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Agression sexuelle, attachement, colère et violence conjugale chez des hommes qui consultent en psychologie

Darveau, Vivianne January 2011 (has links)
Plusieurs garçons sont victimes d'agression sexuelle dans leur jeunesse au Canada (Daigneault, Hébert, & McDuff, 2009). Puisque cette expérience traumatique a de sérieuses conséquences à court terme, il est important de porter un intérêt spécifique aux effets à long terme de cette forme de victimisation (Finkelhor, 2008). À cet effet, l'agression sexuelle subie dans l'enfance a déjà été associée à la violence conjugale chez les adultes (Senn, Carey, Vanable, Coury-Doniger, & Urban, 2006) et il apparaît important de comprendre comment l'expérience de victimisation peut être reliée à l'agression. Des études montrent que les enfants ayant vécu un trauma incorporent une rupture d'attachement (Crittenden, 1988a; Egeland & Sroufe, 1981) et éprouvent des difficultés à réguler leurs affects (Main & Hesse, 1990). Par ailleurs, l'agression sexuelle subie par les hommes dans l'enfance est liée à une anxiété d'abandon élevée à l'âge adulte (Godbout, Sabourin, & Lussier, 2007) et l'anxiété d'abandon est également liée à la mauvaise gestion de la colère (Lafontaine & Lussier, 2005). De plus, l'insécurité d'attachement et la gestion dysfonctionnelle de la colère sont reliées théoriquement à la violence conjugale émise (Brown, 2004). Ainsi, cette étude vise l'exploration des liens empiriques entre l'agression sexuelle vécue dans l'enfance, l'insécurité d'attachement adulte (évitement de l'intimité et anxiété d'abandon), la colère (le sentiment, le trait de personnalité colérique, les styles de gestion) et la violence conjugale (physique et psychologique) auprès d'un échantillon clinique d'hommes. À leur admission dans un service d'aide thérapeutique, 104 hommes qui consultaient principalement pour des problèmes liés à la violence et aux conflits conjugaux, ont complété des mesures auto-administrées d'attachement adulte, de colère au sein du couple et de violence conjugale. Les analyses de régression multiple révèlent qu'une agression sexuelle subie dans l'enfance est liée à la répression de la colère, mais n'est pas liée à l'insécurité d'attachement ni à la violence conjugale émise par les hommes de l'échantillon. L'insécurité d'attachement est reliée à la violence psychologique émise et ces liens sont expliqués par la gestion de la colère. Précisément, l'anxiété d'abandon prédit l'émission de violence psychologique via le trait de personnalité colérique, la répression, l'expression inadéquate de la colère et le faible contrôle de la colère. De plus, l'évitement de l'intimité prédit l'émission de violence psychologique via le trait de personnalité colérique, la répression de la colère et le faible contrôle de la colère. Par ailleurs, une fois la désirabilité sociale contrôlée, seule l'anxiété d'abandon prédit encore la violence psychologique émise via le trait de personnalité colérique et l'expression inadéquate de la colère. Sur le plan clinique, ces résultats suggèrent l'importance de considérer les enjeux liés aux insécurités d'attachement dans les interventions ciblant la gestion de la colère et la violence psychologique émise en couple.
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Anxiété d'abandon, intolérance à l'incertitude, satisfaction conjugale et intimité chez les couples de la population générale

