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Artisanat et urbanisation de la Palestine à l'âge du Bronze ancien. Apport de l'étude des céramiques à la structure sociale

Charloux, Guillaume 14 March 2006 (has links) (PDF)
L'âge du Bronze ancien en Palestine est marqué par l'apparition de la première urbanisation locale et par l'essor de l'économie traditionnelle " méditerranéenne ". Une société complexe, mais sans écriture, se développe au cours de cette longue période (environ 3500-2000 avant notre ère). À partir des publications et de l'examen du mobilier des sites de Tell el-Fâr'ah, de Mégiddo et de Tel Yarmouth, nous avons tenté de mettre en lumière l'évolution de la production céramique de l'âge du Bronze ancien I au Bronze ancien III, périodes durant lesquelles une phase de normalisation succède à une phase de fortes différenciations régionales. Les études ayant cherché à comprendre la structuration sociale à partir de l'analyse des poteries ne sont pas nouvelles. G. E. Wright identifiait déjà des régionalismes culturels en 1937 , et reconnaissait une forte distinction des productions entre le nord et le sud de la Palestine. Les travaux postérieurs mirent peu à peu l'accent sur cet aspect, majoritairement centrés sur l'âge du Bronze ancien I . Concernant la période suivante, l'âge du Bronze ancien II-III, les études se sont surtout intéressées au phénomène de " standardisation " de la production, bien que plusieurs d'entre elles se tournent désormais vers l'identification de spécificités régionales . Notre thèse est très dépendante de toutes ces recherches. En analysant la production des céramiques du point de vue archéologique et technologique, nous identifions des régionalismes et des tendances, afin de reconnaître les zones culturelles sur le long terme. Il nous semble en effet que le particularisme majeur de la société palestinienne repose sur l'originalité de chaque groupe de population la composant. Le développement graduel puis le déclin abrupt du premier urbanisme palestinien naissent de l'hétérogénéité des groupes ayant cette identité urbaine en commun. Ceux-ci restent tournés vers des modes de vie ancestraux, qui limiteront leur intégration dans un modèle socio-économique venu de l'étranger. Après un long éclaircissement de la périodisation chronologique et des connaissances actuelles des répertoires typologiques à l'âge du Bronze ancien I (environ 3500-3050 avant notre ère), le premier chapitre a eu pour objectif d'évaluer l'activité céramique et la diversité des entités sociales au Levant méridional, afin de comprendre le processus d'homogénéisation urbaine apparaissant à la fin de cette période. Plusieurs données majeures sont apparues : . Une forte disparité d'organisation artisanale selon les régions a été établie grâce à l'étude du mobilier des sites précédemment mentionnés. L'activité se transforme graduellement, durant le Bronze ancien I, en parallèle à la sédentarisation des populations, aux modifications des pratiques funéraires, à la création d'une économie méditerranéenne ainsi qu'au développement du commerce. . Des différences régionales ont également été repérées suite à l'identification de treize grands ensembles céramiques . Sept zones de production ont été reconnues à l'âge du Bronze ancien Ia et neuf à l'âge du Bronze ancien Ib , constituant les territoires d'entités sociales distinctes mais apparentées. . Nous avons aussi constaté une diffusion des procédés techniques du nord vers le sud durant tout le Bronze ancien I. Il nous semble que les nouveautés technologiques se soient progressivement répandues en Palestine à partir du Levant nord, sous l'intense attraction commerciale exercée par la sphère égyptienne. Suivant la même direction, et profitant des réseaux d'échanges en place, l'urbanisation s'est alors développée dans le nord et sur la plaine côtière. Bien que constituant la promesse d'une vie meilleure, elle a toutefois rencontré plus de résistance dans le sud, au même titre que la transmission des procédés techniques. D'une manière similaire, le second chapitre concernant l'âge du Bronze ancien II-III (environ 3050-2200 avant notre ère) a examiné l'organisation artisanale sur deux niveaux, la production locale et les régionalismes céramiques. Reliées par une identité commune, les populations urbaines participent désormais à un modèle unique, qui est néanmoins adapté aux besoins locaux et à une société de nature tribale. Cette urbanisation " secondaire ", née de contacts et d'échanges, et non d'un développement autochtone comme l'Égypte et la Mésopotamie, est fondée sur une multitude d'entités sociales. Bien que dissimulées dans l'homogénéité du processus urbain, elles restent perceptibles au Bronze ancien II et au Bronze ancien III, à travers les signes d'une persistance des traditions céramiques antérieures et de nouvelles productions. On en compte huit , qui permettent d'identifier six régions au Bronze ancien II et quatre au Bronze ancien III , soit une forte diminution en comparaison de l'âge du Bronze ancien I. Les limites entre les zones de production sont de plus en plus graduelles, et moins apparentes. La distinction principale apparaît entre le nord d'un côté, et le centre et le sud de l'autre. L'examen des mobiliers archéologiques de Tell el-Fâr'ah, Tel Yarmouth et Mégiddo aboutit à la même conclusion, en montrant une disparité technologique entre le nord et le centre-sud, tout en reconnaissant, néanmoins, de nombreux indices de contacts. Pour conclure, il nous semble que l'évolution des pratiques céramiques reflète l'intégration progressive de populations mobiles au sein des premiers villages puis des premières villes, et permet d'expliquer l'effondrement de la société urbaine du Bronze ancien III, notamment par un échec de la cohésion sociale et le retour à un mode de vie semi-sédentaire et ancestral. C'est aussi ce qu'indiquerait l'identification de huit ensembles de céramiques à la période suivante , illustrant une recrudescence des régionalismes et une plus grande disparité des entités sociales à l'âge du Bronze ancien IV. À travers l'analyse des céramiques, ce sont donc les mécanismes de la structuration sociale que nous avons ici évalués, les effets de l'urbanisation, ainsi que les divergences fondamentales et ancestrales des entités sociales, en fonction de leurs modes de vie et de leurs localisations géographiques.
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Etude des procédés d'élaboration et caractérisation des revêtements de bronze et de ses composites préparés par projection à froid

