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Soutenabilité environnementale et préservation des capacités. Le cas de la capacité d'assimilation des écosystèmes dans l'analyse économique de la pollution optimale.

Leandri, Marc 15 June 2009 (has links) (PDF)
La présente thèse est partie d'une interrogation initiale sur la compatibilité avec les exigences du développement durable des modèles économiques d'optimisation de la pollution. Elle est centrée sur les modèles dynamiques de régulation de la pollution et de gestion du capital naturel. A l'aune d'un critère \textit{a minima }de soutenabilité demandant une préservation suffisante de la capacité d'assimilation de la pollution par l'environnement, nous analysons dans une première partie les trajectoires de pollution optimale dans un cadre de maximisation intertemporelle de l'utilité actualisée. Les modèles théoriques standard dynamiques de contrôle de la pollution de flux (Ch.1) et de stock (Ch.2) sans accumulation de capital sont modifiés pour permettre une valorisation explicite de cette capacité d'assimilation. Ils sont illustrés respectivement par le rôle des zones ripariennes dans l'absorption des nitrates lixiviés et par la capacité d'assimilation du CO$_2$ par la biosphère. Cet examen montre que la compatibilité entre les exigences de durabilité n'est pas assurée dans tous les cas, ce qui nous conduit à rechercher des formes de modélisation différentes, davantage en phase avec les objectifs du développement durable. Dans une deuxième partie nous rapprochons les bases d'une approche de la régulation de la pollution de celles de la gestion d'une ressource naturelle renouvelable. Cette perspective nous conduit à explorer les alternatives au critère de la maximisation de l'utilité actualisée représentées par des critères comme la Règle d'Or Verte, le Maximin (Ch.3) ou la Viabilité (Ch.4). A partir des intuitions réunies au cours des deux premières parties, nous proposons dans la dernière partie (Ch.5) un modèle simplifié de croissance avec capital physique et capital naturel. Ce modèle, caractérisé par la dépréciation endogène du capital naturel, nous permet d'élargir aux capacités économiques notre réflexion sur la soutenabilité en termes de préservation des capacités environnementales.
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Archives ouvertes : état des lieux et pratiques dans les domaines des mathématiques et de l'informatique

Wojciechowska, Anna 09 December 2008 (has links) (PDF)
Le sujet principal de ce travail est l'étude de l'auto-archivage des publications par les chercheurs.<br />Nous voulons comprendre comment les pratiques des chercheurs évoluent et en quoi elles sont affectées dans le nouveau paysage de la publication scientifique :<br />- comprendre la position des chercheurs relative aux archives ouvertes,<br />- repérer et analyser les pratiques déclarées par les chercheurs,<br />- faire apparaître leurs besoins et leurs positions sur les modalités de dépôt d'articles dans les archives ouvertes.<br />La période sur laquelle s'est déroulée cette analyse : 2004-2007 correspond à la phase du développement des archives ouvertes en France.<br />2 enquêtes (2005 et 2007) ont visé les pratiques de l'auto-archivage des articles d'une partie de la communauté mathématique et informatique en France liée aux bibliothèques du Réseau National des Bibliothèques en Mathématiques. L'analyse comparative des résultats permet de démontrer une amélioration assez significative de ces pratiques.
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Les collectifs et leurs natures. Un parcours sociologique, des animaux emblématiques à la biodiversité

Mauz, Isabelle 09 June 2008 (has links) (PDF)
Mes recherches s'inscrivent dans un courant de la sociologie qui accorde un rôle social à des êtres non humains. L'emploi du terme de « collectif », plutôt que celui de société, vise à signifier cette extension du champ de la discipline. Les collectifs désignent des assemblages hétérogènes initiés par les hommes dont il s'agit de retracer la genèse et d'étudier la composition, la cohésion et l'évolution. Les collectifs auxquels je me suis intéressée se caractérisent tous par l'importance de la place qu'y occupent les êtres de nature. <br />Je commencerai par aborder les difficultés d'ordre méthodologique que soulève cette démarche et je proposerai plusieurs solutions pour les surmonter.