains dans une tâche de prise de décision sociale simulant des interactions avec des individus (représentés par des visages joyeux ou colériques) divisant de l’argent avec les participants (Polgár et al., 2014). Cependant, ils rapportent aussi que pour les offres monétaires de 20 à 30 % du montant à diviser les participants sains acceptaient les offres des visages joyeux plus fréquemment, cet effet était absent pour les participants ayant un TPL. L’objectif de cette étude est donc de savoir si les différences de reconnaissance des émotions médient la relation de la sévérité des traits du TPL avec des décisions sociales d’acceptation d’offres monétaires accompagnées d’expressions faciales (joie, colère et neutre). Nos résultats corroborent l’association négative des traits du TPL avec la reconnaissance des émotions (Daros et al., 2013) et l’association positive entre l’acceptation des offres et les traits du TPL (Polgár et al., 2014). Cependant, aucun effet médiateur n’est observé. Ainsi, nous concluons que la reconnaissance des émotions et la prise de décision sociale représentent des aspects indépendants des profils sociocognitifs liés aux traits du TPL. / Social difficulties are linked to borderline personality disorder (BPD). To understand them, the processing of information during social decisions must be studied. A form of social information is emotional facial expressions which are less well identified in individuals with BPD (Daros et al., 2013) compared to participants without a diagnosed mental health issue. Also, one study reports that participants with BPD accept more monetary offers (regardless of the amount of money they were offered) participants without a diagnosed mental health issue in a social decision-making task simulating interaction with individuals (represented by happy or angry faces) dividing money with participants (Polgár et al., 2014). However, they also report that for monetary offers that represented 20-30% of the divided sum, participants without a diagnosed mental health issue participants accepted offers from happy faces more frequently. However, this effect was absent in participants with BPD. The aim of this study is to determine whether differences in emotion recognition abilities mediate the relationship of BPD trait severity with social decisions to accept monetary offers accompanied by facial expressions (joy, anger and neutral). Our results support the negative association of BPD traits with emotion recognition (Daros et al., 2013) and the positive association between offer acceptance and BPD traits (Polgár et al., 2014). However, no mediating effect is observed. Thus, we conclude that emotion recognition and social decision-making represent independent aspects of the sociocognitive profiles related to BPD traits.

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