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Le réalisme travesti ou l'illusion de la réalité dans le roman Sphinx d'Anne Garetta

Lachapelle, Julie January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire, divisé en trois chapitres, analyse le réalisme, l'effet de réel et l'illusion dans le roman Sphinx d'Anne Garreta. Cette oeuvre oulipienne met en place une contrainte de l'asexuation : les personnages principaux, Je et A •• sont dépourvus d'identité sexuée. La question principale posée par celle étude émane du paradoxe suivant: comment un roman oulipien, appliquant une telle dissimulation, peut-il entraîner l'illusion du réalisme? Celui-ci peut-il admettre un tel indiscernable? À l'ambiguïté sexuelle se superpose celle de la nature générique du roman qui met alors en parallèle deux définitions de genre: sexuel et romanesque. Le premier chapitre effectue un survol de certaines idées et notions qui, depuis Platon et Aristote jusqu'aux auteurs du Nouveau roman, ont participé à construire une définition évolutive du réalisme. Cette partie montre entre autres comment s'articulent le vraisemblable, l'effet de réel, la mimésis, l'illusion réaliste et la représentation de la réalité en littérature. Ce chapitre permet aussi de poser certaines balises théoriques qui serviront à l'analyse littéraire de la partie suivante. Le deuxième chapitre sera appliqué à l'étude du réalisme dans le roman. Plusieurs éléments mettent en place des effets de réel qui font adhérer le lecteur à la mimésis et au vraisemblable. À partir d'éléments romanesques précis, de certaines scènes et du travail sur la langue, nous verrons comment Sphinx joue avec les codes traditionnels du réalisme. Dans ce chapitre, seront entre autres analysés la mimésis formelle et diégétique, les effets de vraisemblance et la référentialité, autant d'éléments qui accréditent la lecture réaliste de l'oeuvre. Bien que d'apparence réaliste, le roman révèle, tant dans la forme que dans la diégèse, un puissant illusionnisme. Le dernier chapitre sera donc consacré à l'étude de la déconstruction du réalisme. La contrainte, qui empêche le lecteur d'accéder à l'identité des personnages principaux, impose une méthode descriptive elliptique, contraire aux codes traditionnels du réalisme. Les jeux de reflets et de miroirs, les illusions et les artifices amènent le réel à se déréaliser, à se dédoubler, donnant naissance à un leurre qui entrave la lecture réaliste de l'oeuvre. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Oulipo, Contrainte, Genres, Asexuation, Anne Garreta, Sphinx, Mimésis, Réalisme, Réalité, Vraisemblable, Effet de réel, Illusion, Artifice, Simulacre, Représentation, Référentialité, Hybridité.
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Et Hamlet, et Faust, et Punch, et la déconstruction et-- etc. : mise en implication de la déconstruction derridienne et de certains de ses concepts constitutifs dans le processus d'écriture textuelle et scénique d'une oeuvre de théâtre multidisciplinaire

