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Le droit à la représentation des salariés dans la négociation collective / Employees' right to be represented in collective bargaining

Marguerite, Magali 15 October 2011 (has links)
La négociation collective est au coeur de la production normative en droit du travail. Le droit à la négociation collective proclamé au niveau constitutionnel, européen et international appartient au salarié ; ce dernier ne l’exerce que par ses représentants. Son droit individuel à la négociation se résout donc dans un droit à être représenté qui se déduit de la lecture de l’alinéa 8 du Préambule de la Constitution et des textes internationaux et européens. Il est paré des qualités d’un droit « justiciable ». Droit subjectif, il peut être invoqué par le salarié. Droit-créance, celui-ci peut revendiquer la mise en place d’une représentation légitime. La légitimité, concept sociologique, doit trouver traduction juridique à travers le droit des représentés de choisir librement leur représentants, et le droit de ceux-ci d’être protégés dans leur mission de négociation. Le vecteur de légitimité est trouvé dans l’expression de la volonté des salariés en vue de la désignation de leurs représentants. Cette expression peut prendre la forme d’un mandat ou de l’élection. Au regard des caractéristiques de l’acte conclu à l’issue de la négociation (l’effet erga omnes des conventions et accords) et de l’intérêt défendu (l’intérêt collectif), l’élection doit être privilégiée. Le législateur s’attache à réaliser la condition de légitimité. Preuve en est la promotion de l’audience électorale par la loi du 20 août 2008. Dans le cadre international et européen, la réalisation d’un droit à la représentation n’est encore que partielle. / Collective bargaining has a key-role in employment law’s construction. French Constitution, European and International laws acknowledge a right to collective bargaining which belongs to employees : employees exercise this right through their representatives. Actually, employee’s right to collective bargaining is reduced to a right to be represented as state both, paragraph 8 of 1946 French Constitution Preamble and European and International laws. This right may find its efficiency before Courts. As a subjective right, it can be put forward by an employee. This makes the employee creditor of the right to claim for the implementation of legitimate representatives. “Legitimacy” as a sociologic notion, must be legally translated through the right of represented employees to design freely their representatives, and the right for these representatives to be protected as long as they exercise their mission of bargaining. Legitimacy is translated through the expression of employees’ will to design their representatives. This expression may be formalized through a mandate or through an election. With consideration to the significance of collective bargaining (“erga omnes” effect of collective bargaining agreements) and of the interest at stake (collective interest), election shall be favoured. Law works at providing the condition of this legitimacy. For example, August 20, 2008 law promotes election results. At a European and International level, the realization of a right to be represented remains unachieved.
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Démocratisation des Etats et garantie internationale des droits démocratiques : essai sur une contribution des organisations internationales / Democratization of States and International Guarantee of Democratic Rights : Essay on a Contribution by International Organizations

Ouedraogo, Daouda 21 September 2019 (has links)
Si la démocratie désigne le régime politique où l’appareil institutionnel d’Etat traduit la volonté du peuple, la démocratisation caractériserait ainsi tout processus conduisant un système politique autoritaire à plus d’ouverture et de participation. Mais cette démocratisation n’est pas que le résultat de dynamiques internes, elle est également, et de plus en plus le fait d’acteurs externes, en particulier des organisations internationales. Dès la fin de la guerre froide en effet, convaincues que la démocratie constitue le régime politique qui offre les meilleures garanties de respect des droits de l’homme, des organisations internationales, universelles comme régionales, l’Organisation des Nations Unies en tête, se sont résolument investies aussi bien d’un point de vue normatif qu’opérationnel dans sa promotion, au point parfois de remettre en cause le principe pourtant bien établi de souveraineté des Etats. La promotion de la démocratie par les organisations internationales obéit à un régime juridique dont l’ambivalence initiale a progressivement laissé place à une certaine cohérence. Ce régime met à la charge des Etats des droits individuels et collectifs dont le respect est contrôlé, voire parfois sanctionné par des mécanismes politiques et juridictionnels, mais dont l’efficacité apparait toutefois incertaine, rappelant ainsi la complexité et la sensibilité de la question démocratique en droit international. / If democracy refers to the political regime in which the state institutional apparatus reflects the will of the people, democratization would thus characterize any process leading to a more open and participatory authoritarian political system. But this democratization is not only the result of internal dynamics, it is also, and increasingly, the result of external actors, in particular international organizations.Since the end of the Cold War, convinced that democracy is the political system that offers the best guarantees of respect for human rights, international organizations, both universal and regional, with the United Nations in the lead, have resolutely invested themselves both from a normative and operational point of view in democracy promotion, sometimes to the point of questioning the well-established principle of State sovereignty. The promotion of democracy by international organizations is governed by a legal regime whose initial ambivalence has gradually given way to a certain coherence. This regime places individual and collective rights on States, the respect for which is monitored or even sanctioned by political and jurisdictional mechanisms, but whose effectiveness appears uncertain, thus recalling the complexity and sensitivity of the democratic question in international law.
