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Rivière-du-Loup et son espace au 19e siècle : du village linéaire à la ville industrielle

Martin, Julie 16 April 2018 (has links)
L'étude de la formation de la ville de Fraserville au 19e siècle, constitue un moment d'observation privilégié, un passage du monde rural à l'urbanité. La progression s'observe à partir de sa toute première forme: un regroupement de type très linéaire puis, par la constitution de la municipalité de village de Fraserville jusqu'à son évolution vers une urbanité bien définie. La problématique se définit comme une étude de l'espace urbain. Diverses sources, des archives seigneuriales aux archives municipales, en passant par l'utilisation des recensements décennaux sont mises à profit dans cette étude. Il s'agit de déterminer qui sont les principaux acteurs et de voir leur rôle dans le processus qui mène le village préindustriel de Fraserville à la mutation industrielle de la deuxième moitié du 19e siècle. Ainsi, la lecture de la formation spatiale du village et des premiers caractères de l'urbanisation laisse entrevoir les ambitions économiques et sociales d'une élite. Le village, théâtre d'abord des projets de la famille seigneuriale et de ses alliés, attire les promoteurs et hommes d'affaires qui, par l'implantation d'entreprises industrielles et commerciales, assureront ensuite la croissance du village, puis de la ville. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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LE TRAITEMENT JURIDIQUE D'UNE SINGULARITÉ TERRITORIALE : LA ZONE CÔTIÈRE. ÉTUDE EN DROIT INTERNATIONAL ET DROIT COMPARÉ FRANCO ITALIEN.

Rochette, Julien 10 July 2007 (has links) (PDF)
Longtemps le littoral - symbole de mort, domaine des monstres redoutables - n'est resté qu'un « territoire du vide », déserté des populations et des voyageurs. La crainte que suscite alors ce milieu, hostile et répulsif jusqu'au XVIIIe siècle, n'exige aucunement l'adoption d'un corps de règles étoffées : la justification du droit, sa finalité sociale plus particulièrement, disparaît en effet dès lors que l'espace reste exempt de toute pression anthropique. Depuis le début du XXe siècle toutefois, le phénomène de littoralisation conduit à une multiplication des conflits d'usage auxquels la règle juridique doit faire face. Ainsi la gestion rationnelle des zones côtières impose-t-elle aujourd'hui une reconnaissance juridique de la spécificité de ce territoire singulier. À échelle internationale, la nature même du littoral et ses exigences de gestion intégrée semblent pourtant difficilement saisissables par le droit. Dès lors, comme pour d'autres matières relevant de la protection de l'environnement marin, le recours à l'approche régionale s'impose comme une démarche des plus pertinentes : en témoignent les initiatives menées par le système régional méditerranéen, dont les évolutions récentes laissent présager l'adoption du premier instrument juridique supra-étatique de protection du littoral. Dans cette attente, la préservation des zones côtières relève avant tout des droits internes. Ainsi, confrontés à des pressions souvent identiques, les zones côtières restent diversement appréhendées par le droit et font donc l'objet de stratégies de gestion distincte : c'est ce que révèle l'étude des systèmes juridiques français et italien.
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Le financement international de l'adaptation au changement climatique: quelle vision de l'aide ?

