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De la nostalgie de la terre promise à la nostalgie de la terre d'exil chez les Israëlins originaires du Maroc

Elouagagui Elidrissi, Latifa 14 December 1999 (has links) (PDF)
De la nostalgie de la terre promise à la nostalgie de la terre d'exil chez les Israéliens originaires du Maroc<br /><br /><br /><br />La disparition, constatée après coup, des Juifs du Maroc suscita bien des interrogations : les motivations de cette envolée étaient-elles de nature mystique ou sioniste ? Ou la conséquence de persécution ? Dans le Maroc des années 80, le mellah seul en montrait les vestiges et témoignait d'une existence révolue... Un passé proche et lointain gisant dans les mémoires de ceux pour qui le Juif fut du voisinage. <br />Dans le Maroc d'avant le Protectorat, la coexistence judéo-arabe donnait lieu à une organisation socio-économique que l'on peut, malgré tout, qualifier d'interdépendance. L'existence juive en société musulmane était reconnue nécessaire au plan économique. Il en découlait une coexistence dont la nature variait selon les périodes et les règnes entre symbiose et hostilité. Les corps de métiers qu'un musulman ne pouvait ou ne voulait faire étaient laissés aux Juifs depuis l'import-export jusqu'au commerce itinérant. Ce partage de fonction qui est perçu à la fois comme une discrimination et une répartition, comporte en soi l'ambiguïté du rapport juif-arabe. Cette ambiguïté embarrasse le travail du chercheur dans ce domaine. Que le Juif ne fut que toléré, soumis au statut discriminatoire, soit, il n'en demeure pas moins que sa présence était généralement reconnue nécessaire par le Musulman. Parallèlement, le sous-statut politique du Juif dans la société musulmane lui était une force permanente contre l'assimilation et pour le maintien d'un lien ancestral avec la terre antique. Le mellah qui symbolisait l'exclusion, permettait aussi à la communauté juive d'être un groupe social, politique, économique et culturel homogène, une micro-société dont l'identité religieuse se cultivait continuellement et rigoureusement en un ensemble de rites et de pratiques. La tradition véhiculait l'identité ; celle d'être juif, animée par une seule prière celle de retrouver la Terre Sainte.<br /><br />Le fragile équilibre judéo-arabe, méconnu par ceux qui rêvent de coloniser l'Afrique du Nord (à partir du 19ème siècle), se déstabilise avec le Protectorat français (1912-1956) au Maroc. Par son idéologie colonialiste, ce dernier avance une politique éloignant encore plus les Juifs des Musulmans en exacerbant leurs différences religieuses et en affectant leurs rapports.<br />Le Maroc du Protectorat s'ouvre brutalement aux influences extérieures : invasion du capitalisme européen, réformes administratives et modernisme, causent une destruction accélérée des valeurs traditionnelles. La masse populaire s'appauvrit, faute de pouvoir suivre le rythme effréné de cette révolution, tandis que la jeunesse intellectuelle musulmane, privée de ses privilèges traditionnels, élabore des formes de lutte contre la mainmise étrangère sur son pays. La flamme naissante du nationalisme est attisée par la politique dite --berbère-- du Protectorat, dont le projet est de distinguer les berbères du peuple marocain par une possible conversion française et catholique. La lutte anti-coloniale trouve alors sa voie dans une identité islamique accrue qui attire les masses et rallie les leaders marocains aux luttes d'Orient.<br /><br />Dans la communauté juive, l'effet du Protectorat est plus conséquent. Le processus d'occidentalisation attire une élite qui aspire à s'élever au niveau des Européens par le moyen de la langue et de la culture française, et veut légitimement s'affranchir du statut réducteur de la dhimma. Loin de la population de base qui subit le même sort que les musulmans, les privilégiés de la communauté juive s'écartent à la fois de la tradition religieuse véhiculant l'identité juive et des coutumes judéo-arabes séculaires. Cette distinction se traduit par l'instruction et l'éloignement géographique. La nouvelle classe juive européanisée abandonne l'usage de la langue vernaculaire au profit du français et laisse le mellah aux pauvres, non instruits, démunis.<br /><br />Les tensions entre Juifs et Arabes en Palestine, affûtées par la Déclaration de Balfour (1917), alimentent, par effet sympathique, l'identité arabo-musulmane à laquelle s'identifient et adhèrent les nationalistes musulmans. Cette option éloigne la communauté juive de la scène politique et donc des perspectives marocaines d'avenir. Tandis que la masse musulmane est gagnée au combat, la masse juive continue, à l'écart des bouleversements politiques qui secouent le monde arabe, à rêver de la terre Promise et en cultiver la nostalgie. Nostalgie qui trouve son accomplissement à la déclaration de l'Etat d'Israël en 1948 et commence alors la 'aliya marocaine.