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The 2019 Canadian federal election and the Bloc québécois resurgence

Rebbani, Meissa 06 1900 (has links)
L’objectif de cette recherche est de découvrir la nature de l’appui au Bloc québécois lors des élections canadiennes de 2019. Dans le contexte de la diminution de l’appui à la souveraineté au Québec, cette recherche s’appuie sur l’hypothèse suivante : la résurgence du Bloc en 2019 peut être attribuée à la capacité du parti à transcender le clivage souverainiste-fédéraliste en réussissant à capturer l’électeur francophone moyen dans la province. En lien avec cette hypothèse, cette recherche se pose deux questions centrales : dans un premier temps, quels sont les sous-groupes d’électeurs que l’on retrouve au sein de cette coalition bloquiste et quel est le lien avec l’appartenance partisane provinciale, et dans un deuxième temps, quels facteurs et enjeux ont permis de rallier ces électeurs sous la bannière bloquiste? Cette recherche répond à ces questions en utilisant les données québécoises d’un sondage post-électoral national mené en 2019 par les professeurs Erick Lachapelle et Richard Nadeau de l’Université de Montréal et administré par la firme Léger Marketing. Les résultats de l’analyse de sondage confirment l’hypothèse de la coalition, les résultats montrant que le soutien au Bloc en 2019 était constitué de 47,1% d’adhérents du Parti Québécois et de 45,5% d’adhérents de la Coalition Avenir Québec. En outre, cette recherche révèle que si 75,5 % des péquistes ont voté Bloc en 2019, seulement 43,0% des caquistes en ont fait de même, suggérant que le Bloc a réussi à rallier une catégorie spécifique de caquistes. En somme, cette recherche révèle que ce sont les partisans nationalistes modérés de la CAQ qui ont permis la résurgence du BQ en 2019, et que l’appui au projet de loi 21 a été un facteur déterminant dans leur vote pour le BQ, alors que les partisans du PQ étaient plus fortement en appui à la souveraineté. / The goal of this research is to uncover the nature of Bloc Québécois support in the 2019 Canadian election. In the context of dwindling support for sovereignty in Quebec, this research theorizes that the resurgence of the Bloc in the 2019 election can be attributed to the party’s ability to cut across the sovereigntist-federalist divide and capture the median Francophone voter in the province. Following this, this research seeks to answer two central questions: Based on provincial party affiliation, what are the different sub-groups of voters that can be found within the 2019 BQ coalition, and what issues and factors have rallied these voters behind the Bloc? This research answers these questions using Quebec data from a nationwide post-electoral survey conducted by Professors Erick Lachapelle and Richard Nadeau from Université de Montréal in 2019 and carried out by Leger Marketing. The survey analysis results confirm the coalition hypothesis, with findings showing that 2019 Bloc Québécois support is constituted of 47,1 % of Parti Québécois adherents and 45,5 % of Coalition Avenir Québec adherents. Furthermore, this research finds that whereas 75,5% of péquistes voted for the BQ in 2019, only 43,0% of caquistes did so, showing that the party was able to capture a specific category of CAQ adherents. In sum, this research finds that it was the moderate nationalist CAQ adherents that gave the Bloc Québécois a boost in 2019, and that support for Bill 21 was a determining factor behind their vote for the BQ, whereas Parti Québécois adherents felt more strongly about sovereignty.
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Growing old : population ageing and democratic representation in Canada

Vallée-Dubois, Florence 08 1900 (has links)
Le vieillissement de la population a de nombreuses conséquences sur nos sociétés, comme la transformation du marché de l'emploi, l'émergence de nouveaux besoins en termes d'immigration et la création de nouveaux modèles familiaux qui défient le modèle traditionnel. Le vieillissement de la population affecte également l'offre et la demande de certains programmes gouvernementaux, comme la santé ou les pensions de retraite. Les conséquences du vieillissement de la population sur la politique électorale et la représentation démocratique ne sont cependant pas très bien comprises. Les chercheurs qui ont recours à l'approche sociologique pour étudier différents phénomènes ne s'entendent pas tous sur les conséquences du vieillissement de la population pour la politique. D'une part, certains posent l'argument selon lequel l'âge n'est pas un facteur suffisamment important pour expliquer les différences dans l'appui aux différents partis politiques, ce qui fait en sorte que l'influence des aînés sur la politique ne peut qu'être minime. D'autre part, certains posent l'argument selon lequel les différences d'âge en termes de préférences politiques peuvent avoir une influence sur les résultats politiques. Par exemple, en participant aux élections ou en créant des groupes d'intérêt, les aînés peuvent influencer les décisions des élus. L'objectif de cette thèse est de présenter des assises théoriques et des éléments de preuves empiriques pour faire avancer ce débat. Plus précisément, cette thèse tente de répondre aux questions suivantes: Les personnes plus âgées ont-elles des préférences politiques différentes des autres groupes d'âge? Les aînés préfèrent-ils certains partis politiques? Si oui, la participation politique des aînés peut-elle mener à l'élection de ces partis? Les élus s'intéressent-ils aux enjeux qui touchent les aînés? Le cadre théorique présenté dans cette thèse m'amène à formuler une série d'arguments sur les conséquences du vieillissement de la population pour la représentation. Au niveau individuel, je pose l'argument selon lequel l'âge peut influencer la formation d'opinions politiques et affecter l'accès à certaines ressources qui sont importantes pour la participation. Cela a différentes conséquences sur les préférences politiques et la participation des différents groupes d'âge, conséquences qui peuvent se transposer sur la représentation. Premièrement, si