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Les stratégies relationnelles d’un leader dans un processus de normalisation : le cas de Microsoft dans le secteur des logiciels de bureautique / Relational strategies of a leader in a standardization process : the case of Microsoft in the Office Software Industry

Chappert, Hervé 03 December 2012 (has links)
Les Organisations de Développement de Standard (ODS) sont généralement perçues comme des acteurs-tiers neutres facilitant l'élaboration de norme de jure. Pourtant, la compétition entre concurrents et les manœuvres stratégiques y ont aussi leur place. Notre recherche pose la question de l'utilisation par un leader de la coopétition dans le hors-marché comme stratégie de contrôle de son marché. L'étude examine particulièrement les comportements de Microsoft pendant le processus de normalisation d'OOXML entre le mois de mai 2007 et le mois d'août 2008. La méthode utilisée est principalement qualitative et s'appuie sur l'étude exploratoire d'un cas unique. Nous analysons les interactions entre marché et hors-marché à travers l'étude des modes relationnels (compétition, coopétition et coopération) que le leader mobilise au sein de l'ODS français (Afnor). Nos résultats montrent en particulier que le recours à la coopétition dans un contexte normatif constitue une stratégie gagnante pour le leader. La nature de cette coopétition est transitoire sur le hors-marché et permet un retour à un comportement de recherche de rente monopolistique sur le marché. / Standard Development Organizations (SDO) are generally perceived as neutral third party actors facilitating the development of de jure standards. However, competitions between competitors and strategic manoeuvring also have their place. Our research questions the use by a leader of coopetition in the non-market as a strategy to control its market.This study particularly examines the behaviour of Microsoft during the standardization process of OOXML between May 2007 and August 2008. The method used is primarily qualitative and is based on the exploratory study of a unique case. We analyze the interactions between the markets and the non-markets by studies of relational methods (competition, coopetition and cooperation) that the leader engages with the French SDO (Afnor). Our results show in particular that the use of coopetition in a normative context is a winning strategy for the leader. The nature of this coopétition is transient on the non-market and allows a return to the behaviour of seeking monopolistic rent on the market.
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Le management de la coopétition : le cas des programmes spatiaux de télécommunications européens / Management of coopetition : the case of European telecommunications space programmes

Fernandez, Anne-Sophie 17 November 2011 (has links)
Le concept de coopétition s'intéresse aux stratégies d'entreprise simultanément concurrentielles et coopératives. Il les envisage du point de vue de la dialectique et du paradoxe. De nombreux travaux abordent les déterminants des stratégies de coopétition à partir de diverses perspectives théoriques. La complexité du phénomène requiert l'intégration de plusieurs niveaux de déterminants. Les difficultés liées à la mise en œuvre de stratégies de coopétition sont peu abordées par la littérature. Par essence paradoxales, les stratégies de coopétition créent des tensions spécifiques, définies comme des tensions coopétitives. Pour que les partenaires atteignent leurs objectifs, les tensions coopétitives doivent être managées. La thèse vise à répondre à la problématique suivante : s'il semble opportun pour deux entreprises leaders et concurrentes sur un même marché de mutualiser leurs forces au travers d'une stratégie de coopétition pour atteindre un objectif commun, comment gèrent-elles les tensions induites par la mise en œuvre d'une telle stratégie paradoxale ? Trois axes de questionnement se déclinent à partir de la problématique centrale. Ils abordent successivement les déterminants des stratégies de coopétition, les sources de tensions coopétitives et leur management. Un acteur tiers doté de compétences architecturales peut contraindre les stratégies de coopétition. Selon l'influence de cet acteur tiers architecte, deux formes de coopétition sont distinguées : la coopétition intermédiée et la coopétition non-intermédiée. Les déterminants, les sources de tensions coopétitives et leur management sont envisagées pour ces deux types de coopétition. Le