<br />Je présenterai ensuite trois des résultats obtenus en appliquant la méthode précédemment décrite à des espèces et à des espaces particuliers. Premièrement, j'ai mis en évidence le rôle d'opérateur social de certains animaux sauvages. Deuxièmement, j'ai montré que la création et la mise en place des espaces protégés offrent un cas d'étude idéal pour étudier la naissance des collectifs. Troisièmement, mes recherches ont indiqué l'existence d'un changement en cours de grande ampleur dans les collectifs orientés vers la gestion et la protection de la nature. Or ces changements sont tous légitimés par la nécessité et l'urgence de connaître et de préserver la biodiversité. Celle-ci apparaît ainsi comme un être majeur des collectifs, qui influence fortement leurs relations comme celles de leurs membres.<br />C'est pourquoi j'ai élaboré un programme de recherche sociologique sur la biodiversité, dans lequel je l'appréhende non comme une notion ou un concept mais comme un nouveau membre des collectifs. Ce programme, composé de deux axes, vise à comprendre les modalités et les effets sociaux et politiques de la mise au jour et de la prise en compte de la biodiversité. Le premier axe est issu du constat que la biodiversité a d'abord été identifiée et désignée comme un problème public majeur dans la sphère scientifique. Il vise à étudier les disciplines et les techniques scientifiques regroupées sous l'appellation de « science de la biodiversité ». Plus précisément, je me propose d'identifier les acteurs de la production de connaissances sur la biodiversité et d'analyser leurs modes d'organisation et de coordination. Je souhaite aussi étudier les « infrastructures informationnelles » suscitées par la science de la biodiversité, dont la liste rouge de l'Uicn constitue un exemple, ainsi que le type de nature et d'histoire de la nature qu'elles construisent. J'examinerai également le rapport au terrain et aux êtres de nature qu'elle favorise, notamment à travers l'instrumentation qui l'accompagne. Je m'interrogerai enfin sur la capacité de suivi de l'ensemble du vivant que permet d'acquérir la science de la biodiversité. Le second axe de recherche repose sur un autre constat, celui que des acteurs se réfèrent à la biodiversité bien au-delà de la sphère scientifique. J'aborderai ici la biodiversité comme une ressource que des usagers et des exploitants de la nature parviennent à mobiliser pour redéfinir leur identité, défendre des activités contestées et faire évoluer leurs pratiques.<br />Je compte mettre en œuvre ce programme de recherche sur la biodiversité sans pour autant abandonner les recherches sur des espèces et des espaces particuliers. La concrétisation d'un tel projet nécessite donc que je puisse diriger des recherches de doctorants qui viendront compléter la capacité de recherche du pôle de sociologie que j'anime au Cemagref de Grenoble.
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L'ADOLESCENTE CONSOMMATRICE A LA RECHERCHE DE SON AUTONOMIE. APPLICATION AU MARCHE DU MAQUILLAGE

Gentina, Elodie 28 October 2008 (has links) (PDF)
L'adolescente apparaît désormais comme une consommatrice indépendante qui bénéficie d'un statut particulier différent de celui de l'enfant et de l'adulte. Nous avons retenu la prise d'autonomie et le besoin d'intégration dans le groupe de pairs comme les deux éléments principaux et constitutifs de la notion d'indépendance de l'adolescence. Nous avons montré que ces deux notions, qui semblent paradoxalement contradictoires, s'équilibrent au cours de la dynamique de l'adolescence. Les variables d'autonomie, de sensibilité à l'influence interpersonnelle des pairs ainsi que du degré d'intégration de l'adolescente dans son groupe de pairs ont été mobilisées et intégrées dans un modèle original appliqué empiriquement au domaine de l'achat et de l'utilisation de maquillage. La contribution théorique majeure de cette thèse consiste à proposer une définition opérationnelle de l'autonomie de l'adolescente qui fait défaut à la littérature marketing actuelle. De plus, une réflexion théorique approfondie sur le degré d'intégration de l'adolescente dans son groupe de pairs permet de contribuer à une meilleure compréhension des groupes de pairs et de leur influence sur l'adolescente. Les principaux apports méthodologiques sont de deux ordres. Il s'agit, d'une part, du développement d'un instrument de mesure fiable et valide de l'autonomie de l'adolescente et d'autre part, de l'élaboration d'une méthode d'identification des groupes de pairs s'appuyant sur la méthode d'analyse des réseaux sociaux. D'un point de vue managérial, cette recherche s'inscrit dans le mouvement actuel du marketing générationnel, elle soulève les insuffisances de l'âge, principal déterminant actuel utilisé pour segmenter le marché des adolescentes. Ainsi, nous proposons aux professionnels du marketing de segmenter le marché des adolescentes en fonction de deux nouveaux critères : l'autonomie et la sensibilité à l'influence interpersonnelle des pairs en complément de l'âge.
