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Les espaces scéniques de la Cour de France, 1659-1792 : inventaire des sources, méthodes de traitement et nouveaux apports / Scenic spaces for the Court of France 1659-1792 : overview of sources, methodology of processing, new contributions

Lauvernier, Dominique 06 December 2018 (has links)
Les espaces scéniques de la Cour de France sont abordés dans la continuité des trois derniers règnes de l’Ancien Régime, à partir d’un ensemble de sources le plus exhaustif possible. Cette nouvelle approche, résolument globale, repose sur le constat que les études précédentes ne se fondaient que rarement sur une identification précise de la nature même des sources qu’elles utilisaient et privilégiaient toujours des sondages ponctuels. A l’inverse, la présente thèse propose d’abord une analyse typologique des sources documentaires, tout particulièrement le considérable fonds des archives de la Maison du roi et des documents textuels, iconographiques et imprimés qu’elle a produits, ainsi que des rares vestiges conservés. Elle met en place des protocoles de travail adaptés à ces sources anciennes et au volume considérable du fonds : restitution virtuelle, base de données-calendrier documentant les lieux de représentation et répétition, interdisciplinarité nécessaire en raison de l’intrication des questions théâtrales, politiques, administratives, artisanales. Un lieu ne peut en effet se comprendre et se restituer sans la connaissance des techniques et méthodes de réalisation, des enjeux curiaux, des pratiques scéniques, et des traditions. La thèse expose quelques résultats significatifs de l’efficacité de cette méthodologie, tant pour le règne de Louis XIV aux sources lacunaires mais souvent considérées comme trop connues, que pour les règnes ultérieurs, très documentés. Notre connaissance des pratiques scéniques, des machines, de l’éclairage, par exemple, s’en trouve enrichie. Apparaît également une constance remarquable des pratiques adaptatives et empiriques de la Cour de France, après la « tabula rasa » de 1659 et les premières voies ouvertes, très vite abandonnées. De la masse des archives comptables, corroborant d’autres sources, se lit enfin une tentative sans fin de la part des Menus-Plaisirs pour gérer efficacement et économiquement une quantité croissante de lieux et matériels, inflation sans doute liée aux prétentions d’une Cour qui se voit comme la plus puissante d’Europe, alors même que la Maison royale ne fait que s’endetter jusqu’en 1789. Cette thèse entend donc ouvrir la voie à de futures recherches sur les spectacles à la Cour de France, ainsi qu’à une meilleure connaissance des lieux grâce aux nouvelles technologies. / The scenic spaces of the Court of France are studied in the continuity of the last three reigns in the Ancien Régime, from a set of sources as exhaustive as it can be. This new approach, global, is induced by the observation that previous studies were rarely based on a precise identification of the very nature of the sources they used and always favored short surveys. Conversely, this dissertation proposes a typological analysis of the documentary sources, especially the huge collection of the archives from the House of the King and the textual, iconographic and printed documents that this administration has produced, as well as rare remains of scenic material. It sets up working protocols adapted to these old sources and to the large volume of the archives : virtual restitution, database-calendar documenting the places for performance and rehearsal, interdisciplinarity required by the entanglement of the theatrical, political, administrative and artisanal ways. A place can not be understood and restituted without the knowledge of the techniques and methods of creation, the curial issues, the stage practice, and the traditions. The dissertation presents some significant results of the effectiveness of this methodology, both for the reign of Louis XIV with its lacunar sources but often considered too well known, as for later reigns, well documented. Our knowledge of scenic practice, machines, lighting, for example, is increased. There is also a remarkable consistency of adaptive and empirical practices of the Court of France, after the "tabula rasa" of 1659 and the first open ways, very quickly abandoned. The collection of accounting records, which corroborate other sources, shows an endless attempt from the Menus-Plaisirs to manage efficiently and economically a growing amount of places and materials, inflation likely linked to the claims of a Court which sees itself as the most powerful in Europe, even though the Royal House is only going into debt until 1789. The dissertation intends to pave the way for future research on shows at the Court of France, as well as to a better knowledge of places, thanks to new technologies.