secteur des télécommunications de l'industrie spatiale est retenu comme cadre empirique. La méthode de recherche est qualitative. Elle repose sur l'étude approfondie de deux programmes spatiaux de télécommunications menés conjointement par les deux industriels européens : Astrium (EADS) et Thales Alenia Space (Thales). Le cas Alphabus est représentatif d'une stratégie de coopétition intermédiée. Le cas Yahsat est représentatif d'une stratégie de coopétition non-intermédiée. Les résultats intègrent le niveau de l'industrie, de l'organisation et de l'individu pour comprendre l'adoption de stratégies de coopétition. Des tensions coopétitives apparaissent au niveau de l'industrie, au niveau dyadique, organisationnel, intra-organisationnel et interindividuel. Bien que nécessaire, le cadre contractuel est insuffisant pour assurer une gestion efficace des tensions coopétitives. Les SI facilitent le management des tensions coopétitives. Des dispositifs et des actions spécifiques sont nécessaires. L'étude met en exergue deux modes de management des tensions coopétitives. Dans le cas d'une stratégie de coopétition intermédiée, le management des tensions coopétitives est externalisé à l'acteur tiers. Dans le cas d'une stratégie de coopétition non-intermédiée, le management des tensions coopétitives est internalisé. Il repose sur l'équipe-projet, sa structure de gouvernance et son chef de projet. La duplication des postes clés au sein de l'équipe est primordiale. Le chef de projet est doté de compétences spécifiques. Personnage schizophrène, il intègre le paradoxe de la coopétition et assure la gestion des tensions au sein de l'équipe au travers de ses différentes missions. / The concept of co-opetition analyzes simultaneous cooperative and competitive strategies from a dialectical and paradoxical perspective. Previous scholars focused on drivers of co-opetition using various theoretical backgrounds. The complexity of the phenomenon requires a multiple-level framework to understand the drivers of co-opetition. A gap exists in the literature about the implementation of co-opetitive strategies. Since paradoxical, co-opetitive strategies create specific tensions defined as “co-opetitive tensions”. To achieve their goals, partners need to manage efficiently co-opetitive tensions. The thesis aims to answer the following question: if two competing leaders join their forces in a co-opetitive strategy to reach a common objective, how do they manage the tensions resulting from the implementation of such a paradoxical strategy? Three issues come from this questioning: the drivers of co-opetition, the sources of co-opetitive tensions and their management. A third party as an architect can constrain the emergence of co-opetitive strategies. Thus, two types of co-opetition are distinguished: intermediated co-opetition and non-intermediated co-opetition. For both types of co-opetition, drivers, sources of co-opetitive tensions and their management are investigated. The empirical study is conducted within the sector of manufacturing telecommunications' satellites. The method is qualitative. It is based on two in-depth case studies of common programmes conducted by European manufacturers: Astrium (EADS group) and Thales Alenia Space (Thales group). The programme Alphabus is an exemplar case of intermediated co-opetition. The programme Yahsat is an exemplar case of non-intermediated co-opetition. The results of the study combine industry-level, organization-level and individual-level to understand the drivers of co-opetition. Co-opetitive tensions appear at the industry, dyadic, organizational, intra-organizational and inter-individual levels. Even necessary, contracts are insufficient to manage efficiently co-opetitive tensions. Information systems facilitate the management of co-opetitive tensions but specific tools and actions are needed. The study provides insights about managing co-opetitive tensions. In the case of intermediated co-opetition, the management is externalized through a third party. In the case of non-intermediated co-opetition, the management is internalized. Its efficiency depends on the team, the governance structure of the team and on the project manager. Managerial responsibilities must be duplicated and equally shared by both partners. The project manager has specific competences. Schizophrenic character, he embodies the paradox of co-opetition. Through its various missions, he is responsible for the management of co-opetitive tensions within the team.
