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Do unfounded claims of election fraud influence the likelihood of voting?

Bordeleau, Jean-Nicolas 09 1900 (has links)
La légitimité du processus électoral est souvent remise en question par des candidats et membres de l’élite politique qui tente de justifier leurs défaites aux urnes. Par conséquent, plusieurs électeurs sont exposés à des allégations non-fondées de fraude électorale, et ce, même si la fraude électorale se produit très rarement dans les démocraties établies. Certaines études ont déjà déterminé que des affirmations trompeuses concernant l’intégrité des élections ont des effets négatifs sur la perception des citoyens face à l’impartialité électorale. En effet, des chercheurs ont montré que les allégations non-fondées de fraude électorale ébranlent la confiance que les électeurs ont envers le système électoral. Cependant, aucune étude n’a exploré l’effet potentiel de ces allégations sur la participation électorale. En utilisant des données de sondage originales collectées au Royaume-Uni, ce projet considère l’impact des affirmations de fraude électorale sur la décision d’aller voter ou non. En premier lieu, nous regardons l’effet sur les dispositions électorales spécifiques, c’est-à-dire la probabilité qu’un individu ira voter. Par la suite, nous testons la capacité de messages correctifs à rectifier les perceptions erronées des électeurs et limiter l’impact négatif des allégations de fraude électorale. Les résultats de l’expérience démontrent que l’exposition à des allégations non-fondées de fraude électoral n’a pas d’effet sur la participation des citoyens aux urnes. Cependant, des analyses supplémentaires permettent d’identifier une relation entre les perceptions de fraude et la décision d’aller voter. Considérant ces résultats, des explications alternatives sont présentées. / The legitimacy of the electoral process is often put into question by political candidates and elites who seek to account for their loss. As a result, a significant portion of voters are presented with unfounded allegations of widespread election fraud even though such fraud seldom occurs in consolidated democracies. Previous research has determined that misleading claims regarding the integrity of elections carry important implications for citizens’ perceptions of electoral fairness. In fact, scholars have shown unsubstantiated claims of election fraud to be detrimental to voters’ confidence in elections as well as their support for key democratic norms. However, the literature has yet to systematically explore the impact of electoral fraud allegations on voter participation. Using original survey data from the United Kingdom, this research measures the impact of unfounded allegations of election fraud on the decision to vote or not. We first look at the impact on specific dispositions of voting, that is, the likelihood that an individual will turn out at the next election. Then, we examine the ability of corrective messages to rectify misperceptions of electoral integrity and limit the negative impacts of fraud allegations on voter participation. The results of the survey experiment do not support the hypotheses according to which exposure to unfounded allegations of fraud influences confidence in elections and voter participation. However, results from supplementary analyses highlight an important relation between perceptions of fraud and subsequent desire to cast a ballot. Explanations for these findings are discussed.
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Electoral participation through life transitions

