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Couples in distress : a dyadic analysis of attachment insecurities and romantic disengagement among couples seeking relationship therapyCallaci, Melissa 08 1900 (has links)
Le désengagement conjugal fait référence à une perte d’amour entre les partenaires amoureux. Il comprend une indifférence émotionnelle ainsi que des stratégies d’évitement cognitif et comportemental. Ceci constitue une des difficultés le plus souvent rapportées auprès des couples qui consultent en thérapie conjugale. Par ailleurs, la problématique serait parmi les plus difficiles à traiter en thérapie selon les thérapeutes conjugaux. Bien que quelques études et écrits cliniques ont examiné le processus de désengagement conjugal et l’ont mis en lien avec le bien-être conjugal, aucune étude n’a examiné le désengagement auprès des couples présentant de la détresse conjugale. Le peu d’études réalisés sur le sujet ont principalement utilisé des approches individuelles et recruté des échantillons provenant de la population générale. Compte tenu de la prévalence du désengagement auprès des couples requérant les services de thérapie conjugale, ainsi que la difficulté à traiter cette problématique en thérapie conjugale, des études supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre les prédicteurs de désengagement auprès d’une population clinique et l’impact de la thérapie conjugale pour réduire le désengagement. La théorie de l'attachement propose un cadre théorique pertinent pour l’étude du désengagement conjugal. Ainsi, cette thèse examinera les insécurités d’attachement comme prédicteurs de désengagement dans un contexte clinique. De plus, la thèse évaluera dans quelle mesure la thérapie conjugale en milieu naturel réduit le désengagement, ainsi que le rôle des insécurités d’attachement des deux partenaires dans le cadre d’une telle thérapie. Le but principal de cette thèse est donc de mieux comprendre le désengagement conjugal dans un contexte clinique afin de proposer des pistes d’intervention aux thérapeutes conjugaux.
Afin de mieux comprendre le désengagement dans un contexte clinique, une première étude a été effectué au sein des couples en détresse entament une thérapie conjugale. L’étude à examiner l’association entre l’insécurité d’attachement de chaque partenaire et le niveau de désengagement dans une perspective dyadique. Les analyses réalisées auprès de 171 couples hétérosexuels révèlent que les insécurités d’attachement sont liées au désengagement conjugal au-delà de ce qui est expliqué par la dépression, la satisfaction conjugale et l’engagement conjugal. Nos résultats suggèrent que le désengagement pourrait se présenter différemment chez les hommes et les femmes. Alors que le désengagement des hommes serait principalement lié à leurs propres insécurités d'attachement (évitement), le désengagement des femmes serait lié à la fois à leurs propres insécurités d'attachement ainsi qu’à celles de leur partenaire. Plus précisément, un plus haut niveau de désengagement chez la femme serait lié à son propre évitement ainsi qu’à l’anxiété d’abandon de son partenaire. De plus, l'association entre l'anxiété d’abandon chez la femme et son propre désengagement serait modérée par l’évitement de son partenaire. En effet, les femmes présentant plus d'anxiété d’abandon rapportent moins de désengagement lorsqu'elle est en couple avec un partenaire présentant plus d’évitement de l’intimité. Ces résultats soulignent l’importance des enjeux d’attachement chez les couples qui entament un processus de thérapie conjugale et qui présentent un haut niveau de désengagement. Les interventions visant à comprendre la dynamique d'attachement ainsi qu’à réduire la dépression et augmenter la satisfaction conjugale et l’engagement des partenaires du couple pourraient fournir aux thérapeutes une piste pour aider les partenaires à s'engager de nouveau dans leur relation.