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Les approches patrimoniales au regard de la question de la prise en charge du monde

Pupin, Vincent 23 July 2008 (has links) (PDF)
Le point de départ de cette thèse est ma propre pratique de l'utilisation du terme de « patrimoine ». Lors de mes interventions dans le domaine de l'agriculture, de l'environnement et de la gestion des territoires, j'ai constaté un attachement des personnes que j'ai rencontrées à des éléments matériels ou immatériels, attachement si fort que ces éléments semblaient parfois être un prolongement d'eux-mêmes et qu'en cas de perte, leur vie en était changée. Ces éléments sont souvent désignés comme « patrimoine » par ceux qui en parlent. L'attachement qu'ils éprouvent envers ces patrimoines témoigne d'une forme de rapport de l'Homme au monde particulière. Or, notre relation au monde a profondément changé au XXème siècle. Le monde infini aux ressources inépuisables est devenu un monde fini, fragile, où tout interagit et que nous sommes capables de détruire. La prise en charge du monde est une question posée ouvertement, comme une option parmi d'autres, mais qui ne va pas de soi. Le succès du terme de patrimoine, à partir des années 1980, est un symptôme de ce nouveau rapport au monde, il sous-entend un problème, le risque de dégradation ou de destruction de l'élément patrimonialisé et/ou un projet, la volonté de prise en charge de cet élément. J'ai donc voulu interroger les utilisations du terme de patrimoine, dont la mienne, au regard de la question de la prise en charge du monde. Dans un premier temps, j'étudie la diversité des patrimoines et des patrimonialisations : En France, le terme de « patrimoine » pouvait recouvrir toutes sortes de biens sous l'Ancien Régime, il avait surtout la caractéristique d'être attaché de façon quasi mystique à la personnalité, d'incarner une lignée. Pendant et après la Révolution, la notion de propriété l'emportant, le terme n'est plus employé que dans deux sens : un sens juridique, comme ensemble d'actif et de passif d'un individu ou d'une personne morale, un sens culturel avec l'institutionnalisation des monuments historiques. Au XXème siècle, les utilisations du terme se multiplient : patrimoine naturel, génétique, économique, ethnologique, stratégique. A travers ces expressions, se développent des approches patrimoniales théoriques et pratiques qui ont chacune leur propre logique, leur propre langage, leurs propres références. Chacune apporte un éclairage sur la prise en charge d'éléments matériels (un animal, un bâtiment) et immatériels (une langue, une fête), de l'infiniment petit (les gènes, la radioactivité) à l'infiniment grand (la Terre, la Lune
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Maisons, raisons, passions. La résidence secondaire à Chavannes-sur-Suran (Ain) et Saint-Martin d'Entraunes (Alpes Maritimes)

Ortar, Nathalie 06 December 1998 (has links) (PDF)
La recherche menée lors de la thèse de doctorat a pour cadre un des usages particuliers que les urbains français ont du monde rural, celui de la villégiature. Séjours prolongés sur le terrain, observation participante, observation flottante, récits de vie et entretiens semi-directifs servirent de cadre méthodologique à ce travail. Les entretiens alimentèrent nombre de réflexions sans qu'ils soient pour autant décisifs de l'ensemble de la recherche, l'observation complétant et nuançant les propos recueillis. L'étude de deux communes distantes de plusieurs centaines de kilomètres et se situant dans des contextes sociaux et démographiques différents donne plus de sens à l'analyse du phénomène dans son ensemble.<br />La collecte des données se déroula de 1993 à 1997. Les séjours réguliers rendent compte d'une certaine évolution des communes observées et des familles rencontrées. L'observation de deux communes complétées par les expériences de recherche précédentes ou concomitantes sur d'autres thèmes mais toujours dans le monde rural français donne un aspect beaucoup plus nuancé à la recherche globale et permet d'établir des distinctions entre le cas général et particulier. L'inscription au sein du séminaire interdisciplinaire des ruralités contemporaines de l'Ecole des hautes études à Paris rendit possible des échanges sur leur perception du monde rural et en particulier des résidents secondaires auxquels ils s'intéressèrent aussi . La rencontre de géographes et de sociologues ruraux impulsa une dynamique à l'ensemble de la recherche en élargissant le cadre des réflexions. <br />Le but de cette thèse était de comprendre pourquoi certaines personnes éprouvaient le besoin de posséder un deuxième logement, leurs activités, ce que cette résidence secondaire leur apportait effectivement malgré les contraintes inhérentes à sa possession et les obstacles financiers. Le deuxième aspect était de rechercher les raisons du choix d'une résidence secondaire dans des zones peu ou pas touristiques. <br />Le cas de Chavannes est celui d'un village en train de se périurbaniser, peuplé d'habitants au mode de vie plus banlieusard que rural. Les résidents secondaires venus à la recherche du rural apparaissent parfois décalés par rapport à la réalité. Ils sont en quête d'un monde disparu, qui s'est profondément urbanisé dans les mentalités. Toutefois, à mon sens, ils continuent de jouer un rôle dans la promotion et le brassage des idées, parfois simplement par leurs interrogations. Il est néanmoins probable que dans des zones de ce type le nombre des résidences secondaires soit appelé à régresser au profit des nouveaux habitants du rural.