• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 17
  • 10
  • 6
  • 1
  • Tagged with
  • 33
  • 11
  • 10
  • 9
  • 7
  • 5
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
21

L'imaginaire de l'autre : étude et analyse de la réception du chapitre 41 de l'Avataṃsakasūtra en langue de Tangoute, conservé à l'Université de Pékin et à l'Institut des Hautes Etudes chinoises du Collège de France / Conceiving the other's thinking : research and analysis on the chapter 41 of the Avatamsakasūtra translated into Xi Xia language, stored at Beijing University and the Institute of advanced chinese studies of the Collège de France

Lefebvre, Romain 27 March 2013 (has links)
D'origine nomade, ils avaient conquis les territoires du nord-ouest de la Chine, allant d'une partie au sud de la Mongolie Intérieure au nord du Qinghai, à l'ouest du Gansu, la région du Ningxia et une partie ouest du Shaanxi. Une fois installés dans cette vaste région, ils se développèrent rapidement, tant sur le plan culturel que sur le plan économique, et fondèrent en 1038 leur royaume. À partir de cette date, ils créèrent leur propre langue et écriture, en partie à base du chinois classique, et renforcèrent leurs relations avec leurs puissants voisins frontaliers, à savoir : au sud-est de leur territoire les Song du Nord, au nord les Liao, au nord-ouest les Ouïghours et enfin au sud-ouest les tribus Tibétaines. Ils avaient adopté le Bouddhisme en tant que religion d'État et pratiquèrent, avec ferveur, les pratiques bouddhiques. De parts et d'autres du royaume, des grands centres d'activités bouddhistes, ainsi que des temples furent mis en place, afin d'y entreprendre des traductions de volumes du Grand canon bouddhique chinois, qu'ils avaient en partie obtenu des Song du Nord, vers leur propre langue. De ces textes traduits en langue de Xi Xia, de nombreux volumes furent découverts au cours des deux précédents siècles. La recherche sur Xi Xia et ses sources textuelles, notamment bouddhiques, sont autant d'indices de la richesse culturelle et linguistique de cette nation éphémère de la Chine antique, qui a pourtant participé au grand développement des traductions bouddhiques et de l'imprimerie. / As nomadic people, they conquered the northwest territories of China, from south of Inner Mongolia to north of Qinghai, to west of Gansu, all of the region of Ningxia and a west part of Shaanxi. Once they had settled in this vast region, they quickly developed on both economical and cultural aspects, and founded their kingdom in 1038. From this moment, they created their own language and writing system, mostly from the Chinese language, and enhanced their relationships with their mighty neighbors outside their borders, such as North Song dynasty in the southwest part, the Liao in the north part, the Uyghur in the northwest part and the Tibetan tribes in the southwest part. They adopted Buddhism as religion of the State. During all the regencies, they indulged themselves in practicing Buddhist activities. Within the Xi Xia kingdom, many Buddhist centers and temples emerged, from which translations of the Great Buddhist Canon, mostly obtained from North Song Court, were made towards their own language. From these texts written in Xi Xia language, many of them were excavated or just found during the last couple centuries. The research on Xi Xia and its textual resources, Buddhist texts among others, are as much as evidence there should be to reveal the cultural and language wealth of this ephemeral State of ancient China, which however took part in the huge development of translating and printing Buddhist texts.
22

