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Le pari de l’Hérétique. Les prélats royalistes et la légitimation d’Henri IV / Betting on the Heretic. The royalist prelates and the legitimation of Henri IV

Martysheva, Lana 23 March 2018 (has links)
Cette recherche interroge la monarchie française en situation de crise en partant d’un pari politique hors norme, celui des prélats catholiques qui misèrent sur Henri IV, roi protestant. Elle étudie les diverses facettes de l’action politique de ces hommes et reconstruit les mécanismes de leur travail de légitimation du premier Bourbon, en privilégiant les premières années du règne. Centrer l’enquête sur ces années permet de restituer à cette période sa dimension d’incertitude vécue par les acteurs de la monarchie, qui se trouve généralement écrasée par le poids de l’histoire de la pacification, après l’édit de Nantes. Ce choix d’un temps court rend possible l’étude attentive des cérémonies possédant une grande importance symbolique, tels que l’abjuration et le sacre royaux. Trop souvent ces événements sont uniquement décrits, racontés par l’historiographie. L’analyse proposée ici s’attache à l’inverse à leur redonner leur dimension problématique, à réfléchir sur les choix stratégiques faits par le pouvoir, notamment en ce qui concerne leur publication, comme une seconde mise en scène, imprimée. En adoptant un angle d’observation centré sur l’engagement, tantôt exposé, tantôt discret du groupe de prélats (Jacques du Perron, Claude d’Angennes et leurs pairs), il devient possible d’appréhender la monarchie en tant qu’œuvre collective d’acteurs multiples qui agissent pour assurer sa survie. En proposant ainsi une alternative à la vision navarro-centrée qui domine largement l’historiographie, cette approche permet d’aborder d’une nouvelle façon la sortie des guerres de Religion et de révéler des acteurs peu connus, qui néanmoins jouent un rôle crucial dans ce processus. / This dissertation investigates the French monarchy during a moment of crisis, focusing on an exceptional political bet made by a number of catholic prelates who chose to support Henri IV, a Protestant king. Their varied political actions are studied here, and the mechanisms of their work of legitimation of the first Bourbon are reconstructed, with a particular attention to the first years of his reign. The emphasis on these years offers the opportunity to give back to this period its dimension of uncertainty, as lived by the actors of the monarchy, a dimension that is generally erased under the weight of the history of the pacification, beginning with the Edict of Nantes. The choice of a short period allows a careful analysis of ceremonies of great symbolic importance, such as the royal abjuration and coronation. Too often these events have been merely narrated by historiography. This analysis, however, seeks to reconstruct their problematic dimension. Specific attention will be paid to the choices made when these events were published, which constituted a second staging of the act in printed form. With the focal point placed on the political commitment of the prelates, which at times was explicit, and at other times remained discreetly hidden away, it becomes possible to understand the monarchy as the collective work of multiple actors who endeavoured to ensure its survival. Thus, by proposing an alternative reading of events to the Navarro-centric vision that largely dominates historiography, this approach discusses the end of the Wars of Religion from a new perspective, which uncovers lesser known actors, who nonetheless played a crucial role in this process.
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Le roi face à ses sujets révoltés : l'égalité devant le pardon dans la France de Henri IV, (1589-1598)

Ricard, Joly-Anne 12 April 2018 (has links)
Devant des paysans soulevés, les rois de l'époque moderne n'agirent généralement pas comme des tyrans sanguinaires qui sortaient les armes au moindre prétexte. Au contraire, les princes modernes firent preuve de douceur et de clémence envers leur peuple puisqu'ils attachèrent beaucoup de valeur à ces vertus que l'on disait royales. Dans la France de Henri IV, à la fin des guerres de Religion, l'utilisation de la clémence face aux révoltes des Croquants du Sud-Ouest fut indéniable, bien qu'elle ne fût pas la seule méthode employée par le roi pour enrayer ces soulèvements. La faiblesse de l'institution monarchique et l'éloignement de la région touchée forcèrent le roi à négocier les méthodes de règlement avec les autorités locales et la noblesse des provinces. Malgré une certaine répression, les paysans n'en ont pas moins reçu un traitement comparable à celui offert aux nobles qui se sont révoltés dans le cadre des guerres de Religion.
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Louis et Clément Métézeau, architectes du Roi / Louis and Clément Métézeau, architects of the king