<br /> A Saint-Martin, les résidents secondaires apparaissent aussi comme décalés par rapport à la réalité. Eux aussi arrivent nourris d'images ou d'idées sur la campagne qui n'ont plus cours parce que disparues. Les résidents secondaires doivent ici combler un vide, insuffler une vie à un espace en profonde mutation physique, dont la fonction change. Les résidents secondaires jouent et joueront nécessairement un rôle de premier plan dans ce nouvel usage, mais il est aléatoire de chercher à en percevoir toutes les implications.<br />Etudier les résidents secondaires dans deux communes distinctes fut l'occasion d'observer des résidents secondaires aux motivations et désir d'implication, assez proches mais dans deux contextes diamétralement opposés. De fait, c'est effectivement lors de l'analyse des relations établies avec la société locale que la comparaison prend toute sa pertinence. La flexibilité du rôle des résidents secondaires selon la société d'accueil et les besoins exprimés put ainsi être mise en exergue. Chavannes, où les résidents secondaires se sont peu à peu désimpliqués en apparence, est caractéristique d'une société qui croît de nouveau. Néanmoins, malgré le désir perceptible de marginaliser la population des résidents secondaires, le besoin de disponibilité des personnes pour assurer l'entretien de la commune est tel que les résidents secondaires sont en fin de compte acceptés, pour peu qu'ils masquent leur secondarité. En ceci, les deux communes ne sont finalement pas si différentes que cela puisque toutes deux puisent dans les résidents secondaires pour subvenir aux besoins des communes en bénévoles.<br />Les points centraux de comparaison qui apparaissent entre les deux communes sont, en premier lieu, la convergence des aspirations des urbains, quel que soit le milieu d'accueil. Dans les deux communes, la résidence secondaire répond à un besoin de mémoire fabriquée le cas échéant, de convivialité, de ressourcement, d'identité même, autant que d'espace. Ces besoins sont révélateurs en négatif de l'insatisfaction produite par les villes quelle que soit leur taille. Ce besoin d'espace d'interconnaissance et de convivialité se retrouve dans les deux communes avec la création ou recréation de fêtes qui servent ici avant tout à célébrer un entre soit que les habitants tentent de fédérer. A travers ces deux terrains d'enquête, la résidence secondaire apparaît aussi comme un support privilégié de la vie familiale.<br />Les divergences portent essentiellement sur la place des résidents secondaires au sein de l'espace rural. Les deux terrains mettent en évidence qu'il n'existe pas un seul mais des espaces ruraux au devenir opposé, comme le montre le cas de Saint-Martin qui se débat pour continuer à exister politiquement et socialement, tandis que Chavannes, lui, cherche des solutions pour ne pas devenir une cité dortoir. <br />La résidence secondaire apparaît nécessaire pour l'équilibre de vie de ses propriétaires et c'est cette nécessité même qui est révélatrice de lacunes du monde urbain, qui ne sont pas seulement imputables à l'habitat, puisque des résidents secondaires, même en milieu rural, peuvent vivre en appartement, ni à la seule présence ou absence d'un jardin, et donc la possession d'espaces verts, certains s'en passant fort bien.<br />Le constat qui peut être établi est que la résidence secondaire présente un atout pour l'avenir des espaces ruraux, mais un atout limité. Ainsi que le montre le cas de Saint-Martin, elle ne constitue pas en soi une réponse à une situation de désertification mais elle apporte une réponse ponctuelle. Les résidents secondaires permettent un entretien du bâti - ce qui ne va pas toujours sans certaines dérives - de même que la perpétuation d'un tissu social et de certaines institutions. Les résidents secondaires favorisent le maintien de bribes de tissu social dans des sociétés fortement désertifiées comme Saint-Martin. La gestion de la vie politique par les résidents secondaires signifie que la commune continue à avoir une existence officielle qui agit comme un garant de la reconnaissance de l'existence de ces communes au sein de la société française.
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La vidéo participative : outil d'accompagnement du développement local ? Etude de trois processus de concertation en Bolivie, en Equateur et au Mali

Colin, Loïc, Petit, Vincent 10 October 2008 (has links) (PDF)
Cherchant à redonner aux acteurs locaux les moyens de participer aux décisions concernant leur développement, les auteurs de cette thèse étudient les potentialités de la Vidéo Participative (VP) en termes d'accompagnement des processus de réflexion collective. Ils évaluent l'impact de la VP sur trois terrains : la Bolivie, l'Equateur et le Mali. Utilisée comme objet intermédiaire dans le cadre de la gestion des ressources naturelles, la vidéo permet de mobiliser les acteurs autour de la recherche d'une représentation partagée de la situation et d'alternatives acceptables. Cette recherche-action, proche des préoccupations de la Communication pour le Développement, questionne la capacité de la VP à structurer des scènes de concertation. S'appuyant entre autres sur les théories de l'acteur stratégique, de l'économie des grandeurs et de l'acteur réseau, les auteurs proposent une méthode d'analyse des réunions de concertation, ainsi qu'une grille d'indicateurs permettant d'évaluer ces projets vidéo en appui à la concertation. Ce travail met notamment en évidence l'impact de la VP sur la réduction des asymétries (statuts, informations, capacité d'expression, poids) au sein des systèmes d'acteurs. En faisant varier les modalités de participation, les auteurs développent une réflexion sur les liens entre « participation effective », « participation ressentie », appropriation et durabilité d'un tel dispositif. Enfin, l'analyse de travaux de VP réalisés par d'autres équipes permet d'en proposer une typologie originale. Avant de conclure, les auteurs esquissent les contours d'un cadre déontologique indispensable face aux risques de manipulation associés à ces démarches.