Demers, Cynthia January 2012 (has links)
Considérant la fragilité des unions d'aujourd'hui qui contribue à créer un contexte peu rassurant pour les conjoints qui s'engagent dans une relation de couple, il semble pertinent d'examiner si une sensibilité liée à l'insécurité est associée à des insatisfactions conjugales. Des chercheurs ont montré des liens significatifs entre des facteurs liés à l'anxiété ainsi que la satisfaction et l'intimité conjugales. Toutefois, des résultats divergents ressortent de ces études, qui ont pour la plupart été réalisées auprès d'étudiants ou d'un seul partenaire du couple. Cette thèse vise à poursuivre l'étude des variables explicatives de la satisfaction et de l'intimité conjugales en ciblant deux vulnérabilités individuelles de nature anxieuse, soit l'anxiété d'abandon et l'intolérance à l'incertitude (II). Cent soixante couples hétérosexuels de la population générale ont été recrutés sur une base volontaire afin de remplir des questionnaires sur les variables étudiées. Des analyses statistiques basées sur l' Actor-Partner Interdependance Model (APIM; Kashy & Kenny, 2000; Kenny, Kashy, & Cook, 2006) ont été réalisées sur les données amassées. Les hypothèses suggérant que l'anxiété d'abandon et l'II d'une personne soient associées négativement à son propre niveau de satisfaction et d'intimité conjugales (effet acteur) ainsi qu'à ceux de son partenaire (effet partenaire) ont été partiellement confirmées. Les résultats révèlent que l'anxiété d'abandon de l'homme est associée négativement à sa satisfaction conjugale, son intimité émotionnelle, sociale, récréative et sexuelle ainsi qu'à la satisfaction conjugale et l'intimité émotionnelle perçue par sa partenaire. L'anxiété d'abandon de la femme est pour sa part liée négativement à son propre niveau d'intimité sociale ainsi qu'à la satisfaction conjugale et l'intimité émotionnelle perçue par son conjoint. Deux différences de sexe significatives indiquent que la façon dont l'anxiété d'abandon d'une personne est associée à sa satisfaction conjugale ainsi qu'au niveau d'intimité sexuelle qu'elle perçoit diffère significativement selon qu'elle soit un homme ou une femme. En ce qui concerne l'II, celle de la femme est associée négativement à son intimité émotionnelle et récréative en plus de l'être à la satisfaction conjugale, l'intimité émotionnelle ainsi que l'intimité récréative de son conjoint. Il est possible que la jalousie, les inquiétudes ainsi que les demandes excessives pour se rassurer puissent en partie expliquer l'expérience conjugale moins enrichissante des partenaires vivant de l'anxiété d'abandon. Il semble également probable que le désir des individus intolérants à l'incertitude d'accéder à des certitudes soit associé à une plus grande difficulté à profiter du moment présent et donc à une expérience d'intimité conjugale moins riche pour les deux partenaires. Cette étude permet d'identifier de nouveaux liens entre l'anxiété d'abandon et différents types d'intimité chez des couples de la population générale. Elle se distingue aussi particulièrement par l'étude de l'II en contexte conjugal qui demeure à ce jour très peu exploitée. Les résultats soulèvent la pertinence de réaliser d'autres études impliquant l'anxiété d'abandon et l'II dans le contexte des relations de couple, dont auprès d'une population clinique, afin d'approfondir les connaissances ainsi que de potentiellement identifier de nouvelles pistes de thérapie conjugale.
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Fonctionnement conjugal et trouble d'anxiété généralisée

Dalphond, Ariane January 2015 (has links)
Le Trouble d’anxiété généralisée (TAG) constitue l’un des troubles psychiatriques les plus associés à la détresse conjugale. Il serait également lié à l’attachement amoureux et à diverses facettes du fonctionnement conjugal, dont le soutien. Les résultats obtenus à ce jour demeurent toutefois équivoques; certains liens sont observés chez un seul des partenaires, ce qui ne tient pas compte des effets dyadiques. Les différences de sexe n’ont également pas toujours été considérées dans les études recensées, bien que la pertinence de les étudier ait été soulignée. Cette thèse vise à poursuivre l’examen des liens entre, d’une part, les symptômes du TAG et, d’autre part, la satisfaction conjugale, l’attachement amoureux et le soutien conjugal auprès de couples issus de la population générale (étude 1). Elle vise également à comparer des individus en couple présentant un diagnostic clinique primaire de TAG et des individus en couple sans diagnostic au plan de l’attachement amoureux et de la satisfaction conjugale (étude 2). La thèse comporte deux articles présentant chacune des études menées. Les analyses dyadiques de type acteur-partenaire réalisées dans l'étude 1 révèlent que l'anxiété d'abandon est liée à la tendance à s'inquiéter et aux symptômes somatiques du TAG chez les hommes et les femmes. Elles indiquent aussi que plus les femmes présentent de symptômes somatiques du TAG, moins elles rapportent de soutien conjugal (émis et reçu) et plus elles rapportent une satisfaction conjugale faible (effets acteurs). Des effets partenaires sont également observés. Plus les femmes présentent de symptômes somatiques du TAG, moins leur conjoint présente de soutien émis et reçu et plus les femmes rapportent de symptômes somatiques et d’inquiétudes, moins leur conjoint présente une satisfaction conjugale élevée. Dans l'étude 2, les analyses de variance révèlent que les individus, hommes ou femmes, souffrant du TAG sont moins satisfaits dans leur relation de couple et présentent davantage d’évitement de l’intimité et d’anxiété d’abandon que les individus sans trouble anxieux ou trouble associé. Cette thèse appuie les liens bidirectionnels entre les symptômes du TAG et l'insatisfaction conjugale chez les couples de la population générale et a permis de faire ressortir certains liens dyadiques quant à l'attachement et la perception des échanges de soutien entre les partenaires. Elle appuie également la présence de liens entre le fonctionnement conjugal et le TAG retrouvé chez une population clinique. Enfin, cette thèse souligne l'importance de considérer certains éléments du fonctionnement conjugal dans un contexte de thérapie ciblant le TAG. Notamment, les insécurités d'attachement et la qualité du soutien gagneraient à être prises en compte dans l'évaluation et le traitement des symptômes du TAG. De plus, l'implication du conjoint pourrait s'avérer pertinente pour traiter ce trouble.
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Relation entre la violence conjugale et la qualité de la relation mère-enfant : effet médiateur ou modérateur de la santé des mères ?