Weikmans, Romain 27 August 2015 (has links)
<p>Les contestations normatives relatives à la nature des transferts financiers Nord-Sud visant l’adaptation au changement climatique et à ses relations avec l’aide publique au développement (APD) se sont considérablement accentuées depuis 2009 lorsque les pays développés se sont conjointement engagés à fournir des ressources «nouvelles et supplémentaires » à hauteur de 30 milliards de dollars pour la période 2010-2012 et à mobiliser collectivement 100 milliards de dollars par an d’ici à 2020, en les répartissant de manière « équilibrée » entre l’atténuation et l’adaptation dans les pays en développement. Mouvements de solidarité internationale, organisations non gouvernementales de protection de l’environnement, représentants des pays en développement, et parfois institutions multilatérales de développement :nombreux sont les acteurs qui appellent à la mise en place d’un financement international de l’adaptation qui existerait séparément de l’aide, en représentant une forme de « compensation » liée à la responsabilité disproportionnée des pays développés dans l’occurrence du changement climatique.<p><p>Notre thèse se construit à partir d’un constat :celui de la déconnexion entre une hypothèse largement répandue dans la littérature académique (i.e. l’existence d’un financement international de l’adaptation qui serait distinct de l’APD – et original sous divers aspects) et la réalité observable (i.e. l’existence d’un tel financement ne se vérifie pas dans les faits). Comment expliquer cette déconnexion ?Telle est précisément la question que nous tentons d’élucider dans le présent document. Nous formulons l’hypothèse selon laquelle les discours opposant le financement international de l’adaptation et l’aide au développement sont le produit d’une vision particulière de ce que devrait être l’APD. L’ambition de notre recherche est dès lors de caractériser cette vision normative de l’aide et d’examiner ses manifestations dans une série de débats récurrents qui traversent la question du financement international de l’adaptation. Nous mettons en évidence le fait que ces discours renouvellent une vision de l’aide entre États souverains destinée à répondre aux injustices internationales et à alimenter un transfert de ressources régulier entre pays riches et pays pauvres. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Territoires entre-deux: agencements, biopolitique et junkspace / In-between territories: assemblages, biopolitics and junkspace

Finichiu, Ana-Alice 05 November 2014 (has links)
(résumé en français)<p><p>Le diagnostic de Rem Koolhaas sur les métropoles actuelles montre une ville générique, sans fin, sans identité, sans passé, sans rues, la seule activité qui reste est le shopping et la condition « in-transit » devient universelle. À cette analyse manque une partie très importante, la condition biopolitique de la métropole, qui expliquerait plusieurs des caractéristiques de ce Junkspace, comme le fait qu’il contient la possibilité de résistance face au générique.<p>À la lumière de ce constat et suivant les directions de pensée que Gilles Deleuze et Félix Guattari ouvrent dans Mille Plateaux, cette thèse propose d’identifier les intervalles témoignant de la dimension biopolitique du Junkspace au travers d’une mobilisation de la théorie des agencements comme hypothèse pour la théorie architecturale et urbaine. Le postulat général est que ces intervalles seraient des territoires entre-deux qui fonctionneraient comme des laboratoires d’agencements témoignant d’une pratique architecturale politique redéfinissant le rôle même de l’architecte. <p>Trois axes de recherche sont déployés. Le premier interroge la pertinence d’une pensée architecturale en termes d’agencements dans le contexte des transformations actuelles des territoires. À la suite d’un croisement avec la pensée de Deleuze et Guattari l’architecture se comprend dans son processus d’agencement et réagencement. Le second axe interroge la dimension biopolitique du Junkspace identifiant les points critiques de ses agencements et évaluant le paradoxe de l’entre-deux. Le troisième axe met à l’épreuve le potentiel des territoires entre-deux de créer des opportunités pour de nouvelles configurations spatiales.<p><p><p>(english abstract)<p><p>Rem Koolhaas’s diagnostic of the modern metropolis shows a generic city with no end, no identity, no past, no streets where the only activity remaining is shopping and the « in-transit » condition is becoming universal. An important part is missing from this analysis: the biopolitical condition of the metropolis, that could explain a number of Junkspace’s characteristics, like the fact that it contains the possibility to resist the generic condition. <p>In the light of this review and in accordance with the philosophical directions that Gilles Deleuze and Félix Guattari draw in A Thousand Plateaus, this research intends to identify the intervals witnessing the biopolitical dimension of Junkspace by rallying the assemblage theory as hypothesis for the architectural and urban theory. The general postulate is that these intervals are in-between territories functioning as laboratories of assemblages that show a political and resistant architectural practice redefining the very