Mayer, Danielle 08 1900 (has links)
Cette dissertation a pour but d’examiner les effets des transitions adultes sur la participation électorale dans le contexte de la Grande-Bretagne et de la Suisse. En effet, un grand nombre de transitions sont considérées y compris celles qui ont lieu dans la vie personnelle et dans la vie professionnelle des individus. Les transitions étudiées dans le cadre de cette thèse sont la cohabitation/le mariage, la parentalité, le divorce ou la séparation, le chômage, la retraite et le veuvage. Deux questions de recherches vont donc être abordées: quelles sont les effets de chacune de ces transitions sur la participation électorale? Est-ce que le genre mitigent leurs effets sur le comportement politique? Dans ma revue de la littérature, je mobilise plusieurs cadres théoriques pour essayer de comprendre comment ces transitions vont influencer le vote, y compris les théories du choix rationnel, de la socialisation, de la mobilisation des ressources et des perspectives de cycle de vie. À partir de celles-ci, je développe une série d’hypothèses qui prédit la façon dont différentes transitions vont influencer la participation électorale. Afin de tester mes hypothèses, j’utilise des données de sondages d’études longitudinales à panel tels le British Household Panel Survey et le Understanding Society, United Kingdom Household Longitudinal Study ainsi que le Swiss Household Panel. Utiliser ce type de données me permet de coder la participation électorale avant et après chaque transition afin de voir s’il y a eu un changement au niveau de la participation électorale des individus. Pour analyser les données de la Grande-Bretagne, j’utilise des tableaux croisés avec des tests McNemars ainsi que des modèles de régressions logistiques. Dans le cas de la Suisse, j’utilise des tests t appariés ainsi que des modèles de régressions linéaires multiples. Je trouve que la majorité des transitions de vie n’exerce pas d’influence sur la participation électorale dans le contexte de la Grande-Bretagne et de la Suisse à l’exception du veuvage et possiblement du divorce. Ces transitions mènent à un déclin dans les niveaux de participation. / The goal of this dissertation is to examine the effects of adult life transitions on political participation in the context of Great Britain and of Switzerland. Many transitions will be analysed throughout the course of this thesis, including those that take place in individuals’ personal and professional lives. These transitions are cohabitation or marriage, parenthood, divorce or separation, unemployment, retirement and widowhood. The questions guiding this research project are: what are the effects of each of these life transitions on electoral participation? And does gender mitigate the effects of transitions on turnout? In my review of the literature, I mobilize various theoretical frameworks to try and understand how these transitions will impact voting behaviour. I look at rational choice, socialization, resource mobilization and life course perspective theories. I then develop a series of hypotheses that predict how each life transition will influence electoral participation. In order to test these, I use data from longitudinal household panel studies such as the British Household Panel Survey, the Understanding Society, United Kingdom Household Longitudinal Study and the Swiss Household Panel. Using this type of data allows me to code electoral participation before and after each life transition and to see if there is a change in individual level participation. To analyse the data from Great-Britain I use cross-tabulations with McNemar’s test along with logit regression models. For the Swiss data, I use paired t-tests and OLS regressions. I find that the majority of life transitions do not exert a significant influence on electoral participation in the context of Great Britain and Switzerland with the exception of widowhood and possibly of divorce. These transitions lead to a decline in turnout.
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La cartellisation politique québécoise : une étude de cas quantitative

Savoie, Justin 23 February 2019 (has links)
En 2012 puis en 2014, d’importants changements à la Loi électorale québécoise ont transformé la façon par laquelle les partis politiques se financent au Québec. La contribution maximale individuelle a été radicalement réduite et le financement public des partis politiques a été augmenté. Cette étude de cas quantitative tente de mesurer l’impact de cette réforme sur la participation électorale, les dépenses des partis en circonscription et l’offre politique partisane. À l’aide de la régression linéaire multiple, nous montrons qu’un effet sur la participation peut être possible. Nous montrons également que la réforme ne semble pas avoir affecté la façon par laquelle les partis se financent en circonscription. À l’aide de l’analyse textuelle automatisée, nous montrons que l’offre partisane a convergée de façon significative entre 2003 et 2014. Ce mémoire s’inscrit dans un axe de recherche général de la Chaire de recherche sur la démocratie et les institutions parlementaires.
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L'affaire Casault-Langevin

Chassé, Béatrice 13 August 2019 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2019
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À la lisière du vote : socio-histoire de l'institution électorale dans le Sénégal colonial (années 1840-1960)