Guo, Xueping 01 July 2009 (has links) (PDF)
Dans cette étude, la technologie de la projection à froid a été utilisée pour réaliser des projections de bronze et ses composites de manière à obtenir un revêtement qui possède bonnes performances en frottement. Les recherches suivantes ont été exécutées dans ce travail à savoir : -la fabrication, la sélection et le post-traitement des poudres de bronzes et de quasicrystaux : -la réalisation de revêtements de bronze et ses composites ; -l'analyses des performances en frottement des revêtements fabriqués ; -la comparaison des caractéristiques et des comportements en frottement entre les revêtements fabriqués par la projection à froid et par la projection thermique conventionnelle. Les résultats montrent que la projection à froid peut être une technologie fiable pour réaliser des revêtements composites à base de bronze, la transformation de phase et l'oxydation qui sont associées aux revêtements fabriqués par les autres techniques de projection thermique conventionnelle peuvent être évitées ou atténuées efficacement par utilisation du procédé de projection à froid, le revêtement composite présente une meilleure propriété tribologique par rapport aux revêtements de bronzes seuls. Les performances en frottement des revêtements fabriqués par projection à froid sont comparables à celles des revêtements fabriqués par projection thermique.
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Visioner på hällar : teorin om förändrat medvetandetillstånd på sydskandinaviska hällristningar under bronsåldern

Karlsson, Cecilia January 2007 (has links)
<p>In this paper I discuss the theory of altered states of consciousness. Some of the rock art of the san-people in southern Africa and the lakota people in South Dakota, USA have been inspired by experiences during trance. The question is if some of the rock art in southern Scandinavia also have been inspired by trance experiences, and if archaeological scientists by investigating this theoretical view might find a better understanding as far as the Bronze Age in Southern Scandinavia is concerned.</p>
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Skålgropar i Kronobergs län : - en diskussion om alternativt medvetandetillstånd och passageritualer i bronsålderssamhället

Karlsson, Cecilia January 2009 (has links)
<p>This thesis discusses South Scandinavian cup marks in general, and cup marks in Kronobergs County in particular. The question is whether the cup mark phenomena can be viewed as an ordinary family-based cult for a kind of everyday use, or more likely as a community passage ritual. The thesis also suggests that cup marks were made by ritual participants in, or in the process of trying to reach, an altered state of consciousness.</p>
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Thinking the Bronze Age : life and death in early Helladic Greece /

Weiberg, Erika, January 2007 (has links)
Thesis (doctoral)--Uppsala University, 2007. / Includes bibliographical references (p. 389-402) and index.
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The Yueshi Culture, the Dong Yi, and the archaeology of ethnicity in early Bronze Age China

Cohen, David Joel. January 2001 (has links) (PDF)
Thesis (Ph.D.)--Harvard University, 2001. / Advisers: Ofer Bar-Yosef, K.C. Chang, Yun Kuen Lee, Richard H. Meadow. Includes bibliographical references.
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Foreign Influences and Consequences on the Nuragic Culture of Sardinia

Choltco, Margaret E. 2009 December 1900 (has links)
Although it is accepted that Phoenician colonization occurred on Sardinia by the 9th century B.C., it is possible that contact between Sardinia‟s indigenous population and the Levantine region occurred in the Late Bronze Age (LBA). Eastern LBA goods found on the island are copper oxhide ingots and Aegean pottery. Previously, it has been suggested that Mycenaeans were responsible for bringing the eastern goods to Sardinia, but the presence of Aegean pottery shards does not confirm the presence of Mycenaean tradesmen. Also, scholars of LBA trade have explained the paucity of evidence for a Mycenaean merchant fleet. Interpretations of two LBA shipwrecks, Cape Gelidonya and Uluburun, indicate that eastern Mediterranean merchants of Cypriot or Syro-Canaanite origin, transported large quantities of oxhide ingots from the Levant towards the west. It remains possible that similar itinerant merchants conducted ventures bringing eastern goods to Sardinia while exploring the western Mediterranean. Trade in eastern goods may have stimulated the advancement that occurred in Nuragic culture in the LBA, resulting in the emergence of an elite social stratum in the Nuragic society. Archaeological evidence, such as elitist burials and increasingly complex architecture, supports the idea of cultural change due to internal competition. This „peer-polity‟ effect may have been incited because of limited accessibility to the exotic eastern goods and the „ownership‟ to the rights of this exchange.
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The bronze age shipwreck at Sheytan Deresi