De la Sablonnière, Édith January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le syndrome de la femme battue et le recours à l'expert lors de procès de femmes maricides : une analyse de discours

Bélanger, Sophie January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Analyse de survie sur les prédicteurs de la durée d’un processus thérapeutique individuel chez les hommes auteurs de violence conjugale

Belzile, Martin January 2016 (has links)
La violence conjugale est un problème social qui engendre des coûts sérieux (Statistique Canada, 2016). Son traitement est important. Les taux d’abandon thérapeutique observés dans les programmes de traitement en groupe pour les hommes auteurs de comportements violents en contexte conjugal se situent entre 15 et 58 % (Jewell & Wormith, 2010). Ces hauts taux d’abandon réduisent l’efficacité réelle des suivis pour violence conjugale (Bowen & Gilchrist, 2006). Des études montrent que l’âge, l’occupation, le statut conjugal, le faible revenu, l’expérience de violence physique à l’enfance, la consommation de drogue et d’alcool, ainsi que la personnalité colérique et la fréquence des comportements de violence sont des variables qui permettent de prédire l’abandon d’un programme de traitement de la violence conjugale en format de groupe et de type fermé (Jewell & Wormith, 2010). Aucune étude recensée n’a étudié les prédicteurs liés à l’abandon thérapeutique d’un traitement en format individuel de type ouvert. Cette étude visait à identifier quels sont les moments-clés où il y a cessation du suivi pour violence conjugale et à vérifier quelles variables sont associées à une cessation plus ou moins précoce du traitement individuel des hommes auteurs de violence conjugale. Une batterie de questionnaires auto-rapportés a été soumise à 206 hommes francophones qui amorcent une consultation individuelle pour un problème de violence conjugale dans un centre communautaire de la province de Québec. Parmi ceux-ci se trouvaient des questionnaires évaluant l’expérience de la colère, les comportements de violence conjugale, les insécurités d’attachement amoureux et la désirabilité sociable. Le nombre de séances complétées par chaque participant a également été obtenu par le biais de l’organisme. Une première analyse de survie a permis de produire une table de survie et d’identifier trois moments où la cessation du suivi est la plus fréquente, soient une cessation précoce (1 ou 2 séances), une cessation à court terme (3 à 5 séances) et une cessation à moyen terme (après la 11e séance). L’analyse de survie par régression de Cox a ensuite permis de montrer que l’âge, le fait d’avoir complété ou non des études post-secondaires, le fait d’avoir une occupation stable (emploi ou études à temps plein) ou non, le fait de consulter sous ordonnance légale, le niveau de violence psychologique émise, ainsi que les insécurités d’attachement (évitement de l’intimité, anxiété d’abandon) sont tous des prédicteurs significatifs du moment de cessation d’un suivi individuel de type ouvert pour violence conjugale. Plus précisément, les participants qui n’ont pas complété d’études post-secondaires, qui sont sans occupation stable, qui consultent sous ordonnance de la Cour ou de la DPJ et qui présentent peu d’évitement de l’intimité ont davantage tendance à cesser leur suivi de façon précoce; les participants qui ont complété des études post-secondaires et qui présentent peu d’anxiété d’abandon ont davantage tendance à cesser leur suivi à court terme; les clients qui posent moins d’actes de violence psychologique ont davantage tendance à mettre fin à leur suivi à moyen terme. Les implications cliniques de ces résultats sont discutées
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Symptomatologie dépressive et communication conjugale chez des femmes atteintes de cancer du sein

Normand, Julie January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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L'intervention intégrale en violence conjugale au Pérou : perceptions de femmes victimes et d'intervenants

Lebel, Julie January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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On bat une maman : Lien d'attachement de l'enfant exposé à la violence conjugale / A mother is beaten : Child's attachment link exposed to domestic violence