Lefebvre, Denys January 2006 (has links) (PDF)
Ce texte d'accompagnement a pour but de rendre compte de l'expérimentation de la mise en implication de la déconstruction derridienne et de certains de ses concepts constitutifs dans le processus de mise en chantier de deux sphères fondamentales de l'activité théâtrale, soit l'écriture du texte et la mise en scène, à partir de matériaux textuels existants. Ce mémoire cherche donc à témoigner de la trace de la déconstruction et de l'espace que celle-ci a occupé dans le processus de réécriture et d'adaptation de trois oeuvres (Hamlet, Faust et Punch) ainsi que dans le processus d'élaboration de la mise en scène de cette adaptation. Cette adaptation sous forme de lecture croisée et ce compte rendu de la trace qu'occupe la déconstruction dans notre processus de création sont précédés d'une étude non-exhaustive de la déconstruction comme concept philosophique général, puis comme protocole de lecture et enfin en tant que possible principe moteur à la création d'une oeuvre théâtrale multidisciplinaire ou pluridisciplinaire. Pour réaliser l'étude, Derrida (l'homme et le philosophe) et le parcours de sa pensée à travers ses oeuvres sont au préalable présentés. Puis, la déconstruction est définie de manière générale, ensuite précisée en fonction de son contexte théâtral d'utilisation, et enfin disséminée en neuf concepts ou groupes concepts constitutifs jugés essentiels à l'expérimentation : le joint et le dis-joint, la marge, la trace, la ruine, le texte, la différance, la spectralité, le cadre et la signature. Dans ce document, certaines hypothèses découlent de l'emploi de ces concepts dans le processus d'écriture (ou de réécriture) dramaturgique et de mise en scène, la principale étant que la déconstruction, par le protocole de mise en lecture qu'elle implique, oriente la création en s'avérant génératrice de nouvelles écritures, donc libératrice de nouveaux sens. Il va de soi qu'elle engage une certaine responsabilité du créateur face aux oeuvres qu'il déconstruit, c'est-à-dire non pas celle de la relecture, mais bel et bien celle de la lecture, de la lecture active et responsable, propice à la création d'une oeuvre de théâtre transdisciplinaire. L'utilisation de l'exemple déconstructionnisté de Glas de Jacques Derrida comme expérience d'analyse et d'écriture en lecture croisée contribue également à l'encadrement de l'expérimentation d'un point de vue formel. Le texte Et cetera de Derrida servira quant à lui de guide idéologique à notre définition de la déconstruction derridienne. Afin de définir et de cerner plus avant la déconstruction derridienne, ses concepts constitutifs et leurs possibilités de mise en influence sur le processus d'écriture (ou de réécriture), qu'il soit dramaturgique ou scénique, les travaux de plusieurs auteurs comme Marc Goldschmit, Stratos E. Constantinidis, Nathalie Roelens, Peter Brunette, David Wills, Béatrice Picon-Vallin, André Green, André Dabezies et bien sûr Derrida lui-même (avec principalement Glas et Et Cetera) serviront d'assises théoriques à l'analyse. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Derrida, Déconstruction, Hamlet, Faust, Punch, Théâtre multidisciplinaire, Interdisciplinarité.
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Virginia Woolf and the poetics of trauma narrative

Amara, Ahmed January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Derrida and metaphor : drawing out the relation between metaphor and proper meaning through différance

Brown, Matthew A. January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Anomies : une déconstruction de la dialectique de l’un et de l’ordre, entre Jacques Derrida et Nelson Goodman / A deconstruction of the dialectic of law and order, between Jacques Derrida and Nelson Goodman

Barrau, Aurélien 20 January 2016 (has links)
Notre hypothèse est la suivante : pour des raisons différentes et avec des méthodes différentes, Derrida et Goodman ont, chacun, ébranlé l’un des deux piliers qui sous-tendent l’essentiel de la tradition philosophique. Derrida, par le jeu subtil de la différance, a fait vaciller la vaste entreprise de mise en ordre. Goodman, par la profusion de mondes construits et irréductibles les uns aux autres, remet en cause l’aspiration à l’unité. Nous avons tenté d’établir que la métaphysique s’est développée dans une dialectique de l’un et de l’ordre, se rétablissant sur l’un de ses pilastres quand l’autre faiblissait. Si donc les soubassements de l’histoire philosophique devaient être revisités – peut-être révisés – il serait fructueux d’user simultanément des propositions derridiennes et goodmaniennes. C’est l’originalité de ce projet. Il s’agit, pour neutraliser la récupération dialectique par l’autre pilier (par l’unité quand l’ordre faillit ou par la mise en ordre dans la multitude s’immisce) d’interroger la tradition suivant le double impératif de la déconstruction et du nominalisme, suivant le double prisme du dés-ordre de Derrida et du multiple de Goodman. Nous avons tenté d’établir que l’efficace d’une remise en cause du « mythe de l’un » ne peut se faire sans ébranler le « mythe de l’ordre ». Considérer conjointement les systèmes (ou des dé-systématisations) de Derrida et Goodman serait donc, suivant ce dessein, non seulement utile mais presque indispensable. Chacun d’eux permet d’éviter la récupération dialectique du schème de l’autre. L’étude est menée à partir d’un inconfort partagé face au concept de vérité. / Our hypothesis is the following : for different reasons and with different methods, Derrida and Goodman have both deconstructed one of the pillars of the Western philosophical tradition. Derrida, using the subtleties of the differance concept, has shaken the general entreprise of « organisation ». On the other hand, Goodman, by considering numerous constructed worlds that cannot be reduced one to the other, questions the desire of unity. We have tried to establish that metaphysics has developed in a dialectic articulation of order and unity, using one when the other fails. If the groundings of the history of philosophy were then to be revisited, it would be useful — if not necessary — to use simultaneously the derridean and goodmanian views. This the originality of this project. To break the dialectic mechanics using order to cure multiplicity, or the other way round, we have reconsidered the tradition using both deconstruction and nominalism, Derrida’s disorder and Goodman’s diversity. We have tried to show that the efficiency of the questioning of the « unity myth » depends on how far the « order myth » has been revised. Considering simultaneously both Derrida’s and Goodman’s systems allows to avoid the dialectic neutralisation of the proposal. The study is performed through the question of truth.
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A verdade da desconstrução: o horizonte ético do pensamento de Jacques Derrida / La vérité de la déconstruction: l´horizont éthique de la dans la pensée de Jacques Derrida