La transmission des savoirs dans les monastères tai lue du Laos

Phetchanpheng, Souvanxay 09 December 2013 (has links) (PDF)
Au Laos, un pays d'environ 6,7 millions d'habitants, à peu près 58% de la population est bouddhiste. Les Tai Lue, population tai, habitent dans le nord du Laos entre les provinces dePhongsaly, Bokeo, Oudomxay, Sayaburi, Luang Prabang et Luang Nam Tha. Dans cette recherche, je m'interroge sur l'éducation des novices et la transmission des savoirs dans les communautés monacales lue. Cette étude s'intéresse aux pratiques didactiques des monastères tai lue en considérant que la transmission des savoirs entre les moines permet la réalisation des rites et cérémonies bouddhiques. Dans ces monastères, la transmission est basée en partie sur les textes mais aussi sur le savoir-faire. Comment les moines parviennent-ils à transmettre des savoirs oraux, textuels et corporels aux novices ? L'éducation dans certains monastères lue sera considérée notamment par l'étude des modes d'apprentissage corporels, des façons de faire et d'être. L'action conjointe en didactique est étudiée dans ces monastères. Elle est considérée comme étant une coopération entre le professeur et l'élève dans l'apprentissage d'un savoir.
23

Printing the faith in Southeast Asia : the Buddhist production of seals and stūpas (7th–13th century CE) / Imprimer la foi en Asie du Sud-Est : la production bouddhique de sceaux et de stūpas (VIIème – XIIIème siècle EC)

Desoutter, Delphine 25 November 2017 (has links)
L’impression répétée d’une image – sceau – ou d’un stūpa en trois dimensions sur un morceau d’argile est une pratique bouddhique pour obtenir du mérite, dont en témoigne la quantité importante retrouvée en Asie du Sud-Est. Ces objets comportent des images représentant un ou plusieurs dieux et stūpas, parfois accompagnées d’un texte, ou bien un texte seul. Jusqu’à présent, seules des études régionales se sont intéressées à ce sujet et aucune n’a prêté attention aux moules utilisés pour leur production. La présence de moules en terre-cuite et en bronze est attestée entre le VIIème et le XIIIème siècle, ces derniers présentant une iconographie raffinée et une technique élaborée. Nous postulons que leur utilisation était propre à certaines cultures et nous mettons en avant trois groupes de moules en bronze, correspondant aux régions du centre du Myanmar, à la Thaïlande et au Cambodge, ainsi qu’à l’Indonésie occidentale et à la péninsule malaise.Centrée sur le catalogue des moules en bronze, cette étude explore leurs liens avec les objets imprimés sous les angles de la production, de l’archéologie, de l’iconographie et de la stylistique, fournissant ainsi une vue d’ensemble synthétique des sceaux et stūpas. Premièrement, la constitution d’une typologie, à la fois des produits et des outils de reproduction, permet de comprendre quelles techniques étaient utilisées pour leur fabrication, et conduit à distinguer l’existence de différents ateliers et usages. Deuxièmement, le recensement des contextes archéologiques connus clarifie les intentions de la production au-delà de l’obtention de mérite, et questionne la valeur religieuse des moules. Finalement, l’analyse des images examine leurs caractéristiques locales, régionales ou inter-régionales, ainsi que leur degré de correspondance avec le répertoire connu des impressions. La nature petite et mobile des sceaux, stūpas et de leurs moules a permis leur diffusion, mais est aussi probablement responsable de leur disparition, à cause de leur fragilité ou de la réutilisation du métal. Cette étude ne sera donc jamais complète. Toutefois, l’approche transversale de ces témoignages de l’art bouddhique apporte un éclairage nouveau sur les différents liens culturels, politiques et religieux qui prévalaient en Asie du Sud-Est. / The repeated impression of an image or of a three-dimensional stūpa on a piece of clay is a Buddhist practice to obtain merit, well attested in Southeast Asia by the vast amount of seals and stūpas discovered. The images depict a single or several deities and stūpas, sometimes accompanied by a text, or they bear text alone. Until now, only regional studies have focused on these artefacts and none have looked at the moulds used for their production. During the 7th to the 13th century CE, we find evidence of terracotta and bronze moulds, the latter demonstrating a refined iconography and an elaborate technical expertise. We postulate that their use was specific to some cultures and bring forward three groups of bronze moulds, corresponding to the areas of central Myanmar, Thailand and Cambodia, and western Indonesia and the Malay Peninsula. Centred on the catalogue of the bronze moulds, this study explores their connection to the printed objects through their production, archaeology, iconography and stylistics; thereby, also providing a selective overview of the seals and stūpas. First, the establishment of a typology, both of the products and of the reproduction tools, helps to understand which techniques were resorted to during the manufacture, and lead to distinguish the existence of different workshops and developments. Secondly, the survey of the known archaeological contexts clarifies the intentions of the production beyond merit making, and questions the religious value of the mould. Finally, the analysis of the images examines their local, regional or inter-regional features, and the extent of their match with the repertoire of known imprints. The small and movable nature of the seals, stūpas and their moulds resulted in their diffusion but also most probably in their disappearance because of their fragility or due to the reutilization of the metal. This study will hence never be complete. Nevertheless, the transverse approach to these evidences of Buddhist art sheds new light on the different connections—cultural, political and religious—that prevailed in Southeast Asia.
24