En s’appuyant sur les résultats de cette première étude dyadique, notre deuxième article visait à examiner si la thérapie de couple offerte en milieu naturel parvient à réduire le désengagement auprès des couples qui consultent en thérapie conjugale. L’étude a également examiné dans quelle mesure les insécurités d'attachement sont associées à l’amélioration du désengagement au fil de la thérapie conjugale. L’échantillon comprenait 163 couples hétérosexuels débutant une thérapie conjugale dans une clinique privée. Les partenaires ont complété des questionnaires pré-intervention après la première séance d’évaluation et ont rempli des questionnaires de suivi après 15 semaines en thérapie. Les résultats révèlent que le désengagement diminue lorsque les couples suivent une thérapie conjugale, et ce même après seulement quatre à 10 séances d’intervention. Cependant, les insécurités d'attachement nous informent pour qui la thérapie semble la moins efficace. L’évitement de l’intimité de l’homme et l’anxiété d’abandon de la femme étaient associés à un plus haut niveau de désengagement chez l’homme lors du suivi de 15 semaines, et ce même après avoir contrôlé pour la dépression et la satisfaction conjugale. Ces résultats suggèrent que les insécurités d’attachement peuvent être des facteurs qui rendent la thérapie plus difficile, surtout chez les hommes. Les résultats sont discutés à la lumière des interventions cliniques pour la thérapie de couple. / Romantic disengagement refers to a loss of love between romantic partners. It is characterized by emotional indifference as well as cognitive and behavioral distancing strategies. Lack of love appears among the most reported difficulties by couples seeking relationship therapy and the most difficult problems for therapists to treat. It is also considered an important factor in relationship functioning and maintenance, as it is associated with relationship dissatisfaction and divorce. Although a few studies and clinical writings have examined the process of romantic disengagement and linked it to relationship outcomes, no study has examined disengagement among distressed couples. The few studies conducted have mainly employed an individual approach within community samples. Given the prevalence of disengagement among distressed couples and the difficulty associated with its treatment in therapy, studies are needed to better understand disengagement in a clinical context. Attachment theory offers a theoretical framework for assessing romantic disengagement, as it provides an explanation of why individuals form and maintain relationships. Thus, this thesis examined attachment insecurities as predictors of disengagement among distressed couples seeking relationship therapy. In addition, it assessed the role of more contextual factors including depression, relationship satisfaction and commitment on romantic disengagement. Moreover, the thesis evaluated the effectiveness of couple therapy in a naturalistic setting for reducing disengagement and assessed whether attachment insecurities act as risk factors for disengagement change in therapy. The underlying aim of the thesis was to better understand romantic disengagement in a clinical context in order to propose clinical implications for therapists.
In an attempt to better understand romantic disengagement within a clinical context, a first study was carried out among 171 relationally distressed couples seeking relationship therapy in a naturalistic setting. The study examined the association between attachment insecurities (avoidance and anxiety) and romantic disengagement from a dyadic perspective while controlling for depression, commitment and relationship satisfaction. Analyses revealed that attachment insecurities are associated with greater romantic disengagement but suggest that disengagement may present differently for men and women. While for men disengagement appears to be mainly linked to their own attachment insecurities (avoidance), disengagement in women appears to be associated to both to their own and their partners’ attachment insecurities. More specifically, women reported higher romantic disengagement when she was high on attachment-related avoidance and when her partner was high on attachment-related anxiety. Male attachment-related avoidance was found to moderate the association between female attachment-related anxiety and female romantic disengagement in that women with higher attachment-related anxiety report lower disengagement when paired with a partner high on attachment-related avoidance. These results highlight the importance of attachment insecurities for couples who present in therapy with high levels of disengagement. Furthermore, it suggests that intrapersonal and contextual factors such as depression, relationship satisfaction and commitment play an important role in understanding romantic disengagement in couples seeking therapy. Interventions aimed at understanding the couple’s attachment dynamic, as well as reducing depression and improving commitment and relationship satisfaction may provide therapists with a lead for aiding partners high in romantic disengagement to re-engage in their relationship.
Building on the results of our first study, our second article aimed to examine whether couple therapy was effective at reducing disengagement among distressed couples and the extent to which attachment insecurities help or hinder changes in disengagement. Participants included 163 heterosexual couples seeking relationship therapy. Couples completed questionnaires after the first intake session and 15 weeks into therapy. The results revealed that disengagement decreases when couples undergo therapeutic treatment, even after only four to 10 intervention sessions. Moreover, attachment insecurities play a role is who is more likely to improve in therapy. Attachment insecurities were associated with romantic disengagement at follow-up even when controlling for depression and relationship satisfaction. Men higher on attachment- related avoidance reported greater romantic disengagement at follow-up. Moreover, men also reported higher disengagement at follow-up when paired with a woman high on attachment-related anxiety. Results suggest that attachment insecurities may be factors associated with progress in therapy, especially for men. Findings are discussed in light of clinical interventions for couple therapy.