les préférences politiques des citoyens changent en raison du vieillissement de la population, alors les élus pourraient avoir tendance à vouloir représenter ces nouvelles préoccupations citoyennes pour des raisons normatives. Deuxièmement, une plus grande participation électorale chez les aînés pourrait affecter la composition des assemblées législatives, ce qui en retour pourrait avoir des répercussions sur les décisions prises au gouvernement. Troisièmement, le taux de participation plus élevé chez les aînés pourrait créer des incitatifs pour les candidats et les politiciens d'être à l'écoute des préférences de ces citoyens. Enfin, en étant plus impliqués dans des formes non-électorales de participation (comme les groupes d'intérêts, par exemple), les aînés pourraient réussir à faire entendre leurs préoccupations par les politiciens, et ainsi influencer les décisions prises par ces derniers. Ma démonstration empirique repose sur le cas canadien et comprend trois articles. Chaque article présente des analyses qui visent à valider certains aspects du cadre théorique. Le premier article porte sur l'effet de l'âge sur les préférences en termes de dépenses publiques. Les études sur cette question ont souvent été limitées à quelques programmes gouvernementaux ou à certaines années, ce qui rend difficile de tirer des conclusions à ce sujet. Mon analyse repose sur des données canadiennes tirées de sondages d'opinion publique menés entre 1987 et 2019 lors desquels les répondants ont été amenés à se positionner sur 15 enjeux. Mes résultats démontrent que les personnes plus âgées sont plus favorables à un maintien du statu quo en termes de dépenses publiques. Ils démontrent également que les aînés sont moins favorables aux dépenses en éducation et plus favorables aux dépenses militaires et de transport. Le deuxième article analyse le comportement électoral en résidences pour aînés. Cette question fait l'objet de très peu de recherche, et ce même si le nombre de personnes qui vivent en résidences augmente à travers le monde. Dans cet article, j'ai recours aux résultats électoraux dans les bureaux scrutin lors des élections fédérales canadiennes de 2015 et de 2019 pour analyser les différences dans la participation et le vote entre ces bureaux de scrutin et les autres bureaux de scrutin. Mes résultats confirment que la participation électorale est plus élevée dans les résidences pour aînés, tout comme l'appui aux partis conservateur et libéral. L'appui au NPD est pour sa part plus faible en résidences pour aînés. Ces différences sont quelque peu surprenantes, puisque le parti libéral n'était en général pas très populaire auprès des aînés en 2015 et en 2019. Les personnes âgées étaient aussi beaucoup plus défavorables au NPD que ce qui transparaît dans l'analyse des résidences pour aînés. Pour expliquer ces résultats, j'analyse les données d'un sondage mené auprès du personnel de résidences pour aînés pour savoir si certains partis ont plus souvent visité ces résidences que d'autres lors de la campagne de 2019. Je présente également les résultats d'entrevues menées auprès d'employés de partis politiques fédéraux. Bien que tous les partis aient un intérêt marqué envers les résidences pour aînés lors des campagnes, il semble que le parti libéral ait visité un plus grand nombre de résidences en 2019, surtout dans les provinces clés. Le dernier article analyse la représentation des aînés à travers les débats parlementaires. L'association entre le contenu des discours parlementaires et les caractéristiques des citoyens a surtout été étudié en ayant recours à un seul enjeu ou en se penchant sur un segment des débats, comme les périodes de questions. Dans cet article, j'ai recours à l'ensemble des débats parlementaires canadiens entre 1988 et 2015 pour analyser la correspondance entre le contenu des discours et les caractéristiques des citoyens. Pour ce faire, je présente de nouveaux dictionnaires crées à partir de l'index des Hansards. Ces dictionnaires contiennent des expressions qui me servent à identifier les mentions de trois enjeux dans les débats: l'immigration, le chômage et les enjeux liés aux aînés. Les résultats confirment que les élus parlent de l'immigration et du chômage lorsque ces enjeux concernent leurs citoyens. Or, les représentants élus dans des circonscriptions plus âgées ne discutent pas davantage des enjeux liés aux aînés. Enfin, les analyses démontrent que les élus plus âgés discutent d'enjeux liés aux aînés davantage que les autres députés, ce qui pourrait indiquer l'existence de représentation descriptive. Dans la conclusion, j'aborde différents mécanismes qui pourraient expliquer la faible association entre l'âge des citoyens et l'attention portée aux enjeux liés aux aînés par les députés canadiens. J'y aborde également les implications théoriques de chaque chapitre empirique pour l'étude du comportement politique, de la représentation et de la politique législative au Canada et ailleurs au monde. En présentant un cadre théorique original pour expliquer la représentation des aînés dans le contexte du vieillissement de la population, cette thèse contribue à créer de nouvelles opportunités pour les chercheurs qui s'intéressent aux liens entre l'âge et la politique. / The consequences of population ageing are manifold. They include transformations to the labour market, changing needs in terms of immigration and modifications to the traditional family structure. Population ageing also influences the demand for and provision of certain government services, like health care or old-age pensions. What is less clear, however, is whether the social changes brought about by population ageing also have implications for electoral politics and democratic representation. In fact, proponents of the sociological approach in political science do not all agree on the repercussions of population ageing for politics. On the one hand, some argue that age-group cleavages in party preferences are generally insignificant, so seniors, even though they are forming an increasingly large group of voters in many democracies, are unlikely to have an impact on electoral politics or policy