Bourouais, Yassine 27 September 2014 (has links)
La violence conjugale est une problématique préoccupante dans les temps modernes ; l’enfant exposé à cette violence, entre ses parents, trouve des difficultés importantes dans la construction d’un lien d’attachement avec ceux-ci. Le concept d’attachement n’est pas défini par la psychanalyse, il s’invite comme concept articulateur, notamment en ce qui concerne le débat sur le surgissement de la théorie de l’attachement. C’est à l’appui d’un modèle théorico-clinique transversal croisant la théorie de l’attachement et la psychanalyse que cette recherche tente de déterminer dans quelle mesure la violence conjugale altère la qualité du lien d’attachement de l’enfant exposé. La sécurité du lien permet à l’enfant d’explorer l’environnement et de consolider ses représentations, sauf dans le cas d’exposition à la violence conjugale où l’insécurité plane sur le lien de l’enfant avec ces figures d’attachement. Quand le père bat la mère, l’enfant y exposé perçoit une attaque du lien, et la sécurité du lien de l’enfant avec son parent dépend de la sécurité du lien entre les parents. L’exposition à violence conjugale affecte la qualité du lien de l’enfant avec son parent, l’insécurité de l’attachement semble être traumatisante et génère des conflits identificatoires. La violence conjugale altère les capacités représentatives de l’enfant, les figures d’attachement le sidèrent dans un contexte de froideur relationnelle, ils offrent de la haine au lieu de l’amour, de l’insécurité au lieu de la confiance. / The domestic violence is a worrisome problem in modern times; the child exposed to this violence, between his parents, finds important difficulties in the construction of a link of attachment with these. The concept of attachment is not defined by the psychoanalysis, it invites himself as articulator concept, in particular as regards the debate on the appearance of the theory of the attachment. This is in support of a cross-theoretical clinical model crossing the attachment theory and psychoanalysis that this research attempts to determine the extent to which domestic violence alters the quality of the attachment link of the exposed child.Safety of the link allows the child to explore the environment and to strengthen its representations, except in the case of exposure to domestic violence where insecurity hovers over the link between the child and the attachment figures. When the father beats the mother, the child y exposed perceives an attack of the link, and the safety link between the child and his parents depends on the safety of the link between the parents.Exposure to domestic violence affects the quality of the link between the child and his parents, the insecurity of the attachment seems to be traumatic and generates identifying conflicts. Domestic violence distorts the representative capacities of the child, the attachment figures bewilder him in a context of relational coolness, they offer hatred instead of love, insecurity rather than confidence.
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L'expérience du stress et stratégies d'adaptation chez le thérapeute qui intervient auprès des immigrantes victimes de violence conjugale

Darzi, Chantal M. 24 February 2011 (has links)
Cette étude avait pour but d’examiner l’expérience du stress au travail et des stratégies d’adaptation des thérapeutes qui travaillent auprès de femmes immigrantes victimes d’abus conjugal. En suivant une méthodologie qualitative, cette recherche tentait de répondre aux questions suivantes : 1) Quelle serait la nature du stress au travail des thérapeutes qui interviennent auprès des immigrantes victimes d’abus conjugal ? Comment ce stress se développe-t-il ? 2) Comment ces intervenants tentent de s’adapter au stress ? Les quatre participantes de cette étude ont passé une entrevue semi-dirigée et l’analyse des données suivait la méthode de codification en théorisation ancrée proposée par Strauss et Corbin (1998). Quatre catégories principales composent la théorie préliminaire émergente : les manifestations du stress, les facteurs de stress, les éléments d’adaptation au stress, ainsi que les recommandations des participantes. Le stress s’exprimait notamment par le biais des émotions et portait aussi une atteinte à l’identité et à la pratique professionnelle des participantes. Les sources de stress provenaient des caractéristiques et problématiques présentées par la cliente, se retrouvaient aussi au sein de la vie professionnelle et personnelle des participantes, ainsi qu’au niveau organisationnel. Afin d’atténuer les effets négatifs du stress, les participantes avaient recours à des stratégies d’adaptation au travail et dans leur vie personnelle, ainsi que des facteurs de résilience. Enfin, les participantes ont pu offrir des recommandations importantes tant au niveau de la formation qu’au niveau de la pratique. Cette étude offre ainsi des pistes de recherche et d’intervention intéressantes à l’égard de la formation initiale, la supervision, et le développement professionnel des thérapeutes qui interviennent auprès des immigrantes souffrant de la violence conjugale.

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