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Conception d'un modèle équilibré de performance : des leviers innovants en matière de management des hommes

Ibanez-Pascual, Stéphanie 02 April 2008 (has links) (PDF)
Nos sociétés sont confrontées à des mutations rapides et traversent des séries de crises difficiles qui peuvent remettre en cause les équilibres. Ces crises de plusieurs ordres tant sur le plan économique que financier que politiques et sociétales complexifient les environnements des entreprises. Celles-ci se doivent d'être proactives afin de s'adapter le plus efficacement possible à ces mutations. Dans ces conditions, comment une entreprise peut-elle maintenir son équilibre, prévenir les crises ou les gérer et manager aux mieux ses performances économiques et sociales tout en satisfaisant sa première richesse, l'homme créateur de valeur. Quels sont ses leviers ? Notre problématique pose la question de ces leviers en matière de management et du maintien voire de l'amélioration des performances économique et sociale de l'entreprise. Nous avons élaboré un modèle permettant de mesurer les impacts d'un mode de management sur les performances économique et sociale. Il est garanti par ce que nous avons appelé le Management Proactif. Ce mode de management comporte trois caractéristiques principales, il est fondé sur la satisfaction et l'implication des salariés, qui est garante de la coopération entre les équipes de travail sous forme de mode projet et, est adapté à la conduite de changement. Le Management Proactif relève de l'ensemble des moyens visant la création de valeur par l'ensemble des acteurs de l'organisation en vue d'une réconciliation entre la sphère économique et la sphère sociale dans une dynamique de progrès permanent. Nous proposons une modélisation de notre dispositif managérial « le Modèle Équilibré de Performance » réalisée selon deux étapes. La première a consisté à expérimenter et à décrire les six composantes du modèle dans une organisation en cycle de développement / maturation. Ces composantes fondatrices du modèle sont : le management par les réseaux formels et informels, l'accompagnement externe, le déploiement du projet managérial, le nouveau rôle de la Direction des Ressources Humaines avec notamment le développement du conseil interne, le cursus de professionnalisation des managers et le management par les processus. La seconde étape a permis de compléter le modèle à la lumière de deux nouvelles composantes spécifiques à une organisation en cycle de crise : le management et la gestion en situation de crise. Notre modèle concoure à « éclairer la boite noire » que représente la sphère sociale dans l'entreprise et tend à privilégier la coopération entre des acteurs aux objectifs différents. Nous avons mesuré les impacts de ces leviers managériaux sur les performances économique et sociale. Ce modèle a été élaboré et validé par des expérimentations conduites au sein de deux sites d'une industrie à risque (Centre Nucléaire de Production d'Électricité
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La contribution des SIG à la connaissance et à la gestion de l'environnement littoral

Gourmelon, Françoise 18 September 2003 (has links) (PDF)
Ce dossier d'Habilitation à Diriger des Recherches comprend trois volumes :<br /><br />- Un résumé du parcours scientifique, présenté sous la forme d'un rapport d'activité, incluant les actions d'enseignement et la liste des productions bibliographiques,<br />- Un recueil des publications les plus représentatives, présenté par thématique,<br />- Une synthèse concernant la contribution des SIG à la connaissance et à la gestion de l'environnement littoral. Les éléments présentés dans cette synthèse sont les suivants.<br /><br />En 1992, la seconde Conférence des Nations Unies pour l'Environnement et le Développement (CNUED, Rio) mettait l'accent sur la dimension planétaire de nombreux phénomènes écologiques et sur la nécessité d'en accroître la connaissance, d'améliorer la gestion des ressources et d'assurer la protection de l'environnement notamment contre les risques naturels et technologiques. Les zones côtières étaient alors reconnues comme des espaces extrêmement sensibles où les effets perturbateurs de l'homme sont parfois irréversibles, à l'image des pays en voie de développement où les littoraux subissent depuis quelques années un accroissement rapide de la population provoquant des mutations territoriales de grande ampleur. Cette conférence réaffirmait de ce fait l'intérêt du concept de « gestion intégrée des zones côtières » proposé au début des années 1970 par la Convention de Ramsar et l'US Coastal Zone Management Act, qui exprime le besoin d'agir collectivement sur les processus naturels et anthropiques susceptibles de menacer le maintien durable de la qualité de l'environnement et des activités qui s'y déroulent.