Loizeau, Emmanuelle 05 December 2009 (has links)
Issus d’une dynastie de maîtres maçons et d’architectes établis à Dreux vers 1500-1516, les frères Louis et Clément Métézeau sont des architectes français actifs de la fin du XVIe siècle à la première moitié du XVIIe. La carrière du premier, Louis (vers 1563 ?-1615), essentiellement parisienne, se confond avec le règne d’Henri IV et se prolonge jusqu’en 1615 sous la régence de Marie de Médicis. En 1594, il fut chargé de superviser tous les chantiers royaux et fut, à ce titre, un des principaux acteurs de la reconstruction et de la modernisation du royaume. Son frère cadet, Clément (1581-1652), suivit ses traces : un temps au service des ducs de Lorraine et de Nevers, il revint en France où il devint à partir de 1615 un des architectes et ingénieurs ordinaires du roi Louis XIII puis de son frère Gaston d’Orléans. Il répondit aussi à de nombreuses commandes privées, tant civiles que religieuses, mais c’est la digue de La Rochelle qui fit sa renommée.A partir de documents d’archives inédits et d’une iconographie plus riche qu’on pourrait imaginer a priori, cette thèse restitue et réévalue les carrières méconnues de ces deux architectes. Une lecture critique des sources inédites rétablit la chronologie de chacune de leurs œuvres et s’attache à répondre aux problèmes récurrents d’attribution. Elle met aussi l’accent sur la polyvalence de ces artistes qu’elle replace au sein même de la communauté artistique parisienne de l’époque. Elle tente enfin de définir, pour chacun, un style architectural mis en regard avec la production des « ancêtres » de la dynastie, puis avec celle de leurs confrères. / Born into a dynasty of builders and architects settled in Dreux around 1500-1516, the brothers Louis and Clément Métézeau are French architects of the end of the sixteenth century and the first half of the seventeenth century. The career of the elder, Louis (ca. 1563?-1615), essentially concentrated around Paris, parallels with the reign of Henri IV and continues until 1615 under the regency of Marie de Médicis. In 1594, he was chosen to supervise all the royal building sites. He was one of the major actors of the reconstruction and the modernisation of the kingdom. His younger brother, Clément (1581-1652), followed his example. After working for the dukes of Lorraine and Nevers, he came back to France where he became in 1615 one of the ordinary architects and engineers of the king Louis XIII and his brother Gaston d’Orléans. He carried on several private projects, both civil and religious, but he became famous with his dike of La Rochelle.Using unpublished archive documents, this dissertation revives the unknown careers of both of these architects. A critical reading of the sources provides us with a new chronology of their works and tries to answer the numerous questions concerning their works, especially the recurrent issues of the attribution of their buildings.
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Le pouvoir des clefs au XVIe siècle. La suprématie pontificale et son exercice face aux contestations religieuses et politiques / The Power of the Keys in the Sixteenth Century. The Papal Supremacy and its Use facing Religious and Political Disputes