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Les Grands et le roi : pouvoir et contestation à la cour des premiers Bourbons (1589-1629) / The nobles and the king : power and contestation at the court of First Bourbons 1589-1629

Giraudier, Fanny 02 December 2016 (has links)
L’objectif de cette thèse est d’appréhender les relations entre le roi et les nobles à la fin des guerres de Religion. La période des guerres civiles est marquée par un affaiblissement de l’autorité monarchique. Pour rétablir l’ordre dans le royaume, le roi doit compter sur les nobles dont la vocation est de porter les armes. Or, beaucoup de ces seigneurs ne le reconnaissent pas comme roi légitime. Par la guerre, les négociations et une savante politique de légitimation, Henri IV parvient à les rallier progressivement à son autorité. Cette thèse vise à comprendre ce processus de réconciliation, sur quelles bases il repose et comment les nobles contribuent à la redéfinition du pouvoir après ces périodes de troubles. Car si la paix est rétablie dans le royaume à partir de 1598 avec la paix de Vervins et l’édit de Nantes, les contestations nobiliaires ne sont pas totalement éteintes et éclatent à plusieurs reprises jusqu’en 1629. Les modalités de la révolte sont donc au cœur de cette thèse, c’est-à-dire la façon dont les nobles expriment leur mécontentement et justifient leurs oppositions au souverain. La cour est un cadre privilégié pour observer les dynamiques de pouvoir qui se jouent entre le souverain et les nobles, hommes et femmes. Le choix d’une période comprise 1589 et 1629 permet de suivre l’évolution de ces rapports à l’autorité monarchique et de mesurer le poids de l’honneur, moteur de l’action nobiliaire, mais aussi de la défense de la foi dans les prises de position nobiliaires. Cette longue période permet d’appréhender en quoi les contestations nobiliaires contribuent à la construction monarchique dans une période marquée par des conflits religieux. / The aim of this thesis is to understand the relationships between the King and the nobles at the end of the Wars of Religion. This period is marked by a weakening of the royal authority and the division of nobility between factions with different religious faiths. In order to restore order in the kingdom, the King must rely upon nobles whose vocation is to bear arms. However, many nobles don’t recognize him like as a legitimate sovereign. Through war, negotiations and a wise policy of legitimation, Henri IV achieves his goal of rallying them behind his authority. This thesis aims to understand this reconciliation process, on what basis it is founded and how nobles contribute to redefine royal power. Even though peace has been restored since 1598 with the Peace of Vervins and the Edict of Nantes, protests of nobility are not shut and flared several times until 1629. The modalities of the revolt are at the heart of this thesis, that is, the way nobles express their discontent and justify their oppositions against the sovereign. The court provides an ideal environment for the observation of the power dynamics between the King and nobles, men and women. The choice of the period from 1589 up to 1629 allows one to follow the evolution of the relations with the monarchical authority and evaluate the weight of honor, driving force of nobility action as well as the defense of faith in the nobles’ positions. This extensive period allows to apprehend how nobility protests contribute to the building of the monarchy during a period marked by religious conflicts.
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Pierre Germain dit le Romain (1703-1783). Une vie à l'ombre des orfèvres du roi / The Parisian silversmith Pierre Germain the Roman (1703-1783). A career near the silversmiths of the king

Cavalié, Hélène 08 December 2011 (has links)
L’orfèvre parisien Pierre Germain dit le Romain (Villeneuve-lès-Avignon, 1703-Paris, 1783), connu pour apublication des Éléments d’orfèvrerie, eut une carrière originale, passant sa jeunesse dans les ateliers d'orfèvres du roi,chez Thomas Germain (1726-1729), puis après un séjour à Rome (1729-1733), chez Jacques Roëttiers (1733-1736) avantde devenir apprenti chez Nicolas Besnier en 1736, et maître en 1744. Travaillant pour Roëttiers jusque vers 1755-1756,devenu grand messager juré de l’université, amateur d’estampes, il publie en 1748 le plus vaste recueil d’orfèvrerie dutemps, les Éléments d'orfèvrerie, cent planches de modèles religieux et civils de style rocaille, gravés par Bacquoy etPasquier, repris et copiés jusqu’au XIXe siècle jusqu’à l’étranger. Il publie aussi en 1751 un court Livre d'ornemens.Installé quai des orfèvres, à La Garde Royale, il produit peu, 1410 kg d’argent jusqu’à sa mort, de beaux ou simplesobjets. Quelques acquéreurs sont connus : Joseph Ier de Portugal en sous-traitance pour François Thomas Germain (1755-1756, 1765), les Wal de Baronville (1761-1763), les Wandalin Mnisech (1762-1764), la princesse des Asturies encollaboration avec Philippe Caffieri et Thomas Chancellier (1765), les Rocheblave (1777), le comte d’Artois et laprincesse de Ligne (1782). L’étude s’élargit aux artistes côtoyés : à Paris, ses maîtres Germain, Roëttiers, Besnier, sonconfrère Denys Frankson, ses apprentis Ange Joseph Aubert et Pontaneau ; à Avignon, les Clerc, Mézangeau et ClaudeImbert, ses parents les architectes J.