Ruaud, Juliette 26 May 2021 (has links)
Thèse en cotutelle : Université Laval, Québec, Canada et Université de Bordeaux, Talence, France. / À partir d'une collecte d'archives et d'entretiens, cette thèse propose de renouveler l'histoire de l'institution électorale au Sénégal durant la période coloniale. Ce travail affirme la double nécessité d'historiciser les phénomènes de circulation internationale et d'extraversion des normes et des dispositifs de vote, et d'élargir l'horizon géographique de la socio-histoire du vote pour tendre vers une histoire plus polycentrée. Revisiter le cas sénégalais, qui incarne le modèle triomphal de la diffusion des pratiques électorales depuis un centre européen, incite à questionner un récit de l'universalisation du vote individuel-majoritaire et secret qui serait d'office celui d'une victoire progressive. En nous détachant des conceptions les plus évidentes du vote et en analysant les catégories produites dans le contexte colonial, nous mettons au jour des pratiques jusque là négligées ou envisagées de manière cloisonnée : élections menées par les militaires lors de la conquête à partir des formes électives vernaculaires, pratiques locales de dévolution du pouvoir, dispositifs de participation et de délibération nés de la pratique administrative, élections dans les chefferies, élections séditieuses, etc. Seule la prise en compte de cette pluralité de pratiques et de procédures permet de comprendre la forme prise par l'institution électorale dans le pays et sa consolidation. Ceci, sans nous limiter à un inventaire, mais en passant de l'étude de l'acte de vote à celle d'un espace de pratiques. Nous défendons ainsi la nécessité d'une approche relationnelle, capable de montrer que l'institutionnalisation du vote s'est d'abord jouée à ses frontières. En nous situant successivement à l'échelle de la société coloniale et au plus proche de ces activités, nous montrons les influences réciproques qui existent entre les pratiques et les formes de concurrences, de différenciations et de requalifications à l'œuvre. Arpenter l'histoire du vote au Sénégal permet en retour d'interroger plus largement les temporalités et les rythmes de l'histoire de l'institution électorale et partant d'en proposer un récit moins linéaire.
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Classes sociales et géographie des comportements politiques en Europe occidentale

Van Hamme, Gilles 08 May 2009 (has links)
La question de la cristallisation des classes sociales objectives (en soi) en classes sociales subjectives (pour soi) est au cœur de cette étude. Plus précisément, l’objectif est de mettre en évidence les médiations spatiales d’un tel processus de cristallisation. En effet, les individus qui constituent les classes sociales vivent dans des territoires spécifiques chargés d’héritages, et la prise en contexte de ces contextes permet d’éclairer les comportements politiques des groupes sociaux. <p><p>Ces questions seront abordés à différentes échelles dans les contextes de la Belgique et de l'Europe occidentale en utilisant des sources diverses, en particulier les scores électoraux et les enquêtes individuelles.<p><p>La prise en compte des contextes locaux ou régionaux et l'élargissement du champ des études électorales aux attitudes politiques ont permis de mettre en évidence l'importance encore décisive des classes sociales dans l'explication des comportements politiques. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Élections expérimentales : la désertion stratégique et la participation sous différents modes de scrutin