Schmitz, Benoit 30 November 2013 (has links)
Cette thèse porte sur la prérogative la plus importante du pape durant la première modernité, c’est-à-dire le pouvoir que lui donnaient les clefs du royaume des cieux. Cette faculté de lier et de délier tous les hommes dans l’économie du salut fut contestée au XVIe siècle par la Réforme protestante et par les monarchies européennes. L’enjeu est de comprendre comment la papauté affirma la nature spirituelle de sa suprématie tout en prétendant donner à celle-ci des effets politiques. Une première partie est consacrée aux controverses sur le pouvoir ecclésiastique du concile de Pise à la Réforme luthérienne. Une seconde partie examine les relations entre la papauté et les États à travers l’exercice du pouvoir de déposition. En raison de la richesse de la documentation conservée à l’Archivio Segreto Vaticano, une enquête approfondie est menée sur le cas de l’excommunication et de l’absolution d’Henri IV. Ce travail explique ainsi comment la politique romaine permit à la papauté de rester un acteur politique majeur dans l’Europe du XVIe siècle. / This PhD thesis deals with the most important prerogative of the pope during the early modern period, i. e. the power that the keys of the kingdom of heaven gave to him. This power to bind and to loose all men in the economy of Salvation was contested during the Sixteenth Century by the Protestant Reformation and by the european monarchies. What is at stake is to understand how the papacy asserted the spiritual value of the papal supremacy while asserting its political effects. A first part turns on the controversies about ecclesiastical power from the council of Pisa to the Lutheran Reformation. A second part deals with the relationship between the papacy and the states through the use of the deposing power. Owing to the richness of the documentation conserved in the Archivio Segreto Vaticano, a thorough inquiry is conducted on the case of the excommunication and of the absolution of Henry IV. This work explains thus how the roman policy enabled the papacy to remain a political actor of first importance in the Europe of the Sixteenth Century.
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Musique et musiciens à la cour d’Henri IV (1589-1610) / Music and musicians at the court of Henry IV of France (1589-1610)

Robinson, Alexander 11 December 2015 (has links)
Le règne d’Henri IV est incontestablement l’un des plus importants de l’histoire de France, et les ouvrages qui ont été consacrés à ce monarque sont innombrables. De plus, la musique a également retenu un grand intérêt parmi les chercheurs, et des études précédentes ont apporté des éléments édifiants concernant plusieurs aspects de la vie musicale durant ce règne, notamment sur les compositeurs en contact avec sa cour (comme Pierre Guédron et Eustache Du Caurroy) et sur les genres les plus populaires à cette époque (les chansons, les airs de cours, et les ballets). Or, une étude historique de la musique à la cour d’Henri IV, comparable à celles qui ont été faites par Christelle Cazaux et Isabelle Handy pour les autres cours françaises du XVIe siècle, restait à faire. L’objet de cette thèse est donc de préciser la place de la musique lors de la célébration des événements politiques et l’identité des musiciens qui travaillaient à la cour d’Henri IV. Elle est présentée en trois parties principales. La première partie est consacrée à l’étude des aspects qui ont contribué au développement de la musique pendant ce règne, dont la place de cet art dans la formation aristocratique et les goûts musicaux personnels de la famille royale. La deuxième partie se concentre sur le fonctionnement des différents corps musicaux de la cour (la Chapelle, la Chambre et l’Écurie). Enfin, une dernière partie évalue le rôle tenu par la musique dans les événements de cour sous Henri IV, comme les mariages, les obsèques et les entrées royales, et elle intègre également un examen de la place de la musique dans les fêtes politiques et dans les entrées des grands personnages en France à cette époque. / The reign of Henry IV is undoubtedly one of the most important in the history of France, and countless works have been devoted to the study of this monarch. In addition, music from this period has also attracted the interest of scholars, and previous studies have shed light on several aspects of musical life during this reign, notably on the composers connected to Henry’s court (like Pierre Guédron and Eustache Du Caurroy) as well as on the most popular genres from this time (chansons, airs de cour and ballets). Nevertheless, a historical study of music at Henry IV’s court, comparable to those already completed by Christelle Cazaux and Isabelle Handy on the courts of other French monarchs during the sixteenth century, remained to be undertaken.The aim of this doctorate is thus to clarify both the place of music during the celebration of political events and the identity of musicians who worked at Henry IV’s court. It is divided into three main sections. The first focuses on aspects which contributed to the development of music during this reign, including the place of music within noble training and the personal musical inclinations of the royal family. The second concentrates on the function of the different musical groups at court (the Chapel, the Chamber and the Stables). Finally, the last section examines the role of music in court events under Henry IV, such as marriages, funeral ceremonies and royal entries, and this section also encompasses a discussion of music’s place in political events and in the entries of important dignitaries in France at this time.
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Esthétique de la fiction naturaliste à la fin du XIXe siècle. Un disciple et ami d'Emile Zola ˸ Paul Alexis / Esthetics of the naturalistic fiction at the end of the XIXth century. A follower and a friend of Emile Zola ˸ Paul Alexis