part of the architect. <p>Three lines of research are deployed. The first one questions the relevance of an architectural assemblage thinking in the context of the current territorial transformations. Operating a crossing with Deleuze and Guattari’s thought, architecture is understood as a process of assembling and re-assembling. The second line of research is questioning the biopolitical dimension of Junkspace identifying the critical points of its assemblages and evaluating the in-between paradox. The third research line is testing the in-between territories potential to create opportunities for new spatial configurations. <p> / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Mécanisme pour un développement propre (MDP) du protocole de Kyoto: barrières et opportunités pour les pays moins avancés d'Afrique :cas du Burundi

Bisore, Simon 12 September 2012 (has links)
Du Protocole de Kyoto est née une série d’objectifs de réduction des émissions de GES. Le respect de ces objectifs peut entraîner des coûts très lourds pour les économies des pays développés engagés dans la lutte contre les changements climatiques. Pour minimiser les coûts imposés par ces objectifs, des instruments économiques ont été développés, avec notamment la création de marchés du carbone. Y participent les trois mécanismes de flexibilité du Protocole de Kyoto parmi lesquels figure le Mécanisme pour un Développement Propre (MDP). <p><p>Parmi les problèmes posés par ce mécanisme de compensation, il y a des disparités observées dans la répartition géographique de sa mise en œuvre, alors qu’il est censé contribuer au développement de nombreux pays non-Annexe I. Parmi ceux-ci, les Pays les Moins Avancés (PMA) en général et ceux d’Afrique en particulier restent largement sous-représentés. Pourtant, le MDP a été adopté à la fois comme une contribution innovatrice à l’atténuation des changements climatiques et comme un moteur de promotion du développement durable dans les pays en développement.<p><p>Dans ce contexte, l’objectif général de cette thèse est triple. Primo, elle vise à étudier en profondeur cet instrument en dégageant ses principales caractéristiques, y compris les disparités d’implantation d’activités de projets qui lui sont liées. Secundo, elle en examine les causes par une analyse des barrières ou freins à la mise en œuvre d’activités de projets du MDP dans ces PMA d’Afrique en général et au Burundi en particulier. Tertio, elle révèle les opportunités (avantages/bénéfices) potentielles qui restent toujours non valorisées par l’implémentation d’activités de projets éligibles au titre du MDP.<p><p>L’analyse menée montre que les disparités susmentionnées jouent essentiellement en faveur des grands pays émergents d’Asie et d’Amérique latine, ce qui va à l’encontre du principe d’équité. En effet, en décembre 2011, le Brésil, la Chine et l’Inde détenaient 72,7 % de toutes les activités de projets du MDP et 75,8 % de crédits-carbone attendus en 2012. A l’opposé, les PMA ne disposaient dans le même temps que de 1,3 % de toutes les activités de projets du MDP et 1,2 % de leurs crédits attendus d’ici 2012. Les PMA d’Afrique ne restent qu’avec des parts de l’ordre de 0,8 % et 0,9 % respectivement. Cette situation reste si drastiquement critique qu’il importe d’en déceler les raisons.<p><p>Des caractéristiques de l’instrument, des expériences menées jusqu’ici et de la situation dans des pays hôtes, il ressort que les barrières sont de deux types. D’une part, les barrières endogènes, c'est-à-dire les barrières liées à l’organisation interne des pays. D’autre part, les barrières exogènes qui sont liées essentiellement à l’organisation générale du processus du MDP. L’étude a permis ainsi de montrer que les barrières endogènes constituent le nœud du problème en termes de visibilité des pays hôtes dans le marché du MDP. Celle-ci reste largement limitée dans ce marché international du carbone. <p><p>Les barrières identifiées dans ce travail, en particulier les barrières endogènes, risquent de se révéler difficiles à lever, car elles exigent des réformes structurelles au sein de l’organisation politique, institutionnelle, économique, et juridique du pays hôte. En outre, l’intégration de ces barrières dans un système unique d’interrelations constitue un des points originaux du travail. Ces interrelations ne sont pas négligeables et complexifient l’application du mécanisme, car, dans la plupart des cas, une action amorcée pour lever une barrière peut s’avérer inefficace si d’autres barrières associées ne sont pas prises en compte.