output. On the other hand, others argue that age differences in policy preferences can actually affect policy decisions; for example, through electoral participation or interest group mobilization. The goal of this dissertation is to develop theoretical foundations and offer new pieces of evidence to advance this debate, thus contributing to the field of research on age and politics. More precisely, this dissertation tries to answer the following questions. Do older people have different policy preferences, when compared to younger people? Do seniors have a preference for some parties over others? If so, can the participation of older people in the democratic process contribute to the electoral success of these parties? Do elected representatives pay attention to the interests of their senior constituents? The theoretical framework presented in this dissertation leads to a number of arguments about the repercussions of population ageing for democratic representation. At the individual level, I argue that age can shape both the formation of political opinions and access to resources that influence political participation. This leads to different patterns of policy preferences and participation in older versus younger voters, which can have four implications for democratic representation. First, there can be a direct association between aggregate policy preferences and policy output. Some representatives may simply want to fulfill their normative role and be responsive to changing citizen preferences brought about by population ageing. Second, higher levels of electoral participation by older groups of citizens have the potential to influence descriptive representation, which can itself affect policy output. Third, these higher levels of participation create electoral incentives for political candidates to be attentive to older voters. Finally, by getting involved in different forms of non-electoral political participation, members of older age groups increase their opportunities to be in contact with politicians. This can enhance the importance of seniors' issue preferences in the eyes of representatives, thus fostering political responsiveness on these issues. The empirical demonstration relies on the Canadian case and takes the form of three articles. Each article presents pieces of evidence to validate specific aspects of the theoretical framework. The first article addresses the question of whether seniors hold different attitudes towards government spending than younger people. The literature on age and public spending preferences has been limited to a few policies or to short periods of time, which makes it difficult to draw comprehensive inferences about life cycle changes in opinions towards government expenditures. Using Canadian public opinion surveys between 1987 and 2019 that asked respondents to position themselves on fifteen policies, I find that older people are generally more favourable to the status quo when it comes to government spending. I also find that support for education spending decreases extensively over the life cycle, while support for spending on defence and transportation is more widespread in older age. The second article investigates political behaviour in seniors' residences. This question is largely under-studied, even though the number of people living in retirement communities or long-term care facilities is increasing in many countries. In this article, I rely on electoral results and polling station location data from the 2015 and 2019 Canadian federal elections to show that voters of seniors' residences vote more than other Canadians, and are significantly more supportive of the Conservative and Liberal parties. Moreover, as compared to other voters, voters of seniors' residences are somewhat less likely to support the New Democratic Party, but this difference is small. The disparities between party vote shares in seniors' residences and other polling stations are surprising, because older people in the general population were not largely supportive of the Liberals in 2015 and 2019. Seniors were also a lot less likely to vote for the NDP. To explain these results, I analyse data from an original survey conducted with the personnel of seniors' residences and qualitative data obtained from interviewing campaign workers. Evidence confirms that all parties are interested in visiting seniors' residences, but Liberal candidates visited a larger number of them ahead of the 2019 election, especially in battleground provinces. The third article analyzes the representation of seniors through parliamentary speeches. The association between the content of parliamentary speeches and constituency interests has mainly been studied using single issues or by analysing types of debates when legislators are less constrained by their parties, like parliamentary questions. In this article, I use a comprehensive set of parliamentary text corpora from the Canadian House of Commons to analyse congruence between the content of MPs' speeches and constituents' characteristics. To do so, I create an original topic dictionary based on the index of the Hansards to identify mentions of three policy issues in the debates: immigration, unemployment and seniors' issues. Results show that legislators are responsive to locally-relevant concerns when debating immigration and unemployment, but not when it comes to seniors' issues. However, results confirm that older representatives discuss seniors' issues more than younger representatives, which hints at the existence of descriptive representation. In the concluding chapter, I present potential explanations for the weak responsiveness of MPs to senior constituents. I also discuss the implications of each empirical chapter for the democratic representation of seniors, and explain how the dissertation contributes to the study of political behaviour, representation, and legislative politics in Canada and in the comparative context. By developing an original theoretical framework for the representation of seniors in the context of population ageing, this dissertations opens up new avenues of research on age and politics.