Delolme, François 10 October 2018 (has links)
Paul Alexis (1847-1901) est souvent cité comme le meilleur ami de Zola, c’est là sa principale caractéristique. Presque son unique définition. On a tendance à oublier qu’il est aussi un écrivain engagé dans une cause qui est le principe même de son existence : le naturalisme. Ce travail tente d’explorer cette double perspective. En étudiant un certain nombre d’ouvrages et d’articles de journaux de cet auteur, il essaie de comprendre d’un côté ses rapports avec Zola, et de l’autre, ses conceptions personnelles, ses convictions profondes ainsi que ses relations avec les autres membres du mouvement. Pour cela, il scrute, tout d’abord, ses liens à la fois littéraires et intimes avec Zola. Il montre le quotidien d’une amitié qui connaît tumultes et mutations. Il analyse les moments marquants qui ont rythmé le cours de leur vie. Il note les convergences et tente de mettre en lumière les divergences entre le rédacteur de Germinal et celui de Madame Meuriot qui se présentait comme le tenant quasi ultime des thèses naturalistes. Ensuite, il s’efforce d’exposer précisément les idées personnelles de cet écrivain à partir de ses prises de position théoriques et de ses ouvrages de fiction. Il observe son implication dans ses domaines de prédilection : le journalisme, les arts, le théâtre, la politique... Enfin, il décrit son action menée au côté de Zola, au cœur du cercle de Médan, mais aussi d’une façon autonome, face aux grands événements qu’il a rencontrés, face aux grands problèmes qu’il a affrontés, comme l’émergence du naturalisme ou l’Affaire Dreyfus, par exemple. Le but ultime de cette thèse est de s’intéresser à ce personnage décrié souvent, parfois négligé, qui fut plus qu’un compagnon de route de Zola. / Paul Alexis (1847-1901) is mainly known as the closest friend of Zola. This is quoted as his main characteristic, almost as his unique definition. He is usually forgotten to be mentioned as also a writer who was very dedicated to a cause which had a huge significance in his life : Naturalism. This thesis tries to explore this double perspective. By studying books and newspaper articles written by this author, this work aims on the one hand, to explore his relationship with Zola, and, on the other hand, to focus on his personal designs, his deep convictions, as well as his connections with the other members of the movement. Primarily, in order to achieve this, this thesis scrutinises his personal and literary links with Zola. It shows the everyday life of a friendship which went through many challenges and changes. It analyses the striking moments which occurred during the course of their lives. It emphasises their common points of thought and tries to highlight the differences between the author of Germinal and the writer of Madam Meuriot, the last appearing to be the ultimate upholder of the naturalistic theories. Then, this project strives to precisely explain the personal ideas of this novelist, according to his theoretical views and to his works of fiction. It observes his restless involvement and the fights he led for the sake of his favourite topics such as : journalism, arts, theatre, politics... Finally, this work describes the actions Alexis carried out at the side of Zola, at the heart of the circle of Médan, but also in a more autonomous way, during major events in which he participated. This paper aims to clarify the huge issues he faced, such as the rise of naturalism or the Dreyfus affair, for example. The ultimate purpose of this PhD is to consider this character often slandered, sometimes neglected, a man who was more than a fellow traveller of Emile Zola.
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Itinéraires musicaux à la cour de France sous les premiers Bourbons / Musical itineraries at the French Court under the First Bourbon Kings