Labbé St-Vincent, Simon 10 1900 (has links)
Cette thèse s'intéresse au lien qui existe entre le système électoral et deux comportements importants de la vie civique, soit la participation à une élection et la désertion stratégique du candidat préféré vers un autre candidat. Ces thèmes sont abordés dans de nombreux et de très importants ouvrages en science politique. En passant par la théorie (Downs, 1957) jusqu'à des études de terrain par l'entremise de sondages (Abramson, 2010; Blais, 2010), diverses méthodologies ont été employées pour mieux expliquer les choix des électeurs. Ma contribution à l'avancement des connaissances dans ce domaine passe par l'usage de la méthode expérimentale pour mieux saisir les similitudes et différences dans les comportements des électeurs sous le système uninominal à un tour (UT) et la représentation proportionnelle (RP) ainsi que les mécanismes au niveau individuel qui produisent ces similitudes et différences. Le cœur de la thèse est composé des trois articles dont voici les résumés : Article 1. Des élections expérimentales faites à Montréal, Paris et Bruxelles permettent d'estimer l’influence directe du mode de scrutin sur la décision des électeurs de voter ou non, et de voter pour leur parti préféré ou non. En tout, 16 groupes de 21 électeurs votent sous différents systèmes électoraux, soit le UT et la RP. Les préférences sont attribuées aléatoirement et connues de tous les participants. Nos résultats indiquent que le vote n'est pas globalement plus sincère et que la participation électorale n'est pas plus élevée sous le système proportionnel. Toutefois, nous observons moins de désertion d'un petit parti sous le système proportionnel. Article 2. Les expériences permettent également d'expliquer pourquoi les électeurs votent parfois pour un parti autre que leur parti préféré. La conclusion principale est que la décision de voter de façon sincère ou non est influencée par les préférences individuelles, mais aussi par les perceptions des chances de gagner des candidats ainsi que des chances que son propre vote puisse décider le résultat de l'élection. Les électeurs qui désertent leur premier choix prennent en considération quel candidat est le plus près de leurs positions politiques, mais également de la viabilité de cette alternative. De plus, les électeurs qui aiment prendre des risques ont davantage tendance à déserter. Article 3. Le modèle de l'électeur pivot est mis à l'épreuve pour mieux comprendre la décision de voter ou non lors d'une élection. Nos expériences permettent de répliquer, avec un devis expérimental différent, les résultats importants des travaux de Duffy et Tavits (2008). Nos résultats confirment que la perception d'être pivot augmente la participation, que ces perceptions sont sujettes à la surestimation et que cette surestimation ne décline pas complètement dans le temps. Nous allons également plus loin que les recherches de Duffy et Tavits et nous trouvons que la participation n'est pas plus forte sous RP que sous UT et que la probabilité d'être pivot a un impact plus important chez les électeurs évitant de prendre des risques. / This thesis focuses on the relationship between the electoral system and two important behaviors of civic life: participation in an election and the strategic desertion of the preferred candidate. These topics are addressed in very important books in political science. From theory (Duverger, 1954; Downs, 1957) to empirical research using surveys (Abramson, 2010; Blais, 2010), various methodologies have been used to better explain voter's choices. My contribution to knowledge is the use of experimental methods to better understand both similarities and differences in voter behavior under the plurality system (PLU) and the proportional representation (PR) system and the individual level mechanisms that produce these similarities and differences. The core of the thesis consists of three articles summarized below: Article 1. Experimental elections conducted in Montreal, Paris and Brussels estimate the direct influence of the voting system on the voters' decision whether to vote or not, and vote for their preferred party or another party. In all, 16 groups of 21 voters take part in elections under different electoral systems. The systems are simple plurality and proportional representation. Preferences are randomly assigned and known by all participants. Our results indicate that voting is globally not more sincere and that voter turnout is not higher under the proportional system. However, we observe less desertion of small parties under the proportional system. Article 2. We perform a laboratory experiment to explain why voters sometimes vote for a party other than the preferred one. The main conclusion of the paper is that in addition to voter preferences, perceptions of winning chances and belief in the possibility of affecting the outcome are key factors in the voter’s decision to vote sincerely or not. When they desert their first choice, voters consider their preferences and the viability of the alternatives. Voters who like to take risks are more prone to desert. Article 3. This paper examines the decision to vote or not in experimental elections. We replicate the important findings of Duffy and Tavits (2008) with a different design. Our results support their finding, that is, turnout is affected by the belief that one's vote counts and overestimation of the probability that one's vote counts does not decrease completely over time. Going beyond previous research, we also find that turnout is not higher under a proportional system than under a plurality system, and beliefs about being in a pivotal disposition have a greater impact on turnout among the risk averse.
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L'Église catholique et les pouvoirs dans le diocèse de Saint-Denis de la Réunion de 1911 à 1981 / The Catholic Church and the political Powers in Saint-Denis diocese in Reunion Island from 1911 to 1981

