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La re-escritura de la historia en las ficciones argentina y quebequense contemporáneas

Elgue de Martini, Cristina January 1999 (has links) (PDF)
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Ô Canada: un hymne national, deux nations vingt-cinq traductions et lectures d’un chant identitaire canadien-français

Alberti, Louis 26 September 2018 (has links)
Cette thèse analyse dans une perspective historique quelques aspects d’une vingtaine de traductions de l’hymne national canadien « Ô Canada », publiées entre 1906 et 1931. Ce chant a été composé à l’occasion d’un important rassemblement à Québec des Sociétés Saint-Jean-Baptiste en 1880. Les paroles françaises originales du Chant national furent écrites par Adolphe Basile Routhier, sur une musique de Calixa Lavallée. Jusqu’à ce jour, le texte français est demeuré intact. Vers 1901, cette chanson patriotique canadienne-française fut introduite au Canada anglais et divers auteurs anglophones ont entrepris de la traduire ou l’adapter. Cette thèse examine particulièrement les conditions de cette appropriation à travers la traduction de 1900 à 1931. Cette période fut, particulièrement en effet, un point d’orgue dans l’évolution de la société canadienne : tensions entre certains sujets attachés à l’Empire britannique et ceux revendiquant une plus grande affirmation nationale; participation du Canada à la Guerre des Boers et à la Première Guerre mondiale; en 1919, signature comme Dominion britannique du Traité de Versailles, ce qui contribua à la montée du nationalisme canadien; reconnaissance en 1931 par le Traité de Westminster de la souveraineté des pays membres de l’Empire britannique — dont le Canada. Les traductions de ce Chant national réalisées au cours de cette période sont presque indissociables des lectures que les traducteurs canadiens-anglais ou britanniques font des changements sociaux, culturels et politiques de leur époque qui se produisent au Canada et ailleurs dans le monde. Plus qu’un texte original, ces traductions expriment les différents avatars de ces lectures identitaires. Cette approche lectorielle forme le socle de notre analyse théorique. Charles Le Blanc le résumait ainsi dans son ouvrage, Le complexe d’Hermès : « Le traducteur est tout à la fois lecteur du texte original et auteur du texte traduit. […] L’original naît de l’écriture — avec tout ce que la culture de l’écrit comporte de libertés — alors que la seconde vient de la lecture – avec tout ce que l’acte de lire présume de culture, de dispositions sentimentales, de mémoire, de réciprocité aussi ». Comme Le Blanc disait de sa traduction de Bruni : « Il s’agit bien plus de comprendre un texte pour le traduire : il faut aussi comprendre une époque et une conscience ». « La fin du travail du traducteur […] n’est pas simplement celle de livrer une version acceptable d’un grand texte. Il faut assurer également que le texte traduit puisse jouer un rôle dans le développement des idées et le progrès de la culture [de son époque] ». Bien que cette thèse ne porte pas sur l’ensemble des traductions réalisées entre les années 1900 et 1980, l’étude illustre, entre autres, que la version-traduction-adaptation-réécriture de l’hymne national canadien actuel promulgué le 1er juillet 1980 — quelques mois après l’échec référendaire du Québec — résulte elle-même d’une lecture idéologique, à tout le moins politique par nos parlementaires fédéraux soucieux de doter le Canada d’un symbole identitaire national comme fondement à cette unité nationale tant recherchée par les fédéralistes des années Trudeau- père. Cette appropriation graduelle d’un symbole patriotique canadien-français résulte du cheminement dans l’imaginaire du Canada anglais des lectures du pays rattachées aux premières traductions du Chant national. Celles apparues entre 1906 et 1931 ont déclenché et concouru à cette mainmise.
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Analyse sémio-narrative d'un corpus de contes merveilleux du Québec

Apetrei, Amelia Elena 08 1900 (has links)
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Le Fonds des Voyageurs : un fonds de secours atypique, 1790-1823

Simonet, Thierry 14 April 2022 (has links)
À la fin du XVIIIe siècle, l’embauche de Canadiens français, surnommés les voyageurs, s’inscrit dans un système de travail de la traite des fourrures qui s’articule à Montréal autour de contrats notariés. Les engagés se lient pour plusieurs mois, voire plusieurs années à un marchand qui les emploie afin d’acheminer en canot des marchandises dans les territoires du Nord-Ouest et en revenir chargé de pelleteries. Conscients des dangers encourus et de l’imprévoyance de leurs employés, les « négociants des Pays d’en haut » orchestrent une société de secours, dès 1790, appelé le « Fonds des voyageurs ». Ce dernier, atypique dans sa conception et dans son organisation, est le « soutien des voyageurs infirmes, de leurs veuves et des orphelins » dans la détresse. Cette étude a pour but de mettre en exergue l’atypie de cette institution d'aide. Elle apparaît dans une conjoncture de métamorphose sociale et économique du Bas-Canada, ainsi que dans le contexte d’une évolution culturelle de prévoyance et d’un communautarisme émergeant. Cette élite marchande venue d’Écosse est liée à une histoire commune de l’« habitus » avec ses employés. Elle applique les préceptes avant-gardistes des Lumières écossaises dans une société montréalaise confrontée à un courant libéral naissant. Ce faisant, ces bourgeois écossais de la société marchande, souvent décrits comme mercantiles, se présentent en fin de compte comme des membres d'un « monde du voyage » solidaires de leurs semblables. Cette nouvelle perspective invite à un ajustement des interprétations de l’historiographie sur la communauté qui exerce le commerce des fourrures à Montréal entre 1790 et 1821.
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All alone avec soi-même : énonciation et identité dans le monologue fransaskois