<br /><br />L'exil c'était la grande mémoire, la nostalgie mystique, l'errance et la précarité, le déracinement et l'affirmation du spirituel. L'ancrage marocain ne fut que de circonstance quand bien même il perdura tant et tant de générations, quand bien même les Juifs du Maroc y ont enterré la cohorte de leurs aïeux, créé des us et coutumes partagés, entretenus leurs chers cimetières, forgé leurs langues...et néanmoins le Maroc ne fut, spirituellement, qu'une terre d'attente, un lieu transitoire, un moindre mal dans l'adversité ?<br /><br />Errance et précarité ne sont plus, mais qu'en-est-il de cette terre promise ? Une sève nourricière pour le corps et l'esprit, l'âme et le cœur, a-t-elle monté dans ce nouveau terreau où s'est accompli le réenracinement si longtemps différé ?<br /><br />Dans le grand rassemblement se sont affrontées les composantes de la mémoire plurielle : lieux, mœurs, sentiments, perceptions sociétales, dénonçant au grand jour les lignes de partage, les diversités et les empreintes d'exils, faisant apparaître les disparités socio-théologico-politiques. Disparité que le sionisme, dans son aspiration à l'unité du peuple juif, projetait d'uniformiser et de dissoudre dans l'unicité. Projet qui ne parvint pas sans éviter aux Orientaux le déracinement culturel et la crise d'identité.<br />Envolés vers Israël à partir de 1948, les Juifs marocains rencontrent un modèle occidental établi par les pionniers issus du socialisme européen : les Ashkénazes. Très tôt, la population israélienne est divisée en deux classes ; les Ashkénazes, fondateurs du pays dont ils sont l'élite dirigeante, et leurs coreligionnaires récemment immigrés : les Orientaux, qui durant les vingt premières années de leurs vie israélienne en constitueront le prolétariat.<br />L'idéal messianique qui motivait la 'alya marocaine se heurte à la conception laïque de l'état israélien. Conception qui implique le rejet de l'héritage diasporique et du Juif de l'exil pour une nouvelle nation "normale" à l'image des sociétés occidentales évoluées. L'état, laïque, basé sur une représentation légitime du peuple juif, remplace l'identification religieuse par une identification nationale, statut inconnu des immigrants marocains à peine coupés de leur statut séculaire de minorité religieuse traditionnelle. Au judaïsme de condition succède un judaïsme d'élection et à l'organisation communautaire une organisation étatique complexe et hermétique aux nouveaux citoyens. Aux yeux des immigrés marocains, l'identité juive devait suffire à les intégrer en terre promise, mais une fois là, la mise en présence de différences notables concernant la pratique religieuse, la langue, les coutumes, la tradition, les disparités économiques, produisirent la désillusion du rêve sacré confronté à la réalité concrète : "Au Maroc, il était juif, juif de par l'héritage d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, juif empêtré dans la sainte et sacré Loi de Moïse. (...) En Israël, il est devenu --ô farce du destin !- arabe". <br /><br />De cette désillusion naquit la nostalgie, nostalgie de la nostalgie première, nostalgie de l'exil que certains auteurs (Ami Bouganim, Erez Bitton) chanteront sans cesse : "Elle chante l'exil, un embrun nostalgique autour de la voix, l'exil de Jérusalem, l'exil d'Espagne, l'exil du Maroc. (...) Elle passe d'une sérénade en espagnole à une chanson en français, d'une mélopée en arabe à un cantique en hébreu. (...)Sans cesse, les chants de Zohra reconstituent les décors fabuleux de son passé." <br /><br />Reconstituer les décors du passé pour lutter contre l'oubli des morts et la dépersonnalisation des vivants. Retrouver une identité perdue au cours d'un processus d'assimilation qui imposait l'oubli du Juif de la diaspora et la renaissance de l'Hébreu moderne. Ainsi la mémoire retrouve son rôle ; celui de reconstituer une identité et une culture parallèle à l'identité et à la culture nationale israélienne. Et c'est par la mémoire maternelle d'abord que se réactive cette reconstitution, une mémoire domestique faite de coutumes ancestrales, d'odeur de cuisine, de rires, de petits devoirs, de jeu, de musique festives, de superstition et de rumeurs, de blagues en parler local...mémoire folklorique. Car la mère est le personnage de la tradition que le maelström de la 'alya a corrodé le moins.<br /><br />C'est dans l'expression littéraire d'Israéliens issus du Maroc que pointe cette nostalgie avec des personnages qui ne se sentent pas dans une entité israélienne cohérente. Le parler, la culture, la mentalité exacerbent leurs différences et laissent agir leur particularisme.<br /><br />Bien que ce soit une particularité historique, la formation de la société israélienne a subi les règles de l'immigration. Plus qu'ailleurs, le terrain israélien est celui qui, le mieux, se prête à l'examen des problèmes posés par l'immigration : intégration, acculturation, mélange ethnique, en tant qu'hypothèse du devenir des sociétés dans la mondialisation.
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[Le] rle des mezzo-sopranos dans Carmen de Georges-Bizet, Samson de Dalila de Camille Saint-Sans et Werther de Jules Massenet