-B. et François Franque et le menuisier facteur d’orgues Charles Boisselin ; àMarseille, les Durand, les Giraud et son neveu Antoine Germain. / The Parisian silversmith Pierre Germain the Roman (1703-1783). A career near the silversmiths of the king. The Parisian silversmith Pierre Germain the Roman (Villeneuve-lès-Avignon, 1703-Paris, 1783), known for his book the Éléments d’orfèvrerie, had an original career. During his youth he worked for the silversmiths of the king, Thomas Germain (1726-1729); and after some time in Rome (1729-1733), worked for Jacques Roettiers (1733-1736) and as an apprentice for Nicolas Besnier from 1736. Master in 1744, he kept working for Roettiers until 1755-1756. Great messenger of the University, fond of engravings, he published in 1748 the largest book of models of the time, Élémentsd’orfèvrerie, 100 plates of rococo religious and civil silverware, engraved by Bacquoy and Pasquier, reprinted and copied until the 19th century in France and abroad (London, Turin). He also published in 1751 a short Livre d’ornemens. Installed quai des orfèvres, he had a small production, 1410 kg of silver up to his death, beautiful or simple objects,including orders for Joseph I of Portugal under contract for François Thomas Germain (1755-1756, 1765), for the Wal de Baronville family (1761-1763), the princess of Asturias in collaboration with Philippe Caffieri and Thomas Chancellier (1765), the Wandalin Mnisech (1762-1764), the Rocheblave (1777), the count of Artois and the princess of Ligne (1782). This study also covers artists he knew well: in Paris, his masters Germain, Roettiers, Besnier, his collegue Denys Frankson, his apprentices Ange Joseph Aubert and Pontaneau; in Avignon, the Clerc and Mézangeau families and Claude Imbert, his parents the architects J.-B. and François Franque, the organ builder Charles Boisselin; in Marseille, the Durand and Giraud families and his nephew Antoine Germain.
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Pensions et pensionnaires de la monarchie : de la grâce royale au système de redistribution de l'Etat au XVIIIe siècle / Pensions & pensioners of the French monarchy : from royal favour to State redistribution system in the eighteenth century

Carré, Benoît 06 April 2018 (has links)
Pensions et pensionnaires de la monarchie : de la grâce royale au système de redistribution de l’État au XVIIIe siècle La question des pensions et des pensionnaires de l’État est abordée à partir d’un corpus de sources centré sur les archives de la Maison du Roi, du Trésor royal et du Comité des pensions de l’Assemblée nationale constituante. Les mécanismes d’attribution et de distribution des pensions royales permettent de redécouvrir les contradictions de la monarchie d’Ancien Régime, prises entre la permanence de traditions anciennes et les exigences de l’État moderne. En revenant sur les tentatives répétées et inabouties de réformer et de rationnaliser un objet de dépenses dont le poids n’a cessé de peser sur les finances royales, la thèse invite à s’interroger sur ces formes de distributions utilisées par le pouvoir comme un instrument de domination politique et social, mais dont les aspects financiers et comptables ont été inégalement maîtrisés. L’histoire de la gestion des pensions royales au XVIIIe siècle offre une étude de cas particulièrement documentée qui permet d’illustrer le développement de la bureaucratie moderne, révélant une administration imaginative dans sa manière de réformer les pensions de l’État mais freinée par les intérêts contradictoires du régime. C’est finalement la crise politique de 1789 qui a permis de clarifier et de réformer un système de grâces royales devenu le symbole des abus de la cour aux yeux de l’opinion publique. En séparant les pensions de cour des pensions de l’État, en créant un droit à la pension pour les serviteurs de l’État là où l’Ancien Régime ne connaissait qu’un système de récompenses fondé sur l’usage et l’esprit de clientèle, le Comité des pensions de l’Assemblée nationale constituante a posé, en 1790, les bases du premier système de retraite de la fonction publique d’État. / Pensions & pensioners of the French monarchy : from royal favour to State redistribution system in the eighteenth century The issue of State pensions and pensioners is tackled on the basis of a corpus of sources found among the archives of the Maison du Roi (Royal Household), the Trésor royal (Royal Treasury) and the Comité des pensions (Pensions Committee) of the Assemblée nationale constituante (National Constituent Assembly). An analysis of the attribution and distribution mechanisms of the Royal pensions reveals the contradictions of the Ancien Régime monarchy: the preservation of ancient traditions versus the requirements of a modern State. The repeated and unsuccessful attempts to reform and rationalize an object of expenditure whose weight has not ceased to weigh on the royal finances is demonstrated here. The thesis invites us to question these forms of distribution used by the power as an instrument of political and social domination, but whose financial and accounting aspects have been unequally controlled. The history of the royal pensions management in the 18th century offers a particularly well-documented case study that illustrates the development of modern bureaucracy. It reveals an inventive administration in its way of reforming State pensions while constrained by conflicting interests of the regime. It was finally the political crisis of 1789 that clarified and reformed a system of royal liberalities that became the symbol of abuses of the Court in the eyes of public opinion. In 1790, by separating Court pensions from State pensions, by creating an entitlement to pension for State servants where the Ancien Régime knew only a system of rewards based on custom and clientelism, the Comité des pensions of the Assemblée nationale constituante laid the foundation for the first pension system of the State Public Service.