<p>L’étude s’est également attachée à évaluer les retombées potentielles liées à la mise en œuvre d’activités de projets du MDP au Burundi. Les principales opportunités perdues jusqu’ici se situent dans quelques secteurs socioéconomiques du pays, essentiellement dans la gestion des déchets et l’énergie. L’étude en a ainsi retenu des options technologiques susceptibles de contribuer à des solutions à la problématique de la gestion des déchets et de l’approvisionnement énergétique au Burundi, tout en favorisant la stabilisation d’émissions de GES. Il s’agit de technologies adaptées de compostage et de bio-méthanisation dans le secteur de la gestion des déchets et les technologies de production d’énergies à partir de sources renouvelables (hydro, solaire, biogaz) et d’amélioration de l’efficacité énergétique de la biomasse (foyers améliorés, carbonisation) dans le secteur de l’énergie. <p><p>Ces opportunités ont également été analysées suivant des critères et indicateurs de durabilité (matrice de développement durable du Gold Standard). Les résultats montrent que ces options technologiques peuvent apporter une contribution au développement durable du pays. En effet, les opportunités se rencontrent à la fois dans le développement social (création d’emplois, moyens de subsistance des pauvres, accès aux énergies propres, renforcement des capacités), le développement écologique (réduction des émissions de GES, amélioration de la qualité de l’air, de l’eau et du sol, sauvegarde de la biodiversité), et le développement économique et technologique (rémunération d’emplois créés, augmentation des investissements, transfert et autonomie technologiques).<p><p>Afin de faire bénéficier le pays des retombées des activités de projets du MDP, il est proposé des solutions qui peuvent contribuer à une levée/atténuation de ces barrières. Ces propositions forment une combinaison d’actions à mener au niveau international, régional et surtout local/national. Au niveau international, des organes habilités devraient apporter des réformes profondes au MDP. Au niveau régional, le renforcement des capacités par des actions de coopération pourrait favoriser l’échange d’expériences en la matière. Au niveau local/national, l’adoption des réformes profondes aux niveaux institutionnel, législatif et juridique, dans une logique d’améliorer les politiques de planification du développement socioéconomique et environnemental, rendrait le pays naturellement plus attractif. En particulier, la mise en place et la mise en œuvre d’une stratégie nationale du MDP pourrait contribuer à relever le défi. <p><p>Les propositions de solutions pour réduire les barrières à la mise en œuvre d’activités de projets du MDP sont susceptibles de stimuler l’investissement en général. Ainsi, toute stratégie adoptée dans cette logique peut contribuer non seulement à la participation du pays au processus du MDP, mais aussi à favoriser la mise en œuvre d’autres projets conventionnels de développement au niveau national. Finalement, la considération de ces différentes opportunités associées à la mise en œuvre d’activités de projets du MDP au niveau du pays par des instances habilitées (décideurs politiques, acteurs institutionnels et économiques) conduirait à faire de ce mécanisme une contribution utile au développement du pays/The Kyoto Protocol has established a series of targets for reducing GHG emissions. The fulfilment of these objectives may result in heavy costs for the economies of developed countries engaged in the fight against climate change. To minimize the costs imposed by these targets, economic instruments were developed, notably with the creation of carbon markets. The three flexible mechanisms of Kyoto Protocol are involved in this, one of which being the Clean Development Mechanism (CDM). <p><p>Among the problems posed by this offset mechanism, disparities can be observed in regional distribution after it has been implemented, when it ought to be contributing towards the development of a number of Non-Annex I countries. Among these countries, the least developed ones (LDCs) in general and Africa ones in particular are largely under-represented. However, the CDM was adopted both as an innovative solution to mitigate climate change and as an engine to promote sustainable development in developing countries.<p><p>Within this context, the overall objective of this thesis is threefold. First of all, it aims to study this instrument in depth, by picking out its main characteristics, including the disparities in project activities implementation related to it. Secondly, it examines the causes for these disparities by analyzing the barriers or restrictions preventing implementation of CDM project activities in these African LDCs in general and in Burundi in particular. Its third purpose is to reveal the potential opportunities (advantages/benefits) which have yet to be developed by setting up eligible CDM project activities.<p><p>The analysis carried out shows that the aforementioned disparities come out in favor of the large emerging countries in Asia and Latin America primarily, which goes against the principle of equity. In fact, in December 2011, Brazil, China and India held 72.7% of all CDM project activities and 75.8% of carbon emission credits expected in 2012. On the contrary, for the same time period, the LDCs had only 1.3% of all CDM project activities and 1.2% of their carbon emission credits expected up until 2012. The African LDCs are left only with shares of 0.8% and 0.9% respectively. This situation is extremely critical. It is crucial to discover the reasons for it.