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Casques bleus et unifolié : le maintien de la paix et l'identité canadienne, 1956-1973 / Maintien de la paix et l'identité canadienne, 1956-1973 / Maintien de la paix et l'identité canadienne, mille neuf cent cinquante six-mille neuf cent soixante treize

Nadeau, François M. 24 April 2018 (has links)
Les activités de maintien de la paix constituent une partie importante de la politique extérieure du Canada depuis l'apparition de la première opération de grande envergure en 1956. Avec les décennies, ces activités sont devenues une partie intégrante de l'image que le Canada possède au niveau international depuis la fin de la Deuxième Guerre. De plus, pendant la période de la guerre froide, la participation du Canada à ces activités s'est incorporée à l'identité nationale du pays. Ce mémoire vise à étudier l'évolution des attitudes et des opinions des Canadiens envers les opérations de maintien de la paix entre les années 1956 et 1973. Quatre moments controversés dans l'histoire du maintien de la paix canadienne seront abordés: la crise du Suez en 1956, les débuts de la crise congolaise en 1960, l'expulsion du contingent canadien du Suez en 1967, puis finalement la Commission internationale au Viêt-nam en 1973. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Conserver l'influence acquise : les États-Unis face à des dictatures amies en péril

Béliveau-Beaulac, Victor Amadeus 25 October 2018 (has links)
La Maison-Blanche a toujours entretenu des relations diplomatiques privilégiées avec des dictateurs. Si l’avènement de ces amitiés est un truisme en vertu des avantages mutuels qu’elles confèrent aux deux parties en présence, lorsqu’une insurrection secoue un dictateur ami à l’interne, la décision de la Maison-Blanche d’opérer une rupture ou d’opter pour le prolongement de cette relation l’est beaucoup moins. De la Guerre froide au Printemps arabe, la Maison-Blanche a – à plusieurs reprises – tantôt continué d’appuyer des dictateurs amis en péril, tantôt choisi d’en abandonner d’autres, pourtant confrontés à des circonstances analogues. Comment expliquer cette dichotomie décisionnelle dans la politique étrangère de la Maison-Blanche dans ce type de crise? Notre recherche avance qu’il y a un calcul lié à la recherche constante de la conservation maximale de l’influence acquise (CMIA) permettant de décrypter cette apparente contradiction. Pour tester la validité théorique de cette hypothèse, nous l’appliquons à un échantillon de six cas empiriques à savoir : Batista à La Havane en 1959, Pahlavi à Téhéran en 1979, Mobutu à Kinshasa en 1990-1991, Suharto à Jakarta en 1998, Aliyev à Bakou en 2005 et enfin Moubarak au Caire en 2011.
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Le pacte d'actionnaires en droit égyptien sous le prisme du droit français / The shareholders' agreement under Egyptian law through the prism of French law

Galal Sayed, Mazin 09 March 2016 (has links)
Les pactes d’actionnaires, conventions adoptées par les protagonistes des affaires internationales, répondent aux attentes des administrateurs et actionnaires quant à la circulation des actions et des parts sociales. Par contre, hors le marché règlementé, la liberté contractuelle accordée à la société – et actionnaires – de recourir à ce type d’arrangement contractuel, se heurte à la réalité légale et jurisprudentielle qui demeure la seule source de droit régissante cette convention. En optant pour la conclusion d’un pacte d’actionnaires, aucune disposition légale, notamment article de droit, ne régit cette convention. Ce contrat reste donc soumis aux règles de droit commun. Cette particularité accorde aux protagonistes une certaine liberté de rédaction, ce qui créé une originalité quant à la forme, au fond et aux effets de l’application du pacte. Reconnu, dans le monde des affaires français – tant par le législateur français que par les praticiens et protagonistes, comme étant une des formes adaptées à la gestion leurs sociétés, le législateur égyptien découvre encore cette forme contractuelle. La mondialisation, culturelle et commerciale, a non seulement permis de rapprocher entre les commerçants afin de trouver des solutions créatives quant à la conclusion des pactes d’actionnaires, mais aussi aux législateurs, autant bien français qu’égyptiens, de trouver des solutions quant aux problématiques qui s’opposent aux praticiens lors de la négociation, la conclusion ou même l’exécution de ces contrats. L’objet de cette étude sera d’examiner les particularités des pactes d’actionnaires dès la phase des négociations, passant par les phases de conclusion et exécution, jusqu’à la phase conflictuelle. Cette étude visera le modèle français, ayant déjà avancé sur ce domaine, en le comparant au modèle égyptien qui commence à se familiariser avec cette pratique. Bien que ces deux exemples demeurent toujours en voie d’évolution, le recours à ce type de contrat révèle des particularités et difficultés lors de son application, ce qui incitera les protagonistes à trouver des modalités novatrices permettant une mise en œuvre plus efficace de ces contrats et répondant à leurs attentes. / The shareholder agreements, considered as the one of the major contracts concluded by and between the actors of the international affairs, meet the expectations of the companies’ directors and shareholders regarding the transfer of stocks and shares. Nevertheless, outside the regulated market, the principle of contractual freedom accorded to the company - and its shareholders - to resort to this type of contractual arrangement, faces both legal and jurisprudential realities, which remains the only source of law governing this agreement.By choosing to undertake a shareholder agreement, no legal provision, including article nor law, governs this type of agreement. This agreement is therefore subject to the dispositions of the applicable general law. This feature gives the parties some freedom on drafting the agreement, which affects the form and content of the contract and produce its effects on the contract’s application. vWhile this agreement is frequently used in the French business practice - both by the French legislature and by practitioners and shareholders, and considered as one of the forms used to manage the companies, the Egyptian legislation is still discovering this contractual management form.The cultural and commercial globalization has not only helped traders to find creative solutions by entering into this agreement, but it has also helps the French and Egyptian legislations to find solutions as to issues that oppose practitioners during the negotiation of the contract, its conclusion or even during its execution.The purpose of this study is to examine the features of the shareholder agreements starting from the negotiations phase, through the conclusion and execution phases, until the conflictual phase. This study will focus on the French model, having already progressed in this area, compared to the Egyptian model that begins to become familiar with this practice. Although these two examples are still in process of evolution, the use of this type of contracts reveals the peculiarities and difficulties in its implementation, which will encourage the parties to find more innovative methods for more effective implementation of these contracts in order to meet their mutual expectations.

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