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Ancient wisdom, modern choices : the confucian influences on political attitudes and behaviors

Liang, Baowen 02 1900 (has links)
La recherche sur le comportement politique a souvent privilégié les données provenant des cultures occidentales, mais cette approche risque d’occulter les subtilités du comportement humain en dehors de ce cadre. Les chercheurs risquent ainsi de tomber dans le piège de généraliser à partir de contextes spécifiques, ce qui peut conduire à des conclusions erronées. Cette thèse aborde cette problématique en examinant les attitudes et les comportements politiques en Asie de l’Est à travers le prisme de la culture confucéenne. Son objectif principal est d’interroger certaines idées établies sur le comportement politique afin d’évaluer leur pertinence au-delà des frontières occidentales. Cette thèse est composée de trois chapitres empiriques distincts. Chacun d’entre eux aborde un domaine spécifique où la culture peut exercer son influence. Le premier chapitre empirique (chapitre 2) se penche sur le biais de négativité dans les attitudes des citoyens envers l’autorité politique. Il est bien établi que les évaluations politiques des citoyens sont plus fortement influencées par des perceptions négatives que positives des caractéristiques, des événements et des résultats politiques. Dans ce chapitre, j’avance l’idée que la culture joue un rôle crucial mais souvent sous-estimé dans ces biais de négativité. Une analyse multiniveau utilisant la World Values Survey (WVS) met en lumière que le biais de négativité dans la satisfaction à l’égard des gouvernements nationaux diminue à mesure que le niveau de collectivisme dans une société augmente. En outre, j’explore l’impact des valeurs culturelles au niveau individuel en m’appuyant sur les données de l’Asian Barometer Survey (ABS). En accord avec les résultats de la WVS, je constate que le collectivisme atténue l’asymétrie négative-positive lorsque les citoyens évaluent l’autorité politique en fonction des performances gouvernementales. Ces découvertes soulignent l’importance de la prudence lorsqu’il s’agit de généraliser le biais de négativité comme un modèle décrivant uniformément les attitudes des citoyens envers l’autorité politique à travers le monde. Le deuxième chapitre empirique (chapitre 3) plonge dans le phénomène du biais de négativité dans la construction de la confiance généralisée, soit la confiance que les individus accordent aux membres de la société. Les études antérieures ont démontré que la confiance est relativement facile à ébranler, mais difficile à instaurer. Toutefois, je soutiens dans ce chapitre que la littérature sur le biais de négativité est ancrée dans des hypothèses individualistes et néglige les contextes collectivistes. À travers une expérience en ligne préenregistrée réalisée en Chine, je constate que l’exposition à des informations négatives sur le manque de fiabilité d’autres membres de la société a un impact plus marqué sur la confiance généralisée que l’exposition à des informations positives équivalentes sur la fiabilité de ces individus. Cependant, l’effet asymétrique de l’information sur la confiance est conditionné par les valeurs culturelles auto-attribuées par les participants. Les individus aux valeurs collectivistes élevées montrent moins de biais de négativité dans le processus de formation de la confiance. Ces résultats éclairent le rôle de la culture dans la compréhension de la dynamique de la confiance et appellent à une exploration plus approfondie des influences culturelles sur le biais de négativité. Le troisième chapitre empirique (chapitre 4) explore l’écart de participation électorale entre hommes et femmes. En Asie de l’Est, la participation politique des femmes n’a pas évolué au même rythme que le développement économique de la région. Cet écart est souvent imputé à l’influence de la culture confucéenne qui met l’accent sur la hiérarchie, l’ordre et l’obéissance. Toutefois, ce chapitre nuance cette perspective en mettant en avant comment certains aspects du Confucianisme, tels que la méritocratie, peuvent en réalité renforcer le rôle des femmes dans la société moderne en Asie de l’Est. Centré sur le contexte chinois, notamment sur l’institution historiquement significative du système d’examen civil (keju) basée sur Confucius, ce chapitre met en lumière l’impact durable des héritages méritocratiques sur les comportements contemporains. À l’aide de données provenant d’archives historiques et de la China General Social Survey, je découvre une corrélation négative entre les performances des ancêtres d’une préfecture aux examens keju et l’écart entre les sexes dans la participation aux élections villageoises contemporaine. Cette thèse contribue à notre compréhension de la relation entre la culture et l’engagement politique des citoyens. En se concentrant spécifiquement sur l’Asie de l’Est, cette étude représente l’une des rares investigations visant à étudier empiriquement l’influence culturelle sur les attitudes et les comportements politiques dans cette région. En plaidant en faveur d’une recherche qui va au-delà des échantillons “WEIRD”, elle ouvre la voie à de futures investigations dans des contextes globaux, ce qui permettra de développer des perspectives plus inclusives et nuancées dans le domaine de la recherche sur le comportement politique. / The political behavior literature has traditionally centered on data from Western cultures, but this tendency risks overlooking the complexities of human behavior outside the Western sphere. Researchers might fall into the trap of the exception fallacy when they propose generalized theory based on specific contexts. This dissertation addresses this issue by examining political