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Dynamiques sociales et ajustements stratégiques en contexte d'innovation : analyse de la coopétition dans une communauté de pratique inter-organisationnelle au Brésil / Social dynamics and strategic adjustements in innovation contexte : analysis of the coopetition in a interorganisational community of practice in Brazil

Barleto Canizela Guimaraes, Tatiane 10 May 2017 (has links)
Les communautés de pratique (CoP) sont citées dans la littérature comme des espaces potentiels de coopération entre pairs pour favoriser l’accès aux connaissances et permettre le développement de l’innovation. Ce réseau informel de coopération représente un intérêt particulier pour les start-up innovantes qui souffrent du manque de ressources et d’un certain « handicap à la nouveauté », notamment quand elles sont trop éloignées des capacités et des routines d’autres potentiels partenaires de l’innovation. Cependant, dans leur réalité inter-organisationnelle, la question de la compétition ne peut être écartée. Or, cette dynamique paradoxale, marquée par la rencontre entre les logiques de coopération et de compétition, n’est pas abordée dans la littérature portant sur les CoP. De même, les travaux traitant de la coopétition explorent rarement ces dynamiques dans les réseaux informels. Ainsi, l’objectif de cette thèse est d’étudier les effets de la coopétition sur les dynamiques sociales des CoP inter-organisationnelles en contexte d’innovation. Pour ce faire, nous nous basons sur l’étude de cas exploratoire et longitudinale enchâssée de la CoP de startups innovantes du domaine des technologies de l’information et de la communication de San Pedro Valley, au Brésil. L’analyse du cas permet de construire une catégorisation des différentes relations de coopétition au sein de la CoP. Si la participation des entrepreneurs, membres de ce réseau informel, permet la réalisation d’ajustements stratégiques permettant aux startups de mener à bien leur projet d’innovation, certaines relations de coopétition modifient progressivement le fonctionnement communautaire de par l’émergence de tensions et de conflits dans leur milieu hautement concurrentiel. Les résultats de cette thèse apportent ainsi un éclairage nouveau sur le fonctionnement des CoP au niveau inter-organisationnel à l’échelle d’une ville et montre comment la coopétition se développe dans un réseau informel. Des apports managériaux pour les entrepreneurs sont aussi à souligner parce qu’ils permettent une meilleure appréhension de leur écosystème d’innovation. / Community of practice (CoP) is defined as a potential space for cooperation between peers favoring the access to knowledge and allowing the development of innovation. A CoP, which can also be seen as an informal network of cooperation, could be interesting for startups that suffering with the lack of resources and that are deficient in their innovation process, especially when they are far from potential innovation partners. However, the issue of competition cannot be disregarded in their inter-organizational context. Furthermore, the literature on communities of practice has not yet addressed this paradoxical dynamic in which there is presence at the same time of cooperation and competition logics. Moreover, the literature of coopetition does not well explore this kind of dynamics in informal networks. Thus, the goal of this thesis is to study the effect of coopetition on the social dynamics of inter-organizational CoPs in an innovation context. This study is based on an exploratory and longitudinal case study that was conducted at San Pedro Valley (Brazil), which is a CoP of innovative startups in the information technology sector. The analysis of this case study allows us to construct a categorization of different relationships of coopetition that exist in the inter-organizational CoP. Even if the participation of entrepreneurs, which are members of this informal network, allows the strategic adjustment of their companies in issues related to the innovation projects, some relations will progressively modify the crucial characteristics of the CoP due to the forthcoming of tensions and conflicts. One of the main results of this thesis is a new light at the functioning of CoP at the inter-organizational level showing how the coopetition strategies is developed in informal networks. Another result includes an individual-level to understand the drivers of coopetition, and then the study provides insights about the informal relationship in the scope of coopetition strategy. It is also worth mentioning methodological contributions based on the use of a "netnography" approach to entrepreneurial social networks, as well as managerial contributions to entrepreneurs, allowing a better understanding of their innovation ecosystem.
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Analyse des modèles d'affaires des médias traditionnels face à la multiplication des plateformes électroniques : cas Quebecor Media inc.