<p><p>The instrument’s features, experiments carried out so far and the situation in host countries all reveal that the barriers fall into two categories. On the one hand, there are endogenous barriers, i.e. barriers related to the internal organization of countries. On the other hand, exogenous barriers are related to the general running of the CDM process especially. The study has thus revealed that the endogenous barriers are the crux of the problem where the presence of host countries is concerned in the CDM market. The visibility of host countries is rather limited in this international carbon market. <p><p>The barriers identified in this thesis, particularly endogenous ones, may be difficult to remove because they demand structural reforms in the political, institutional, economical and legal organization of the host country. In addition, the integration of these barriers into a single system of interrelationships is one of the original points of this thesis. These interrelationships are not insignificant and complicate the mechanism’s application, because in most cases, initiating an action to remove a barrier may be ineffective if other associated barriers are not taken into account.<p><p>The study has also focused on evaluating the potential impacts linked to the implementation of CDM project activities in Burundi. The main opportunities lost up to date are in some socioeconomic sectors in the country, particularly in the waste management and energy sectors. The study has therefore identified technological options that are likely to bring solutions to the question of waste management and energy supply in Burundi, while at the same time contributing to the stabilization of greenhouse gas emissions. These options are notably composting and anaerobic digestion technologies in the area of waste management, and energy generation technologies from renewable sources (hydro, solar, biogas) and improved energy efficiency of biomass (better households, carbonization) in the energy sector. <p> <p>These opportunities were also analyzed in accordance with sustainability criteria and indicators (Gold Standard sustainable development matrix). The results show that these technological options may contribute to sustainable development in the country. Indeed, the opportunities can be seen at the same time in social development (job creation, means of subsistence for the poor, clean energy access, capacity building); ecological development (reducing GHG emissions, improvement in quality of air, water and soil, preservation of biodiversity) and economic & technological development (better pay for jobs created, increased investment, technology transfer and technological autonomy).<p><p>In order to allow the country to take advantage of these opportunities through CDM project activities, it has been proposed solutions that can help raise/mitigate these barriers. These proposals are a combination of actions to be taken at international and regional levels and above all at a local/ national level. In the international arena, authorized bodies should make major reforms to the CDM. At a regional level, capacity building through joint actions could encourage the exchange of expertise in the field. Locally/nationally, adopting major reforms at institutional, legislative and legal levels, with a view to improving planning policies in socioeconomic and environmental development, would make the country naturally more attractive. In particular, establishing and implementing a national CDM strategy could also contribute towards taking up the challenge. <p><p>Proposals of solutions for mitigating barriers to implement CDM project activities are likely to stimulate investment in general. Thus, any strategy adopted along these lines can contribute not only to the country’s participation in the CDM process, but also to favoring implementation of other conventional projects for development at national level. Finally, considering these different opportunities associated with implementing CDM project activities in the country via authorized bodies (policymakers, institutional and economic actors) would lead to this mechanism being a useful contribution towards national development. <p> / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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The heritage as an object of the E.U policies: what are the consequences in the development process and in the quality of life in the Southeast Mediterranean space of the EU ?case studies

Moraitou, Ioulia 17 March 2009 (has links)
Au niveau international, la conservation du patrimoine a fait l’objet de discussions philosophiques et pratiques considérables au cours des dernières années. La question du lien entre patrimoine et développement est abondamment évoquée, fait l’objet de convictions largement partagées mais les mécanismes qui entrent en action dans ce lien sont très mal identifiés. Etroitement intégrée aux questions environnementales, à l’aménagement rural et aux processus de régénération urbaine, la relation entre patrimoine et développement appartient tant à l’économique qu’au social et au politique. Notre recherche fait entrer les préoccupations patrimoniales dans le champ de la gouvernance locale et régionale elle s’intéresse à leur rôle dans les stratégies d’identité et dans la construction du capital social.