attitudes and behaviors in East Asia through the lens of the Confucian culture. Its primary aim is to interrogate established theories of political behavior to determine their applicability beyond Western contexts. This dissertation is composed of three distinct empirical chapters. Each examines a specific domain where culture may exert its influence. The first empirical chapter (Chapter 2) investigates the negativity biases in citizens’ attitudes toward the political authority. In particular, we know that citizens’ political evaluations tend to be more strongly influenced by negative than positive perceptions of traits, events and policy outcomes. In this chapter, I argue that culture is a significant yet understudied correlate of negativity biases. A multilevel analysis using the World Values Survey (WVS) demonstrates that the negativity bias in national government satisfaction weakens as a society’s level of collectivism is higher. Next, I explore the effect of cultural values at the individual level with data from the Asian Barometer Survey (ABS). In line with the results from the WVS, I find that collectivism reduces the negative-positive asymmetry when citizens evaluate the incumbent authority on the basis of government performance. These results invite more caution when taking negativity biases as a general pattern that describes citizens’ attitudes toward political authority everywhere. The second empirical chapter (Chapter 3) examines the phenomenon of negativity bias in the formation of generalized trust, the trust that individuals have in the members of society. Previous research demonstrates that generalized trust is relatively easy to destroy but challenging to create. In this chapter, I argue that the negativity bias literature is based on individualist assumptions and overlooks collectivist contexts. Using a preregistered online experiment conducted in China, I find that receiving negative information about the untrustworthiness of other social members has a more profound impact on generalized trust than receiving comparable positive information about their trustworthiness. Nevertheless, the asymmetric effect of information on trust is contingent on participants’ self-rated cultural values. Individuals with higher collectivist values tend to exhibit less negativity bias in trust development. These results shed light on the role of culture in understanding the dynamics of trust formation and call for further exploration of cultural influences on negativity biases. The third empirical chapter (Chapter 4) explores the gender gap in electoral participation. East Asian women’s political participation has not kept pace with the region’s economic development. This discrepancy is often attributed to the influence of Confucian culture, which emphasizes hierarchy, order, and obedience. This chapter nuances this perspective by highlighting how certain elements of Confucianism, such as meritocracy, may actually empower modern-day East Asian women. This chapter focuses on the Chinese context, particularly the historically significant Confucian-based meritocratic institution known as the civil examination system (keju). I argue that historical meritocratic legacies can have a lasting impact on contemporary behavior, specifically by reducing the gender gap in political participation in local village elections. Using data from historical archives and the China General Social Survey, I find a negative correlation between the performance of a prefecture’s ancestors in the keju exams and the gender gap in village election turnout among present-day respondents. This dissertation contributes to the understanding of the relationship between culture and political attitudes and behavior. In particular, this study represents one of the few investigations aimed at empirically studying the cultural influence on political attitudes and behaviors in this region. By advocating for research beyond “WEIRD” samples, it sets the stage for future endeavors that embrace global contexts and fosters more inclusive and nuanced perspectives in political behavior research.
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Débuts, établissement et apogée des méthodes électorales à l'américaine sous l'Union nationale de Maurice Duplessis

Cantin, Andréanne 24 April 2018 (has links)
Les méthodes électorales à l'américaine ont transformé la façon de faire campagne en temps d'élection et sont maintenant répandues partout en Occident. Les conseillers en image et le recours aux firmes publicitaires font aujourd'hui partie de la donne électorale. Nées aux États-Unis dans la première moitié du XXe siècle, ces méthodes sont les prémisses du marketing électoral actuel. Longtemps avons-nous cru que ce phénomène est apparu dans les années 1960 au Québec, avec l'élection de Jean Lesage. Pourtant, près de quinze ans auparavant, un Premier ministre s'entoure d'une équipe pour mieux gagner ses élections. Maurice Duplessis a recours aux services de Joseph-Damase Bégin, ministre unioniste et ancien vendeur d'automobiles, qui se démarque par ses victoires dans son comté. Bégin s'allie à son tour les talents de Paul Bouchard qui devient directeur de la propagande de l'organisation électorale de l'Union nationale en 1946. Au fil des années, leur organisation grandit et permet à Duplessis de remporter parmi les plus grandes majorités parlementaires de l'histoire du Québec. Comment Bégin, Bouchard et leurs collègues y parviennent-ils? En personnalisant les campagnes de l'Union nationale, en recourant aux médias de masse et aux techniques publicitaires réputées performantes, en effectuant des analyses pré-électorales et surtout, en utilisant un budget faramineux. Voilà la recette du succès unioniste, inspiré des méthodes américaines.