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La violence entre partenaires intimes agie par les jeunes femmes: l’apport prédictif des trajectoires de problèmes de comportement à l’adolescenceLemieux-Beaulieu, Camille January 2014 (has links)
La présente recherche s’intéresse au lien entre les problèmes de comportement à
l’adolescence et la violence psychologique et physique envers le partenaire intime
commise au tournant de l’âge adulte par les jeunes femmes ayant été hébergées en centre
de réadaptation à l’adolescence. À la lumière de la littérature existante, il semble clair
qu’il existe un lien entre les problèmes de comportements à l’adolescence et la violence
agie entre partenaires intimes au tournant de l’âge adulte. Or, il n’existe qu’un nombre
limité d’études longitudinales s’étant intéressées à ce sujet spécifiquement chez les jeunes
femmes ou ayant traité les sexes de façon distincte. La façon dont les problèmes de
comportement ont été mesurés pose également problème puisqu’elle n’est pas constante
d’une étude à l’autre, elle ne précise souvent pas les comportements mesurés et permet
encore moins de cerner quels comportements distincts sont les plus prédictifs. Quant à la
violence envers partenaire intime, les chercheurs se sont intéressés presqu’exclusivement
à cette variable sous sa forme physique. De surcroit, bien que les théories
criminologiques développementales précisent que l’analyse en terme de trajectoires
mérite un intérêt particulier, peu de chercheur se sont intéressés à ce type d’analyse.
Le présent projet a pour ambition de tenter de remédier à ces lacunes en proposant
un devis longitudinal et en s’intéressant à un échantillon composé de 93 jeunes femmes
ayant été hébergées en centre de réadaptation à l’adolescence sous le couvert de la
Protection de la jeunesse. Les objectifs sont de (1) décrire l’ampleur de la violence
psychologique et physique perpétrée par les jeunes femmes envers leurs partenaires
intimes au tournant de l’âge adulte (2) examiner si l’âge d’apparition des problèmes de
comportement est prédictif de la violence physique et psychologique perpétrée par les
jeunes femmes envers leurs partenaires intimes au tournant de l’âge adulte (3) établir la
force des relations entre les trajectoires des problèmes de comportement rapportés à
l’adolescence et la violence physique et psychologique perpétrée par les jeunes femmes envers leurs partenaires intimes au tournant de l’âge adulte (4) examiner l’apport prédictif des trajectoires des problèmes de comportement rapportés à l’adolescence sur la violence
physique et psychologique perpétrée par les jeunes femmes envers leurs partenaires
intimes au tournant de l’âge adulte, en contrôlant pour les antécédents de maltraitance
physique et psychologique (5) déterminer si la force de ces relations varie selon la nature
des problèmes de comportement.
Divers questionnaires auto-rapportés ont été complétés par les filles tout au long
de l’adolescence concernant la violence physique, relationnelle et verbale, la
consommation de psychotropes, les vols, les activités sexuelles à risque et l’association à
des gangs de rue. De ces données, des trajectoires développementales ont pu être créées.
Au tournant de l’âge adulte, un questionnaire comprenant 38 items et bâti par Lavoie,
Dufort, Hébert et Vézina (1997) a été administré aux jeunes femmes concernant la
violence psychologique et physique commise envers leur partenaire intime. Des analyses
statistiques (descriptives, corrélations de Pearson, régressions binomiales négatives) ont
été effectuées afin d’atteindre les objectifs de recherche fixés.
Les résultats démontrent que les jeunes femmes sont davantage portées à utiliser
la violence psychologique que la violence physique envers leur partenaire intime. Il
appert également qu’il existe un lien entre l’apparition en bas âge des problèmes de
comportement et une plus grande variété des gestes de violence commis envers le
partenaire intime. Au-delà de l’âge d’apparition des problèmes de comportements, les
trajectoires de persistance des problèmes de comportements sont associées à la variable
dépendante, surtout en ce qui concerne la violence physique envers le partenaire intime.