<p><p>Où se situe le patrimoine dans les politiques de la cohésion européenne? Quels sont les objectifs de la politique de cohésion? Quelles sont les interactions entre développement, cohésion et patrimoine? Les politiques en faveur du patrimoine, actuellement appliquées, sont elles classiques? C’est-à-dire :sont-elles focalisées sur la protection et la restauration du patrimoine ;ou bien sont-elles plus complexe, en ce sens qu’elles impliquent la valorisation et l’insertion du patrimoine parmi les ressources d’un territoire, permettant à la fois d’y greffer des politiques d’emploi, des politiques commerciales et des politiques de cohésion sociale ?Actuellement quelles sont les limites d’une mise en œuvre performante? Au final, le patrimoine a-t-il vraiment la signification et la place qu’on veut lui attribuer? Outre ce qu’ils postulent en matière de développement, les textes produits par l’UE indiquent que le patrimoine et sa valorisation sont d’habitude considérés comme éléments qui contribuent positivement à l’amélioration de la qualité de vie. Mais quelles sont les définitions qui sont actuellement disponibles? Quels sont vraiment les rapports entre toutes ses notions et leur concrétisation sur le terrain? La thèse ambitionne de contribuer à une réponse à ses questions.<p><p>Les instruments fournis dans le cadre de la politique européenne, sont extrêmement nombreux et multiformes. Une analyse est tentée afin d’évaluer l’efficacité de divers instruments disponibles de la politique de cohésion, en termes de valorisation du patrimoine et de son intégration, dans un contexte de développement local et régional. L’analyse s’effectue au travers d’études de cas. Les études de cas proposées (deux études de cas dans deux pays européens différents, la ville de Nicosie à Chypre et la ville de Xanthi en Grèce) traitent de l’espace du sud-est méditerranéen de l’U.E. La Grèce et Chypre ont été choisis en tant qu’exemples tout à fait représentatifs d’un point de vue géographique mais également d’un point de vue Européen. (Grèce:U.E 3 et Chypre: UE 12) <p><p>Le cas de Xanthi, Grèce, est le plus développé. Notre étude le présente comme un résultat globalement positif du rôle des politiques et des programmes de l’ U.E. Les mécanismes locaux d’utilisation des opportunités offertes par les financements européens sont expliqués. On montre comment l’identification, la réhabilitation, la valorisation d’un patrimoine spécifique à la région et la polarisation des politiques de développement sur ce patrimoine ont entraîné d’importants changements dans le comportement de la population vis-à-vis de son territoire. Outre un réinvestissement massif des groupes sociaux moyens et supérieurs dans le cœur urbain, on a pu constater une forte croissance de toutes les activités tertiaires et l’émergence d’une vie locale extrêmement dynamique. Tant la démographie que le nombre d’emplois montrent une courbe ascendante. Si l’on ne peut pas faire abstraction de phénomènes qui se rapprochent de la gentrification, on doit admettre que l’évolution des prix des immeubles et du foncier, n’a pas eu des conséquences identiques à celles qui sont observées en Europe occidentale. On peut semble–t-il dans ce cas (proche d’autres cas voisins dans les petites villes grecques) parler d’amélioration de la qualité de la vie. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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MUTATION INFORMATIONNELLE ET POLITIQUE TERRITORIALE : ELEMENTS DE THEORIE DES MARCHES ET DES ORGANISATIONS APPLIQUES AU DEPARTEMENT DE LA MANCHE (NORMANDIE - FRANCE)

Le Goff, Richard 10 January 2000 (has links) (PDF)
Ce travail analyse les relations entre la mutation informationnelle, l'organisation économique et les territoires. Il est d'abord expliqué, grâce à un filtrage permettant de montrer l'évolution des performances technico-économiques des TIC (Technologies de l'Information et de la Communication) à travers l'exemple du télé-enseignement dans le département de la Manche, en quoi et comment le champ des possibles en matière d'allocation et de création des ressources notamment " informationnelles " est profondément élargi, ce qui implique de repenser l'espace et l'économie spatiale au moins en ce qui concerne les services. Ensuite, une interprétation théorique des évolutions liées à l'information et aux TIC est proposée en caractérisant la mutation informationnelle et son " impact ", sous l'influence des asymétries de pouvoir informationnel qu'elle engendre, sur les marchés, les organisations et les territoires. A travers l'émergence d'une Nouvelle Logique d'Organisation Economique (NLOE) touchant les pôles que sont les conditions de base, les structures, les comportements et les performances des marchés, des firmes, de l'économie dans son ensemble et les relations d'influence existant entre ces pôles, la prédominance des comportements sur l'ensemble de la LOE est mise en évidence, comme une caractéristique importante des effets de la mutation informationnelle. Enfin les articulations nouvelles engendrées par la NLOE, entre les territoires, l'information et l'innovation, sont expliquées à l'aide de l'economie spatiale, de l'économie de l'information et de la socio-économie de l'innovation. Les bases du fondement théorique d'une politique informationnelle et des outils d'aide à la décision publique sont proposés afin de maximiser les effets de cette mutation informationnelle en termes de développement économique et d'aménagement du territoire, grâce aucconcept " d'Espace Serviciel " et aux notions de " learning by commuting " et de Rente Informationnelle Collective.