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Relégué aux oubliettes ou toujours vivant? : la place du Québec dans la stratégie de marketing électoral du Parti conservateur du Canada de 2006 à 2011

Pineault-Desrosiers, Samuel 23 April 2018 (has links)
Peu de recherches en marketing politique se sont intéressées à la sélection des territoires (provinces, États, régions) ciblés par les partis politiques en période électorale. En analysant les déplacements de Stephen Harper et les plateformes électorales du Parti conservateur du Canada (PCC) lors des trois dernières élections fédérales, nous vérifions si les provinces ciblées sont celles qui détiennent le plus de circonscriptions de type champs de bataille. Malgré certaines nuances, le PCC cible davantage les provinces qui comptent le plus de champs de bataille. Toutefois, les champs de bataille perdus aux élections précédentes prédisent plus précisément quelles provinces seront ciblées dans les efforts de communication électorale. Lorsque le PCC contrôle plus de la moitié des circonscriptions d’une province, il semble confier la campagne aux exécutifs provinciaux. Enfin, le Québec semble détenir une place particulière dans la stratégie conservatrice, indépendamment du faible nombre de circonscriptions où le parti est compétitif. / A limited body of work in political marketing research has focused so far on the selection of territories (provinces, states, regions) targeted by political parties during election periods. By analyzing Stephen Harper’s appearances and the election platforms of the Conservative Party of Canada, we wanted to know if the targeted provinces were those that held the largest amount of battleground ridings. Our analysis reveals that, indeed, the CPC targets provinces that contain the most battlefields. However, this finding should be nuanced. For instance, lost battlegrounds are the most important ridings in the development of a strategy and more effectively predict targeted provinces. Also, when the CPC controls more than half of the constituencies in a province, the national executive appears to entrust its regional campaign to the provincial executive. Finally, Québec seems to hold a special place in the conservative strategy, regardless of its limited share of battleground ridings.
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Voices, votes and violence : essays on select dynamics of electoral authoritarian regimes

Bardall, Gabrielle Simon 10 1900 (has links)
« Voix, vote et violence : Essais sur les dynamiques des régimes autoritaires électoraux » porte sur l'expression des voix généralement exclues sous des régimes autoritaires électoraux (« AE »), depuis les défis des processus institutionnalisés (en particulier les élections et la démocratie) jusqu’aux rationalisations des comportements extra-institutionnels (notamment la violence politique). Les essais sont présentés en deux parties. Les deux essais de la partie I ont trait aux cadres analytiques d’étude des comportements des partis au pouvoir et des oppositions dans les régimes semi-autoritaires. Les trois essais de la partie II examinent un sous-domaine spécifique de ces régimes : la participation politique des femmes. Chaque chapitre propose des découvertes comme résumé ci-dessous. Le chapitre 1 explore les défis méthodologiques dans l'étude des régimes semi-autoritaires (comme AE) en analysant de manière critique un cadre d’analyse important dans le domaine. Une réplication indépendante du modèle de classification de l'autoritarisme compétitif (« AC ») de Levistky et Way (2010) révèle des anomalies de codification dans la sélection des cas qui influent sur la théorie générale des régimes AC et qui ont des implications méthodologiques pour l'étude comparative des régimes hybrides en général. Le chapitre 2 examine le comportement des partis de l'opposition sous des régimes AE. Je fais l'hypothèse que les objectifs électoraux et les objectifs de régime des oppositions dans les EA (les « jeux parallèles ») s’alignent dans des conditions où il existe une certitude relative concernant les résultats, mais divergent lorsque l’incertitude des résultats de régime ou des élections est plus importante, ce qui entraine quatre types de comportement identifiables. Je teste mes hypothèses sur 55 élections dans 29 États d'Afrique sub-saharienne et je démontre que les quatre types de comportement dépendent du degré de répression de l'État et du niveau de capacité organisationnelle des oppositions. Le chapitre 3 révèle et définit la nature sexuée de la violence électorale (une caractéristique commune des régimes AE). Une base de données originale de plus de 2 000 incidents de violence électorale dans six pays, ainsi qu’un travail de terrain dans plus de cinquante pays révèlent l'existence d'importantes distinctions dans la manifestation de la violence électorale, ainsi que la présence d'un phénomène auparavant non reconnu, la violence électorale basée sur le genre (« VEBG »). Le chapitre présente les définitions, une taxonomie et la typologie des deux formes de violence. Le chapitre 4 se penche en profondeur sur le sujet, en examinant la relation complexe entre les technologies de l'information et de la communication (TIC) et la VEBG. Les notions de la violence électorale différenciée selon le genre ainsi que la VEBG sont étendues à la violence politique en général. Je démontre que les TIC facilitent les formes sexuées de la violence politique, mais qu’elles contribuent également à résister et atténuer ces violences, grâce à certaines qualités spécifiques aux TIC. Le dernier chapitre fournit la solution à une énigme de longue date dans l'exclusion politique dans les régimes AE (et autres) en démontrant la complémentarité des formes spécifiques de mesures temporaires spéciales (MTS) dans les