Turpin, Éric Bernard 29 November 2010 (has links)
Le décret du 6 février 1911 applique dans les colonies de la Martinique, de la Guadeloupe et de La Réunion la loi de Séparation des Églises et de l'État du 9 décembre 1905. Cette séparation, franche, donne à l'institution religieuse sa liberté, puisqu'elle ne se trouve plus sous la dépendance financière et juridique de l'autorité publique. Si la question des retraites et des inventaires des biens se déroule assez rapidement et sans drame majeur, sauf à Saint-Gilles-les-Hauts, l'attribution des biens mobiliers et immobiliers ayant appartenu aux établissements ecclésiastiques ne sera résolue que sous le régime de Vichy et dans les premières années de la IVème République. Après le temps de la passion liée à l'application de la loi, vient le temps de l'Entente cordiale après la Grande Guerre sous l'épiscopat de Monseigneur de Beaumont. Celle qui devait être l'Absente redevient fortement présente dans la société coloniale puis postcoloniale, dans le cadre d'un respect mutuel. L'Église connaît, durant cette période, un acte audacieux (lutte contre la fraude lors des élections d'avril 1936), un soutien allant jusqu'à la compromission avec le régime de Vichy, et la lutte contre le communisme, surtout après la Seconde Guerre mondiale. Les années soixante et soixante-dix sont le temps de l'Affirmation (combat contre la fraude électorale, lutte pour la régulation naturelle des naissances, critique du projet et du modèle de développement économique et social mais aussi propositions alternatives) et de l'Émancipation qui passe par des déchirures internes, souvent parallèles à la société, et par la mise en échec de toutes les manipulations, qu'elles soient anciennes (la Droite) ou nouvelles (le Parti Communiste Réunionnais). Dans les années soixante-dix, Monseigneur Gilbert Aubry, l'actuel évêque, achève l'émancipation de l'institution commencée dans la décennie précédente. De 1911 à 1981, l'Église catholique à La Réunion passe de la Séparation d'avec l'État à l'Émancipation. / The decree of February 6th 1911 applies the law of December 9th 1905 to separate the Church and the State in the French colonies of Martinique, Guadeloupe and Reunion. This complete separation gives to the religious institution its freedom since it is not under the financial and juridic dependence of public authority anymore. Even if the issues of retirement and inventory of goods take place quite quickly and without any major incident, except in Saint-Gilles-les-Hauts, the retribution of personal properties and real estates belonging to the ecclesiastical establishments will only be solved during the Vichy Administration and in the beginning of the 4th Republic.After the time of passion linked to the application of the law will come the time of cordial Agreement right after the World War 1 during the episcopate of his Lordship de Beaumont. The Church, which was supposed to be the Absente would then be present in the colonial on to the postcolonial society, on a mutual respect basis. During this period, the Church made a bold act (the fight against fraud for the elections of April 1936), a support going to the dishonest compromise with the Vichy Administration, and the struggle against Communism, especially after World War 2. The sixties and the seventies would be the time of Assertion (the fight against electoral fraud, the struggle for natural birth regulation, criticism of the economic and social project and model but also alternative propositions) and also a time of Emancipation not without any domestic tearing, often linked to Society, and finally a time for the check of all sorts of manipulations, whether old ones (the right wing) or new ones (the Communist Party of Reunion).In the 70s, his Lordship Gilbert Aubry, the actual bishop, finishes off the process of emancipation of the Church that had started ten years before. From 1911 to 1981 the Catholic Church in Reunion Island would go from the Separation with the State to Emancipation.
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Représentation proportionnelle et participation électorale : l’hétérogénéité des populations importe-t-elle?