Horchani, Selmen 11 1900 (has links) (PDF)
Cette étude traite de l'adaptation des modèles d'affaires des entreprises de médias traditionnels. L'objectif principal est de proposer un cadre empirique aux dirigeants des entreprises de médias traditionnels afin de les aider à tracer la meilleure trajectoire d'innovation dans un environnement aussi changeant que celui des médias. En effet, l'industrie des médias est en pleine phase de transformation. Elle fait face à de nouveaux contextes concurrentiels et à des changements profonds de paradigmes. Ainsi, ce secteur compte en grande partie sur les revenus publicitaires, alors que ces derniers subissent une migration vers les plateformes électroniques. La rentabilité des médias traditionnels se trouve donc menacée. Ce mémoire tentera d'apporter des recommandations empiriques pour que les médias traditionnels s'ajustent au nouvel environnement concurrentiel. La question de recherche se résume comme suit : « Quelles sont les stratégies des entreprises de médias traditionnels à mettre en place pour redevenir compétitives dans le nouvel environnement concurrentiel? » Afin de répondre à cette problématique, un cadre théorique particulièrement riche a révélé la pertinence de l'utilisation des trois concepts clés suivants : innovation, coopétition, écosystème. En effet, les entreprises se trouvent dans un réseau appelé écosystème. À travers ce réseau, elles tissent des relations coopétitives fonctionnelles (ou non fonctionnelles parfois) dans le but de favoriser des manœuvres stratégiques favorables à l'émergence d'une innovation ouverte ou encore d'une innovation en réseau. Considérant ces changements, une application au cas Quebecor Media inc. (QMi), selon la méthodologie de l'étude de cas, a permis de comprendre dans un premier temps la situation de QMi selon le cadre conceptuel choisi et, dans un second temps, de déterminer les recommandations nécessaires pour améliorer la rentabilité du secteur des médias traditionnels. La contribution de ce mémoire constitue essentiellement en une nouvelle manière de percevoir la relation qui devrait lier l'ensemble des médias traditionnels à l'ensemble des nouveaux médias, puisque la stratégie de complémentarité est un des garants de la survie des entreprises de médias intégrés. Ainsi, pour une entreprise de médias intégrés comme QMi, un des objectifs serait de garder une sorte d'homéostasie entre ses différentes filiales et ses différentes divisions dans un marché où il y a d'autres joueurs et d'autres concurrents majeurs. Ceci serait facilité si le suivi de la migration de la clientèle publicitaire des médias traditionnels vers les nouveaux médias était assuré. Ce succès pourrait être assuré en partie par la créativité et l'excellence du contenu fourni, québécois et canadien. Les blogues sur Internet ont certes beaucoup d'influence auprès des internautes, mais les télés et les journaux continuent d'assurer un certain niveau d'auditoire en raison de l'aspect professionnel qui entoure l'information diffusée. Ces manœuvres stratégiques permettront de garantir la pérennité des médias traditionnels si l'aspect complémentaire entre les deux types de médias était considéré avec plus de rigueur, surtout que la réglementation canadienne en matière de radiodiffusion reste rigide face à un volet « Internet » sans frontières. Ainsi ces différentes stratégies permettront aux entreprises de médias traditionnels de redevenir compétitives dans ce nouvel environnement. Enfin, étant donné les particularités de cette étude, il faut noter les quelques limites de ce mémoire, les contributions personnelles et les avenues de recherches possibles. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : médias, nouveaux médias, médias traditionnels, modèles d'affaires, écosystème, coopétition, innovation ouverte, plateformes électroniques.
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Apprentissages et coopétition au sein des réseaux territorialisés d'innovation / Learning and coopetition within territorialized innovation networks

Zellal, Ahlem 26 November 2016 (has links)
Le socle de ce travail doctoral est constitué par le résultat d’une recherche antérieure, puisque nous avons réalisé une expérience fort enrichissante, sur l’émergence des projets collaboratifs de recherche et développement, au sein des réseaux d’innovation. Pôles de compétitivité (PDC), clusters et Centre Francilien de l’Innovation, furent, en effet, observés, dans le cadre d’un travail de master. Le principal apport de cette thèse, par rapport à cette précédente réflexion, c’est que nous ne nous sommes pas arrêtée à l’observation des pôles, puisque nous avons été jusqu’aux entreprises porteuses (EP) de projets collaboratifs. Nous ne nous sommes pas, non plus, arrêtée à une analyse descriptive des comportements coopétitifs et d’apprentissage organisationnels, au sein de ces réseaux, puisque nous sommes allée vers une classification de ces comportements, par type et par degré de récurrence. Plus, nous avons eu l’ambition d’en tenter une explication, pour, au final, aboutir à l’élaboration, à partir de ceux qui sont les plus avantageux, d’un modèle de bon fonctionnement des pôles de compétitivité, sans exclure, compte tenu du dégagement d’un certain nombre de recommandations théoriquement justifiées, celle d’un guide de bonnes pratiques, à l’intention des entreprises porteuses de projets de R et D. Nous visons donc, l’optimisation de la qualité du fonctionnement de ces