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Contribution à la recherche d'un modèle de gestion d'un passif envronnemental issu d'un traitement métallurgique des minerais sulfurés cuivre zinc en République Démocratique du Congo / Contribution to research of a management model of an environmental passive from a metallurgical processing of copper zinc sulphides ores Democratic Republic of Congo

Tshibanda Kabumana, Dieudonne 16 November 2012 (has links)
Ce travail traite d’un problème de pollution liée à la présence de métaux de base dans des passifs environnementaux issus d’un traitement métallurgique des minerais sulfureux cuivre – zinc provenant de la mine de Kipushi en République Démocratique du Congo. L’objectif principal de ce travail a été d’arriver à proposer des scénarios de gestion durable au passif environnemental de la filière présentant les risques environnementaux les plus élevés. Pour cela, on a d’abord procédé à une identification des différents problèmes environnementaux tout au long de la filière de traitement sur les quatre sites d’exploitation. Ensuite on a prélevé des échantillons puis procéder par des tests de disponibilité à la lixiviation à l’eau déminéralisée pour évaluer les fractions solubles des métaux de base présents et aussi par des tests de conformité de mise en décharge afin de classer ces rejets conformément à la directive européenne 2003-33-CE. Ainsi, les rejets Ex – UZK ont été identifiés comme les plus dangereux de la filière au regard de cette directive, car les quantités lixiviées de cuivre et de zinc dans ces rejets ont dépassé largement les limites fournies par la directive, et donc ils ne peuvent même pas être mis en décharge de classe I sans traitement métallurgique préalable pouvant permettre leur dépollution. <p>Par contre, les autres rejets de la filière, en l’occurrence les rejets de flottation de Kipushi et les scories de fusion pour matte de cuivre, peuvent eux être acceptés en décharge de classe I, sans traitement préalable au regard des limites fournies par la même directive. Les procédés de lixiviation acide chaude et de digestion ont été proposés et retenus comme scénarios de gestion durable à appliquer à ces rejets Ex – UZK, car ils se réalisent tous deux en milieu acide sulfurique d’une part et d’autre part leur application et surtout leur faisabilité en République Démocratique du Congo reste possible ;en outre ils aboutissent à des nouveaux rejets contenant le fer sous forme d’hématite, pouvant être stocké aisément et durablement dans la nature, ce qui est conforme au principe du développement durable. Nous avons tenté de modéliser ces deux scénarios en discutant et comparant la circulation des flux de matière dans les deux procédés, d’abord autour de chaque opération métallurgique unitaire, et ensuite sur l’ensemble du procédé. Ainsi nous avons pu chiffrer tous les flux entrant et sortant dans le système étudié, en considérant 1000 kg de rejets Ex –UZK alimentés. Cette quantification nous a permis de comparer les coûts opératoires de ces deux procédés. Les résultats obtenus dans la présente étude sont encourageants et nous ont permis de formuler des recommandations pour les études ultérieures éventuelles dont les résultats pourront l’enrichir davantage, notamment sur les aspects technologiques, économiques et environnementaux, de manière à faciliter les applications sur terrain.<p><p>This work deals with environmental liabilities consisting of base metals pollution due to metallurgical processing of copper – zinc sulphide ores in Kipushi mine in Democratic Republic of Congo. The main objective of this work was to propose sustainable management scenarios for the most important environmental liabilities from metallurgical sector. For this purpose, liabilities were first identified on four metallurgical plants. Then, leaching tests with deionized water were carried out to assess the soluble fractions of base metals. These effluents were also classified according to the test described in european decision 2003-33-EC, which determines the conformity of waste to landfill. Ex – UZK effluents are the most dangerous from this sector, according to this directive, since the quantities of leached copper and zinc were far beyond the limits :they cannot be sent to class I landfill without prior metallurgical processing. However, other effluents like flotation wast and Lubumbashi slag originating from melting for copper matte, are acceptable without prior treatment. Hot acid leaching and digestion were proposed as sustainable management scenarios for to these Ex – UZK waste because :both can be performed in sulfuric acid and they are feasible in Democratic Republic of Congo. They also lead to an iron – rich waste consisting of hematite that can be stored easily and sustainably in nature, which is consistent with the principle of sustainable development. We have modeled these two scenarios by discussing and comparing the flows in both processes, first for each individual metallurgical unit process, and then for the whole chain of value. So we could assess all the inputs and outputs of the studied system, expressed per ton of Ex – UZK waste. The operating costs of both processes were calculated and compared. The results are encouraging. Recommendations were proposed for further studies, in order to investigate more deeply the technological, economical and environmental aspects, to facilitate the final application. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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