Pédelaborde, Cindy 28 June 2012 (has links)
Une somme considérable de légendes véhiculent des images éculées d’Henri IV et Louis XIII. Au premier d’être alors évoqué comme un personnage débonnaire, guerrier, vert galant, préférant les joies populaires de la poule au pot et des chansons licencieuses du Pont Neuf aux fastueux spectacles de cour, quand son fils est appréhendé comme un monarque taciturne, dominé par sa mère puis par le tout-puissant Richelieu. Rarement l’intérêt se porte alors sur leurs personnalités politiques qui pourtant, animées par la passion de la gloire, pleinement conscientes de leur rôle de souverains du royaume, usèrent toutes deux de l’art à des fins d’autorité, ouvrant la voie à leur illustre descendant : Louis XIV. Notre étude a pour ambition première d’analyser quel fut l’initiation, voire l’édification, de ces deux souverains. Les usages politiques des spectacles de cour ont pour beaucoup été mis en exergue, mais le lien entre éducation artistique et politique est, quant à lui, bien moins étudié. Or, apprentissage politique et enseignement artistique passent par la ‘‘rencontre’’ entre l’enfant et les spectacles. De cette rencontre, le prince pourra envisager les potentialités du fastueux et utiliser ces premières expériences comme une référence qu’il accommodera par la suite, à son profit. Quelle place fut alors donnée à la musique dans la formation humaniste que reçut le jeune Henri de Navarre ? Quel fut le rôle confié aux arts dans l’éducation de Louis XIII, tandis que sa mère, digne représentante de la dynastie Médicis, mettait un point d’honneur à entourer sa cour de fêtes perpétuelles ? Ce sont en effet les femmes, c’est indéniable, qui jouèrent un rôle de tout premier plan dans la mise en place et le développement des spectacles utilisés pour servir la propagande royaliste. C’est cette réflexion, autour de la place de ces ‘‘muses’’ dans la formation des souverains au mécénat artistique et plus encore à l’utilisation politique des arts, qui nourrit notre première partie. La seconde est entièrement consacrée à l’utilisation propagandiste de l’art. Sous les premiers Bourbons, la musique se développa sous ses aspects les plus divers, psaumes, cantiques, chansons populaires ou airs de cour, ballets, tous utilisés afin d’ancrer plus fortement leurs règnes au cœur de la tradition monarchiste française. Sous ces souverains, au pouvoir bien controversé, les fêtes firent partie intégrante de la stratégie gouvernementale ; elles ne jouèrent plus seulement le rôle décisif, mais désormais connu, de consolidateurs du pouvoir en place mais le légitimèrent, l’assirent. Ainsi naquit la dynastie Bourbon. / A considerable amount of legends conveys hackneyed images of Henri IV and Louis XIII. The first one was then evoked as a good-natured, warlike figure and a Green Gallant who preferred the popular enjoyments of the boiled chicken and the bawdy songs of the Pont Neuf to the celebrations of the Valois court. His son was, as for him, considered as a taciturn monarch, dominated by his mother or by the almighty Cardinal Richelieu. Curiosity is then rarely aroused by their political personalities which, nevertheless livened up by the passion of the glory, conscious of their role as Kings of France, used both the art for authority purposes, opening the way to their illustrious descendant: Louis XIV.The first purpose of this study is to explore the initiation, if not the edification, of these sovereigns. The political uses of the splendoures were largely underlined, but the link between arts and political education is not much studied. Yet political learning and art education are conveyed by the "encounter" between the child and these shows. This encounter enables the prince to consider the potentialities of the luxurious, and to use these early experiences as a reference that he will accommodate to his profit afterward. Then what place was given to the music in the humanist formation received by the young Henri de Navarre? What was the role assigned to arts in the education of Louis XIII, while his mother, deserving representative of the Medici dynasty, made it a point of honor to provide her court with perpetual celebrations? Women undeniably played a first rank role in the implementation and the development of the court’s shows used to serve the royalist propaganda. This reflection around the role of these "muses" concerning the education of the sovereigns in the artistic sponsorship in addition to the political use of the arts will be the main focus of the first part. The second part is entirely dedicated to the propagandist use of the art. Under the first Bourbons, music developed as a wide range of appearances, psalms or hymns, popular songs or ‘‘airs de cour’’, ballets. All these forms emerged, anchoring more strongly their reigns in the tradition of the French monarchy. Under Henri IV and under his son, asserting a controversial power, the fêtes were part of the governmental strategy; they did not only play a decisive role in strengthening the power any more, they legitimized it, they consolidated it. This is how the dynasty of Bourbons was born.
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Kronor, kransar och diadem som rollsymboler i Rubens målningar över Maria de’ Medicis liv / Crowns, wreaths and diadems as role symbols in Rubens’s Marie de’ Medici Cycle