réseaux ainsi que de ces projets collaboratifs de R et D. L’originalité des résultats de cette thèse de doctorat, réside donc dans l’ajout, au document de la thèse, d’un fascicule à part, relié et illustré, en vue, après sa validation par mon jury, de le tirer en 30 exemplaires et de le remettre, en guise de reconnaissance, aux interlocuteurs de notre échantillon de PDC et d’EP, qui, directeurs de pôles, qui directeurs scientifiques, qui chargés de projet, qui chefs de projets, qui Ingénieurs, qui directeurs de recherches, ont bien voulu répondre, lors d’entretiens en face à face, aux 34 questions de 02 guides d’entretiens. Les copieuses données primaires ont été patiemment retranscrites, permettant, de la sorte, la vérification de 05 hypothèses. / The theoretical and practical background of this doctoral work consists of the results of a previous research project, as we carried out a very rewarding experience, about the emergence of collaborative projects research and development, in innovation networks. Pole of competitiveness, clusters and Francilien Innovation Centre, were, in fact, observed.The main contribution of this thesis, with respect to this previous work is that we have observed not only the poles of competitiveness, but also the carrier companies of collaborative projects exploration.In addition to a descriptive analysis of coopetitive behavior and organizational learning within these networks, we have also categorized these behaviors, through their type and degree of recurrence.Moreover, from those most preferred behaviors, we have had the ambition to attempt their explanation for, ultimately, develop a model of functioning of clusters without excluding, the proposal of the release of a number of theoretically justified recommendations, that of good practices guide, for carrier companies to R and D projects.Thus, we are aiming at the optimization the quality of operation of these networks.The originality of the results of this doctoral thesis lies in the addition to the document of the thesis, of a separate booklet, bound and illustrated, in order, after its validation by my jury, to print 30 copies and deliver it, in recognition, to the interlocutors of our sample of PDC and EP (CEO poles, Scientific Directors, Project Manager, Engineer, Creator of the Company, Research Director, Driver innovation), who have responded during face-to-face interview, to 34 questions of 02 guides. Copious primary data were patiently transcribed, allowing, in this way, the verification of 05 hypothesis.
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Strategizing and Managing coopetition : Sharing, protecting and/or capturing knowledge / Les stratégies de coopétition et leur management : partager, protéger et/ou capturer des connaissances

Bez, Sea Matilda 22 November 2017 (has links)
Cette thèse explore la question suivante : comment les entreprises gèrent-elles la coopétition par le prisme du partage de connaissances ? et à quelles intentions stratégiques répondent ces choix managériaux ? Notre principal résultat consiste en l’identification de trois stratégies de coopétition, chacune reposant sur un management particulier du partage de connaissances. Les deux premières s’inscrivent dans la continuité des travaux existants sur la coopétition. Elles adoptent une approche Hamelienne de course à l’apprentissage, dans laquelle la gestion du partage consiste à trouver des techniques pour partager la connaissance critique pour le succès du projet commun, sans permettre au partenaire d’internaliser la connaissance. Ces techniques consistent à « protéger » ou « partager & protéger ». En revanche, la troisième stratégie identifiée, à l’inverse des prédictions de la littérature sur la coopétition, encourage un partage plus ouvert et intensif qui peut même aller jusqu’à renforcer le coopétiteur avec sa connaissance. Mais si l’entreprise s’engage dans cette stratégie ce n’est pas par altruisme ou par volonté d’aider l’autre, mais parce qu’elle perçoit une opportunité pour capturer de nouvelles connaissances. Ainsi, les entreprises ont conscience de la dynamique positive de création de connaissances qui va être générée en partageant de manière transparente au lieu de réduire la transparence (i.e., processus de capture de valeur constructif). Cette troisième stratégie permet d’aller plus loin dans notre compréhension des stratégies de coopétition et de leur management. Elle ouvre la voie à de nouvelles recherches se basant sur des fondements intégrant Deutsch et Nonaka. Notre contribution n’est pas uniquement académique, elle est aussi managériale. Elle ouvre les champs des possibilités d’actions des dirigeants, en identifiant une stratégie contre-intuitive, pour maximiser les opportunités liées à une relation de coopétition. De plus, notre modèle intégrateur peut être réutilisé pour former les individus à la coopétition en leur permettant d’identifier trois stratégies et leurs implications organisationnelles. / We investigate how does a focal firm strategize and manage coopetition through the specific lens of knowledge sharing. Based on two case studies of two firms considered as masters in the management of coopetition, we identify three ways to create and pursue the focal firm’s current and future advantage in coopetitive project. The two first ways confirm the dominant research approach of coopetition which argues that a focal firm should obstruct or reduce to its strict minimum the coopetitor’s potential for