Miller, Courtney 20 April 2018 (has links)
Dans « La littérature franco-ontarienne à la recherche d’une nouvelle voie : enjeux du particularisme et de l’universalisme » (2002), Lucie Hotte signale que les artistes francophones minoritaires, ayant longtemps puisé dans l’esthétique particulariste, optent maintenant pour une esthétique de l’univeralisme. Jane Moss confirme l’hypothèse de Hotte dans son article, « Francophone Theatre in Western Canada : Dramatic Tales of Disappearing Francophones » (2009). Moss observe qu’au sein du théâtre francophone dans l’Ouest canadien s’opère une transition quant à la représentation de l’identité francophone minoritaire vers un courant postmoderne où les dramaturges, mettant de côté les récits mémoriels nostalgiques, se penchent plutôt sur des thématiques plus universelles. Tout de même, le questionnement identitaire demeure latent à travers ces pièces. Par ailleurs, dans La distance habitée (2003) François Paré remarque que les énonciateurs minoritaires retiennent souvent une mémoire de migration et d’itinérance; que cette distance métaphorique les « habite »; et qu’ils se voient constamment forcés de négocier cette « distance » entre eux et la communauté majoritaire où ils vivent. Partant du constat du Moss, ce mémoire analyse l’énonciation de trois personnages/énonciateurs dans trois monologues fransaskois contemporains, soit Il était une fois Delmas, Sask... mais pas deux fois! d’André Roy, Elephant Wake de Joey Tremblay et Rearview de Gilles Poulin-Denis. Nous examinerons leur identité complexe, riche et problématique. Pour analyser l’énonciation de chacun des personnages, nous nous appuyons sur l’analyse de discours telle que développée par Dominique Maingueneau. Ce faisant, nous visons à combler une lacune importante dans la recherche sur le théâtre fransaskois.
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Les écrivains de La Relève et la pensée romanesque : critique et pratique du roman chez Robert Charbonneau, Robert Élie, Jean Le Moyne et Hector de Saint-Denys Garneau

Giguère, Andrée-Anne 23 April 2018 (has links)
Cette thèse porte sur quatre écrivains ayant contribué de manière considérable au réseau à l’origine des revues La Relève et La Nouvelle Relève (1934-1948), soit Robert Charbonneau, Robert Élie, Hector de Saint-Denys Garneau et Jean Le Moyne. Fondé sur la poétique et l’usage des genres littéraires et des modes du discours, ce travail cherche à comprendre quelle pensée romanesque se dégage des essais de ces écrivains et comment cette pensée se répercute dans leurs textes romanesques. Le corpus analysé est constitué de tous les numéros de La Relève et La Nouvelle Relève et des principaux écrits publics ou inédits (disponibles à ce jour) des quatre écrivains susmentionnés, et ce, dans l’optique de ne pas restreindre la pensée de ces écrivains à l’idéologie qui se dégage de leur revue. La première partie de la thèse porte sur l’influence de trois romanciers phares à La Relève : Bernanos, Dostoïevski et Proust. C’est notamment à la lecture de ces romanciers que Charbonneau, Élie, Le Moyne et Garneau construisent leur discours idéaliste sur le roman, sur sa pratique, mais aussi sur son usage. La deuxième partie de la thèse départage les lectures romanesques françaises et anglo-saxonnes à La Relève, éclairant du même coup les positions souvent divergentes des membres du groupe à l’égard du roman, mais également à l’égard des référents culturels étrangers. La troisième partie analyse la transformation du discours sur le roman lorsqu’il se rapporte au roman canadien-français. Moins admiratif, plus pragmatique, ce discours vise à accompagner la naissance d’une littérature moderne au Canada français. La quatrième partie de la thèse se consacre aux romans de La Relève. Elle permet de confronter l’art du roman de ces écrivains à leur pratique concrète tout en tenant compte de leurs différences : si Robert Charbonneau et Robert Élie ont publié des romans, Saint-Denys Garneau n’a laissé que des esquisses, tandis que Jean Le Moyne utilise le mode romanesque dans sa pratique d’autres genres littéraires. Le rapprochement entre leur pensée romanesque et leur pratique individuelle permet d’éclairer autrement la faillite du roman de ce groupe, qui est pourtant l’un des premiers dans l’histoire littéraire au Québec à avoir utilisé le genre romanesque dans la constitution de sa vision du monde.

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