Lvesque, Genevive January 2010 (has links)
Mezzo-soprano roles in French opera at the end of the nineteenth century were fatalistic; that is, the y inevitably bring about min or death. This thesis studies three mezzo-soprano roles in French Romantic opera from a performer's perspective: Carmen in Georges Bizet's Carmen, Dalila in Camille Saint-Sans' Samson et Dalila and Charlotte in Jules Massenet's Werther. These three characters cause the min of three romantic heroes all performed by tenors. What are the new narrative and dramatic functions of mezzo-sopranos in French opera at the end of the nineteenth century? As a performer, it is important to understand one's voice-type, the roles that are generally attributed to it, and the impact they have on dramatic and musical representation. This short analysis will help young performers in their approach to a character in order to have a better comprehension of aIl the dimensions and subtleties that are related to it. / Les rles des mezzo-sopranos dans l'opra franais de la fin du 19ime sicle sont trs fatalistes, c'est--dire qu'ils entranent invitablement la ruine, la mort. Ainsi, dans une perspective d'interprte, cette thse se penche sur trois rles fminins de mezzosoprano de l'opra franais romantique la fin du 19ime sicle : Carmen dans l'opra du mme titre de Georges Bizet, Dalila dans Samson et DWa de Camille Saint-Sans ainsi que Charlotte dans Werther de Jules Massenet. Ces trois personnages occasionnent la perte de trois hros romantiques tous interprts par des tnors. En ce sens, quelles sont les nouvelles fonctions narratives et dramatiques des mezzo-sopranos dans l'opra franais du 19ime sicle? En tant qu'interprte, il est important de bien comprendre notre type de voix, les rles qui lui sont gnralement attribus, l'impact de ceux-ci dans les histoires opratiques et dans leur reprsentation musicale. Cette courte analyse permettra de jeunes interprtes de les guider, de les aider dans leur approche d'un personnage et de mieux comprendre toutes les dimensions et les subtilits qui s'y rattachent.
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Dire sans dire : censure et affirmation du désir dans Désespoir de vieille fille de Thérèse Tardif (1943) et Orage sur mon corps d'André Béland (1944)