internalizing the knowledge shared for the project success (i.e. reduce or restrict the focal firm’s knowledge transparency). Indeed, the value creation of a coopetitive project success can be jeopardized by the fear of knowledge sharing between competitors. The reduction or restriction of its knowledge transparency is a key organizational solution to overcome this fear of knowledge sharing and thus this fear of collaborating with a competitor. Alternatively, we identified a third way of strategizing and managing coopetition which goes one step further in coopetition. Indeed, by building on our empirical results, Deutsch’s theory of conflict resolution and Nonaka’s organizational knowledge creation theory, we argue that the creation and pursuit of current and future advantage for a focal firm in coopetitive project can also consist in implementing a strategy and management based on greater and freer transparency. In that case, the dominant coopetitive knowledge sharing adages of “protecting” or even “sharing and protecting” shift into “sharing and enabling for constructive capturing.” This third way opens academic research opportunities based our boarder theoretical roots than Hamel’s approach of inter-firm relationships in which the strategic intent is a learning race and one of the key organizational element is a minimized transparency. It also has managerial contributions. Indeed, it increases top management analytical capability by generating a new counter-intuitive insight: enabling a competitor in a coopetitive project can be strategic tool to create and pursue current and future advantage for themselves. Moreover, our integrated framework can be reused to train the analytical coopetitive capabilities of top managers by making them aware about three ways of strategizing and managing coopetition.
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La coopétition réticulaire globale : Nouvelle structure d'interaction dynamique entre concurrents en vue de l'innovation / GLOBAL NETWORK COOPETITION : A NEW DYNAMIC INTERACTION STRUCTURE BETWEEN COMPETITORS FOR INNOVATION

Hani, Mouhoub 11 December 2015 (has links)
Cette recherche a pour objectif principal d’explorer une nouvelle forme d’interaction dynamique entre concurrents encastrés, désormais, dans des structures complexes que sont les réseaux. Il s’agit de la coopétition réticulaire globale qui renvoie à la simultanéité de la coopération et de la compétition entre des réseaux d’acteurs globaux issus de secteurs d’activité distincts. La recherche actuelle sur la coopétition s’est largement focalisée sur l’aspect organisationnel et dyadique, voire sectoriel de la relation. En revanche, le niveau réticulaire est rarement exploré, ce qui a suscité cette recherche qui l’intègre dans une perspective globale. En effet, s’appuyant sur une étude longitudinale multisectorielle réalisée sur des données de panel collectées à partir de sources variées, une régression non-linéaire à l’aide d’un modèle logistique multivarié ordonné a été menée, dans un premier temps pour tester les hypothèses relatives aux déterminants et une régression de Poisson dans un second temps afin de mesurer l’effet des formes de la coopétition réticulaire sur l’innovation. Les principaux résultats mettent en évidence des déterminants organisationnels, dyadiques, sectoriels et réticulaires qui favorisent l’émergence de la coopétition réticulaire sous quatre formes, à savoir la coopétition intra-réseau, la coopétition inter-réseaux, la coopétition globale et la coopétition de réseaux. De plus, les résultats montrent que ces formes identifiées influence à des degrés différents, l’innovation des firmes membres. Cette recherche permet d’attirer l’attention de la communauté scientifique à considérer le niveau réticulaire dans l’analyse des relations inter-firmes, d’une part, et d’aider les managers à faire face à l’incertitude inhérente à l’environnement global et au rythme accéléré d’innovation. / The main objective of this research is to explore a new form of dynamic interaction between competitors that are embedded in complex structures such as networks. It is about global network coopetition which refers to the simultaneous cooperation and competition between global actors networks belonging to different industries. Current research on coopetition has largely focused on the organizational, dyadic or industrial aspect. However, the reticular level is scarcely explored which aroused the interest of this research idea that includes it with a global perspective. Indeed, based on a longitudinal multi-sectorial study with panel data collected from various sources, a non-linear regression through ordered multivariate logistic model was first used to test hypotheses on network coopetition drivers. Then, a Poisson regression was used to measure the effect of network coopetition forms on innovation. The main results highlight organizational, dyadic, industrial and reticular drivers that lead to the emergence of reticular coopetition under four forms, namely, intra-network coopetition, inter-network coopetition, global coopetition and networks coopetition. Furthermore, results show that these forms influence differently firms’ innovation. On one hand, this research allows drawing scientific community attention to consider the reticular level in inter-firm relationships analysis. On the other hand, it helps managers to deal with the global environment uncertainty and its innovation accelerated pace.