Inventaire et étude systématiques des sites et des sculptures bouddhiques du Gandhāra : ateliers, centres de production / Systematic inventory and study of Buddhist sites and sculptures from Gandhāra : workshops, production centres. Summary

Pons, Jessie 26 September 2011 (has links)
Les statues et les reliefs narratifs bouddhiques du Gandhāra présentent des points communs qui justifient la désignation d’un « art du Gandhāra » : le matériau, le sujet et la nature composite. Malgré cette évidente homogénéité, il existe d’importantes variations iconographiques et stylistiques. Cette thèse de doctorat tend à mettre en évidence ces variations afin de produire la première identification et caractérisation des langages stylistiques de l’art du Gandhāra. Les réflexions liminaires sur les contextes géographique, historique et religieux dans lesquels l’art du Gandhāra s’est développé sont suivies de prolégomènes sur les cadres historiographiques et théoriques de la recherche. Ils soulignent l’utilité d’une méthodologie et d’une terminologie appropriées ainsi que la nécessité d’un corpus des sculptures correctement documentées sur lequel une étude stylistique peut se fonder. L’inventaire des sculptures a permis d’identifier et de rassembler dans une base de données électronique environ 5000 oeuvres dont la provenance est attestée. La dernière partie se concentre sur l’identification des écoles, des foyers artistiques, des centres de production et des ateliers gandhāriens ainsi que sur leur caractérisation iconographique et formelle. La présentation suit une progression géographique qui permet de montrer la corrélation entre les niveaux stylistiques et la géographie gandhārienne et de déceler des réseaux d’interaction. Cette thèse propose en conclusion une reconstruction provisoire des routes anciennes de la région, un réexamen des chronologies fondées sur l’étude des styles et une réflexion sur la normalisation géographique des iconographies bouddhiques. / Buddhist statues and narrative relieves from Gandhāra share common characteristics thus justifying the designation of “Gandhāran art”. The homogeneity of Gandhāran art is certainly manifest in its material, its subject and its composite nature, yet it is possible to distinguish important iconographic and stylistic variations. This doctoral thesis aims to highlight these variations in order to provide the first identification and characterisation of the various stylistic languages of Gandhāran Buddhist art. The introductory reflections on the geographical, historical and religious contexts within which Gandhāran Buddhist art developed, are followed by prolegomena of the historiographical and theoretical frameworks of the research. These emphasise the need for an appropriate methodology and terminology and the necessity for a corpus of correctly documented pieces on which a stylistic study can be founded. The preliminary inventory of Gandhāran sculptures has identified approximately 5000 pieces of known provenance gathered in an electronic database. The last part focuses on the identification of Gandhāran schools, artistic zones, production centres and workshops and on their characterisation in terms of iconography and form. The review is geographically organised, thus revealing the existing correlation between the stylistic levels and Gandhāran geography and allowing the recognition of various interaction networks. The thesis concludes with an attempt to identify ancient routes, a reassessment of old stylistically based chronologies and a reflection on the geographical normalisation of Buddhist iconographies.
25

The Enthroned Buddha in Majesty : an Iconological Study / Le Bouddha trônant en majesté : étude iconologique