af Klinteberg, Kristina January 2022 (has links)
This is a study on crowns, wreaths and diadems as role symbols in Peter Paul Rubens’s 24 paintings for Marie de’Medici in Paris, 1622 – 1625. In these paintings, historic facts are shown with the addition of mythological gods and their symbols giving allegorical scenes, where sometimes also Christian symbols or subjects can be traced. A reader of these painted motifs therefore can choose to see the symbols as regal, Christian or mythological. The crown and the wreaths rarely present a challenge in modern interpretations, but the magnificent diadem does. Rubens chooses this diadem for higher goddesses, and for the queen a couple of times too. For some reason, this symbol is mostly misread in analyses. At this point in history, the crowns and the wreaths have been collected from divine spheres and turned into physical objects on earth used by the high and mighty. The large diadem has not; it is still only a symbol on a goddess. If and when put on a human in a portrait, the symbol gives the lady the abilities and characters of a goddess. Rubens uses his own design when turning this symbol into a physical picture;it is a high, pointed diadem with pearls and coloured gems set in gold. He has used it on goddesses both before and after the Medici commission. Today, we have seen numerous spectacular headpieces like this from late 18th century an onwards, wherefore it is an easy mistake to believe that Rubens copied what he saw instead of, as he actually did, foreboding a coming fashion. In addition to confirming this, I also suggest that it is the highest goddess Juno queen Marie is personifying. Juno is mostly known today as a goddess for women and childbirth. But she had far more masculine tasks in earlier days: she was seen as the saviour of the country and a special counsellor of the state. These two important roles are exactly what Marie de’ Medici took on when acting as regent for her young son, Louis XIII,after the murder of her husband, the late Henry IV. By putting Juno’s diadem on Marie’s head, when sitting on a throne, the divine abilities are manifested according to how a historic period could be transferred to the allegorical language in a painting at the time.
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The Catholic Henri IV and the Papacy, 1593-1610

Fling, William Jackson 08 1900 (has links)
This study explores Franco-Papal relations, and their effect on the French Church and State, from Henri IV's conversion to Roman Catholicism in 1593 until his death in 1610. Because Henri IV's primary concern, even in matters involving the Papacy or the Gallican Church, was to protect his kingdom from Habsburg encroachment, he was willing either to abandon his Protestant allies abroad, or to adopt reform measures, such as the decrees of the Council of Trent, that might weaken his own authority or disturb the peace of his kingdom. This caused repeated conflicts with the Counter-Reformation Popes Clement VIII and Paul V, to whom the primary enemy was always the infidel and the heretic. Nevertheless both sides realized that they needed each other to maintain their independence of Spain.
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Family, ambition and service : the French nobility and the emergence of the standing army, c. 1598-1635

Thomas, Daniel January 2011 (has links)
This thesis will contend that a permanent body of military force under royal command, a ‘standing army’, arose during the first three decades of the seventeenth century in France. Such a development constituted a transformation in the nature of the monarchy’s armed forces. It was achieved by encouraging elements of the French nobility to become long-term office-holders within royal military institutions. Those members of the nobility who joined the standing army were not coerced into doing so by the crown, but joined the new body of force because it provided them with a means of achieving one of the fundamental ambitions of the French nobility: social advancement for their family. The first four chapters of this thesis thus look at how the standing army emerged via the entrenchment of a system of permanent infantry regiments within France. They look at how certain families, particularly from the lower and middling nobility, attempted to monopolise offices within the regiments due to the social benefits they conferred. Some of the consequences that arose from the army becoming an institution in which ‘careers’ could be pursued, such as promotion and venality, will be examined, as will how elements of the the nobility were vital to the expansion of the standing army beyond its initial core of units. Chapters Five and Six will investigate how the emergence of this new type of force affected the most powerful noblemen of the realm, the grands. In particular, it will focus on those grands who held the prestigious supra-regimental military offices of Constable and Colonel General of the Infantry. The thesis concludes that the emergence of the standing army helped to alter considerably the relationship between the monarchy and the nobility by the end of the period in question. A more monarchy-centred army and state had begun to emerge in France by the late 1620s; a polity which might be dubbed the early ‘absolute monarchy’. However, such a state of affairs had only arisen due to the considerable concessions that the monarchy had made to the ambitions of certain elements of the nobility.

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