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Stratégies relationnelles entre concurrents dans les industries de réseau : le cas des opérateurs de téléphonie mobile / Relational strategies with competitors in network industries : the case of mobile phone operators

Sanou, Famara Hyacinthe 18 November 2011 (has links)
Cette thèse étudie les typologies des stratégies relationnelles que peuvent entretenir les firmes avec leurs concurrentes dans une industrie de réseau : la téléphonie mobile. Elle se donne aussi pour objet de mettre en évidence les déterminants de ces choix stratégiques ; ainsi que leur implication. Elle vise enfin à effectuer une comparaison des performances des firmes en fonction des choix de stratégies relationnelles. Pour aborder ces préoccupations, nous avons eu recours, d'une part à la méthode d'analyse de contenu structuré, afin d'identifier les mouvements stratégiques des opérateurs mobiles de pays et régions géographiques différents ; d'autre part à deux méthodes (exploratoire et confirmatoire) d'analyse et de traitements des données. A travers cette thèse, nous mettons en évidence trois résultats principaux : Le premier résultat montre que l'agressivité concurrentielle, la coopérativité et la coopétition sont les stratégies relationnelles viables dans le secteur de la téléphonie mobile. Le second résultat majeur montre que des variables sectorielles telles que la concentration industrielle, la maturité sectorielle ou la plus ou moins forte présence à l'international apparaissent comme des facteurs déterminant les comportements stratégiques (agressif, coopératif et coopétitif) des opérateurs mobiles ; de même que plus d'agressivité et plus de coopérativité conduisent à de meilleures performances. En dernier lieu, il est montré dans cette recherche que la performance de la firme varie en fonction de la stratégie adoptée (agressivité, coopérativité ou coopétitivité) par l'opérateur mobile, mais aussi en fonction de son implantation géographique. / This thesis examines the types of relational strategies that firms can adopt with their competitors in a network industry : the mobile phone industry. It also purposes to highlight the determinants of these strategic choices and their implication. Finally, it aims to make a comparison of the performances of firms, according to their relational strategies choises. To address these concerns, we used, on one hand the method of structured content analysis so as to identify the strategic movements of the mobile phone operators of different countries and geographical areas ; on the other hand, we used two methods (exploratory and confirmatory) analysis for data processing. Through this thesis, we highlight three key findings : The first result shows that competitive aggressiveness, cooperativeness and coopetition are the viable relational strategies in the mobile phone industry. The second major result shows that the sectorial variables such as industrial concentration, sectorial maturity ; or more or less international presence appear to be factors determining the strategic behavior (aggressive, cooperative and coopetitive) of the mobile operators ; as well that more aggressiveness and more cooperativeness lead to better performance. Finally, it is shown in this study that the performance of the firm depends on the strategy (aggressive, cooperative, or coopetitive) adopted by the mobile operator, but also on its geographical location.
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Transition énergétique : stratégies d'innovation des groupes électriques européens / Innovation strategies of european utilities

Buttigieg, Stéphane 30 September 2016 (has links)
En Europe, la transition énergétique du secteur électrique est unique à la fois d'un point de vue géographique et historique. D'une part, elle s'inscrit dans un double processus d'addition et de substitution technologique. Par ailleurs, elle appelle les électriciens à sortir du paradigme thermique et à mobiliser de nouvelles connaissances pour cela. L'objet de ce travail de recherche est de caractériser les stratégies d'innovation mises en œuvre au niveau des six plus importants groupes électriciens européens (EDF, Enel, Engie, E.ON, Iberdrola et RWE) et à l'échelle du secteur. En nous appuyant sur les brevets déposés entre 2007 et 2013 et sur les projets collaboratifs conduits dans le cadre du 7eme PCRD, nous analysons les stratégies technologiques qui concernent la direction du progrès et les stratégies d'acquisition des connaissances qui concernent la démarche mobilisée par les électriciens pour introduire les technologies bas carbone. Nous mettons en évidence qu'à l'échelle du secteur, les technologies d'addition sont privilégiées aux technologies de substitution et que ces dernières font l'objet d'une démarche d'ouverture moins marquée que les technologies d'addition. En outre, il apparaît que les électriciens les plus émetteurs ne sont pas ceux qui mobilisent une stratégie de substitution technologique la plus marquée. En revanche, ils mettent en œuvre une démarche d'ouverture la plus prononcée pour acquérir les nouvelles connaissances. / In Europe, the energy transition of the power sector is unique both from a geographical and historical standpoint. First, it is part of a two-way process of technological addition and substitution. Furthermore, it calls power corporations to exit the thermal paradigm and, in this perspective, gain new knowledge. The purpose of this research work is to characterize the innovation strategies implemented by six of the major European power companies (EDF, Enel, Engie, E.ON, Iberdrola and RWE) and by the industry. Based on the registeted patents between 2007 and 2013 and collaborative projects conducted in the frameword of the 7th PCRD, we will analyze the technology strategies relating to direction of progress and strategies relating to knowledge acquisition implemented by power companies in order to introduce low carbon technologies. We will highlight that at industry level, addition technologies are favoured in comparison with substitution technologies. We will also demonstrate that the latter shall be less prone to an open approach than addition technologies. Moreover, it seems that power companies with the largest emissions are not those who develop the most significant technology substitution strategy. However, they carry out the most openness based strategy in order to gain new knowledge.