Fonseca, Fernando Facó de Assis January 2008 (has links)
FONSECA, Fernando Facó de Assis. A verdade da desconstrução: o horizonte ético do pensamento de Jacques Derrida. 2008. 110f. – Dissertação (Mestrado) – Universidade Federal do Ceará, Programa de Pós-graduação em Filosofia, Fortaleza (CE), 2008. / Submitted by Márcia Araújo (marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2013-11-05T18:08:31Z No. of bitstreams: 1 2008-DIS-FFAFONSECA.pdf: 935033 bytes, checksum: c4a39d95b4d369ef8c75a6cd633ecc4b (MD5) / Approved for entry into archive by Márcia Araújo(marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2013-11-05T18:26:49Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2008-DIS-FFAFONSECA.pdf: 935033 bytes, checksum: c4a39d95b4d369ef8c75a6cd633ecc4b (MD5) / Made available in DSpace on 2013-11-05T18:26:49Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2008-DIS-FFAFONSECA.pdf: 935033 bytes, checksum: c4a39d95b4d369ef8c75a6cd633ecc4b (MD5) Previous issue date: 2008 / Este trabalho pretende analisar o pensamento de Jacques Derrida, em especial o lugar em que se situa sua idéia de desconstrução. Nesse sentido, procuro abordar duas possibilidades de leituras do pensamento derridiano. A primeira leitura consiste na leitura crítica de Habermas, que sustenta que a desconstrução derridiana deve ser compreendida como uma teoria do conhecimento. Tal posição me parece extremamente problemática, tendo em vista que o pensamento de Derrida não repousa sobre um fundo racionalista tradicional. Em contrapartida, eu pretendo desenvolver uma interpretacão da desconstrução derridiana sobre um prisma essencialmente ético. Neste caso, defendo a tese que o pensamento de Derrida não pode ser tomado em profundeza salvo quando situado próximo da filosofia prática de Emannuel Lévinas. O erro de Habermas e de todos outros intérpretes que enxergam o discurso derridiano como um discurso contraditório reside em tomar a desconstrução sob uma ótica estritamente epistemológica, ao passo que, a meu ver, a verdadeira idéia da desconstrução se relaciona com questões do campo da ética. / Cette recherche se propose d‟analyser la pensée de Jacques Derrida et plus particulièrement ce que se cache dans la vraie idée de la deconstruction. J‟examine d‟avant tout deux possibilités de lectures de la pensée de Derrida. La première lecture est la lecture critique de J.Habermas, qui soutient que la deconstruction derridienne doit être interprétée comme une théorie de la connaissance. Cette position me semble extremement erronée, puis que la pensée de Derrida ne repose pas sur un fond rationaliste traditionnel. Par opposition à la lecture habermasienne, je veux dévélopper une interpretation de la deconstruction derridienne sur une prisme essentiellement éthique. En ce sens, je défend la thése que la pensée de Derrida ne peut pas être compris en profondeur sauf quand on la situe à la proximité de la philosophie pratique de Emannuel Lévinas. L‟erreur de Habermas et de tous les autres intérpretes qui voient le discours derridienne comme une discours contradictoire réside en qu„ils prendrent la deconstruction en un sens strictement épistémologique, au pas que je veux démontrer que la vrai idée de la deconstruction se rapporte avec le champ de l‟éthique.
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Walter Benjamin et la sécularisation / Walter Benjamin and the secularisation