Ostiguy, Véronique 11 1900 (has links) (PDF)
Dans le présent mémoire, l'auteure propose une réflexion sur le désir charnel censuré durant la Deuxième Guerre mondiale au Québec à travers la mise en parallèle de deux romans dont le thème central est la volonté d'outrepasser les tabous malgré l'oppression des membres du clergé. Il s'agit de Désespoir de vieille fille de Thérèse Tardif (1943) et d'Orage sur mon corps d'André Béland (1944). Puisque ces romans favorisent les désirs individuels par rapport à ceux de la collectivité, ils soulèvent des questionnements similaires: en quoi le paysage socio-historique et littéraire des années 1930 et 1940 a-t-il pu favoriser l'éclosion d'œuvres singulières? Quelle fut la réaction des critiques littéraires face à cette littérature émergente? Comment l'autocensure se manifeste-t-elle dans les romans? De quelle façon le langage figuré contourne-t-il les tabous afin de faire entendre des désirs qui ne peuvent s'exprimer autrement? Afin de répondre à ces questions, madame Ostiguy fait appel à plusieurs historiens et littéraires qui nous éclairent sur les tabous de l'époque et sur les modes de censure. Il permet ainsi d'approfondir une réflexion sur les normes sociales du genre et de mieux comprendre le déchirement intérieur que vit le sujet marginal. Les théories du langage figuré seront mises à contribution afin de saisir les procédés rhétoriques utilisés par les auteurs afin de s'exprimer malgré les tabous. L'analyse des stratégies narratives dévoile un discours subversif codé, opposé aux valeurs traditionnelles prônées par l'Église, qui cherche à faire taire les œuvres révolutionnaires puisqu'elles tendent à construire une nouvelle vision du monde qui laisse place à l'individualité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : censure, autocensure, tabous, écriture des femmes, homosexualité, désirs, langage figuré, littérature québécoise, Désespoir de vieille fille, Thérèse Tardif, Orage sur mon corps, André Béland.
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A study of orchid paintings in China: from the Sung to Ming dynasties

崔嫣霞, Chui, Yin-har, Eliza. January 1979 (has links)
published_or_final_version / Fine Arts / Master / Master of Philosophy
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La voix et l'os : poétiques du dépouillement chez Saint-Denys Garneau et Samuel Beckett

Bernier, Frédérique, 1973 Apr. 11- January 2008 (has links)
This thesis is concerned with the poetics of impoverishment as found in the works of Saint-Denys Garneau and Samuel Beckett. It seeks to shed light on the reactivation of a Christian ascetic heritage within modern writing forms (poetic and narrative) and also, more specifically, to develop a novel analysis of these works from the perspective of their points of overlap. This thesis presents analysis of the relationships between voice and body (part I), of the doppelganger and self-generation figures (part II), of prayer, desert and image motifs (part III) throughout the totality of both corpuses. The comparative reading of the works of Beckett and Garneau highlights the complex relationship they entertain with certain Christian schemes (incarnation, sin, asceticism, kenosis) which they put into play on a properly literary level. This investigation also reveals that, within both works, these Christian schemes echo the aesthetic concerns of modernity (auto-foundation of the subject, authenticity, autonomy and purification of forms). / Key terms: Saint-Denys Garneau, Samuel Beckett, literary modernity, asceticism, poverty, doppelganger, Christianism, French-Canadian literature, French literature, Irish literature
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Poets and the Canadian Jewish community: three portraits

Dayan, Shoshana 05 1900 (has links)
The central idea of this study is an examination of the transformation of the image of the poet in different generations. My thesis problem is that the poet is dynamic, reflecting both the self-image and reception of society at different times. I collected data from many different sources- the primary sources were memoirs, poetry, short stories, novels and original documents from the Canadian Jewish Congress Archives and by speaking with historians about A.M. Klein, Irving Layton and Leonard Cohen. The secondary sources used were scholarly books about the poets articles from the Canadian Jewish press and documentaries. I used literary analysis for the poetry and I took a social-historical approach in the examination of the poets' relationship to the community and biography. The social historical approach and the literary approach were both used in this study to analyze the succession of Canadian Jewish poets. As an original contribution to the field, this study categorizes the three poets in a succession: Klein is the Jewish poet, Layton is the Canadian Jewish poet and Cohen is the spiritual guru, all reflecting the changing situation for Canadian Jews. I examine the first generation poet in this succession of gifted Canadian Jewish poets, A.M. Klein, the second generation, Irving Layton and the third generation poet, Leonard Cohen. Specifically, I argue that the roles and the reception to these poets have changed in the Jewish press as a result of changing times. As the years progress and the situation for worldwide Jewry becomes more stable with greater tolerance in a multicultural society, the poet moves away from the identification as a Jewish poet. In Klein's generation he is labeled as a Jewish poet. Layton fights the label of a Jewish poet and through controversy and celebrity he is recognized as a Canadian Jewish poet. Leonard Cohen re-defines the category of a Canadian Jewish poet in favor of a spiritual guru. This study provides an overview of the times and the issues that each poet faced in their generation. The first part of each chapter is devoted to a brief biography and an exploration of the way the Jewish community responded to the poets in terms of roles that they wanted them to undertake and the own reception to the poets in the local Jewish press. It is interesting that each poet served a different function in different generations as a response to the needs of the community. The second section of each chapter is an examination of the poets' self-image as depicted in their writing. All of the poets viewed themselves in the same manner, as spokesmen, controversial figures and as modern poets similar to ancient biblical figures. This section includes the ways the poets viewed their relationship with the community and their relationship to Judaism as a way of shaping their self-perception.
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Architecture and domestic culture in eighteenth-century China