<br />Mais comment gérer cet espace complexe sans une connaissance approfondie de son fonctionnement et de son évolution ? C'est à ce niveau que la contribution des scientifiques peut s'exprimer. En effet, le fonctionnement de la zone côtière repose sur une multitude de variables physiques, naturelles et socio-économiques en interaction, agissant sur une gamme scalaire et temporelle relativement large et dont la compréhension implique de multiples compétences scientifiques. Ce contexte pluridisciplinaire ne facilite pas la production d'une vision synthétique des processus, puisque les disciplines académiques fournissent souvent des points de vue différents d'une même réalité. De plus, il nécessite la mise en œuvre de méthodes et d'outils technologiques adaptés au stockage, à l'analyse et à la représentation de données de source et de nature diverses. L'ensemble de ces contraintes pourrait être en partie à l'origine de l'intérêt tardif de la communauté scientifique pour les zones côtières. En effet, il ne s'est développé qu'à partir des années 1980, comme l'atteste la mise en place de programmes et de réseaux de recherche nationaux et internationaux. Cependant, malgré des résultats scientifiques importants notamment sur l'approche théorique de la gestion de la zone côtière, la difficulté à développer l'ouverture pluridisciplinaire nécessaire persiste. La complexité des processus en cause, l'éparpillement des compétences et des données dans un vaste champ disciplinaire et dans de multiples institutions, en sont en grande partie responsables. Si on se réfère à l'expérience internationale dans ce domaine, il semble acquis que les avancées les plus significatives concernant la prise en compte des conditions écologiques se sont notamment appuyées sur les systèmes d'information géographique (SIG). Outils scientifiques et techniques, ils établissent un lien tangible entre les différents compartiments du système étudié et synthétisent l'ensemble des progrès conceptuels et techniques réalisé dans le domaine de l'information géographique. Par leurs capacités de stockage, d'analyse et de représentation de l'information spatialisée, ils concourent à améliorer la connaissance du fonctionnement global des écosystèmes et contribuent aux réflexions des décideurs. Utilisés en synergie avec la télédétection et la géodésie spatiale, actuellement en plein essor, ils peuvent offrir un certain nombre d'atouts dans trois domaines d'application : l'aménagement et la gestion des territoires, l'appui à la recherche et au développement, et la planification des activités. Néanmoins, il apparaît après une décennie d'utilisation dans différents domaines d'application que les conditions du succès de leur mise en œuvre sont dépendantes non seulement de paramètres techniques et économiques, mais aussi sociaux, organisationnels et spatiaux. <br /><br />La première partie de cette synthèse pose le contexte géographique et méthodologique dans lequel s'inscrivent les applications géomatiques développées en mer d'Iroise et pour lesquelles des perspectives de recherche sont envisagées. Elle aborde différentes notions et propose un état de l'art concernant l'environnement littoral, les principes de gestion intégrée des zones côtières et les systèmes d'information géographique. <br />L'environnement littoral est présenté dans ses limites géographiques et ses composantes thématiques comme un espace sensible et complexe où différents paramètres interférent, justifiant l'intérêt d'une multitude d'acteurs. L'attrait des sociétés humaines pour cet espace d'une grande richesse entraîne une pression sur la ressource et des conflits d'usage que la gestion intégrée de la zone côtière se propose de résoudre. <br />Ce concept qui s'est développé depuis les années 1970 s'exprime par différentes actions politiques et scientifiques. Néanmoins, il apparaît que cet intérêt récent d'une communauté internationale composite se traduit par des visions et des approches différentes qu'il est parfois difficile de concilier dans le contexte pluridisciplinaire inhérent à la mise en œuvre d'un projet de gestion intégrée. C'est à ce niveau que l'utilisation des méthodes géomatiques peut contribuer à développer une approche territoriale et écosystémique de la zone côtière.<br />Les systèmes d'information géographique sont présentés selon différents points de vue qui leur attribuent communément un rôle déterminant dans la gestion, l'analyse et la représentation de l'information géographique et dans l'aide à la décision qu'ils peuvent procurer. Leurs apports aux sciences environnementales et comme support à la gestion des territoires sont discutés. S'ils produisent des résultats intéressants dans différents domaines, il apparaît qu'ils sont encore peu utilisés sur le littoral et encore moins dans des projets finalisés basés sur des approches pluridisciplinaires. <br /><br />La seconde partie de ce mémoire décrit les composantes et les applications d'un SIG consacré aux espaces littoraux de la mer d'Iroise, développé depuis une dizaine d'années dans un laboratoire universitaire. Il est mis en œuvre avec deux objectifs complémentaires. Le premier est de contribuer aux recherches menées sur le fonctionnement et l'évolution d'un écosystème complexe, et le second est de procurer aux gestionnaires des éléments concrets permettant de faciliter leurs prises de décision. Ce système d'information géographique offre une plate-forme d'informations géospatiales suffisamment riche des points de vue thématique, temporel et scalaire, pour permettre la mise en œuvre de diverses applications scientifiques en relation étroite avec des objectifs de gestion de l'environnement. Afin d'illustrer les possibilités du système, trois applications menées selon une approche écosystémique sont présentées. <br />L'analyse des changements d'occupation et d'utilisation des sols d'une île habitée est réalisée selon les perspectives scientifiques du programme international « Land Use and Land Cover Changes » de l'IGBP (International Geosphere Biosphere Program). Elle synthétise les changements territoriaux intervenus depuis 1844 sur l'île d'Ouessant, met en évidence le rôle actuel d'une activité traditionnelle, l'élevage du mouton, dans l'entretien des milieux semi-naturels et propose des scénarios prospectifs d'évolution de la végétation en relation avec différentes hypothèses de développement du cheptel ovin. <br />Concernant l'étude des dynamiques de la végétation des îlots marins protégés, la démarche vise à proposer une méthode d'évaluation des changements du tapis végétal afin de procurer un outil synthétique aux gestionnaires, pouvant servir à l'élaboration de comparaisons entre différents sites d'un réseau d'espaces protégés, au niveau national. Les résultats acquis sur un ensemble représentatif d'îlots marins en réserve, mettent spatialement en évidence les changements intervenus en une décennie, en relation avec différents facteurs anthropo-zoogènes, et fournissent une évaluation synthétique des dynamiques en cours, à l'échelle du réseau.