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Itinéraires musicaux à la cour de France sous les premiers Bourbons / Musical itineraries at the French Court under the First Bourbon Kings

Pédelaborde, Cindy 28 June 2012 (has links)
Une somme considérable de légendes véhiculent des images éculées d’Henri IV et Louis XIII. Au premier d’être alors évoqué comme un personnage débonnaire, guerrier, vert galant, préférant les joies populaires de la poule au pot et des chansons licencieuses du Pont Neuf aux fastueux spectacles de cour, quand son fils est appréhendé comme un monarque taciturne, dominé par sa mère puis par le tout-puissant Richelieu. Rarement l’intérêt se porte alors sur leurs personnalités politiques qui pourtant, animées par la passion de la gloire, pleinement conscientes de leur rôle de souverains du royaume, usèrent toutes deux de l’art à des fins d’autorité, ouvrant la voie à leur illustre descendant : Louis XIV. Notre étude a pour ambition première d’analyser quel fut l’initiation, voire l’édification, de ces deux souverains. Les usages politiques des spectacles de cour ont pour beaucoup été mis en exergue, mais le lien entre éducation artistique et politique est, quant à lui, bien moins étudié. Or, apprentissage politique et enseignement artistique passent par la ‘‘rencontre’’ entre l’enfant et les spectacles. De cette rencontre, le prince pourra envisager les potentialités du fastueux et utiliser ces premières expériences comme une référence qu’il accommodera par la suite, à son profit. Quelle place fut alors donnée à la musique dans la formation humaniste que reçut le jeune Henri de Navarre ? Quel fut le rôle confié aux arts dans l’éducation de Louis XIII, tandis que sa mère, digne représentante de la dynastie Médicis, mettait un point d’honneur à entourer sa cour de fêtes perpétuelles ? Ce sont en effet les femmes, c’est indéniable, qui jouèrent un rôle de tout premier plan dans la mise en place et le développement des spectacles utilisés pour servir la propagande royaliste. C’est cette réflexion, autour de la place de ces ‘‘muses’’ dans la formation des souverains au mécénat artistique et plus encore à l’utilisation politique des arts, qui nourrit notre première partie. La seconde est entièrement consacrée à l’utilisation propagandiste de l’art. Sous les premiers Bourbons, la musique se développa sous ses aspects les plus divers, psaumes, cantiques, chansons populaires ou airs de cour, ballets, tous utilisés afin d’ancrer plus fortement leurs règnes au cœur de la tradition monarchiste française. Sous ces souverains, au pouvoir bien controversé, les fêtes firent partie intégrante de la stratégie gouvernementale ; elles ne jouèrent plus seulement le rôle décisif, mais désormais connu, de consolidateurs du pouvoir en place mais le légitimèrent, l’assirent. Ainsi naquit la dynastie Bourbon. / A considerable amount of legends conveys hackneyed images of Henri IV and Louis XIII. The first one was then evoked as a good-natured, warlike figure and a Green Gallant who preferred the popular enjoyments of the boiled chicken and the bawdy songs of the Pont Neuf to the celebrations of the Valois court. His son was, as for him, considered as a taciturn monarch, dominated by his mother or by the almighty Cardinal Richelieu. Curiosity is then rarely aroused by their political personalities which, nevertheless livened up by the passion of the glory, conscious of their role as Kings of France, used both the art for authority purposes, opening the way to their illustrious descendant: Louis XIV.The first purpose of this study is to explore the initiation, if not the edification, of these sovereigns. The political uses of the splendoures were largely underlined, but the link between arts and political education is not much studied. Yet political learning and art education are conveyed by the "encounter" between the child and these shows. This encounter enables the prince to consider the potentialities of the luxurious, and to use these early experiences as a reference that he will accommodate to his profit afterward. Then what place was given to the music in the humanist formation received by the young Henri de Navarre? What was the role assigned to arts in the education of Louis XIII, while his mother, deserving representative of the Medici dynasty, made it a point of honor to provide her court with perpetual celebrations? Women undeniably played a first rank role in the implementation and the development of the court’s shows used to serve the royalist propaganda. This reflection around the role of these "muses" concerning the education of the sovereigns in the artistic sponsorship in addition to the political use of the arts will be the main focus of the first part. The second part is entirely dedicated to the propagandist use of the art. Under the first Bourbons, music developed as a wide range of appearances, psalms or hymns, popular songs or ‘‘airs de cour’’, ballets. All these forms emerged, anchoring more strongly their reigns in the tradition of the French monarchy. Under Henri IV and under his son, asserting a controversial power, the fêtes were part of the governmental strategy; they did not only play a decisive role in strengthening the power any more, they legitimized it, they consolidated it. This is how the dynasty of Bourbons was born.

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