systèmes électoraux fondés sur des circonscriptions uninominales (CU). Le chapitre présente une classification en cinq parties des options MTS dans les CU, y compris une interprétation originale des « seuils parallèles ». L'analyse des cinq types de MTS à travers des études de cas de pays illustre que les divergences dans l'adoption de quotas entre les systèmes électoraux sont le résultat d'un manque de connaissances plutôt que des traits intrinsèques des systèmes électoraux, comme supposé précédemment. / “Voices, Votes and Violence: Essays on Select Dynamics of Electoral Authoritarian Regimes” concerns the expression of commonly excluded voices under electoral authoritarian (EA) regimes, from the challenges of institutionalized processes (specifically, elections and voting) to rationalizations for extra-institutional behaviors (notably political violence). The essays are presented in two parts. The first two essays in Part I concern frameworks for studying incumbent and opposition behaviors in semi-authoritarian states. The three essays in Part II examine a specific sub-field of EA regime dynamics: political participation of women. Each chapter provides findings as summarized below. Chapter 1 explores methodological challenges in studying semi-authoritarian regimes (such as EA) by critically engaging with a leading framework of analysis in the field. An independent replication of Levistky and Way’s 2010 classification model of competitive authoritarianism (CA) reveals coding discrepancies in the authors’ case selection which impact the broader theory of CA regimes and have methodological implications for the comparative study of hybrid regimes in general. Chapter 2 examines opposition party behavior under EA regimes. I hypothesize that EA oppositions’ electoral and regime objectives (“dual games”) align under conditions where there is relative certainty of outcomes but diverge where either regime or electoral uncertainty is greater, resulting in four identifiable behavior types. Testing the theory on 55 elections in 29 sub-Saharan African states, I demonstrate that the four behavior types are functions of the degree of state repression and the level of organizational capacity of the opposition. Chapter 3 reveals and defines the gendered nature of electoral violence (a common feature of EA regimes). An original database of over 2000 incidents of election violence in six countries as well as fieldwork from over fifty countries reveal the existence of significant gender-differentiation in the manifestation of election violence as well as the presence of a previously unrecognized phenomenon, gender-based election violence (GBEV). The chapter introduces definitions, a taxonomy and typology of both forms of violence. Chapter 4 delves deeper into the topic by examining the complex relationship between information and communication technologies and gendered election violence. The notions of gender-differentiated and gender-motivated violence are extended to political violence in this chapter. Information and communication technologies are found to both facilitate gendered forms of political violence as well as empower resistance and violence mitigation. The final chapter provides the solution to a longstanding puzzle of political exclusion in EA (and other) regimes by demonstrating the complementarity of specific forms of temporary special measures (TSMs) in electoral systems based on single-member districts (SMDs). The chapter presents a five-part classification of TSM options in SMDs, including an original interpretation of “Alternate Thresholds”. Analyzing the five TSM types through country case studies, Chapter 5 illustrated that discrepancies in the adoption of quotas between electoral systems are the result a knowledge gap rather than intrinsic traits of electoral systems, as previously assumed.
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Mobiliser et militer sur Internet : reconfiguration des organisations partisanes et du militantisme au Parti Socialiste et à l'Union pour un Mouvement Populaire / Mobilize and militate on the internet : reconfigurations in party organization and activism in the French Socialist (PS) and Union for a Popular Movement (UMP) parties

Theviot, Anaïs 10 October 2014 (has links)
La campagne pour l’élection présidentielle de 2012 a été marquée par le rôle majeur joué par Internet pour s’informer, débattre en ligne, mobiliser ou organiser l’action militante sur le terrain. Ce recours au numérique invite à questionner, sous un nouveau jour, des thématiques centrales de l’étude des partis politiques et à contribuer ainsi au débat sur les transformations partisanes, au niveau de l’organisation, mais aussi des acteurs qui s’y insèrent et l’utilisent. Cette étude comparative interroge les processus de recrutement des membres des équipes de campagne, les relations entre médias et professionnels de la communication politique, ainsi que les évolutions du militantisme. / The 2012 French presidential campaign was marked by the Internet's prominent role in providing information, debating on-line, mobilizing, and organizing activists in the field. This turn to digital tools allows for a reexamination of central themes in the study of political parties, thereby contributing to the debate on party transformations in terms of organization as well as actors who get involved and use the tools. This comparative study examines the recruitment of campaign team members, relations between the media and political communications professionals, as well as changes in political activism.
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The Economics of electoral systems

Verardi, Vincenzo January 2003 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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