En effet, cela peut augmenter jusqu’à deux à trois fois la variété des gestes commis au
tournant de l’âge adulte. Enfin, la persistance de la consommation de drogues et d’alcool est le comportement qui ressort comme étant le plus fortement lié autant à la violence psychologique que physique envers le partenaire intime. Du côté de la violence physique commise envers le partenaire intime, le lien avec la persistance de la violence physique à l’adolescence semble également solide. De telles conclusions pourraient permettre de sensibiliser la population à
l’existence et à l’ampleur de la problématique. Le souci de pouvoir offrir une meilleure
connaissance du lien prédictif entre les variables étudiées est également présent. Enfin,
cette recherche permet d’offrir des pistes de solution concernant la prévention de la
violence commise envers le partenaire intime qui pourraient avoir des retombées au plan de pratique.
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Traumas interpersonnels dans l’enfance, empathie dyadique et violence conjugale envers la conjointe chez les hommes adultes d’une population cliniqueCharbachi, Noëlle January 2014 (has links)
Selon les données de l’Association des centres jeunesses du Québec (ACJQ), les signalements retenus concernant la violence physique subie et d’exposition à la violence conjugale durant l’enfance sont en constante augmentation alors que l’agression sexuelle représente 5,6 % des signalements retenus en 2011 et 2012 (ACJQ, 2012). Ces traumas de nature interpersonnelle peuvent avoir un impact important sur le développement comportemental, cognitif et émotionnel des victimes. Certaines études rapportent des niveaux d’empathie émotionnelle et cognitive plus faibles chez les enfants victimes et témoins de violence familiale (Davis, 1996; Hinchey & Gavelek, 1982; Straker & Jacobson, 1981), ce qui est aussi rapporté à l’âge adulte (Simons, Wurtele, & Heil, 2002). Les enfants témoins de violence conjugale et victimes de violence physique auraient tendance à être eux-mêmes impliqués dans une relation amoureuse violente à l’âge adulte (Jose & O’Leary, 2009; Stith et al., 2000) alors que l’agression sexuelle vécue durant l’enfance prédirait la violence conjugale physique émise par les hommes adultes (Fang & Corso, 2008). Des études montrent que la violence conjugale psychologique est liée à un plus faible niveau d’empathie cognitive (Covell, Huss, & Langhinrichsen-Rohling, 2007; Péloquin, Lafontaine, & Brassard, 2011) alors que la violence conjugale physique est liée à une moindre empathie globale (Clements, Holzworth-Munroe, & Schweile, 2007). La présente étude vise à évaluer les liens entre deux traumas interpersonnels vécus durant l’enfance (témoin ou victime de violence familiale, agression sexuelle), l’empathie dyadique (émotionnelle et cognitive) et la violence conjugale émise à l’âge adulte (psychologique et physique) au sein d’une
population clinique. À leur admission à un service d’aide pour difficultés conjugales, 198 hommes adultes ont complété des questionnaires auto-administrés d’empathie dyadique, de caractéristiques sociodémographiques (incluant les expériences de traumas durant l’enfance), de désirabilité sociale et de perpétration de violence conjugale. Des analyses de régression hiérarchique révèlent un lien négatif entre l’agression sexuelle et l’empathie dyadique émotionnelle ainsi qu’un lien marginalement significatif entre la violence familiale et l’empathie dyadique cognitive. La violence familiale est négativement liée à la perpétration de violence conjugale physique. L’agression sexuelle est liée à l’émission de violence conjugale physique (tendance) et psychologique. Des analyses de covariance montrent que les hommes ayant vécu deux types de traumas émettent davantage de violence conjugale psychologique que ceux qui ont vécu un seul trauma, mais ils ne diffèrent pas de ceux qui n’ont pas vécu de traumas. L’empathie dyadique cognitive est négativement liée à la violence conjugale physique et psychologique tandis que l’empathie dyadique émotionnelle est positivement liée à la violence conjugale psychologique émise. De plus, l’empathie dyadique émotionnelle est une variable médiatrice du lien entre l’agression sexuelle et la violence conjugale psychologique tandis que l’empathie dyadique cognitive est une variable modératrice du lien unissant ces deux variables. Au plan clinique, les résultats mettent en évidence les conséquences néfastes de l’agression sexuelle et l’importance de cibler l’empathie dyadique cognitive dans le traitement de la violence conjugale chez les hommes.