<br />L'habitat d'une espèce marine d'intérêt patrimonial est étudié dans le cadre du projet européen « Tursiops, réseau atlantique des grands dauphins côtiers ». En dépit du peu d'informations environnementales disponibles, la recherche menée en mer d'Iroise permet de préciser les caractéristiques physiques du domaine vital des animaux, de réaliser une synthèse de la morphologie des fonds sous-marins susceptibles d'expliquer la distribution des groupes résidant et de proposer une approche par modélisation de l'habitat potentiel. <br /><br />Au vu des résultats présentés, la démarche géomatique entreprise au sujet de la mer d'Iroise paraît fructueuse tant dans le domaine de la connaissance du fonctionnement et de l'évolution de l'écosystème que dans celui de l'aide à la gestion de la zone côtière. Néanmoins, il apparaît que l'utilisation du système est limitée sur certaines problématiques du fait de l'indisponibilité de nombreuses données et de méthodes d'analyse peu adaptées à l'étude de certains processus environnementaux. La troisième partie de ce mémoire dresse un constat critique de l'apport et des limites du SIG mis en place en termes d'état des connaissances, d'analyse des processus et d'aide à la gestion. Les nouvelles méthodes géomatiques d'acquisition de données à haute résolution spatiale ainsi que le couplage des systèmes d'information géographique avec des plates-formes de modélisation sont présentés comme des perspectives méthodologiques prometteuses en vue du suivi à long terme et de la représentation des processus dynamiques. Ces méthodologies seront appliquées aux recherches en cours sur la zone côtière finistérienne. En outre, il apparaît que le SIG mis en œuvre, s'il veut répondre aux objectifs de compréhension du fonctionnement de l'écosystème et d'aide à la gestion intégrée, fixés au préalable, doit s'intégrer à un outil pluridisciplinaire fondé sur des méthodes complémentaires. Dans un tel dispositif, la télédétection permettrait d'alimenter les bases d'information géographique par des variables pertinentes, relatives notamment au milieu marin, en complément des échantillons acquis in situ et des bases de données existantes. Celles-ci seraient utilisées pour calibrer et valider les modèles qui seraient utilisés pour explorer la dynamique de l'écosystème et quantifier les processus en intégrant une large part des interactions entre les différents facteurs. En permettant leur organisation en un système cohérent, le SIG offrirait les moyens de coupler efficacement les données acquises par ces différentes méthodes et fournirait des outils d'analyse spatiale et de représentation. Enfin, des interfaces et des modules spécialisés d'aide à la décision compléteraient le système de manière à en faciliter l'accès à différents niveaux d'utilisation et à le rendre opérationnel dans le contexte d'une gestion intégrée de la zone côtière finistérienne.<br /><br /><br />Concernant l'environnement littoral de la mer d'Iroise, la nécessité de disposer d'un outil fédérateur susceptible de rassembler différentes composantes du système et donc des compétences et des points de vue variés, ainsi que des méthodes d'analyse et de représentation efficaces est apparue voici une dizaine d'années. A cette époque, les méthodes géospatiales de fourniture et de traitement de données telles que les SIG, la télédétection, l'analyse spatiale, la modélisation s'imposaient comme un formidable potentiel pour l'étude des changements par leur capacité à fournir des éléments de réflexion et de synthèse. L'appropriation de cette nouvelle technologie par les géographes s'est fondée sur des bases théoriques rigoureuses, originales et somme toute attractives pour un bon nombre d'acteurs, praticiens ou théoriciens de l'environnement s'intéressant aux problématiques d'une zone côtière exemplaire, de par ses caractéristiques et ses évolutions. La problématique globale s'est donc nourrie d'approches spécifiques illustrant quelques facettes de la complexité de la zone côtière. La démarche écosystémique qu'elles sous-tendent s'inscrit dans une triple perspective spatiale, temporelle et pluridisciplinaire. Si ces deux premières composantes relèvent sans aucun doute de la pratique traditionnelle en Sciences Humaines, la connotation pluridisciplinaire des recherches menées est plus actuelle. De fait, l'évolution de la pratique scientifique combinée à l'étude d'un espace complexe d'interfaces géographiques implique nécessairement de positionner la réflexion aux marges de différentes disciplines qui deviennent alors complémentaires. On atteint ainsi une conception transversale de la recherche, aux limites des champs académiques traditionnels, où les Sciences de l'Homme et de la Société peuvent occuper une place à part entière aux côtés des Sciences de la Vie, des Sciences de l'Univers et des Sciences de l'Information et de la Communication.