Saint-Martin-Audet, Grégoire 05 1900 (has links)
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La mobilisation des jeunes sur les réseaux sociaux pendant les campagnes électorales : l'analyse comparative entre la France et la Russie / Mobilization of young people on social networks during the election campaigns : comparative analysis between France and Russia

Pechenkina, Ekaterina 16 December 2016 (has links)
La présente thèse propose une analyse et une systématisation de l’utilisation des réseaux sociaux en période électorale tant au niveau national que local. Ainsi seront étudiées les techniques numériques utilisées, les formes et les méthodes de communication politique « en ligne » au cours des campagnes présidentielles de 2012 en France et en Russie et les campagnes municipales à Bordeaux et à Moscou en 2014 et 2013. Seront donc comparés les ressorts utilisés dans deux pays différents et qui ont permis de transformer les grands réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter, Instagram et VKontakte en outils de rassemblement politique attirant de nombreux jeunes à participer activement au processus de campagne.Des entretiens réalisés avec des responsables des mouvements politiques français de Gironde tels ceux des Jeunes socialistes, des Jeunes Populaires et ceux du Front National, il ressort que l’activité numérique en France relève d’un caractère constructif. Ils servent à attirer et mobiliser la jeunesse de moins de 30 ans autours des candidats et de leurs partis grâce à un support en ligne mais s’accompagnent d’un militantisme de terrain, dans la vie réelle.En revanche, il apparaît qu’en Russie, le niveau élevé et l’influence de ces jeunes sur Internet fournit un soutien pour les nouvelles institutions de la société civile. Le succès de la mobilisation des jeunes appartenant à la classe moyenne urbaine relève d’une combinaison de « citoyenneté » et de « massification » de la protestation sur le réseau.En 2013, la volonté et mobilisation active des jeunes dans le projet politique à permis l’émergence de l’opposant Alekseï Navalny, qui a réuni 27% des suffrages et atteint la seconde place aux élections municipales de Moscou. La quasi intégralité de sa campagne a été effectuée sur les réseaux sociaux. Si le fait est courant pour nombre de ses homologues occidentaux, il convient de relever que ce n’est pas habituel pour les politiciens russes. Cette campagne « révolutionnaire » d’A. Navalny a été rendue possible par le fort soutien des jeunes Moscovites qu’il a pu mobiliser sur le plus grand réseau russe : VKontakte. L’organisation de la campagne s’est presque entièrement fondée sur l’utilisation des réseaux sociaux, tant pour la distribution de tracts dans les rues, que la sensibilisation et les collectes de dons. / This thesis will focus on the analysis and systematization of the use of social networks in the presidential campaigns, both in France and in Russia in 2012, as well as in the municipal campaigns in Bordeaux and Moscow, in 2014 and 2013 respectively. The development of this thesis will also include the basic use of technologies, as well as the forms and methods of political online communication at the actual stage of their development.In this thesis, the examination of the political mechanisms used in France and Russia will be carried out in order to assess how social networks such as Facebook, Twitter, Instagram and VKontakte have developed into a powerful tool, with their main aim being to attract more and more young people to actively participate in the election campaigns as well as the voting process in general.Through the conduction of interviews with the chiefs of French Youth Movements, such as the Young Socialists (Gironde), the People’s Young (Gironde), and the Young of National Front (Gironde), we have found that these movements tend to have an overall peaceful nature in France. They aim to attract and mobilize young people (of up to 30 years old) to provide support both online and in the real world, for candidates of the major French political parties, namely the UMP, the Socialist Party and the National Front.In comparison, in Russia, the high level presence and influence of Youth Movements on the Internet provides support for new institutions forming in civil society. The success of the youth mobilization from the urban middle class can be explained by the combination of “civic consciousness” and “massive involvement”.In 2013, young Russians mobilized for active participation in the political life of Alexei Navalny, one of the leaders of the Russian opposition, who managed to obtain 27% of the votes in the municipal elections of Moscow, the equivalent to second place. His «revolutionary” electoral campaign was predominantly transmitted through social networks, notably through the use of VKontakte (the largest social network in Russia), in order to gain a large amount of support from young Moscovites. This action is deemed to be very uncommon among Russian politicians, and is more likely to be seen among Western homologues. Consequently, this led to the distribution of leaflets in the streets, in the subway, going door-to-door, as well as organizing the collection of donations for the campaign across networks.

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