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Facteurs psychologiques reliés à la satisfaction conjugale et l'ajustement parental lors de l'arrivée d'un enfantGagné, Caroline January 2015 (has links)
L’arrivée d’un enfant implique des changements financiers, sociaux et professionnels, en plus de représenter un bouleversement important au plan de l’identité personnelle et de la dynamique conjugale des parents. La transition familiale apparait aussi liée à un déclin quant au niveau de satisfaction conjugale de ces derniers. Certaines vulnérabilités psychologiques peuvent contribuer à rendre l’arrivée d’un enfant plus anxiogène et affecter l’ajustement conjugal et parental. Cette thèse vérifie la présence de liens entre des vulnérabilités psychologiques (anxiété d’abandon, évitement de l’intimité, intolérance à l’incertitude, perfectionnisme) et l’ajustement conjugal (satisfaction conjugale) et parental (niveau de stress parental et alliance parentale) des pères et des mères dans le contexte de l’arrivée d’un enfant. Des parents hétérosexuels québécois âgés de plus de 18 ans ont rempli des questionnaires évaluant les variables de vulnérabilité et d’ajustement. Des analyses de régression multiple hiérarchique montrent qu’en contrôlant pour les symptômes anxio-dépressifs et des facteurs sociodémographiques, l’évitement de l’intimité est un facteur explicatif des difficultés d’ajustement conjugal et parental à l’arrivée d’un enfant, tant chez les hommes que chez les femmes. Le stress parental est expliqué par l’anxiété d’abandon chez les hommes et les femmes, ainsi que par l’intolérance à l’incertitude et le perfectionnisme mésajusté chez les femmes seulement. L’étude permet de cibler certaines variables pertinentes à considérer pour comprendre les difficultés d’ajustement à l’arrivée d’un enfant, ce qui peut faciliter l’identification des couples plus à risque de vivre des difficultés d’ajustement significatives lors de cette transition, en plus d’offrir de nouvelles pistes d’intervention.
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Fluctuations émotionnelles, relation conjugale et consommation de substances : une étude en vie quotidienne chez un échantillon de femmes toxicomanesBarrault, Marion January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Portée et effets perçus des ressources pour victimes de violence familiale : l'expérience de femmes autochtones d'origine innueBourque, Patricia January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Dépression, conduites violentes et de négociation en réaction à la violence d'un conjoint : contribution de la dépendance et de l'autocritiqueBoucher, Sophie January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les mesures de rechange et le système pénal : opinions des acteurs pénaux, jeux et enjeuxLanglois, Claudine January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Étude épidémiologique et clinique des violences vécues par les femmes iraniennes : clinique des violences en contexte conjugal en Iran à Téhéran / An epidemiological and clinical study of the different forms of violence Iranian women are faced with : a clinical study of the different forms of violence in the context of married life in Tehran, IranKalantari, Soudabeh 11 June 2012 (has links)
Les violences conjugales faites aux femmes demeurent l’un des plus grands scandales en matière d’usages, de coutumes et de droits humains. Ces travaux ont été réalisés en Iran, à Téhéran, en 2008, dans le cadre de centres médicaux, sur une population de femmes battues.Les hypothèses envisagent que les deux dimensions, tolérance et violence, sont associées de manière significative aux violences physiques, sexuelles, psychologiques et économiques, compte tenu de l'existence d'antécédents de violence dans la famille d’origine, du faible soutien social, du manque de soutien familial, de l' âge et du niveau socio-économique. Cette partie a permis d’établir une base conceptuelle pour organiser le matériel consulté et donner un sens aux résultats des recherches. Les résultats de notre recherche montrent :- Une relation significative et directe entre la violence, l’âge, la durée du couple, l’expérience de la maltraitance (antécédents familiaux), la pression ou l'influence familiale, le manque ou l’absence de soutien économique, l’inquiétude pour les enfants, l’habitude de la violence et la difficulté de vivre ;- une relation significative et inverse entre la violence et le niveau d’étude, l'absence de soutien social, l’attachement au mari et le comportement gênant de celui-ci ;- une absence de relation significative entre la violence et les variables suivantes : le niveau de salaire, la profession des femmes, le nombre d’enfants, le regard négatif porté par la société sur les femmes divorcées, le sentiment de culpabilité, l’espoir d’un changement d’attitude du mari et la mésestime de soi.