Revire, Nicolas 10 December 2016 (has links)
Cette thèse étudie en détail un type particulier de représentation du Bouddha où il est représenté assis sur un trône prééminent, le bhadrapīṭha ou bhadrāsana, dans une posture majestueuse avec les deux jambes pendantes, c’est-à-dire assis en bhadrāsana ou dans l’attitude « de bon augure ». Cette iconographie, étroitement associée à l’imagerie du trône, se retrouve largement représentée dans l’art de l’Asie du Sud, de l’Est et du Sud-Est, et est, en règle générale, intimement liée aux modèles de la royauté, de la fertilité, et même du divin. Plusieurs implications notables ressortent de cet examen iconologique concernant les origines, la diffusion, et le développement de l’art bouddhique dans ces contrées, particulièrement au cours du premier millénaire de notre ère. / This dissertation provides a detailed study of a particular representation of the Buddha, in which he sits on a prominent throne, i.e. a bhadrapīṭha or bhadrāsana, in a majestic posture with two legs pendant, that is, in bhadrāsana or the “auspicious pose.” This pendant-legged imagery, generally associated with the throne, has been found widely depicted in South, East, and Southeast Asian art and is, as a rule, mostly associated with kingship, fertility, and even divinity. The results of this iconological examination have wide implications for understanding the origins, spread, and development of Buddhist art in those lands, particularly during the first millennium CE.
26

Apichatpong Weerasethakul entre réalité et imaginaire / Apichatpong Weerasethakul between reality and imagination

Lee, Sun-Woo 20 June 2017 (has links)
Cette étude est consacrée à l’analyse de la coexistence de la réalité et de l’imaginaire dans l’œuvre d’Apichatpong Weerasethakul. Les modalités de rencontre et de croisement de ces deux dimensions dans un film ou entre des films sont éclaircies à travers des observations pratiques et détaillées. Partant de l’analyse de l’influence de deux cultures différentes – la sensibilité autochtone thaïlandaise et la tendance du cinéma expérimental occidental – nous envisageons d’une part les modalités de captation des scènes de la vie réelle et d’autre part la manière de découvrir et de révéler le côté invisible qui entoure ce champ visible. La narration filmique est représentée de manière diverse en déviant de la règle classique. Dans le processus de formation d’une histoire, des matières hétérogènes sont englobées et des textes divers sont connectés. Par ailleurs, l’univers flexible et libre de Weerasethakul présuppose toujours des temps multiples virtuels, caractéristique essentielle que l’on retrouve dans toutes ses œuvres, des courts-métrages aux installations en passant par les long-métrages. Par conséquent, la distinction entre la dimension réelle et la dimension irréelle/surréelle perd en clarté ; la ligne de distinction est quasiment annulée. Le réalisateur propose ainsi une autre vision du monde se basant sur la tradition bouddhique thaïlandaise qui pourrait sembler absurde du point de vue du rationalisme moderne de l’Occident. En traversant ainsi les discussions autour du monde hybride de Weerasethakul, cette étude a pour ambition de démontrer que son cinéma (re)trouve la beauté et la puissance de la réalité à travers l’imaginaire. / This study is about the analysis of the coexistence of reality and imagination in the work of Apichatpong Weerasethakul. The modalities of encountering and crossing of these two dimensions in a film or between films are clarified through practical and detailed observations. On the basis of an analysis of the influence of two different cultures – the Thai indigenous sensibility and the tendency of Western experimental cinema –, we search on the one hand the modalities of capturing the scenes of real life, and on the other hand how to discover and reveal the invisible side that surrounds this visible field. The narrative of his films is represented in a diverse way by deviating from the classical rule. In the process of forming a narrative, heterogeneous materials are embraced and various texts are connected. Moreover, the flexible and free world of Weerasethakul always presupposes virtual multiple times, an essential characteristic that can be found in all his works, from short films to installations to the feature films. Therefore, the distinction between the real dimension and the unreal / surreal dimension loses clarity; the line of distinction is virtually canceled. The filmmaker thus proposes another view of the world based on the Thai Buddhist tradition that might seem absurd from the point of view of modern rationalism of the West. By crossing the discussions around the hybrid world of Weerasethakul, this study aims to demonstrate that his cinema (re)finds the beauty and power of reality through the imagination.
27