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Formes et enjeux de la sociabilité dans les équipes de recherche en sciences humaines et sociales / Forms and stakes of the sociability in research teams of Human and Social Sciences

Oswald, Séverine 30 September 2015 (has links)
Les formes et enjeux de la sociabilité dans les équipes de recherche en Sciences Humaines et Sociales (SHS) sont des questions complexes. Etudier cette sociabilité sous l’angle des Sciences de l’Information et de la Communication (anthropologie de la communication, ethnographie de laboratoire) au moyen d’enquêtes de terrain (observations, entretiens compréhensifs) et des sciences de gestion-management, avec au centre la notion de coopétition issue du monde de l’entreprise, permet de redéfinir la sociabilité propre à la recherche comme « convivialisme coopétitif ». Cette thèse entend spécifier ce qui caractérise l’univers de la recherche et, en particulier de la recherche en SHS. Il ressort de ce travail que si compétition et coopération fonctionnent de concert (coopétition), la convivialité, comme attitude de communication et climat interactionnel global, constitue une spécificité des milieux scientifiques. Ainsi, trois formes de convivialisme coopétitif sont présentées : une « cohésive » avec un fort esprit de corps dans les laboratoires seniors, une « mimétique » dans les laboratoires juniors cherchant leur identité entre conservation et innovation, et enfin une « convergente » dans les instituts interdisciplinaires seniors. Le critère générationnel (senior/junior) et l’étude des systèmes de pouvoirs via trois types de leaderships (scientifique, administratif, vulgarisation) en fonction des contextes (histoire des sciences) ont permis de révéler l’externalisation que subit le métier de chercheur vers la société. Les enjeux sont ceux de la formation académique, de la valorisation du métier, et des enjeux de services. Ils sont le reflet d’une recherche en pleine mutation. / The forms and the stakes of the sociability in research teams of Human and Social Sciences (HSS) are complex questions. To study this sociability under the angle of the Sciences of Information and the Communication (anthropology of communication, ethnography of laboratory) by means of fields investigations (observations, comprehensive interviews) and sciences of management, with the central notion of coopetition stemming from the business world, allows one to redefine the sociability in research as « coopetitive convivialism ». This work attemps to specify what characterizes the universe of research, and particularly the research in HSS. It emerges from this work that if competition and cooperation work together, conviviality, as communication’s behavior and global climate of interactions, constitutes a specificity of scientific circles. Therfore, three forms of coopetitive convivialism are introduced in this thesis : the first one being an « inclusive convivialism » with a strong link between people in the senior laboratories, a « mimetic convivialism » in the junior laboratories witch are looking for their identity between preservation and innovation, and finally a « convergent convivialism » in the senior interdisciplinary institutes. The criterion of generation (senior / junior) and the study of systems of powers via three types of leaderships (scientific, administrative, popularization) according to contexts (history of science) allows to reveal the mutation of researcher's role witch is more and more engaged in an respectuous relation with society. The stakes of this subject concern the academic training, the valuation of the job, and the stakes of services provided. Consequently, they show that Research is evolving fast.

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