Kageura, Ryohei 27 February 2012 (has links)
Cette thèse de doctorat fournit une lecture cohérente de la théorie de l’art et de la théorie politique de Walter Benjamin, et elle montre que son idée de sécularisation est décisive. Par la lecture de Critique de la violence, le premier chapitre clarifie la méta-physique du droit selon laquelle dans la modernité, le droit est dialectiquement produit par la violence. Cette production s’appuie sur la sacralisation de la vie en tant que transfert du théologique dans la politique. Ce que veut Benjamin est la rupture de la dialectique de droit et de violence. Il clarifie que toute violence est hantée par sa dissolution lors de son exercice. Le second chapitre clarifie l’indissociabilité de la question du droit et de la question de l’art ou du langage chez Benjamin : dans la modernité, le langage ou l’œuvre d’art devient indissociable de la connaissance, laquelle est le jugement selon une loi extérieure. En refusant la sacralisation romantique de l’œuvre d’art, Benjamin trouve dans le Trauerspiel ce qui finit la dialectique du droit et de la violence. La sécularisation est alors redéfini comme l’exclusion absolue du théologique de la politique. Le troisième chapitre clarifie la vue de Benjamin sur le double mouvement de la modernité : le transfert du théologique dans la politique et l’exclusion du théologique de la politique. Ce que clarifie Benjamin est que l’œuvre d’art moderne est de nature à favoriser cette exclusion et à rendre le transcendant à sa place transcendante. La postmodernité sans le transcendant permet de rencontrer avec le transcendant en tant que l’autre. / This doctoral thesis gives a coherent reading of the theory of art and the political theory of Walter Benjamin, and it shows his idea of secularization is decisive. By reading of Critique of the violence, the first chapter clarifies the meta-physics of the right according to which in the modernity, the right is dialectically produced by the violence. This production is based on the sacralisation of the life as transfer of the theological to the politics. What Benjamin wants is the rupture of dialectic of right and violence. He clarifies all the violence is haunted by its dissolution during its exercise. The second chapter clarifies the indissociability of the question of right and the question of art or language in Benjamin : in the modernity, the language or the art work becomes indissociable from the knowledge, which is the judgment by a exterior law. Refusing the romantic sacralisation of the art work, Benjamin finds in the Trauerspiel what ends the dialectic of right and violence. The secularization is then redefined as absolute exclusion of the theological from the politics. The third chapter clarifies Benjamin’s sight on the double movement of the modernity: the transfer of the theological in the politics and the exclusion of the theological from the politics. What Benjamin clarifies is that the modern art work is likely to favour this exclusion and give the transcendent back to its transcendent place. The postmodernity without the transcendent permits to meet the transcendent as the other.
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Le silence constructeur dans l’œuvre de Samuel Beckett / Constructive Silence in the work of Samuel Beckett

Siboni, Julia 05 July 2010 (has links)
Beckett donne à la littérature du XXe siècle, suite au traumatisme langagier induit par Auschwitz, une dimension nouvelle, en plaçant au cœur du texte un silence profondément positif, moteur, centre et point de départ de tout événement. Dès lors, le silence devient élément structurant, constructeur. La dialectique traditionnelle entre silence et parole est donc repensée, et les limites entre ces deux instances, gommées. Le silence forge alors une tension palpable, creusant le texte ainsi soumis à un devenir. Or dans l’esthétique beckettienne, la tension devient le socle de l’identité : l’être se constitue en sujet du fait de la tension qui le traverse. Mu par une poussée désirante, le sujet se tient à la limite mais résiste encore au processus de disparition qui l’assaille. / Following the linguistic trauma induced by Auschwitz, Beckett gives to twentieth-century literature a new dimension, placing at the heart of his text a silence that is profoundly positive, motivating, and which serves as the center and point of departure for every event. From this point forward, silence becomes constructive, taking its place as a structuring element. The traditional dialectic between silence and speech is thus rethought, as the limit between these two poles is rubbed away. Silence forges a palpable tension that digs within a text in the process of becoming. Yet, in the Beckettian aesthetic, tension becomes the base of identity: being constitutes itself as a subject because of the tension that traverses it. Impelled by desire, the subject teeters at its limit, yet continues to resist the threat of disappearance that plagues it.
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L'Excription chinoise : l'oeuvre, son sujet et sa communauté (1839-1979) / The Chinese excription : work, subject and community (1839-1979)