Le mouvement de rénovation bouddhique au Tonkin : le cas de l’Association bouddhique du Tonkin (1934-1945) / The Buddhist revival in Tonkin : the case of the Tonkin Buddhist Association (1934-1945)

Ninh, Thi Sinh 06 December 2016 (has links)
Dans le contexte colonial, le bouddhisme était dans une situation critique. Du sud au nord, les appels des moines et des laïcs se font entendre en faveur d'une réforme en profondeur, comme le montre la voie de la rénovation bouddhique dans d'autres pays asiatiques, notamment en Chine. Fondée le 6 novembre 1934 par décision du Résident supérieur du Tonkin, l’Association bouddhique du Tonkin réunit autour de son projet un grand nombre de personnes, issues de classes sociales très différentes, afin d’œuvrer à la rénovation bouddhique. Ceci à destinations des fidèles comme des religieux avec l'objectif de rendre le bouddhisme conforme à sa doctrine, et en même temps adapté à la société dans laquelle ils vivent. En bénéficiant de nouveaux facteurs dans la vie culturelle et intellectuelle, l’Association bouddhique possède des outils modernes pour une meilleure compréhension et une diffusion plus large vers le public. Elle édite des livres et une revue, Đuốc Tuệ considérée comme son moyen privilégié pour guider les fidèles dans leur pratique quotidienne du bouddhisme dans un monde moderne. Le bouddhisme d’engagement social promu par l'association, démontre que la pratique du bouddhisme ne signifie pas seulement de prières, d’aller à la pagode et faire des offrandes. Le bouddhiste moderne c’est celui qui s’engage dans la société de son temps à travers des actions concrètes en respectant les valeurs morales bouddhiques. Par son influence dans la société, l’Association bouddhique est une version moderniste dans le domaine religieux, ce qui contribue à construire le bouddhisme moderne au Vietnam avec un nouveau visage et un nouvel esprit, l’esprit d’engagement social. / In the colonial context, Buddhism was in a critical situation. From north to south, under the influence of the movement to revive Buddhism in other Asian countries, especially in China, monks and lay people called for an extensive reformation. Founded on November 6 1934 by the decision of the governor of the Tonkin, the Tonkin Buddhist Association brought together a large number of members, from many different social classes to carry out the Buddhist revival and to address to two subjects, believers and monks, with the aim of bringing Buddhism as a religious consistent with its doctrine and the society in which they live. Inheriting the new factors in the cultural and intellectual lives, including the adoption of quốc ngữ, and the development of the press and publishing, Buddhist Association had the modern tools to explain and spread widely Buddhist teachings for better understanding to the public. It published books and magazine, Đuốc Tuệ (Flambeau de la Spiritualité), in the national language, considered as its preferred way to guide buddhism believers in their daily practice in the modern world. Social engagement of Buddhism promoted by the association, meant that the practice of Buddhism was that the modern Buddhists not only prayed, went to the temples, and offered, but also had to engage to their living society, through practical actions in accordance with the Buddhist moral values. Thanks to its influence of the society, the Tonkin Buddhist Association was a unique symbol of the innovation in the religious field, which contributed to building of the modern Buddhism in Vietnam with a new face and a new spirit, the spirit of social engagement.
28

Confessions of a Western buddhist "Mirror-Mind": Allen Ginsberg as a Poet of the Buddhist "Void"

Bellarsi, Franca January 2002 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
29

Ache Lhamo. Jeux et enjeux d’une tradition théâtrale tibétaine.