- Autant de résultats, au moins pour ces derniers, qui ne laissent pas sans surprise / Violence towards a woman, within a married couple, is just unacceptable as regards ethics and Human Rights. This study about battered wives was carried out in various medical centers in Tehran, Iran, in 2008. Tolerance and violence are connected in a significant way with physical, sexual, psychological and economic violence and we have to take into account such elements as age, a history of violence in the family, a lack of social and family support and the social and economic background. We have thus set up a conceptual base to organize the collected information and to make sense with the conclusions of our research. These conclusions show:- A significant and direct link between violence, age, the number of years husband and wife have been living together, the history of violence in the family, the influence or the pressure of the family, the lack of economic support, the concern for the children, the habit of violence and the difficulty to live.- A significant and reverse link between violence and the level of ability, the lack of social support, the attachment to the husband and the husband’s wrong behavior.- No significant link between violence and the following variants : the level of income, the woman’s job, the number of children, the lack of social consideration for a divorced woman, the feeling of guilt, the hope for a change in the husband’s behavior and the lack of self-esteem.Such conclusions, and particularly the third one, are quite a surprise.
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[fr] LE PRINCE EST DEVENU UN CRAPAUD REPRÉSENTATIONS SOCIALES DE LA VIOLENCE CONJUGALE / [pt] O PRÍNCIPE VIROU SAPO: REPRESENTAÇÕES SOCIAIS DA VIOLÊNCIA CONJUGALANA CLAUDIA SILVA FIGUEIREDO 10 November 2003 (has links)
[pt] Este estudo tem como objetivo investigar o fenômeno da
violência conjugal e identificar as Representações
Sociais
construídas acerca desta problemática, pelas mulheres
vítimas dessa violência e pelos profissionais que atuam
no
espaço de uma Delegacia Especial de Atendimento à Mulher
na
cidade do Rio de Janeiro, a partir da experiência
cotidiana
desses diferentes sujeitos. Foi adotado o referencial
teórico proposto por Moscovici (1981) e Jodelet (1989)
para
apreender os processos cognitivos, afetivos e simbólicos
envolvidos na construção das representações sociais,
assim
como análises específicas sobre o fenômeno da violência
de
gênero realizadas por Saffioti & Almeida (1995). A coleta
de dados realizou-se através do exame da documentação da
Secretaria de Segurança Pública, da observação
participante
e, sobretudo, da análise de conteúdo das entrevistas
realizadas. Dentre os resultados da análise, destacam-se
os
processos formadores das representações sociais da
violência conjugal e sua expressão pelos dois grupos
estudados, assim como as funções por elas desempenhadas no
enfrentamento das situações de violência, procurando
identificar diferenças e convergências entre as
representações. / [fr] Lobjet de cette étude est le phénomène de la violence
conjugale, dans le but didentifier les représentations
sociales constuites sur ce sujet par les femmes
victimes de cette forme de violence, et aussi par des
agents dun Commissariat Spécial pour lAccueil de la Femme,
à Rio de Janeiro, à partir de lexpérience quotidienne de
ces deux différentes groupes. On a adopté lapproche
théorique proposé par Moscovici (1981) et Jodelet (1989),
dans la tentative didentifier les proccès cognitifs,
affectifs et symboliques participant à la construction des
représentatios sociales, ainsi que les analyses de Saffioti
& Almeida (1995) sur le phénomène de la violence de genre.
La collecte dinformations a été réalisée à travers lexamen
des documents du Secrétariat de Securité Publique, de
lobservation participante et, surtout, de lanalyse de
contenu des interviews réalisées. Parmi les résultats de
lanalyse, on peut souligner les proccès qui forment les
représentations sociales de la vie conjugale et leur
expréssion par les deux groupes étudiés, ainsi que les
fonctions quelles peuvent exercer en face des situations de
violence, cherchand didentifier les différences et les
convergences entre les représentations.
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