Catsambis, Alexis 15 May 2009 (has links)
During the fall of 1973, the newly formed (American) Institute of Nautical Archaeology conducted its first systematic underwater survey of the southwestern coast of Turkey with the goal of locating the first shipwreck to be subsequently excavated by the Institute. Of the 18 wreck sites identified during the survey, a site off Sheytan Deresi (Devil’s Creek) proved to be the one that attracted George Bass, director of the survey, as most meriting further study. During the excavation that followed in September and October 1975, the site produced a number of complete and fragmentary ceramic vessels that formed the main artifact assemblage. Although the ceramic vessels brought to light at Sheytan Deresi have been studied by George Bass, Roxani Margariti and others since the 1975 excavation, locating precise parallels for the assemblage proved a difficult task and resulted in a less than full understanding of the site. The following thesis represents a renewed effort to answer a number of questions still surrounding the Sheytan Deresi site. In addition to expanding the extensive search for parallels undertaken by Bass and Margariti, recent research has involved a number of scientific analyses, including petrographic analysis of the ceramic assemblage, luminescence dating of ceramic fragments, and elemental examination of the fabric through neutron activation analysis and energy dispersive spectroscopy. The use of three-dimensional modeling has been adopted for the purposes of site interpretation. Although the impact of this more holistic approach cannot be entirely foreseen at this time, a number of interesting hypotheses regarding the site can now be suggested. It appears that the ceramic assemblage, which is now conclusively of a single origin, may be of a specialized maritime nature, and likely belongs to the Middle Bronze Age, reminiscent of, but entirely similar to, regional types of Anatolian and Cretan vessels. These tentative conclusions, as well as an examination of the site itself, suggest that the (Minoanizing) ceramic assemblage of Sheytan Deresi stood witness to a fairly small Middle Bronze Age coastal trading vessel that capsized rounding a dangerous cape, not far from its point of origin. We are still not in a position to fully comprehend the wrecking event that took place at Sheytan Deresi, but we are now firmly on course towards reaching that objective.
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Möjlig bronsåldersboplats? : en undersökning av platser från bronsåldern på Gotland / Possible Bronze Age Settlement? : a study of places from Bronze Age on Gotland

Sardén Johansson, Erika January 2010 (has links)
<p>There are none known Bronze Age settlement on Gotland, although there are severalexcavation reports that mention that they have found a probable Bronze Age settlement. In the excavation that have been done in the study areas, there are Bronze Age dated hearths, cooking pits and post holes. These study areas have been investigated if they might be possible Bronze Age settlements. This paper discusses about the criteria of settlements and also investigate if the study areas meet those criterias. There are many different criteria for settlement but only the criteria of FMIS are used in the study. There are also different criteria for hearths and cooking pits, what separates them from each other. There have been measures on the distance between different landscape variables in the study areas to see if there are any differences or similarities between the different study areas.</p>
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Lading of the Late Bronze Age ship at Uluburun

Lin, Shih-Han Samuel 29 August 2012 (has links)
The Uluburun shipwreck was discovered in 1982 when a Turkish sponge diver informed the Institute of Nautical Archaeology (INA) of his discovery of metal biscuits with ears. INA archaeologists recognized this as a description of oxhide ingots, a clear indication of a Late Bronze Age site. This find was of considerable interest as very little is known about seafaring, long distance trade, and ship construction during the Late Bronze Age, except for a glimpse provided by the Cape Gelidonya shipwreck excavated in 1960 by George Bass. The site at Uluburun revealed only a handful of disarticulated ship fragments; nevertheless, a meticulous study of these timbers and the distribution of the cargo and shipboard items on the seabed resulted in a hypothetical, but carefully guided, reconstruction of the ship and the lading of its cargo. The artifacts recovered from the Uluburun shipwreck are unlike those discovered on land in quality of preservation as well as the quantity found. Items pertinent to this study include 354 copper oxhide ingots (approximately 10 tons), 152 copper bun ingots (nearly 1 ton), 110 tin ingot fragments (approximately 1 ton), 175 glass ingots (approximately 0.3 tons), 150 Canaanite jars (approximately 2 tons if filled with water), 10 large storage jars (pithoi) (approximately 3.5 tons if filled with water), approximately 51 Canaanite pilgrim flasks, 24 stone anchors (3.3 tons), nearly 1 ton of ballast stones, and the hull remains itself. Two computer programs, Rhinoceros and PHASER, were used to visually model the artifacts and ship in three-dimensions and to systematically test various hull shapes and lading arrangements in a range of hydrostatic conditions. Tests showed that a hull measuring 15 x 5 x 2 m would be capable of carrying the estimated 20 tons of cargo and shipboard items recovered from the wreck at a draft of 1 m, with sufficient freeboard to allow six passengers to stand on one side of the vessel without compromising the stability of the ship. / Institute of Nautical Archaeology

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