Henrion-Dourcy, Isabelle 17 September 2004 (has links)
L'objet de cette thèse est une monographie du théâtre traditionnel tibétain, ou ache lhamo, souvent appelé lhamo tout court, tel qu'il était joué à l'époque pré-moderne (antérieure à 1950) et tel qu'il est encore joué actuellement en Région Autonome du Tibet (République Populaire de Chine) et dans la diaspora tibétaine établie en Inde et au Népal. Comme la plupart des théâtres d'Asie, il est un genre composite : à la fois drame à thématique religieuse (issue du bouddhisme mahāyāna), satire mimée, et farce paysanne, il comprend de la récitation sur un mode parlé, du chant, des percussions, de la danse et des bouffonneries improvisées, ainsi qu'un usage de masques et de costumes flamboyants, qui tranchent avec la sobriété absolue des décors (la scène est vide) et de la mise en scène. Bien qu’il ait été encouragé et financé par le gouvernement des Dalai Lama, de grands monastères et des familles aristocratiques, c’est un théâtre avant tout populaire, et non pas réservé à une élite lettrée. Cette étude a circonscrit à la fois le contenu, le rôle social, le langage artistique et les implications politiques du théâtre dans la civilisation tibétaine. <p> La méthodologie a été composée en combinant les apports et réflexions critiques de trois disciplines : l'ethnologie, la tibétologie et les études théâtrales. L'approche est fondamentalement ethnologique, en ce que la production des données repose sur une immersion de plus de deux ans parmi des acteurs de théâtre de la Région Autonome du Tibet (1996-1998) et de près d'un an parmi ceux de la diaspora d'Asie du Sud (1998-2000). Elle l’est aussi en ce que l’intention a été de constituer une intelligibilité englobante pour l'ache lhamo, c'est-à-dire de mettre au jour l'intrication des dimensions culturelle, sociale, politique, économique, rituelle et symbolique de la pratique théâtrale. L’une des contributions principales du travail est d’étoffer l’ethnologie régionale du Tibet central, mais ses conclusions et son esprit critique le placent également dans la liste déjà importante des travaux consacrés à l'invention des traditions. La tibétologie a fourni le cadre interprétatif fondamental des données recueillies. Une importance très grande a été accordée à l'histoire du pays ainsi qu'à la philologie et aux terminologies vernaculaires particulières au théâtre. L’étude s’inscrit dans l’un des courants novateurs de la tibétologie, privilégiant les aspects non plus religieux et politiques de cette civilisation, mais sa partie « populaire » et anthropologique, mettant au premier plan l’analyse des pratiques et non celle des doctrines. Des sources écrites (textes pré-modernes et sources secondaires de folkloristes tibétains et chinois) ont été intégrées aux observations. En ce qui concerne la troisième approche méthodologique, cette étude ne s'inscrit ni dans le courant des « performance studies » de Richard Schechner, ni dans l'anthropologie théâtrale d’Eugenio Barba, ni dans l'ethnoscénologie telle qu'elle est défendue par Jean-Marie Pradier, mais plutôt dans l'anthropologie du théâtre, au sens d'étude interprétative et multidimensionnelle, utilisant les référents établis de l'anthropologie et les savoirs indigènes pour décrire une expression culturelle déterminée et reconnue comme un genre à part entière, le théâtre. <p> Les résultats sont présentés en trois parties, qui peuvent être résumées de manière lapidaire par trois adjectifs : culturelle, sociologique, artistique. La première partie, intitulée "Le cadre culturel du lhamo avant 1959", est consacrée au contexte (historique, religieux et littéraire) dans lequel le théâtre est inscrit, ainsi qu’aux textes (leur contenu, leurs modalités de composition et de transmission) qui révèlent l'imaginaire propre du théâtre. La deuxième partie est une analyse de "L'ancrage sociologique du lhamo". Les conditions matérielles des représentations y sont examinées : les divers types de troupes, leur organisation interne, le statut social des acteurs, l'inscription de la pratique du théâtre dans le système socio-économique pré-moderne, et les rapports d'obligations tissés entre acteurs et seigneurs, ainsi qu'entre acteurs et commanditaires des représentations. La dernière partie, "Art et savoirs des acteurs", jette un éclairage sur la matière vive du lhamo. Elle rend compte des conceptions, valeurs, plaisirs et difficultés de ceux qui pratiquent cette forme d'art. Les divers registres de leur discipline sont analysés en détail : costumes, masques, gestuelle, chant, accompagnement musical (percussions) et sentiments exprimés. L'appréciation qui en est faite par le public est aussi consignée. Au cœur de cette partie se trouve une réflexion sur la nature rituelle et non rituelle du lhamo, et sur les liens éventuels de ce dernier avec d'autres activités religieuses, telles la possession. Les dernières pages de la thèse constituent un épilogue, qui fait le point sur la situation contemporaine, donc les implications politiques, du théâtre des deux côtés de l'Himalaya. <p> L'image anthropologique du lhamo qui a pu être dégagée de ces trois volets d'analyse le fait apparaître comme essentiellement ambivalent : le lhamo est un théâtre de paradoxes. À l'image de la civilisation tibétaine, il est composite et cohérent à la fois. Sa cohérence réside dans son ambivalence : il traverse et relie des aspects contrastés de la culture. Il introduit du jeu entre les polarités que Tibétains et tibétologues établissent parfois un peu trop à la hâte entre culture savante et culture populaire, écriture et oralité, éléments exogènes et apports autochtones, bouddhisme et cultes qui ont précédé son implantation, aspiration religieuse et intérêts mondains, spécialistes rituels et bénéficiaires qui les rémunèrent. Combinant fonction pédagogique et fonction rituelle, sacré compassé du texte et irrévérence grivoise des improvisations, le lhamo correspond aussi très bien à la manière dont les théâtrologues appréhendent le théâtre : comme un objet curieux, créé par les hommes et qui pourtant ne cesse de les intriguer, comme s'il était venu d'ailleurs.
30