Mah, Kai Wood January 2003 (has links)
This thesis examines architectural discourse and spatial practices as manifestations and experiences of order in eighteenth-century Qing dynasty China. It reviews the development of the historiography of Chinese architectural history as an academic discipline, and proposes that in the Qing there was an unprecedented rupture between domestic architectural style from that of the court. An alternative design strategy in spatial planning and detailing was adopted. It is argued that the Qing architectural discourse, its intertextuality, was implicitly linked to the historical formation of the Qing self, and that it was pivotal to the rise of domestic culture. The study approaches architecture as historical statements and arguments, and focuses on the production of space, human agency, gender, and subject positioning in early modern China. The study analyzes the Yugong mansion, Beijing, the Rong mansion in the Qing novel The Dream of the Red Chamber, and the Manchu imperial city, as examples.
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The seeds of revolution : women writers of the 1950s

Cole, Carole L. January 1977 (has links)
This thesis has examined some women writers of the 1950s in an attempt to discover if there could be a "women" school of writers as definable as the Black, Jewish or Southern schools which gained recognition during that ten-year period. During the 1950s American literature became fragmented as various minorities began to search into personal histories in order to discover human identities within the framework of race, religion or geography. It was the contention of this paper that women were involved in much the same type of identity search, that through their own literature they were searching out a human identity' within, but not confined to, their sexual role in society.The cliche of the decade is that this was a placid time in feminist history, a time when women docilely sacrificed education and personal talents to return to the in a search for their homes as wives and mothers. However, a study of the works of Sylvia Plath, Carson McCullers, May Sarton and Elizabeth Janeway shows a group of women in active rebellion against the sexual stereotyping so prevalent in the 1950s. Through art these women were rejecting traditional concepts of a "woman's place," and instead were exploring their own talents, strengths and potentials human identity.This thesis has sought to combine a study of the cultural influences operating on society of the 1950s with the literature being written by women during this period in order to more fully understand the female attitude toward herself and her role. This study indicates that the active rebellion of the women's liberation movement a decade later arose from the search for identity found in much literature by women of the 1950s.
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L'école du regard : poésie et peinture chez Saint-Denys Garneau, Roland Giguère et Robert Melançon

Papillon-Boisclair, Antoine. January 2006 (has links)
From the artistic experience of Saint-Denys Garneau, who decided to devote himself to painting and writing at the beginning of the 1930's, to the poetry and essays on art of Claude Gauvreau, Roland Giguere, Jacques Brault or Robert Melancon, Quebec's poetry maintains a fertile dialogue with the art of painting. Whatever form it takes, discourse on art allows the poet to reinforce or refine aesthetic sensibilities, to question the links or the disparities between texts and images, but also to conceive a theory about visual perceptions. Despite all that separates these two expressive modes, literature and painting both produce "visibility": even if some pictures are not figurative or some poems do not contain imagery, visual arts, beyond the topics or themes they provide to writers (landscape, portrait, still life, etc.), contribute to the development of "ways of seeing", ways of perceiving sensitive reality and of inserting oneself as a subject in the world. This is particularly true in the works of the three poets around which the main parts of this study are centered: Saint-Denys Garneau, for whom painting is a way of "learning to see" (apprendre a voir), Roland Giguere, whose poetic and artistic works share a desire to "give to see" (donner a voir), and finally Robert Melancon, who borrows from painters ways to "make see" (faire voir). By using notions and concepts that come from disciplines close to Aesthetics, this work proposes to circumscribe those "ways of seeing" and to assess how painting acts as a "seeing school" (ecole du regard) for these three authors. More broadly, since discourse on painting can be found throughout Quebec's modern poetry, this study also constitutes a point of view on the history of poetry in Quebec since Saint-Denys Garneau. / Keywords: Quebec poetry, painting, Aesthetics, visual perception, history of literature.
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Nelson Rodrigues

Tomaz, Rogério 11 October 2012 (has links)
Resumo

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