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L'évaluation des politiques forestières : le cas du Plan Chablis dans le département des Vosges

Croisel, Jean 15 November 2007 (has links) (PDF)
Un état des lieux des pratiques actuelles relatives à l'évaluation des politiques forestières montre que celles-ci reposent le plus souvent sur des considérations essentiellement techniques, ce que l'on peut lier à une conception traditionnelle des politiques forestières, visant à répondre à des enjeux écologiques ou économiques. Mais depuis le début des années 1990 et l'émergence du nouveau paradigme de la gestion durable des forêts, les questions sociales occupent une place de plus en plus importante dans l'élaboration des politiques forestières. L'évaluation des politiques forestières doit donc procéder à une mise à jour de ses approches pour tenir compte de cette évolution, si on veut lui conserver sa pertinence en tant qu'outil d'aide à la décision. Partant de ce constat, cette thèse propose un outil d'évaluation qui ne se contente pas de superposer considérations techniques et considérations sociales mais qui cherche à les intégrer au sein d'une démarche cohérente, fondée sur des options théoriques explicites. Au niveau de la prise de décision publique, deux modèles sont fréquemment employés par les politologues : le modèle rationnel/compréhensif, d'inspiration wébérienne, et le modèle incrémental/communicatif, dérivé des travaux de Simon sur la rationalité limitée des individus. En admettant que l'évaluation représente une forme particulière de prise de décision, la thèse développe à partir de ces modèles deux grandes conceptions de l'évaluation dont la pertinence est analysée à la lumière des évolutions récentes de la politique forestière. Après examen, il semble prometteur d'utiliser des cadres « mixtes » qui combinent une évaluation d'inspiration rationaliste avec une évaluation menée sur une base incrémentale. Cette orientation théorique a conduit, après un approfondissement des concepts clé de participation et d'expertise, à retenir pour l'évaluation des politiques forestières le cadre méthodologique du « modèle mixte », utilisé depuis une dizaine d'années dans d'autres pays que la France. L'étape cruciale du travail consistait à tester ce cadre en prenant comme cas d'étude le Plan Chablis dans le département des Vosges, sur la base d'une proposition faite par le Laboratoire de Politique Forestière de l'ENGREF au Conseil Général. La démarche suivie comportait les étapes suivantes : une analyse documentaire, une première version de l'évaluation émanant d'un groupe réduit d'« experts », une deuxième version de l'évaluation émanant d'un groupe étendu d'« acteurs » et un travail de compilation de l'ensemble. Différentes techniques (méthode Delphi, métaplan, entretiens, questionnaires) ont été mobilisées au cours de l'étude. Au début et à la fin du protocole, des réunions avec des élus et des représentants du secteur ont permis de médiatiser l'étude et ses résultats. Les résultats empiriques obtenus pour le Plan Chablis (tant au niveau de la politique dans son ensemble que pour chacune de ses différentes mesures) sont commentés en détail et ont permis de discuter la pertinence et la validité de l'approche proposée. Les points forts résident dans le pragmatisme de la démarche et dans la facilité avec laquelle les résultats peuvent être appropriés par les différents publics concernés. Les points faibles sont liés aux difficultés éprouvées pour couvrir tous les champs de l'expertise et pour faire participer certaines catégories d'acteurs. En conclusion, un retour sur la signification générale de cette thèse suggère de poursuivre les recherches afin de perfectionner l'outil et de l'appliquer à d'autres politiques et à d'autres contextes géographiques, afin d'en préciser plus clairement les avantages et les limites.

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