Lim, Pierre-Mong 14 March 2017 (has links)
La présente thèse examine l’apparition d’un sujet de l’écriture chinoise durant la période allant de la première guerre de l’opium à la troisième guerre d’Indochine. « Écriture » est ici comprise, d’une part, au sens strict de l’activité littéraire et, d’autre part, au sens plus large, philosophique, que la déconstruction a donné à ce terme. Ainsi, la notion d’excription (néologisme emprunté au philosophe Jean-Luc Nancy) nous permet de revisiter un ensemble de textes qui ont mis au cœur de leur réflexion ou de leur expérience la question de la création, à travers l’écriture, d’un sujet et d’une communauté de sujets. Au cours des trois parties qui la composent, cette thèse interroge transversalement les hypothèses historiques sur la modernité de sinologues tels que Naitô Konan et Takeuchi Yoshimi, ainsi que les conduites créatrices de Huang Zunxian, Wifredo Lam ou encore Zhang Guixing. Car excription signifie aussi que la recherche menée suit un mouvement d’extériorisation, de mise au dehors du sens que peuvent recouvrir le sujet chinois et sa communauté. / This dissertation studies the birth of what we term the subject of Chinese writing, during the period that stretches from the first Opium War to the Third Indochina War. Our research understands “writing” in the narrow sense of literary activity but also in the wider sense that deconstruction has attached to it. Hence, excription as a philosophical concept (created by the philosopher Jean-Luc Nancy) allows us to reinterpret a number of texts whose central thought or experience is the creation of a subject and a community of such subjects. Throughout three parts we read transversally the historical hypotheses on modernity by sinologist such as Naito Konan and Takeuchi Yoshimi as well as the poetic creations of Huang Zunxian, Wifredo Lam or Zhang Guixing. One must indeed keep in mind that excription also means a movement of externalization of meaning, that, precisely, of the Chinese subject and his community.
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La finitude infinie et ses figures : considérations philosophiques autour de la radicalisation de la finitude originaire chez Derrida / Infinite Finitude and its figures : philosophical considerations on the radicalization of originary finitude in Derrida’s work

Jullien, Stanislas 17 November 2014 (has links)
Cette thèse a l’allure d’une géographie de l’historial visant à cartographier le site où la philosophie atteint sa fin. Une telle géographie obéit à, au moins, deux contraintes matricielles. La première contrainte exige de décrire le site en vue de le localiser : notre thèse consistera alors à poser que le site en question ne pourra être occupé que par la finitude infinie car c’est seulement en elle que résiderait son avoir-Lieu matinal ; avoir-Lieu par où la finitude devra pousser son originarité créatrice jusqu’à libérer en elle une infinité affectée en retour d’un sens inédit. La seconde contrainte exige de défricher des territoires textuels permettant d’exhiber le système de coordonnées conceptuelles susceptible de cartographier le site de la FI : notre thèse consistera alors à poser que c’est le territoire élaboré par Derrida qui héberge en lui la cartographie natale de la FI en raison de l’intervention à la fois inaugurale et structurale de la FI sur ce territoire. Dès lors, séjourner dans l’unité articulée de ces deux contraintes exigera d’endurer l’installation spéculative dans la proposition cardinale suivante : la finitude infinie est la déconstruction. Cette endurance se donnera pour tâche de re-Marquer la FI sur le territoire derridien en (re)construisant d’une part le plan d’intelligibilité de la FI à travers l’agencement de ces deux lignes directrices (phénoménologico-Transcendantale et thanatologico-Transcendantale) et d’autre part, en montrant que si la FI confronte le territoire derridien à une charge aporétique opérant comme un pharmakon, cette pharmacologie pourrait libérer des figures inédites de la finitude infinie – figures herméneutiques (Heidegger) et spéculatives (Hegel). / We set out to construct a geography of historical aiming to cartograph the site where philosophy reaches its end. In so doing, two main constraints at least have to be taken into account. We first have to describe the site in order to locate it. We argue that the site in question can only be occupied by infinite finitude, for it is our assumption that only infinite finitude holds its inaugural taking-Place, a taking-Place wherein infinite finitude will have to push its creative originarity so far as to release in itself an infinity that will be affected in return by a novel meaning. Secondly, we have to break new ground in textual territories, which will enable us to uncover the system of conceptual coordinates that will make it possible to cartograph the site of infinite finitude. We argue that it is the territory constructed by Derrida that hosts the native cartography of infinite finitude because of the intervention, both inaugural and structural, of infinite finitude on that territory. It follows that, in order to dwell in the articulated unit of these two constraints, we have to maintain a speculative posture in the following cardinal proposition: infinite finitude IS deconstruction. This posture makes it possible to delineate and re-Inscribe infinite finitude on the Derridean territory by (re)constructing a plane of intelligibility through the combination of both the phenomenologico-Transcendental and thanatologico-Trancendental axes on the one hand; by showing, on the other hand, that if infinite finitude confronts the Derridean territory with an aporetic charge operating as a pharmakon, that pharmacology could release novel figures of infinite finitude - hermeneutic (Heidegger), as well as speculative (Hegel), ones.

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