L'enseignement bouddhique et le rôle du roi en Thaïlande / The Buddhist teachings and the role of the king of Thailand

Techaniyom, Chotika 25 October 2013 (has links)
L’étude des Jâtaka canoniques destinés au monarque et celle des Jâtaka apocryphes de Thaïlande montrent que le personnage-monarque qui commet des actions néfastes peut améliorer sa conduite grâce aux messages essentiels transmis par le maître. Le monarque-Bodhisatta pratique à la fois les dix-vertus du monarque - Dasa-râjâ-dhamma et les dix vertus transcendantes du futur Buddha - Pârami. Ces études dévoilent que le monarque bouddhiste doit suivre les deux principaux cadres de conduite : les dix-vertus du monarque et les devoirs du roi universel – Cakkavatti-vatta qui s’interpénètrent. Influencé par les enseignements bouddhiques, le roi Rama IX de Thaïlande prouve en les adoptant que ces codes de conduite sont applicables en les adaptant à sa charge afin d’améliorer la qualité de vie de son peuple. Ces enseignements conviennent à tous, du chef d’Etat à celui qui se gouverne lui-même. / The study of the canonical Jâtaka intended for the monarchy together with the apocryphal Jâtaka in Thailand demonstrates that the monarch who commits harmful actions can rectify his conduct thanks to the essential messages passed on by a Buddhist Master. The Bodhisatta-monarch employs the ten virtues of the monarch - Dasa-râjâ-dhamma - and the ten transcendental virtues of the future Buddha -Pârami. These studies reveal that the Buddhist monarch should follow the two main courses of conduct : the ten virtues of the monarch and the duties of a universal monarch - Cakkavatti-vatta – which interpenetrate. Influenced by the Buddhist teachings, King Rama IX of Thailand adopted these precepts in the execution of his kingly responsibilities and, by improving the quality of life of his subjects, proved their pertinence. The teachings are applicable to all, from Heads of State to the self-governing individual.

Page generated in 0.0248 seconds